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Plongeur.com - Le site de la plongée sous marine

La plongée n'est pas un sport de fainéant !


Bellavia.christ

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Bonjour

Ben oui, jusqu'à présent j'avais toujours entendu cette rengaine, que la plongée est un sport de fainéant, mais en cherchant des infos sur le MET, j'ai trouvé ça

http://fsdsaintnabord.free.fr/Documents/2016/MET.pdf

La plongée sous-marine est classée en MET 9, intensité très élevé. Vous avez des infos sur la dépense énergétique d'une plongée loisir explo, en eau à 20 ° et 40 mn, le basic en méditerranée quoi ?

http://fsdsaintnabord.free.fr/Documents/2016/MET.pdf

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Pas sur, n'oublie pas que dans depense energetique, il y également celle necessaire pour garder ta température (endothermie) et là les plongeurs sont imbattables :cool: puisque nous sommes entièrement immergés pendant notre activite et sur des périodes plutot longues.

 

A+

 

:biere:

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Dans son ouvrage "La plongée - Anatomie et physiologie du corps humain" (Ed Amphora octobre 87), le Dr Pierre SPICHAL traite (P240 à 247) de "La sexualité et la plongée"; Il compare les dépenses énergétiques de l'acte sexuel avec celles de la plongée scaphandre, ainsi qu'avec d'autres activités aquatiques (Nage avec Palmes, natation...), et conclut P244 par ces termes: "L'acte sexuel standard représente une dépense énergétique relativement importante pour un non sportif. Chez un plongeur entrainé et le nageur avec palmes de compétition, cette dépense doit être considérée comme insignifiante. En ce qui concerne les séjours en habitat sous-marin, les réactions cardio-vasculaires au travail mesuré sur trois minutes, ne changent pas, même à -565 m, et la ventilation varie peu elle aussi, surtout chez les plongeurs entrainés. La profondeur et l'hyperbarie ne sont pas un obstacle à l'acte sexuel. Par contre en ce qui concerne les activités subaquatiques de vacances, les citadins sont soumis à:

- Une sommation sportive permanente, alors qu'ils n'ont aucun entrainement pour se livrer à des sports de haut risque;

- Une sommation sexuelle intense du fait de l'ambiance, de la quasi nudité des filles, des seins nus sur toutes les plages.

On aboutit à une addition des dépenses énergétiques et des accidents qui, bien que se produisant dans les limites des tables, ne sont pas toujours immérités".

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Dans son ouvrage "La plongée - Anatomie et physiologie du corps humain" (Ed Amphora octobre 87), le Dr Pierre SPICHAL traite (P240 à 247) de "La sexualité et la plongée"; Il compare les dépenses énergétiques de l'acte sexuel avec celles de la plongée scaphandre, ainsi qu'avec d'autres activités aquatiques (Nage avec Palmes, natation...), et conclut P244 par ces termes: "L'acte sexuel standard représente une dépense énergétique relativement importante pour un non sportif. Chez un plongeur entrainé et le nageur avec palmes de compétition, cette dépense doit être considérée comme insignifiante. En ce qui concerne les séjours en habitat sous-marin, les réactions cardio-vasculaires au travail mesuré sur trois minutes, ne changent pas, même à -565 m, et la ventilation varie peu elle aussi, surtout chez les plongeurs entrainés. La profondeur et l'hyperbarie ne sont pas un obstacle à l'acte sexuel. Par contre en ce qui concerne les activités subaquatiques de vacances, les citadins sont soumis à:

- Une sommation sportive permanente, alors qu'ils n'ont aucun entrainement pour se livrer à des sports de haut risque;

- Une sommation sexuelle intense du fait de l'ambiance, de la quasi nudité des filles, des seins nus sur toutes les plages.

On aboutit à une addition des dépenses énergétiques et des accidents qui, bien que se produisant dans les limites des tables, ne sont pas toujours immérités".

 

En gros, dans ce cas la, il faut savoir où on la MET non? :jesors:

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Dans son ouvrage "La plongée - Anatomie et physiologie du corps humain" (Ed Amphora octobre 87), le Dr Pierre SPICHAL traite (P240 à 247) de "La sexualité et la plongée"; Il compare les dépenses énergétiques de l'acte sexuel avec celles de la plongée scaphandre, ainsi qu'avec d'autres activités aquatiques (Nage avec Palmes, natation...), et conclut P244 par ces termes: "L'acte sexuel standard représente une dépense énergétique relativement importante pour un non sportif. Chez un plongeur entrainé et le nageur avec palmes de compétition, cette dépense doit être considérée comme insignifiante. En ce qui concerne les séjours en habitat sous-marin, les réactions cardio-vasculaires au travail mesuré sur trois minutes, ne changent pas, même à -565 m, et la ventilation varie peu elle aussi, surtout chez les plongeurs entrainés. La profondeur et l'hyperbarie ne sont pas un obstacle à l'acte sexuel. Par contre en ce qui concerne les activités subaquatiques de vacances, les citadins sont soumis à:

- Une sommation sportive permanente, alors qu'ils n'ont aucun entrainement pour se livrer à des sports de haut risque;

- Une sommation sexuelle intense du fait de l'ambiance, de la quasi nudité des filles, des seins nus sur toutes les plages.

On aboutit à une addition des dépenses énergétiques et des accidents qui, bien que se produisant dans les limites des tables, ne sont pas toujours immérités".

 

Berny, la perception de l’Acte par la Science a évolué depuis 1987.

 

Au 38ème congrès de l’EUBS, en 2012, l’équipe du Professeur C. Balestra a proposé une communication intitulée « comparaison between an active and passive sexual intercourse workload : effort after diving ? » dont les conclusions sont contraires à celles publiées par le Dr P. Splichal.

 

Peut-être que l’on ne copule plus comme avant.

Maintenant, on s’économise.

 

 

ABSTRACT

Objectives: Following a question from divers, whom wanted to know if sexual intercourse after diving can be at risk as an effort, we analysed the level of effort for an active sexual intercourse (ASI) and a passive one (PSI) compared to the same VO2 and watts reached on a cycloergometer.

 

Methods: Nine young (mean age 22.6+/-0.94 years) healthy, Caucasians, heterosexual individuals (5 boys and 4 girls) volunteered for the study. Using a VO2000 - Medgraphics® and a Polar® belt, we recorded the VO2, VCO2, ventilation rate, respiratory quotient, heart rate, RR intervals, etc. In order to guaranty the privacy of the participants, data were recorded on a PC with a telemetry system. The partners had to perform several measurements during one week. The results obtained during the sexual intercourse were then compared to a calibrated effort on a cycloergometer. The comparison of the level of VO2 consumption at the climax of sexual intercourse to the same VO2 consumption reached during the ergometric effort, allowed us to determine the workload in watts.

Results: We note that sexual intercourse leads to a general increase of workload depending on the type of activity (passive or active). The oxygen consumption increased to 29.5 l/min/kg for an ASI and 17.3 l/min/kg for a PSI. Ventilation ranges from 33.5 to 44 l/min. Changes in cardio respiratory parameters during an ASI and a PSI have shown that the effort is not as important as sometimes supposed. The increase in workload and ventilation is relatively mild. An ASI corresponds to a mean workload of 139 Watts and a PSI to 81 Watts mean workload.

 

Conclusion:

Our results have shown that to perform a sexual intercourse increased the workload in a relatively mild way and would not be considered as heavy physical activity after diving. To be on the safe side we recommend not to “rock the boat” to heavily. This study may also find its interest in rehabilitation programs for patients with cardiopulmonary risk or heart transplant patients.

 

 

 

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pas crédible pour moi:

la même dépense physique en plongée qu'en rugby... bien sûr...

la même dépense physique en marchant à 6km/h qu'en roulant à vélo à moins de 16km/h ou en jouant au badminton... ben voyons (ou alors c'est de la marche à la descente et du bad' avec un enfant de 10 ans qui est incapable de rattraper un volant)

le plus beau: tondre le gazon sur un tracteur et les activités sexuelle... elle doit pas être transcendante la vie sexuelle de l'auteur(e) du document !

 

 

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Dépense métabolique, pas physique. C'est certain qu'en plongée on doit brûler pas mal de calories rien que pour maintenir la température corporelle et qui plus est l'activité dure longtemps. Après, tout dépend de ce qu'ils prennent comme mesure. Pour la descente en ski est-ce juste une descente ou une journée de ski. Et à quel rythme surtout ?

 

Pour autant, même si je ne pratique pas la discipline, quand je vois les personnes faire de l'aquagym à côté de moi à la piscine, je n'ai pas l'impression que la dépense physique soit minime. Et cela ne dure pas non plus cinq minutes. Donc le voir aussi bas par rapport à d'autres activités, cela me laisse penser que le tableau a été fait à l'arrache sans trop de protocole permettant une comparabilité pertinente. Le plus pertinent serait d'indiquer une dépense moyenne par unité de temps.

 

En tout cas l'étude sur les rapports sexuels post-plongée a l'air bien plus sérieuse et c'est l'essentiel ^_^

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j'ai des doutes !!!

Peut être en comparant une plongée explo d'une heure avec 3mn d'échauffement de judo.

Dire que la plongée est un sport à mon avis Non, un loisir Oui

 

500 m de capele avec un bi 10 et une deco dans une mer un peu formée, c'est plus vraiment du loisir non ?:cool:

 

A+

 

:biere:

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J'ai longtemps cherché, sans rien trouver d'exhaustif, les calories dépensées pour maintenir l'homéostasie thermique (maintenir sa température constante indépendamment du milieu en bon gros mammifères que nous sommes) en plongée. Entre les mythes urbains entretenus par des personnes de forte corpulence que ça arrangeait: "mais Si, on dépense 2500 calories par plongée !" et le zéro calorie probable d'une plongée aquarium dans de l'eau à 29° en combi 5 mm, quelle réalité ? Si quelqu'un a des infos la dessus...

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J'ai longtemps cherché, sans rien trouver d'exhaustif, les calories dépensées pour maintenir l'homéostasie thermique (maintenir sa température constante indépendamment du milieu en bon gros mammifères que nous sommes) en plongée. Entre les mythes urbains entretenus par des personnes de forte corpulence que ça arrangeait: "mais Si, on dépense 2500 calories par plongée !" et le zéro calorie probable d'une plongée aquarium dans de l'eau à 29° en combi 5 mm, quelle réalité ? Si quelqu'un a des infos la dessus...

 

Bonjour Autrichon gris,

 

Il me semble avoir lu quelque part (mais ou ?) qu'à température égale , la déperdition dans l'eau est 26 fois supérieure à celle dans l'air.

je ne sais pas si c'est très scientifique et juste, mais à partir de çà, on peut, peut-être, appliquer ce coef sur la déperdition calorique "standard" ?

 

 

A+

 

:biere:

 

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