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Plongeur.com - Le site de la plongée sous marine

doumes

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Posts posted by doumes

  1. salut effectivement, il y a eu beucoup de naufrage autour de la Chrétienne, l'endroit est très fréquenté, et il ne reste que peut de chose, il y a quelques années il restait au nord de la balise, au pied d'un éperon qui remonte de 20 mètres vers la surface, dans une petite langue de sable, une partie de coque, la quille et quelques debutde membrures, disparue aujourd'hui, de l'autre coté de cet eperon ( sud/ est ) une grande étendue de sable ou il y avait de très nombreux morceaux d'amphore.

    si non, au pied des rochers les plus au sud est de l'ile des Vieilles au dela de la petite anse un tumulus de tuile.

    pour plus d'info voir JP Joncheray, a Fréjus, ou l'une de ses publications, le petit musé de Féjus est aussi a voir, beaucoup de vestiges, et de magnifiques amphores provenant des naufrages autour de la Chrétienne.

    si vous plongé a Agay, un petit bonjour a Thierry Arsac ( de Montélimard ) qui doit encadré l'été la bas

  2. en ce qui concerne mes blocs, il sagit seulement pour le moment de Nitrox 32 et 36 pour des plongées jusque 40 mètres

    au dela je reste à l'air, et fais ma deco au nx

     

    si en 2008 il faut changer les bloc et le reste, sa va faire mal,il faut que planifie au niveau du portefeuille , cinq blocs a changer, et les détendeurs qui vont avec il va y avoir du matos sur le marché de l'occasion !!! :(

  3. quel est la méthode utilisé pour dégraissé un bloc afin de pouvoir l'utilisé avec des mélange surox ?

    peut on le faire soit même, et être sur de l'éfficacité de l'opération ?

    existe t'il un moyen de controlé le travail fait par une entreprise de réepreuve a qui on demande un dégraissage lors d'une réepreuve ? :surpris:

  4. Il parait qu'en Belgique ils parlent de trou Houblon, mais il ne sont pas fermentés....

    bon après cela, j'ai une wings Dive Rit, sur laquel j'ai installé une plaque, copié sur une OMS, et fabriqué par un ami, les trous de fixation de la plaque sur le harnais sont très légerement décalé et ne m'en étant pas rendu compte au montage, cela ma abimé mon harnais, et arraché les eoillets du harnais, ( bi 2x12 + poni occasionnel ) pas trop de dégats mais cela aurais put être pire, alors prendre l'entraxe exacte des emplacements de passages de fixations sur le harnais me parait judicieux...

  5. Si tu veux voir une ENORME epave, il y a le " Princess Iréne" au large de Nantes, il sagit d'un métannier, qui a explosé ( ou pris feu ) dans le port de Dongue, il fut remorqué en mer en trois tronçons et immergé, j'ai plongée sur l'un des tronçon il y à assez longtemps avec un club de Pornichet, impressionnant.... le pont est à 55/ 58 et l'hélice à 72 dans le sable, et je me souvient avoir été impressionné par le flanc de cette épave qui descend dans l'obscurité ... et une petite narcose en prime, mais à 72 à l'air !!

  6. Merci Christophe, pour ce complément d'info, cela me parait très intéressant, effectivement, si l'on a non seulement une image verticale, ( sondeur classique ) mais en plus un balayage sur l'avant du bateau, de plus assez large apparament, ce doit être super, j'ai en ce qui me concerne un Hummi 3 D, qui fonctionnent très bien surtout au niveau définition, mais ce type de technologie serait un plus pour le fou d'épave que je suis !! plus besoin de manoeuvre pour s'aligné sur la longueur de l'épave, car même avec un bon Gps et un point confirmé plusieurs fois, il est parfois difficile d'être sur de mouiller a l'endroit voulu.

    en ayant une image sondeur de l'étendu du site, tu peu déjà voir les points les plus intéréssant, et perdre moins de temps au fond pour chercher une direction ou des débris épars.

    et surtout eviter les plongées sur un écho qui ressemble à épave en coupe, et qui n'est qu'un rocher.... malheureusement déjà vécu !

  7. Au risque de paraitre nul ! mais que veux dire interphase, je suis allé sur le site citè au dessus, mais jaimerai un peu plus d'info Svp, sur la technologie, il sonde au sol et devant lui, si oui il agirais comme un radar mais sous l'eau ?

    j'ai vu les schémas mais moi et l'anglais on est très faché, je ne le lit bien que sous la torture !!!

  8. effectivement la "technique " bidouille est bien Française, et en plus sa marche... pour ce qui est du GPS, nous avons tous le même probléme, un point du GPS du voisin, le point est le même mai le lieux est différent parfois de peu et malheureusement beaucoup plus loin aussi.

    déjà je pense que tu t'inquiéte du format du point que l'on te donne Eur 50 ou Wgs 84 qui sont les deux standard les plus utilisés , il y à entre eux plusieurs dégrés de différence.

    après c'est comme les portables, il y a qui capte partout, d'autre moins, d'autre pas du tout, je pense ( sans être spécialiste ) que le nombre de Sattélites reçu est important

    le mien en prend jusque douze pour se positionné par temps clair, je n'est pas d'antenne externe, mais il est sur la console et bien dégagé, et puis il y a les ricains, masi il n'y a pas que eux

    une fois sur un site que je connais par coeur, mon gps me pose dessus et le mouillage tombe dans un cercle de 4 m a chaque fois,( la chaudière ) et bien le lundi nous y somme aller, pas de problêmes, le mardi sans que la métèo est changée, pas moyen de se postionné, le point était affiché distance zéro et rien au sondeur et pourtant une épave qui remonte de huits mètres ce voit !!! deux jours après tout était rentré dans l'ordre ??

  9. bonjour "Tokio" effectivement ma reflection est déplacé par rapport a toi, en ce qui concerne les sondeurs, j'ai personnellement un Himminbird en trois Dimension, il est assez cher sur le marché français, je te conseillerais plutôt un sondeur couleur, pour la différenciation des densité par la couleur. une période d'adaptation est toujours nescessaire à la lecture, il est bon de ce positionné sur un site connu et de voir comme cela rend à l'affichage.

    en ce qui concerne les détecteur de métaux, j'en est utilisé un il y très longtemps, pour fouiller dans le sable a proximitié d'un site, le réglage est capricieux!!

    pour ce qui est du magnétométre je ne connais pas ,du moins je n'est jamais utilisé.

     

    c'est béte que Tokio est loin, car comme tu le dis au niveau archéo, ce doit être le top, et la législation la bas ??

    il y a un site français qui est un spécialiste pro des épaves et qui utilise un sonar à balayage latérale, lui il pourrait peut être te conseillé

    je n'est pas l'adresse net sous les yeux mais il s'agit du CERESM, Bertrand Sciboz

  10. le sondeur et le gps sont les deux outils principaux du chercheur d'épave, mais il faut aussi une grosse patience, beaucoup de temps, beaucoup de courage, des tonnes d'informations, une armée de relations, compulsé des centaines de documents d'archives, avoir de bonne chaussures, pour courir entre Brest, Toulon, Rochefort, Vincennes, et les autres points de raliement des archives, la snsm, les affaires maritimes, les loyds, etc, avoir une bibliothéque au moins Nationale, pour y consulté les milliers de livres qui retracent la naviguation, les conflits.

    a cela tu ajoute une grosse marmite de chance, et tu auras peut être une épave vierge, a laquelle tu n'aura pas le droit de touché, le grand dieu DRASM nous surveille !....

  11. Bonjour je ne sais pas si tu dispose du Cd Epaves du SHOM, si tu l'à tu fait une recherche avec le numéro que je t'ai indiqué plus haut, et tu verra qu'il est exactement sur l'une des positions que tu indique comme étant un U Boot

    en ce qui concerne le U 26 tu le trouvera également sous la réf 21611016 beaucoup plus loin.

    pour ce qui est du premier il n'y a pas d'autre epaves, dans le périmétre, ni sur le Shom ,n'y sur les cartes, mais encore une fois ce n'est pas une réf

    peut tu nous dire d'où tu tiens tes points ils sont précis ! est ce des plongeurs, uou une info autre ?

  12. Voici ce dont je dispose sur l'histoire de c'est deux sous-marin :

     

    1917 « UC 65 » Le sous-marin « UC-65 », Kplt Claus Lafrenz, rentrait d'une mission de minage en Manche et c'est en surface qu'en cette après-midi du 3 Novembre 1917, il tentait le passage du Pas-de-Calais. Lafrenz en habitué de ces parages comptait sur sa vitesse et sa manoeuvrabilité pour réussir ce franchissement.

    Cette tactique qui l'avait servi à plusieurs reprises par le passé allait cette fois lui être fatale car au même moment il était découvert par le sous-marin « HMS C16 » qui lui décochait deux torpilles.

    Lafrenz parvenait à éviter la première mais la seconde touchait « l'UC-65 » à hauteur du kiosque. Projeté à la mer avec plusieurs hommes dont l'Oblt.z.S. Baus, officier en second, Claus Lafrenz allait survivre et terminer la guerre en captivité. Son sous-marin repose désormais vers le point 50.31N 00.27E avec dans ses flancs 22 marins.

     

    1917 « UC 26 » Le 9 Mai 1917, au terme d'une mission de mouillage de mines dans les secteurs du Havre et de Cherbourg, le sous-marin « UC-26 », Oblt.z.S. Mathias Graf von Schmetow, s'était engagé sur le chemin du retour et à l'aube, il était au large de Calais. C'est là qu'il était repéré par le destroyer « HMS Milne »qui se lançait aussitôt dans une manœuvre d'abordage.

    Le sous-marin ayant aperçu la menace commençait à prendre la plongée mais c'était déjà trop tard. Quelques instants plus tard l'étrave du destroyer, tel un coin de métal, s'enfonçait dans la coque de « l'UC-26 » à angle droit en avant du kiosque. A peine le « Milne » s'était-t-il dégagé que les deux autres destroyers grenadaient le point où le sous-marin avait disparu.

    A bord de « l'UC-26 » la situation était à présent désespérée; dans le noir son équipage tentait d'empêcher la progression de l'eau, se réfugiant progressivement dans le dernier compartiment encore intact. Le maître d'équipage libérait alors l'air contenu dans les bouteilles HP servant au lancement des torpilles, ce qui permettait d'équilibrer la pression intérieure et extérieure et d'ouvrir un panneau de pont.

    Deux hommes seulement allaient parvenir vivants à la surface qui se trouvait à quelque 40 mètres au-dessus de l'épave. Repêchés par le « Milne », ceux-là allaient survivre à la guerre. Dans leur cercueil d'acier, 24 hommes regroupés autour de leur Commandant, sont désormais en patrouille éternelle. « L'UC-26 » a été coulé vers le point 51.03N 01.40E.

  13. Je ne vois pas l'intéret de mentir, de plus avec le matos maintenant, cela me parait difficile, mano qui bip ou qui clignote, verification eventuel des manos sur le bateau, mais jai un vieux souvenir, dans le temps il me semble que l'ont faisait signe lorsque l'on était sur reserve, avec des robinets qui avait des ressorts de réserve plus ou moins bien taré...et que la remontée ce faisait à partir de ce moment la...?

    alors maintenant il faudrais presque partir du fond avec 190 bars pour être sur de ne pas ce faire engueulé !!!

    de plus je ne plonge pas avec les instruments devant les yeux, cela me géne pour voir ce qu'il y à autour, enfin je me connais un peut donc je me surveille de plus je plonge avec un 2x12 séparé ca aide, d'ailleur il devrait y avoir un bi dans chaque palanquée, un peu le porteur d'eau au cas ou !!

  14. tu n'à pas de chance, sur le nombre de plongées que tu à faite pas ou peu d'épave ? le ou les club dans lequels tu à fait ton stage, n'avais pas d'épaves plongeable ?

    une idée ( elle vaut ce qu'elle vaut )

    tu te fait un tableau , trois colonnes, une pour, une contre, dans le premier tu met tout ce qui te passe par la tête pourquoi je veux plongée sur une épave

    dans l'autre toujours ce qui te passe dans la tête mais cette fois tout ce qui est dangereux ou qui peut l'être,

    ex :toles coupantes, passages étroit, manque de lumiére, instabilitée de la structure

    et enfin dans la troisième colonne tu apporte une réponse:

    obligation d'éclairage, ne pas touché ou ne pas s'accroché, risque de coupure, ne pas s'engagé si l'ont est pas sur de ressortir, ou de pouvoir faire demi tour

    utilisation du fil d'ariane, etc

    combien de plongeurs par palanqué, ne faire que des binomes,

    il y a plein de reponses si tu te pose les bonnes questions, il y aura les bonnes réponses, et puis il y a les livres, pas ceux des cours, mais ceux qui parlent d'épaves les photos, regarde une photo et imagine que tu te trouve sur l'épave, comment faire, que doit je faire et ne pas faire.

    je ne prétend pas être un spécialiste, mais je ne plonge pratiquement que sur epave depuis longtemps et je suis toujours la, et c'est questions je me l'est suis posées afin d'optimisé mes plongées je pense y êtr en partie parvenu

  15. il n'est bien sur pas question de se moquer de Plumme, au contraire, il est conscient de ses lacunes, ce que beaucoup d'encadrant ne font pas, jespére seulement que la démarche n'est pas uniquement théorique, dans le but de construire un cours, mais aussi de pouvoir encadré ses éléves sur une épave de les conseillé, matériellement et techniquement

    si un encadrant ce doit de connaitre le site sur lequel il vous emmene, sur une épave c'est encore pire, il doit la connaitre parfaitement, et pouvoir indiquer les points sensibles, dangers, et intéréts de cette épave, les zones ou progressé et ou ne pas progressé et les raisons qui fondent ses explications.

    maintenant il ne lui reste que la pratique des epaves pour ce faire sont opinion et son expérience, a partir de la son cours sera déjà pratiquement construit, et il aura d'autant plus de persuasion qu'il aura pratiqué

  16. en ce qui concerne la formation et l'expérience d'un futur encadrant...

    j'ai déja rencontré des MF1 qui ne savait pas se servir dune boussole, ou qui n'avait fais en guise de stage péda, que du gonflage dans un club!

    quand au nombre de plongées en encadrement je préfére ne pas en parlé, tout frais sorti du N4 quelques petits baptêmes et hop formation théorique et examen MF1

    combien y a t'il en France de titulaire du MF1 ou BE 1 qui non aucune expérience de l'encadrement et qui d'ailleurs ne veulent pas encadré....

    lorsque l'on voit un F1 faire un cours avec le bouquin a la main, et qui est débordé dès qu'une question est posé... cela fait peur par fois, de savoir que je vais plongé en t'en qu'éléve avec lui !!!

  17. toujours le même problême, ce monsieur, na apparament pas d'expérience sur epaves, mais est ce bien de sa faute ! un peu oui, il se prépare a l'enseignement et manque d'info!

    mais dans notre cursus de formation fédé, quelquun vous a t'il un jour fais un cours sur la plongée sur épave, en ce qui me concerne moi jamais, ce que je sais ce que j'applique je l'est appris et essayé par moi même au risque de me louper et de ....

    alors la réponse il ne l'obteindra quand plongeant sur des epaves, mais il faut qu'il trouve des plongeurs qui ont cette expérience qui ont vécu et réagis par rapport au problêmes qu'il ont eux et qui ont adapté les techniques et leur matériels en concéquence, enfin c'est juste mon avis !

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Bonjour,

 

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