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Showing content with the highest reputation on 01/23/2023 in all areas
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Si tu n'as pas le niveau 1, surtout en partant d'un ow, poses toi plutôt des questions sur la capacité des encadrants ! Je ne peu que t'encourager à nager indépendamment de la plongée, ca reste une super activité.3 points
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Hello @Xabi, "Les contrôles représentant combien de % par rapport aux plongées réalisées ? Probablement une infime minorité" => Je cite ton propos et je te rejoins, mais je vais y mettre un méchant bémol... Plongeant essentiellement en France, depuis plus de 30 ans, j'ai fait plusieurs fois la triste expérience des contrôles en mer, principale l'été, en Méditerranée, sur des bateaux de structures associatives et commerciales. Eh ben, ce n'est pas joli... Je m'explique. Ce que j'ai vu, sauf une fois, ce sont des 'cow boys' monter à bord, arrogants, agressifs, méprisants et sûr de leur bon droit, et se foutant du tiers comme du quart des règles de sécurité en matière de navigation à proximité d'un bateau de plongée. Ce qu'ils voulaient, c'était "casser du plongeur" et pour l'application et l'interprétation des textes, je reprends mon expression de "spatiale". J'enfonce le clou, les dits cow boys sont souvent repartis sans se soucier des 'connards' (je sais ce n'est pas beau de jurer) qui n'étaient pas plongeurs, mais qui faisaient n'importe quoi avec leurs embarcations. Bref, aucune pédagogie, et une compétence discutable. Je ne suis pas convaincu que compliquer les règles apporte quelque chose au schmilblick, bien au contraire. D'où ma grise mine sur ces mesures, dont pourtant l'idée d'origine me paraît bonne. PS : à l'attention des membres du forums, membres de la Gendarmerie Maritime ou des Affaires Maritimes. Navrés de brocarder le comportement indélicat de certains de vos collègues. Mon but n'est pas de troller, ni de faire du bashing, contre tel ou tel corps professionnel. Il s'agit juste de rapporter des faits vécus. Par ailleurs, travaillant moi aussi pour l'Etat, je sais ce que c'est que de servir de bouc-émissaire facile.3 points
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Tu sais ce qu'on leur faisait dans la cours de récré, aux petits frimeurs, qui crânaient avec leurs beaux jouets ? :D1 point
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un peu comme toi ou comme Xabi : quand ton détendeur est souple, leger en bouche et qu'en vacances, tu utilises celui du centre qui est un truc basique, ou pas compensé, bref, une pioche... quand tu as choisi ton mano parce que "gros" et métallique et verre et que tu retrouves avec un mano dépoli (le plastique est bouffé par le sel ou le sable et il n'est pas aussi lisible que l'autre) quand tu as l'habitude de ton harnais, reglé aux petits oignons et que tu récuperes une stab "collective", c'est à dire passe partout, je pense que tu vas passer "quelques" minutes à chercher tes marques, tes repères pour ensuite apprécier les plongées.... maintenant, si le but est de voyager et de plonger à l'occasion, c'est à dire ne pas transporter un sac de 25 kg de matos plus les fringues et le reste quand on fait du stop, c'est un point de vue qui se défend aussi, bien sur.1 point
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Aucun souci. Dans un cas, on est dans un séjour pour la plongée. Dans L'autre, on est dans un séjour où on plonge. La cible est clairement différente. Et on ne fait pas le Dakar en ferrari.....1 point
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Comme j'en avais marre de mes problèmes d'interrupteur BigBlue et que je n'aimais pas le halo autour des faisceaux, je suis parti sur du Tillyec dont j'avais déjà un vieux modèle acheté d'occas (en direct : https://www.tillytec.de/en/index.php) J'ai une Maxi Uni sur batterie déportée en principal, une Maxi Uni en secours et, principalement en sout, 2 Mini Uni en backup. Pour chacune des lampe, on peut choisir le type de faisceau. Ma principal doit être de 6 ou 8° pour bien éclairer dans la touille et aller voir dans les trous.1 point
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Bonjour, Comme toi, mon premier (et seul) achat d'éclairage s'est porté sur un phare mixte (VTL3500P, l'ancêtre de la 4200 évoquée dans ton message) Comme toi, l'idée était de pouvoir s'en servir en explo en faisceau étroit et en champ large pour des petites video sans prétention. Mais contrairement à toi, je ne plonge pas en eau trouble.... Donc voilà ce que je peux en dire (je parle de la VTL de bigblue): - Le faisceau étroit ne me semble pas adapté dans des conditions de mauvaise visibilité ou de particules : il y a un espèce de halo autour du faisceau (pas si étroit que ça) qui - perso - me dérange. Vécu sur quelques plongées en mer chaude mais dans des eaux très chargées. - Dans des conditions "de visibilité claire" et dans la pénombre (lac, grotte, méditerranée au delà des 40m, etc...) le faisceau étroit éclaire bien, même si le halo autour se voit toujours, c'est moins gênant. Le faisceau large permet d'éclairer de redonner vie aux gorgones et ça aide pas mal pour la vidéo - En conditions lumineuses (mer chaude, faible profondeur), le faisceau étroit est quasi invisible et le large ne sert pas à grand chose non plus....perso le phare me sert juste à éclairer dans des trous, ou compenser sur quelques scènes où le flash me pose des soucis (je suis passé à la photo entre temps) - L'avantage de la VTL, c'est qu'avec son "faible" faisceau étroit je peux facilement faire 3 plongées sans recharger, lorsque je m'en sers en explo sans utiliser le faisceau large pour filmer en permanence - Swith entre les differents mode avec le bouton, très pratique avec un doigt En conclusion, le bon compromis se fait toujours au détriment d'un choix....la qualité où le prix. Il n'y a pas de solution miracle dans le domaine Les phares mixtes feront le job dans les 2 domaines mais n'excelleront dans aucun des 2 Je ne connais pas les gravières lyonnaises, mais si il y a besoin d'éclairer dans la tourbe et la mauvaise visibilité, un phare à faisceau étroit et puissant serait à conseiller1 point
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Plongée dans differents sites : 1 archon D10XL depuis 4 ans (90 euros chez le chinois) et 1 dive rite CX2 (176 euros) prise chez Segytech depuis 2 ans avec contacteur alors que l'archon c'est avec tête pivotante . J'ai arrété depuis longtemps les gros phares encombrants et puissants1 point
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"panne d'air sur Octopus" c'est même pas une question du siecle dernier "la panne d'air" au sens "plus d'air" n'existe plus depuis quelques dizaines d'années, tous les détendeurs étant concus et fabriqués en "manne sure" c'est à dire que s'il y a un problème technique : l'air arrive quand même (ex givrage). Admettons et pour s'apercevoir de la non-arrivée d'air il faudrait un autre incident qu'on appellera "panne d'air" d'un autre membre de la palanquée.1 point
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L'outil IA nous a permis de nous libérer de tâches ingrates. Ca fait plus de 10 ans qu'on l'utilises tous les jours, sans y prêter attention. Trajets GPS. Suggestions Google. Corrections Word. Propositions de formules Excel. L'IA moderne a plus de capacités que celle de nos parents. Par-contre, peu de chance qu'on puisse rivaliser avec celle de nos enfants. C'est un sujet important dans les boites d'informatique. Même si peux d'informaticiens en tiennent vraiment compte autrement que pour les tâches rébarbatives. Pareil pour tous les métiers, j'imagines . 2023 a besoins d'outils informatique semi-automatisés locaux/européens. Ca va prendre un peu de temps .1 point
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Oui sans doute, et merci de la suggestion, mais franchement... Je crains qu'on ne se mette bientôt à plus penser à nos avocats et autres conseillers juridiques qu'à préparer nos plongées...1 point
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Bonjour, Pour les fabricants, ce ne sont pas des "avis", ce sont des règles à appliquer en fonction de la conception et de la fabrication de leurs équipements. Quand les ingénieurs travaillent à la conception d'un produit, il font un design, choisissent certains matériaux, etc. Ils définissent ensuite les règles permettant de maintenir l'équipement en état opérationnel au cours de son cycle de vie (on parle de MCO : Maintien en Conditions Opérationnelles et de MCS : Maintien en Conditions de Sécurité). C'est vrai pour la plupart des équipements et c'est d'autant plus vrai que l'équipement est "technique" ou qu'il concerne la protection et/ou la sécurité. [Pour grossir le trait, c'est exactement ce qui se passe sur l'étiquette d'une serviette où le fabricant indique le type de lavage (main/machine), la température max (ex. 40°C), l'utilisation possible ou non de javel, repassage possible ou non ... sauf que pour les serviettes de bain, il y a peu d'enjeu et pas de contrôle d'un inspecteur, au pire on les endommage et on doit en changer]. Le point 5 de l'annexe II du règlement UE 2016/425 sur les EPI conception/fabrication indique : "5. Lors de la conception et de la fabrication de l'EPI, ainsi que lors de la rédaction des notices d'instructions, le fabricant envisage non seulement l'usage prévu de l'EPI, mais aussi les usages raisonnablement prévisibles. S'il y a lieu, la santé et la sécurité des personnes autres que l'utilisateur sont garanties." https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=celex%3A32016R0425 En conséquence, les règles d'entretien et de maintenance/révision dépendent des concepteurs/fabricants et doivent être mentionnées a minima dans la notice d'instructions, comme c'est le cas pour tous les équipements (même hors EPI fabrication) dans la vie de tous les jours... (ex. les révisions d'une voiture dépendent du fabricant avec en plus un élément venant de la réglementation, le contrôle technique). Souvent négligées, les notices d'instructions sont pourtant des éléments essentiels. Elles doivent être respectées et, comme déjà indiqué, elles peuvent même faire partie des critères de choix d'une marque ou d'un équipement. Lorsqu'elles sont mal rédigées ou que leur rédaction peut faire courir des risques juridiques à l'utilisateur, alors mieux vaut ne pas choisir cet équipement. C'est vrai pour les EPI fabrication mais également pour les ordinateurs de plongée et les bouteilles de plongée (qui dépendent, pour le fût, d'un autre règlement UE que celui des EPI). Par exemple, quand une notice d'ordinateur écrit : "Vous ne devez pas plonger au-delà de 40 m avec cet ordinateur" ... il faut en tirer les conséquences en fonction de sa pratique (niveau, autonome, encadrant, ...). Ce n'est pas pareil que si la notice écrivait "Vous devez plonger dans les limites de profondeurs fixées par votre formation et la réglementation locale". Autre exemple : Roth a modifié la notice de ses blocs en 2019. Il était écrit qu'ils ne pouvaient pas être utilisés au-delà de 50 m au motif que la norme EN 250 (robinetterie) faisait faire un test à 50 m. Or, les conditions de normalisation ne constituent pas, dans ce cas, une limite d'utilisation. En conséquence, cette mention faisait courir un risque juridique à ceux qui plongeaient au-delà de 50 m avec leurs blocs. La rédaction de 2019 a modifié cela afin d'éviter de mettre inutilement les utilisateurs en porte-à-faux et en insécurité juridique (j'ai participé à cette nouvelle rédaction, avec eux et Beuchat, à l'époque). C'est devenu : "LA ROBINETTERIE A SUBI AVEC SUCCES L’ENSEMBLE DES ESSAIS REQUIS PAR LA NORME EN250 ET A RECU LA CERTIFICATION NECESSAIRE A SON UTILISATION. LA PROFONDEUR MAXIMALE REQUISE PAR LA NORME POUR LA CERTIFICATION DE L’EQUIPEMENT EST DE 50M.". Au-delà de la qualité du produit, il y a donc également sa notice d'instructions. En résumé, c'est pour cela qu'un inspecteur s'appuie sur : - La réglementation en vigueur pour le cadre général ; - La notice d'instructions pour ce qui est des règles fixées pour la marque ou le modèle de l'équipement contrôlé (et qui sont spécifiques à chaque fabricant). Bien cordialement, Alain Foret1 point
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Aux philippines, à Bohol , j'avais un peu froid à la deuxième plongée avec une intégrale 3mm . j'ai emprunté au club un shorty 3mm que j'ai mis par dessus : Nickel ,plus froid lors des 2ème et 3ème plongées1 point
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Pas chaud après quelques messages ... sur le matériel et un aspect a été oublié : toi. es tu un fan de photo, video quelque soit le matériel es tu capable de prendre une bonne "vue" (avec toutes ses nuances ) sans parler de l'éclairage indispensable. Sinon, tout finira dans un coin comme les dizaines de copains qui se "sont achetés une G...." avec tous les accessoires, juste pour faire de la merde et qu'on ne voit qu'une seule fois en mer. Donc si tu te sens réellement objectivement ... Go.... Sinon garde ton fric pour autre chose [gag : hier soir je discute avec un futur N2 qui me dit naïvement qu'un de ses copains qui s'y connait lui a dit que il lui fallait absolument le dernier Shearwater ....... on va en reparler On est en 2023 et on entend encore des conneries pareilles.]1 point
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Après quelques années d'apnée, chasse (à la cool), snorkling, surf etc... : le vidage de masque devient une formalité, un réflexe (c'est toujours désagréable d'attaquer un canard avec de la flotte plein le pif et les sinus)... Si on n'a pas ce passé , cette aisance aquatique "acquise", Je pense que le truc numéro un est de maitriser la dissociation bucco-nasale: L'entrainement avec un tuba en surface peut être un bon truc: Inspiration tuba / expiration nez/dans le masque au départ puis petit à petit laisser entrer un peu d'eau dans le masque, s'entrainer à la chasser (trouver les angles, les appuis suivant ton masque / ta morphologie) et petit à petit finir pas enlever le masque (bosser la dissociation). Également ouvrir les yeux sous l'eau sans masque... En fait s'habituer à être sous l'eau et respirer sans masque en étant cool. Ça peut passer par s'habituer à nager simplement sans lunettes/masque, faire du surf etc... Bref, être bien dans l'eau. Après il n'y a plus de stress: Mettre un masque ajoute du confort, c'est mieux, c'est tranquille... Tu renverses le truc... D'une situation stressante (eau dans le masque) tu en fais un situation presque normale (je suis sous l'eau sans masque) et j'ajoute un élément de confort: je mets un masque... donc ça devient cool et assez ludique même comme exercice. Je suis débutant (prépa N1) mais c'est vraiment un exercice que j'adore (comme les lâchés / reprises d'embouts) et plein d'autres trucs... Je trouve tellement cool de ne pas avoir à remonter toutes les X secondes/minutes en surface pour respirer! On a le temps... Zen, relax...1 point
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N4, je vois un intérêt en tant qu'N3 plongeant souvent en SCA (*) en arrivant sans binôme: quand on te paire avec un N2, tu peux quand même aller plus bas que 20m. (*) Je fait partie à nouveau (après 25 ans environ) d'un club depuis 15 jours. Mais comme il fait trop froid pour eux (15° !), il n'y a pas encore de sorties club... et je ne suis pas encore dans les circuits pour avoir un binôme hors celles-ci1 point
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Question qui prouve peut-être ma mauvaise compréhension de la règlementation : quel est l'intérêt de l'initiateur quand on n'est pas dans un club? J'ai l'impression qu'une SCA ne peut rien te confier sans un diplôme d'État.1 point
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La seconde plongée sera pas mal avec malgré une visi pas très bonne de belles choses. C'est décor en granite sous l'eau comme sur les iles Avec le premier requin qui se promène entre les blocs. ou d'autres bestioles aux dents acérées Tout comme un "troupeau" de perroquets a bosse, placide que nous pouvons approcher sans trop de difficulté Belle journée de plongée nous sortons de la seconde plongée après 1:04 et avec le sourire suite à la dernière rencontre (j'avoue avoir tiré un peu sur la corde en sortant avec 19 bars... mais ma réserve n'était pas loin ) Le club n'a que des S80 et pour moi c'est juste, mais je gère profondeur max de cette plongée 15 m et les perroquets se baladaient sur un fond de 5/6 m J'en profite d'avoir le nez sur sub-surface pour dire que les températures rencontrées lors de nos plongées à partir de Praslin étaient entre 26.8 au mini et 28.8 au max... avec un short et un lycra ca passe pour moi. Ma femme elle c'était Sharkskin plus shorty La suite demain enfin si je survis à la reprise du boulot1 point
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Nous avons pour cette année changé de club de plongée. Les 2 précédentes fois nous étions chez Octopus Divers à Anse Volbert. Ayant été un peu déçu de la baisse du service et de l’accueil nous avons décidé de tester Whitetip Divers également à Anse Volbert. Nous retrouverons Angélique ex-Octopus qui a repris le club Whitetip tout comme Hugues qui travaille à présent dans ce club. Par mail attendez-vous à une réponse dans les 2 à 3 jours, chez Octopus j’ai attendu quasi 2 semaines avec des prix exorbitants… Chez Whitetip le pack de 10 plongées est à 450 € donc 45 € par plongée en ayant son propre matériel. Ambiance sympa, globalement le club est très professionnel, le « hic » est que nous étions relativement nombreux. Les palanquées de 4, voire 6 plus le guide. Des plongeurs pas toujours au top et surtout manquant pour certains du moindre respect. Perche Gopro, venant devant l’objectif photo, Gopro à 5 cm des tortues tout en les pourchassant. Bref 2 journées de plongées pas mal gâchées par ces comportements. A bord du bateau une pause d’une heure entre les 2 plongées avec pour chacun une petite bouteille d’eau, bananes, petits gâteaux très bien. Le bateau est relativement confortable et l’équipage change les blocs il n’y a rien à faire. Le seul hic est l’échelle… tu te bousilles le dos en tentant de monter tout équipé. Après la seconde plongée j’ai donné le bloc avant de monter comme tout le monde. L’échelle est indéniablement à changer pour mieux. Bref durant 3 jours j’étais limite au niveau de mon dos… j’ai craint le pire. Si tu es « grand » c’est vraiment galère avec cette échelle. @Angélique : Fais nous signe quand tu auras changé ou modifié cette échelle Pour monter sur le bateau c’est par la plage, pas de ponton… il faut se « mouiller » mais ça va c’est bien rodé. Douche au club et toilette dans l’hôtel juste à côté. L’équipe parle français, anglais et créole au minimum. Whitetip organise le matin des sorties « double tank » l’après-midi est plus réservé aux baptêmes et aux formations. RDV à 9h00, en moyenne nous quittions le club entre 13 et 14 heures. Cela laisse de belles possibilités afin de visiter l’ile de Praslin, en bus ou en voiture de location. Compter 40 € la journée pour une location, attention la conduite se fait à gauche. Nous avions fait le choix pour ce séjour de louer afin d’éviter les trajets en bus et surtout pour rejoindre notre logement situé en hauteur. Nous aurions pu nous faire chercher et ramener par le club, mais nous voulions être autonome. Evidemment il y a les taxis qui peuvent être une alternative entre les 2. Les plongées : Les consignes sont claires 50 minutes ou 50 bars puis on remonte. Les blocs sont des S80 qui globalement sont « très » bien gonflés. Les plongées ont duré entre 53 minutes et 1h04 et les profondeurs maximales étaient entre 15 et 21 m. De petites plongées sans grandes difficultés, c’est les vacances Bon le gros point négatif côté plongée c’est la visibilité… nous arrivions après une semaine mouvementée et la visi était clairement exécrable. Seule la seconde journée aura été vraiment bien, d’autres fois le risque de perdre sa palanquée était réel. Cela gâche sans aucun doute le plaisir. Je ne parle même pas des photos au grand angle des gros bancs de vivaneaux jaunes ou autres… bref la vie était présente mais les conditions pour en profiter pleinement n’étaient pas remplies. Nous avons fait 6 jours de plongées et donc 12 plongées chacun. Il n’y a pas eu de plongée de nuit durant notre séjour. Concernant le club je ne peux que le conseiller, il y a toujours mieux on est d’accord, mais aux Seychelles c’est une valeur sûre. Ambiance, francophone, sérieux, petite piscine d’eau douce pour les formations mais surtout très pratique pour rincer le matériel photo et vidéo. Bref si nous revenons une 7ème fois aux Seychelles, nous n’hésiterons pas une seconde ce sera avec Whitetip Divers. Mais honnêtement, je ne reviendrai pas pour Noël, décembre est le début de la saison des pluies donc pas top pour la plongée. Cependant la semaine avant nous, il parait qu’ils ont vu 5 jours d’affilée un requin baleine… et 2 jours après notre départ de Praslin à nouveau… Dans la suite de mon CR, j’en dirais un peu plus sur les plongées, photos à l’appui Après une semaine complète sur l’ile de Praslin, il est temps de retourner sur l’ile principale de Mahé. L’idée, après avoir plongé 2 fois dans le sud-ouest de l’ile, est de découvrir les plongées du nord-ouest en partant de Beauvallon. J’avais contacté Blue Sea Divers et fait une petite réservation. C’est le club qui me paraissait le mieux et qui d’autre part m’avait été conseillé par Angélique de Whitetip Divers. À la suite de notre choix de ne pas venir en raison des soucis en Ethiopie, j’avais annulé la réservation. En partant au dernier moment je me suis dit, on verra sur place. A notre arrivée à Beauvallon, nous avons fait un petit saut chez Blue Sea Divers. C’est une structure avec tout le confort, vraiment très bien équipé. De la place, bac de rinçage, douches extérieures tout comme une douche fermée et cabine pour se changer, et point non négligeable un parking juste à l’arrière. Bref ma femme a été conquise par le confort proposé . Nous sommes également passé voir le centre Equinoxe à 150 m de là. Humm local petit tout le monde « se marchait dessus », le français n’était en outre pas la langue officielle du club… Ce n’est pas dramatique mais comme francophone j’apprécie de pouvoir dialoguer en français. Bref après un petit tour dans le club et les retrouvailles avec un guide avec qui nous avions plongé chez Dive Resort Seychelles en 2016 et 2018, le choix initial a été confirmé… nous plongerons avec Blue Sea Divers. Il y a encore d’autres clubs sur Beauvallon mais comme à priori le choix initial paraissait le bon, pourquoi chercher plus loin. Donc rendez-vous le lendemain à 8h30 pour la première sortie… nous serons seuls. Plongée privée en quelque sorte… Le guide sera Johny très sympa… mais il est visible qu’il a encore beaucoup à apprendre du métier. Son amabilité comblera ses petits défauts sous l’eau… Côté plongée il y a 2 bateaux bien équipés, confortables, échelles perroquets avec laquelle on remonte facilement sur le bateau. A ce propos le matériel est apporté au port par le personnel, puis le bateau rejoint la plage où il suffit de grimper sur le bateau en apportant les palmes et le masque. C’est appréciable, même s’il y a parfois des oublis . L’entre-plongée est plus court 40 à 45 minutes et il n’y a, à bord « que » du thé ou du café plus quelques petits gâteaux… un peu juste peut-être, en tout cas un petit cran en-dessous de ce que nous avions à Praslin. Les jours suivants nous avons plongé avec Julien le fils du propriétaire du club, Sylvain. Dans l’ensemble ça va si ce n’est un petit manque au niveau des connaissances en bio. Il y a clairement un potentiel d’amélioration sur ce point. Autre petit point c’est la pression des blocs… 200 sera le maximum que je verrai, heureusement que j’ai eu des 15 L sur 7 des 10 plongées que nous avons faites. Bon les plongées sont également plus courtes, à 45 minutes c’est direction la sortie … nous n’avons jamais atteint l’heure sous l’eau. Petit point supplémentaire qui me « chagrine » ce sont les plongées « longues » distances tout comme celle du parc marin avec supplément conséquent… On ne te demande pas vraiment ton avis… et tu te retrouves à payer 17 € en plus par sortie. Sur Praslin nous avons navigué beaucoup plus loin et sans supplément. Mais c’est la pratique de tous les clubs de Beauvallon d’après ce que j’ai pu voir. Le pack de 10 plongées chez Blue Sea est a 420 €. 3 Euro de moins que chez Whitetip… donc avec les surplus longues distances on se retrouve plus ou moins aux tarifs de Praslin 47 € / plongée chez Blue Sea de moyenne sur nos 10 plongées Côté ambiance rien à dire nous avons bien rigolé et les Seychellois comme les 2 « boss » sont vraiment très sympas Nous ne regrettons absolument pas d’avoir plongé avec Blue Sea Divers. Surtout que…. Le second jour lors de la seconde plongée nous étions à 50 m du bateau d’Equinoxe, vous savez le club chez qui nous avions jeté un œil… et bien soucis après même pas 5 minutes de plongée avec une guide et une cliente qui remontent. Nous étions sous l’eau et n’avons rien vu, mais à priori intoxication… le club est au bord de la route et j‘imagine qu’une voiture devait bien dégager au moment du gonflage. Mise sous O2 et évacuation à l’hôpital d’après les retours les 2 se portent bien. Ouf. Blue Sea a porté assistance au club ayant des problèmes, logique et très bien. Mais nous sommes bien d’accord on ne pouvait pas attendre autre chose qu’une entraide… même s’il s’agissait d’un club concurrent. Au bout du compte si nous avions plongé avec Equinoxe, nous aurions peut-être été les victimes… petit ouf de soulagement égoïste. La visibilité sur Mahé a été très mais alors très légèrement supérieure à celle de Praslin… quoi que. J’ai réussi à perdre le guide Johny et ma femme le temps de faire 2 ou 3 photos. Après avoir tournée 2 ou 3 minutes tout phares allumés, histoire que l’on puisse me repérer, je remonte en surface. J’ai attendu environ 5 minutes avant de les voir apparaitre à 20 m de moi… ma femme ayant décidé que ma recherche avait suffisamment duré… Si elle n’avait pas été là je pense que Johny tournerait encore au fond en train de me chercher … ( désolé Johny, je te pairais une la prochaine fois )1 point
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