C’est peut-être une solution. Franchement, on paie 190 euros à l’année dans mon club. Ça ne me ferait pas sourciller de payer 10 ou 20 euros de plus, si ça participe à la maintenance/montée en compétence des encadrants, qui en plus, vont aussi nous faire profiter de leurs acquis.
C’est peut-être parce que je vais sur mes 50 ans, que je reprends après un très long moment sans avoir plonger et qu’à l’époque, j’étais aussi débutant, que je m’intéresse plutôt deux fois qu’une, aux incidents, accidents et ce que je dois faire (perte de poids, remise en forme physique…) pour ne pas faire partie des statistiques.
A l’issue de mon N1, j’ai prévu de plonger cet été et de faire un stage de perfectionnement à la stabilité. Le fundamental de GUE me tenterait bien également. Et je veux avoir à minima une trentaine de plongées avant d’attaquer un N2.
Pour ce qui est de la profondeur, à titre personnel et parce que je suis débutant et parce que j’ai 49 ans, cela ne m’attire pas du tout. L’autre jour, un membre du club me disait « tu dis ça aujourd’hui, mais le jour où on plongera sur le Donator, tu nous regardera de 40m ? » Ben oui ! Vraiment rien à carrer d’aller au delà de ce que je ressent comme étant mes limites, juste pour faire partie de ceux qui y étaient ! Il y a suffisamment d’épaves moins profondes pour se faire plaisir. Pourquoi irais-je prendre un risque alors que je ne le sens pas ? C’est le meilleur moyen pour que ça déconne et éventuellement gravement.
Autre exemple : un pote avec qui j’ai eu une virulente discussion, car pour lui, la plongée n’est intéressante que dans une épave, une grotte ou sous glace.
Combien de plongeurs/plongeuses vont au delà de leurs limites conscientes ou inconscientes, pour faire comme les autres, ne pas les décevoir ou crainte de passer pour un(e) moins bon(ne) ?