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Plongeur.com - Le site de la plongée sous marine

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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 11/10/2019 dans toutes les zones

  1. Il faut primo qu'ils puissent situer la France sur une mappemonde et secundo qu'ils s'y intéresse, ce n'est pas gagné
    4 points
  2. @ robby92 ne te tompe pas de sujet: On parle de la plongée au sens large du terme au niveau matériel, technique, pédagogie.... PAS de la technologie aérospatiale, ni du secteur du grand luxe ou de la gastronomie ou la France a incontestablement une bonne position... Comme je dit souvent à mes voisins néerlandais: à Saint Martin plongez en "Hollande" mais allez manger en France. Et ne faites pas le contraire
    3 points
  3. Clairement, les seuls qui se prennent la tete sur le systeme francais sont... les francais (et les étrangers qui viennent en vacances et ne comprennent pas trop). Le reste du monde plonge joyeusement PADI/SSI et co, et s'en moquent!
    2 points
  4. J'ai été absent du forum 10 ans, les plongeurs du forum ont changé mais pas les discussions.., et aujourd'hui beaucoup parlent et jugent une époque de la plongée qu'ils n'ont pas connu...
    2 points
  5. Je vais revenir sur la « théorie de la plongée » et préciser ma position. Je maintiens que les connaissances théoriques enseignées à nos élèves et aux moniteurs actuellement dans la plongée française, sont le plus souvent déconnectées de la réalité de notre pratique et qu’en conséquence, elles constituent un frein à son développement. Que devraient-elles être ? Suffisantes et adaptées aux situations rencontrées, techniques, environnentales, etc., permettant de comprendre et d’analyser la manière dont nous pratiquons, mais jamais au grand jamais, elles ne doivent se substituer à la pratique. Elles doivent la magnifier. La question n’est pas nouvelle. Dans l’ancien temps, on passait directement du 1er échelon (niveau 2), au deuxième échelon (niveau 4) à l’issue d’un examen avec ses deux parties physique et théorique. On avait à l’époque d’excellents plongeurs, 1er échelon, qui réussissaient remarquablement les épreuves dans l’eau mais qui ne pouvaient obtenir leur brevet dans son intégralité, parce que les épreuves théoriques étaient pour eux un véritable casse-tête, un Olympe. Ils ne pouvaient donc pas évoluer dans la discipline en tant que plongeur, et pas accéder à un niveau nécessaire pour « enseigner » la plongée. Et pourtant nombre d’entre eux étaient des pédagogue de terrain remarquables. C’est pour cette raison que l’on a créé à l’époque le niveau 3, essentiellement pratique, pour s’excuser de ne pas les intégrer dans le corps prestigieux des enseignants, et de ne pas leur attribuer le N4. Car dans ces jours bénis, les N4 faisaient les baptêmes, jusqu’à ce que l’« On » décide que le baptême était un acte pédagogique, qu’il fallait le réserver, en mer, aux E3. La question qui se pose est : peut-on être un excellent plongeur, doublé d’une « bille » en théorie ? C’est une vraie question. Elle est fondamentale, et il faut sincèrement s’interroger sur les contenus théoriques de nos formations. D’autant plus que la physique, la chimie, la médecine, la physiologie, progressent dans leurs connaissances de notre activité, et que ce qui était enseigné il y a encore quelques années n’est plus aujourd’hui forcément valable. Je pense en particulier à la décompression et aux protocoles proposés dans les tables et ordinateurs. Pourquoi exiger de nos élèves, mais également des moniteurs des connaissances obsolètes ? Il faut donc recentrer les thèmes sur des besoins immédiats réels, simplifier les contenus et alléger nos exigences. À la limite, pour plonger doit-on même savoir lire, écrire (sans faute d’orthographe) compter, et manipuler sans problème la règle de 3 (produit en croix) ? Si vous répondez oui, alors vous rentrez dans la spirale de l’exclusion et de la discrimination. Dans le cas contraire, ne pourrait-on pas envisager la plongée comme une voie de remédiation contre ces carences culturelles et la considérer comme une approche pratique d’un enseignement citoyen ? Pour ceux qui ont passé leur MF1 en Occitanie, il y a un certain nombre d’années, un patron de centre FFESSM, prévenait ses stagiaires pédagogiques, on leur disant que leurs exposés devaient être compris par des « bergers des Causses ». Il avait raison.
    2 points
  6. Une idée Mr Dugay ! Viens plonger chez nous, après tu pourra te faire une idée ( peut être moins négative, en tout cas plus objective cette fois .... )
    2 points
  7. Qui a dit qu'il ne fallait pas l'enseigner aux plongeurs? En mer un baptême peut très bien être réalisé par un E1.
    1 point
  8. Il est toujours salutaire de considérer nos origines pour mesurer là ou nous en sommes. Pour compléter la très pertinente intervention de Nanobulle, quelques considérations: - Il faut clairement dissocier la capacité pédagogique de la connaissance. Une formation pédagogique ne fait que révéler et renforcer une aptitude naturelle d'un individu à transmettre le fruit d'une expérience et/Ou d'une connaissance à autrui. En d'autres termes, la connaissance ne se suffit pas à elle-même. Nous avons tous des exemples nominatifs de vieux plongeurs qui ne maitrisaient pas la dialectique ou la théorie de la décompression en tenant compte de la nature physique des gazs, mais qui ont toujours su expliquer simplement et limpidement les choses aux nouveaux plongeurs. Et nous connaissons aussi tous de brillants cerveaux incapables d'expliquer clairement ce qui se passe sous l'eau à un débutant. L'exercice de la pédagogie nécessite une aptitude innée que tout le monde n'a pas, et qui ne s'achète pas. - La dimension éducative de la plongée en tant que support propre à contribuer à l'éducation du citoyen est évidente, c'est d'ailleurs en cela que la conception de l'activité subaquatique se distingue au sein de la FSGT: L'apprentissage de la plongée en tant que support pour faire de l'individu un citoyen, par une éducation au civisme et à la solidarité, voire par la reprise de basiques tels que savoir écrire et compter. - Certains ont cité, dans leurs tirades, les CAPESIENS; Qu'en est-il des CAROLINGIENS?
    1 point
  9. Et avoir à l'esprit que la minorité qui dérange est plus visible que la majorité qui ne dérange pas. Sur 1 message ouvertement anti-PADI sur le forum, on en voit 1 qui n'est pas anti-PADI... et probablement des dizaines qui s'en fichent et n'interviennent pas. À l'époque où je travaillais en voiture, je râlais quotidiennement sur les "sales c**s" qui conduisent sur le périphérique parisien... en oubliant qu'ils ne représentaient qu'un ou 2 véhicule sur mon trajet, noyés au milieu des centaines d'autres qui se comportent correctement. Il faut modérer tout ces points de vues un peu trop tranchés, je pense.
    1 point
  10. Dans le même post tu nous sert tout et son contraire ... Surtout te plante pas dans tes exemple .... Tu m'as fait bien rire avec Renault très en avance sur les voiture autonomes et électrique ... Bon vraiment enlève le voile bleu blanc rouge que tu as devant les yeux, tu ne fais que confirmer notre arrogance et manques d'ouverture (qui oh stupeur est à l'origine de nos réussites, ou de l’expansion de nos entreprises ... l'ouverture hein, pas l'arrogance.). Pour bosser avec bcp d’étranger, d’après eux, les français peuvent être bons, voire très bons quand ils s'inspirent ou inspirent les autres et qu'ils échangent et apprennent des autres, mais se plantent à chaque fois lorsqu'ils se croient les meilleurs. Et comme le dirai notre ami Canadien, nous sommes meilleurs Rookie que Leader Alors arrête de croire et de prêcher que nous sommes les meilleurs en plongée, ouvre toi et comprend, approprie toi ce qui ce fais ailleurs, tu n'en deviendras que meilleur plongeur
    1 point
  11. Tu as raison, j'ai un peu exagéré. Il n’empêche que sur la plongée on a globalement raté le virage de la démocratisation de la pratique, la stab en fait partie, le couteau aussi mais dans l'autre sens :). Disons simplement que sur une innovation, on a plutôt tendance à dire "a quoi ca sert ? ca marche très bien comme aujourd'hui" qu'a trouver ça génial. Par exemple les discussions qu'on peut avoir sur la gestion d'air, ou les dispositif de geoloc sous l'eau, et je parle pas d'ibubble
    1 point
  12. J’adhère pas trop mal a un lien fondamental à l'ancienneté du pays, sans aller jusqu'a parler d'ancienne gloire. Globalement le continent nord américain est "jeune", on parle d'une société qui a globalement 500 ans et bien moins dans sa forme actuelle. En Europe on a plus vécu, on est moins enthousiaste simplement parce qu’on s'est déjà pris des claques dans la gueule. On invente le principe de précaution et d'autres choses qui sont vu comme des gardes fous par certains, comme frein par d'autre. Bref, en tant que société on réfléchit plus et on fait moins de chose, mais du coup il y a aussi un paquet de connerie qu'on ne fait pas... Mais cette discussion aurait plus sa place au bistrot...
    1 point
  13. Et vous expliquez ça comment, au juste? À vous lire, personnellement, ça ne peux que confirmer l'idée que j'avais de la France comme une nation très profondément conservatrice et très nostalgique d'une gloire passée qui suscite chez elle beaucoup d'amertume face aux progrès réalisés ailleurs dans des champs d'activités où elle pavait, naguère, la voie. En fait, contrairement à ici, en Amérique du Nord, où, dans des domaines qui reposent sur la technologie comme la plongée, le respect des traditions est systématiquement reléguée derrière une soif pour le progrès - pour le meilleur comme pour le pire - on dirait que chez vous vous estimez avoir atteint une sorte de finitude, de Fin de l'Histoire. Pire encore, comme des Français ont effectivement joué un rôle important et historique dans la création de la plongée sous-marine "civile", vous agissez parfois comme si tous les Français étaient frappés de la Grâce et, du simple fait d'être né en France, vous étiez de meilleurs plongeurs que tout le monde. Ça explique votre fermeture et votre attitude - franchement désagréable - face aux autres écoles de pensée en plongée. Ça explique les commentaires qu'on lis ici à pleine page. Ça explique votre mépris décomplexé envers Padi et les plongeurs nord-américains qui, justement, ne considèrent rien comme sacré, surtout pas la plongée. Ça explique que vous êtes les seuls au monde à croire - en complète négation des bonnes pratiques ailleurs dans le monde - qu'il est OK de faire des profondes à l'air. Ça explique pourquoi vos côtes, pourtant réputées très belles, sont ignorées par une majorité de plongeurs internationaux qui croient, comme moi, qu'ils n'ont pas à supporter le mépris et la condescendance des locaux qui vont regarder, avec dédain, leurs cartes PADI ou SSI... Moi, je trouve ça très dommage. Surtout pour vous.
    1 point
  14. Ceux montés sur les stabs pour mesurer l'assiette du plongeur sont parfaits !!
    1 point
  15. L'initiateur du post est déjà bien sympa d'avoir partagé ses inquiétudes et ses symptômes. J'imagine qu'il prendra en effet plus de précautions la prochaine fois. Des réponses très pertinentes semblent avoir été données. Je pense qu'il convient de s'abstenir de tout jugement
    1 point
  16. Pour répondre, il faudrait déjà que ton exemple soit crédible et juste. 1 - Si je planifie ta plongée sur mes outils de simulation, j’obtiens non pas une DTR de 26 minutes (26 minutes fond + 26 minutes DTR = Les 52 minutes de run rime que tu indiques). mais 35 minutes de DTR, soit un runtime de 61 minutes. 2 - si je reprends tes éléments de consommation (sac 15l/min), le plongeurs aura consommé 125 bar au terme des 26 minutes fond. Il lui restera donc 75bar pour assurer 35 minutes de DTR. Joueur ou inconscient ... 3 - je ne connais aucun DP qui autorisera un temps fond de 26 minutes à 40m pour des plongeurs en 15l. Un DP sérieux donnera une DTR max et une pression de décollage. En général, 15 minutes pour 80 bar. 4 - à aucun moment dans ma méthode de planification, j’indique qu’il faut utiliser un temps fond pour planifier une plongée à l’air. Au contraire même, je l'écris en rouge et gros. Pas assez gros semble-t-il J’indique deux paramètres : une DTR max à choisir et la pression de décollage associée (incluant une pression de sécurité, égale au minimum à la pression nécessaire pour la remontée + paliers). Donc si le plongeur souhaite utiliser ma méthode, il planifiera pour cette plongée une DTR de 35 minutes, soit une pression de décollage de 105b. Ce qui ne lui laisse de 95 bar pour descendre et rester au fond à 40m. avec qlq rapides calculs, la pression de décollage le fera décoller bien avant tes 26 minutes. Au mieux à la 18e minutes pour une DTR réelle de 15 minutes. du coup, les 105 bar de pression de décollage lui permettront de réaliser ses propres paliers, voire même d'assurer ceux de ses deux équipiers qui sont tombés en panne. il est très agréable d'être cité ou pris en exemple. Mais si cela est possible, autant le faire sans interprétation et avec des exemples crédibles.
    1 point
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