Julaye last won the day on November 26 2023
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About Julaye
- Birthday 10/05/1968
Personal Information
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Localisation
Dakar
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Passions
Photo, Modélisme, Plongée
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Profession
Sorcière blanche
La plongée
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Féderation(s)
FFESSM (86-94), PADI (2021), SSI (2023)
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Niveau en plongée
Instructrice
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Professionnel de la plongée
No
Recent Profile Visitors
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Julaye's Achievements
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Il existe une allergie aux composés utilisés pour la fabrication mais cela se porte plutôt sur la peau : dermatite de contact, rougeurs, demangeaisons… J’aurais quand même pensé à des céphalées de tension plutôt que des produits volatils dissipés après une ou deux plongées.
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Si ce n’est pas sur une étiquette apparente, tu as ouvert le compartiment batterie ? mais en principe c’est à deux endroits possibles sur le capot …
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Formation plongée en échange de travail : où et comment ?
Julaye replied to BubbleLine's topic in Débutants en plongée
me contacter en MP, on peut imaginer une formule sur notre centre SSI au Sénégal pour la saison. -
Traduction de la conclusion : L’intérêt majeur du modèle présenté ici est de préparer la voie à l’intégration d’éléments physiologiques et morphologiques dans un modèle de saturation/désaturation des gaz. Contrairement aux modèles de type haldanien, y compris ceux de type Bühlmann, le modèle présenté ici ne se fonde pas uniquement sur l’évolution des pressions partielles des gaz, mais est conçu pour décrire le transfert de quantités de gaz. Il permet donc de quantifier comment le plongeur absorbe un gaz inerte pendant la plongée et comment ce gaz est éliminé lors de la remontée vers la surface, sur une base quantitative. Ce modèle ouvre également la possibilité d’intégrer différents tissus, un foramen ovale perméable ou des shunts pulmonaires, et de calculer leur influence sur la cinétique globale d’élimination de l’azote (N₂). Il pourrait aussi intégrer les données relatives à l’activité cardio-respiratoire pendant la plongée. Il permettrait ainsi de prendre en compte l’état physiologique du plongeur avant et pendant la plongée dans les algorithmes de décompression et, par conséquent, de personnaliser le processus de décompression. Ce manuscrit n’est qu’une première étape vers l’intégration de paramètres physiologiques dans un algorithme de décompression, et d’autres développements seront clairement nécessaires pour rendre ce modèle réellement utile. L’intégration de la modélisation des bulles dans les compartiments circulants et tissulaires pourrait s’avérer intéressante, et les compartiments tissulaires pertinents devront être définis en fonction de la physiologie des échanges gazeux et de la physiopathologie de l’accident de décompression (ADD). Et traduction du résumé : La maladie de décompression peut survenir chez des plongeurs même lorsque les procédures de décompression recommandées sont suivies. De plus, l’état physiologique des individus peut grandement influer sur la variabilité de la formation de bulles. Ces informations soulignent la nécessité de données personnalisées afin d’améliorer la décompression en plongée sous-marine (SCUBA). L’objectif principal de cette étude est de proposer un cadre fondamental pour une nouvelle approche des échanges de gaz inertes. Un modèle physiologique de transport de l’oxygène vers les organes et les tissus a été conçu, puis adapté à l’azote. La validation de ce modèle a été réalisée en transposant le modèle dédié à l’azote (N₂) au dioxyde de carbone (CO₂). Dans des conditions normobares (respiration d’air, respiration d’oxygène et apnée statique) et hyperbares, le modèle d’O₂ reproduit la pression partielle d’oxygène (P_o₂) physiologique de référence (tests de corrélation de Spearman, p < 0,001). Les modèles de gaz inertes peuvent simuler les pressions partielles de ces gaz dans des contextes normobares et hyperbares. Toutefois, l’absence de valeurs de référence empêche la validation directe de ce nouveau modèle. C’est pourquoi le modèle N₂ a été transféré au CO₂. Le modèle obtenu pour le CO₂ a ensuite été validé par comparaison avec des valeurs physiologiques de référence (tests de corrélation de Spearman, p < 0,01). La validité du modèle de CO₂ ainsi construit à partir du modèle N₂ démontre la plausibilité de ce modèle physiologique des échanges de gaz inertes. Dans le contexte de procédures de décompression personnalisées, ce modèle présente un intérêt majeur, car il permet d’intégrer des paramètres physiologiques et morphologiques (débits sanguins et respiratoires, diffusion alvéolo-capillaire, volumes respiratoires et sanguins, consommation d’oxygène, masse graisseuse, etc.) à un modèle de saturation/désaturation de l’azote, dans lequel on peut également incorporer les pressions partielles d’oxygène et de CO₂. NOUVEAUTÉ ET INTÉRÊT : Il s’agit du premier modèle de transport de gaz inertes fondé sur la physiologie des gaz respiratoires. Initialement élaboré pour le transport d’O₂ et validé à partir des données de la littérature, il a ensuite été transposé aux échanges d’azote. La procédure de transposition a été vérifiée en appliquant le modèle N₂ au CO₂ (puis validée à partir de données de la littérature). Ce modèle ouvre la possibilité d’intégrer des paramètres physiologiques et morphologiques dans une procédure de décompression personnalisée en plongée sous-marine (SCUBA).
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Mon retour d’expérience avec l’ultra 1. Je porte la Watch à mon poignet et je l’oublie quand je plonge. Je n’utilise pas l’application mais seulement Profondeur se déclenche. Donc pourrait servir en secours (profondeur et temps de plongée) sous réserve d’avoir prévue une planification. Seul intérêt donc, au retour ça me donne une idée des calories consommées :). Sinon je l’ai oublié plusieurs fois sur des plongées à 50m et elle bip et vibre jusqu’à ce que je repasse les 40m. Pénible
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Vous allez encore me tomber dessus mais bon Mon stage TEK récent avec des gars qui plongent comme vous 12000+ plongées et plus (PADI ou SSI ou TDI ou IANTD peu importe, ils ont les 4) - je suis un bébé à côté ; ils m'expliquent : pas de remontée assistée (enfin deux ou trois exercices pour dire depuis les 12 m, pour le geste), ça ne sert à rien ("on le fait parce que c'est demandé par les standards"). Le rationnel : si tu as un soucis, c'est déjà trop tard et il vaut mieux avoir un mort que deux morts. Donc tu planifies, tu respectes ta planification, tu fais de la redondance sur tout, tu entretiens ton physique et ton mental, tu bois pas avant, etc etc etc ... et tu ne comptes surtout pas sur ton binome pour ne pas faire n'importe quoi. Un gars fait des fortes convulsions à 50m, vous vous approchez de lui pendant ses convulsions pour le sauver ? soyez honnête ...
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Oceanium center à Dakar avec une expérience inoubliable. Me contacter en MP.
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Tout à fait d'accord. J'ai commencé comme le quidam moyen à 17L/min et maintenant je suis à 13L/min dans des conditions normales. Ceci dit on a pas de l'eau à 30°C ici toute l'année. Actuellement elle est à 15°C et ça pique un peu en semi étanche 7mm. heu non. J'ai des plongeurs en Deep chez nous qui font largement 20L/min sans être flippé. et pas forcément dans le courant ou l'eau froide et qui n'ont pas forcément une mauvaise flottabilité. Un truc on pense pas : densité des os chez les africains -> pas besoin de lestage tellement ils sont lourd dans l'eau ... donc pas simple la trim avec en plus des blocs aciers ... Et oui j'aime bien l'idée du slow Diving dans le courant. Dans de bonnes conditions j'arrive à descendre à 9 / 10 L/min. Sinon globalement d'accord avec tout ce que tu écris, je n'ai jamais écrit le contraire. Je crois à une planification sérieuse en tenant compte justement des conditions et aussi de la conso des binômes (la vraie, pas celle qu'ils pensent avoir ...) ou de leur comportement sous l'eau (je te l'accorde, certains donnent l'impression d'avoir un TGV à prendre, et ne s'intéressent qu'aux très gros ... après il faut de tout dans ce monde, ça me choque pas non plus, même si perso je peux rester 10 min au même endroit pour chercher les trucs qui font quelques millimètres).
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Pour prendre un exemple simple basé sur une plongée typique présentée par Christophe Bloc 15L gonflé à 220 bar et rien d'autre Plongeur avec un SAC de 10 l/min. Aucun souci ! il remonte même un binome qui serait à 20 l/min. Consommation de gaz (basé sur un SAC de 10|10ℓ/min): 1 819ℓ/124bar de air (759ℓ/53bar en remontée planifiée) — Gaz minimum (basé sur 2,0xConsommation d'air (SAC)/+3min@50m): 1 879ℓ/125bar/Δ:23bar Même planification avec un plongeur avec un SAC de 15 l/min. Aucun souci pour lui mais il ne remontera pas un binome qui serait à 20 l/min. Consommation de gaz (basé sur un SAC de 15|12ℓ/min): 2 501ℓ/170bar de air (911ℓ/61bar en remontée planifiée) — Avertissement : Réserve insuffisant pour un échange lors de la remontée ! Et maintenant est-ce vraiment conservateur de penser qu'en cas de soucis, les plongeurs seront plutot à 20 l/min ? Je vous laisse faire le calcul ? Consommation de gaz (basé sur un SAC de 20|15ℓ/min): 3 258ℓ/220bar de air (1 138ℓ/75bar en remontée planifiée) — Avertissement : C'est plus de gaz que ce qui est disponible dans le bloc spécifié ! Donc je ne dis pas autre chose qu'une planification prudente c'est avec deux blocs ou au moins un bloc et un stage. Maintenant votre pratique, votre expérience, votre consommation, etc ... tant mieux pour vous mais ce n'est pas ce que je souhaite enseigner.
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super. Le seul truc que je retiens de tes courbes c’est que tu fais du SAC inférieur à 10 l/min à ces profondeurs. Bravo J’en connais quelques uns avec une telle consommation mais le quidam moyen il est plutôt entre 15 et 17 l/min quand l’eau est à 27 degrés, plutôt 20 l/min quand l’eau est inférieur à 20 degrés. Alors oui c’est peut être trop conservateur de faire une planif avec 20l/min au fond et 15l/min au palier.
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on est globalement daccord 1. c’est -12 bar dans mon exemple, y a pas assez. 2. il faut faire sa planification en fonction de son objectif et ensuite choisir son gaz ou revoir sa planification 3. on est bien d’accord c’était tout le sens de ma remarque. 15L c’est très vite impossible sur du PA40/PA60 sauf à raccourcir fortement son temps de fond ou faire l’impasse sur la sécurité. Je n’ai rien compris à ta réponse qui n’a presque aucun rapport avec ce que j’ai essayé d’exprimer. Si ! que tu fais des plongées profonde avec un second bloc, ce qui était ma préconisation, de pas partir juste avec un 15L. et je pense aussi qu’il est préférable de ne pas avoir à compter sur son binôme en cas de soucis de gaz et donc de prévoir large et redondant. meme si perso j’aime bien aussi sortir avec 100 bar au besoin d’aider justement un binôme apres chacun pratique comme il veut, j’ai bien précisé que je m’en tape grave de comment vous faites. Vous avez vos raisons et elles sont tout aussi légitimes que les miennes de faire selon des pratiques standardisées. Bref on a fait le tour de la question.
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Je le comprends tellement bien que j'en ai été écoeurée plus jeune (la course à celui qui ... entre autres choses), que je m'en suis éloignée et avec ce que je lis ici je n'ai vraiment aucun regret Je vous laisse votre "plongée sportive" qui finalement ne concerne que quelques % des certifiés qui ont réellement une pratique régulière (dont un sous ensemble encore plus riquiqui sur ce forum qui ont tous une expérience "moi je"), ... Tout comme ceux qui s'appuient sur une approche TEK, à mon sens (et je suis tout autant libre que vous de penser cela), plus rigoureuse et avec une meilleure gestion des risques. Pour moi on ne descend pas à 40 m avec juste une bouteille sur le dos, encore moins à 50 ou 60 m, je trouve donc PA60 risqué en mono bouteille (parce que même si je décide de ne pas y aller, j'en ai les prérogatives). C'est juste mon point de vue et rien de ce que vous avez écris ne me fait changer d'avis, faites des calculs raisonnables avec une panne d'air au moment de décoller et un binome qui panique (conso >> 20 L/min) depuis les 50 m ou pire, qui remonte sans vous attendre ... Subsurface (6.0.5337-CICD-release) Planification de la plongée créée le 07/03/2025 Runtime : 21min profondeur durée runtime gaz ➘ 50m 3min 3min air ➙ 50m 7min 10min ➚ 9m 5min 15min - 9m 1min 16min ➚ 6m 0min 16min - 6m 2min 18min ➚ 3m 0min 18min - 3m 3min 21min ➚ 0m 0min 21min SNC: 5% OTU: 15 Modèle de déco : Bühlmann ZHL-16C avec GF Low = 45% et GF High = 85% Pression ATM : 1 013mbar (0m) Consommation de gaz (basé sur un SAC de 20|17ℓ/min): 1 529ℓ/106bar de air (478ℓ/34bar en remontée planifiée) — Gaz minimum (basé sur 3,0xConsommation d'air (SAC)/+3min@50m): 2 518ℓ/171bar/Δ:-12bar Que de risque pour une plongée de 7 minutes ... et rajoutez la visite de l'épave pendant ces 7 minutes Perso, à l'approche des 40m, je préfère avoir une réserve d'air et un équipement sans avoir à dépendre de mon binome. Et je suis "contente" qu'un standard TEK me l'impose si me prenait l'idée saugrenue de dévier ... C'est un choix, et je pense que je n'ai rien à dire ou commenter de plus. On peut rester avec nos appréciations différentes sans que cela soit percu comme je ne sais quoi. Mais c'est vrai @Fuori que les femmes ont tendance à être hystériques, c'est cela que tu as voulu dire ? Merci de me refaire un cours évidemment que j'avais oublié tout ça LOL merci quand même si ce n'était pas mon sujet. Pour revenir au sujet initial, je reviens de trois semaines à Lanzarote, l'Espagne donc, où j'ai côtoyé une pratique répandue sur l'ile et me parait faire sens (je n'ai pas creusé de savoir si c'était une obligation locale) D'abord la plongée à 40 m se fait en sidemount ou en twinset ou en mono-bouteille mais avec un stage obligatoire. Meme si aucune déco n'est prévue. Et pour toutes les plongées, même récréatives, les Divemaster ont tous un stage. Avec la consigne que si un client passe sur la réserve, le Divemaster le fait passer sur le stage. Le Divemaster ne partage jamais son air principal ! J'ai trouvé ces deux pratiques particulièrement safe (surtout ayant déjà vu en Crete un instructeur faire des baptêmes à 10m en étant sur l'octopus de son client ...).
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A cause des mélanges de gaz qui nécessitent une formation théorique plus conséquente que juste un plouf en circuit ouvert ? Même à 3 m ? J'ai eu un TEK Trainer anglais pendant 3 semaines avec mon anglais approximatif, ça doit etre ça oui ! Merci pour la rectification La flegme de chercher, j'ai demandé un résumé vite fait avec un prompt pourri Les données de DAN et les rapports du BSAC s’accordent pour dire que le risque augmente avec la profondeur et la complexité de la plongée (déco plus longue, environnement fermé ou difficile, eau froide, etc.). Les études scientifiques présentées lors de congrès spécialisés (UHMS, EUBS) ou dans des revues comme Undersea & Hyperbaric Medicine confirment que la profondeur accroît les contraintes physiologiques et la probabilité d’erreur humaine. Les fédérations nationales (FFESSM en France, par exemple) constatent, dans les rapports d’accidents qu’elles recensent, une surreprésentation des plongées profondes et/ou techniques parmi les accidents graves. Pour aller plus loin, il est recommandé de consulter : DAN Annual Diving Reports (disponibles sur le site de Divers Alert Network), BSAC Diving Incident Reports (accessibles via le site du BSAC), Les publications et communications de l’UHMS et de l’EUBS, Les bulletins ou comptes rendus des commissions techniques ou médicales de chaque fédération de plongée nationale. Il y a des normes et standards pour faire de la plongée technique (sous plafond, avec décompression, ...). Certains d'entre vous peuvent considérer que ce n'est pas nécessaire (encore payer, trop de sécurité nuit à la sécurité, utilise le trucs entre tes deux oreilles, ...). D'autres pensent que cette approche est la plus sécurisante même si elle n'empêche pas les problèmes, liés justement à des personnes qui deviennent trop confiantes et la normalisation de la déviance. Perso quand je fais de la plongée TEK, j'aime bien l'idée de faire simple, standard, redondant et de suivre le plan A et d'avoir un plan de remédiation. Après ceux qui plonge à 60 m avec juste une 15L dans une épave et qui pense que le plan B se trouve avec le binome, ça m'indiffère complètement, à chacun son appréciation du risque. Pour dire, il n'y a aucun débat de mon point de vue
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Oui en plongée TEK c'est ce que l'on appelle la "déviation standard" ... dis autrement, tu dévies d'un standard et comme tout se passe bien, tu recommences ... et cela devient ton nouveau standard ... et et puis un jour ... ça ne se passe pas comme d'habitude, et c'est trop tard pour comprendre pourquoi on prends des précautions dans une épave, avec son matériel DIR, sa redondance, les procédures chiantes associées, etc ... Ah oui, les N3 sont les héritiers des mecs qui ont inventé la plongée, alors bon, les standards TEK c'est bon pour les américains