About fplanglois
- Birthday 12/28/1961
Personal Information
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Localisation
Toulouse
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Passions
les moules
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Profession
Analyste-programmeur
La plongée
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Niveau en plongée
3
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Professionnel de la plongée
No
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fplanglois's Achievements
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Merci ! Ouille, ça c'est une grosse fake news. Meikon est une marque hongkongaise qui commercialisait ce flash chinois Seafrogs, je la vois mal acheter une usine au Japon. De plus, ils ont arrêté la commercialisation de ce flash suite à mon test. Reste Ali Express pour pigeonner les clients. Bien vu ! Si vous êtes rigoureux, vous aurez exactement les mêmes résultats. Ils ont ensuite été corrélés par un américain avec un oscilloscope qui m'a contacté. J'ai d'ailleurs un flash Seafrogs neuf à vendre pour 100€. Il peut intéresser un utilisateur de reflex avec connexion électrique. Dans ce cas le flash fonctionne correctement en manuel.
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Dans les deux cas la communication vers les flashs externes se fera par fibre optique. Le convertisseur permet d'économiser un peu la batterie de l'appareil car le flash intégré n'est pas sollicité. C'est bien cher et compliqué pour un maigre avantage. Dans la gamme MDX, cela se comprend, il permet d'asservir des flash par fibre sur des boîtiers ne possédant pas de flash intégré. Mais ici... Le S de S-TTL, vient de slave en anglais, flash esclave ou plutôt flash asservi. Pour bien comprendre voyez cette page : http://www.fplanglois.com/plongee/te.../inon_sttl.php
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Galileo : panne de sonde (émetteur pression)
fplanglois replied to fplanglois's topic in Le coin du matos
Je confirme, dans mon cas, c'était également la panne évoquée : l'antenne. Bizarre ce problème d'appareillage... Effectivement, il ne se fait pas toujours du premier coup. Mais une fois établi, il n'est plus à faire. -
Bon amusement
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Un petit complément de réponse : Pour doubler la distance utile, il faudrait quadrupler l'éclairage. Et si le gain que vous escomptez est bon (passer de 30 à 45cm), il faut que les deux phares pointent vers la même cible (ne pas essayer d'élargir le champ). Donc, le conseil de DeboisP, d'approcher la source lumineuse, est pertinent.
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Vous vous posez les bonnes questions. Effectivement, l'efficacité d'une lentille macro est fonction de la focale. La raison est que le rapport 1:1 s'obtient nativement avec une distance de mise au point plus courte sur un 60 que sur un 100mm. Du coup l'efficacité de la lentille dont le rôle est essentiellement de diminuer la distance de mise au point est moindre sur la courte focale. Avec une lentille 10 dioptries (on ne parle pas de rapport de grossissement pour une lentille convergente externe, cela n'a pas de sens, c'est un argument marketing), qui est déjà d'une puissance phénoménale, on obtient un rapport de grossissement de 2.1 pour un objectif 100mm de rapport 1:1. La même lentille ne donne plus qu'un grossissement de 1.5 avec un 60 macro 1:1. En principe cette lentille n'apportera rien sur un 30mm.
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Merci Losbh pour ces images. Elles sont pour la plupart belles et intéressantes. J'en connaissais une bonne moitié et je m'attendais bien à ce type d'image pour votre réponse. En dehors de l'image avec la méduse qui est très proche de ce qui est produit dans la catégorie "ambiance faune mobile" des championnats et d'une ou deux images où le post-traitement semble évident donc impossible en compétition, toutes les autres seraient notées hors sujet. Il existe en France, on en parle jamais et c'est dommage, une compétition piscine. Où la créativité règne en maîtresse. Tous les artifices sont possibles, accessoires, lumières, fonds... et depuis 2 ans la retouche est même permise. Les concurrents ont après l'épreuve de prise de vues deux heures pour retoucher devant les commissaires de la compétition. Le résultat est parfois très spectaculaire. Véronique WURMLI-BAUDOT qui gagne régulièrement cette compétition produit des images merveilleuses, en continuant à ne rien retoucher. En 2012, mon ami Michel Llopez qui venait de faire vice-champion de France piscine, a raté la sélection du championnat de France mer après avoir présenté une image dans la catégorie thème, qui cette année-là était "l'illusion", avec une fantastique image de son binôme en apnée semblant faire du funambulisme sur la chaîne de l'ancre. L'illusion était totale, mais l'image a été notée hors sujet. Dans les championnats mer, dont le règlement doit être proche en France de ceux des autres nations, il est demandé, avant tout de traduire l'ambiance sous-marine du lieu : la Méditerrannée doit ressembler à la Méditérranée, les photos du championnat du monde ci-dessus sont prises dans les caraïbes et cela doit se voir. Dans le passé, du temps de l'argentique, il y avait une catégorie créativité, à l'époque les Français trustaient les premières places (vous avez cité Marc, même s'il est belge, mais avec une licence française, Fred Di Miglio et d'autres). Accessoires, cache et contre cache étaient autorisés. Mesure antifrançaise ou pas, cette catégorie a été supprimée. Dans le championnat de france, il reste une catégorie thème, plus conceptuelle : l'illusion, la rime visuelle, les courbes, transparence et reflet. Cette année, ce sera le soleil au grand-angle. Il n'y a pas l'équivalent dans les championnats internationaux, le thème est plus pragmatique : échinoderme, éponges... Le but de cette différence française est justement de donner des idées nouvelles pour les images d'ambiances et surtout d'y travailler. Dans les championnats espagnols, dont le niveau est toujours très relevé, on trouve parfois des images plus proches de ce que vous avez montré (sirènes, monopalme), mais ils rentrent dans le rang pour les compétitions internationales. Pour la créativité, il y a autant de différences entre les images que vous montrez, ou encore celle des compétitions piscine avec celles des compétitions mer, que celles qui sont réalisées dans un studio photo et ce qui est produit en reportage. Ce sont deux mondes différents avec chacun un intérêt certain. Je suis ravi d'avoir pu apporter à l'occasion de ce fil ces précisions qui je l'espère peuvent vous éclairer. Pour la créativité débridée, il reste les concours photos, la démarche n'est plus la même que celle des compétitions.
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Pour le jaune, il y a une bonne raison : c'est la couleur complémentaire du bleu. Autrement dit le seul moyen de n'avoir pas une simple silhouette noire, passé quelques mètres. Sur ma photo, en exemple ci-dessus, le jaune apporte un petit quelque chose. Et puis, je vais œuvrer pour que le nouveau code du sport l'impose, en effet, c'est génial pour ne pas perdre son binôme, même en eau chargée.
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En fait, j'ai voulu démontrer deux choses : - il n'y a pas un défaut "à la française" de la photo sub, ni de défauts "datés". - bizarrement le masque rond est totalement passé de mode en France, car si les modèles continuent à le porter, de fait, toutes les images primées "présence humaine" en France le sont avec un modèle en silhouette lointaine. C'est justement au niveau mondial que cette mode subsiste. Ci-dessous le dernier prix modèle accordé en France (ce prix n'a pas été attribué depuis), justement avec une de mes images, en 2012, lors du championnat méditerranée. Et pour sortir du moule, mon image primée lors du championnat de France 2013, dans la catégorie thème "transparence et reflet". Oui, je suis également intéressé par les exemples que va nous proposer Losbh.
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Encore une fois , ce n'est qu'une figure imposée "ambiance avec présence humaine". Une image parmi les six habituellement demandées pour la compétition. Avec un premier plan surdimensionné ou pas, c'est formateur, joli quand c'est bien réalisé. Et moi, j'aime l'humain, plus spécialement s'il est ...humaine. De plus ce travail de collaboration avec son binôme est très sympa.
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Et d'autres images des 8 premiers mondiaux pour bien montrer que le conformisme est une chose bien partagée sur tous les continents. Ne pas confondre, figures imposées et conformisme, sinon en patinage, le triple axel, c'est aussi très rebattu.
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C'est faux de croire que les Français sont conservateurs dans ce domaine. Voici quelques images de dernier championnat du monde. 2 images des Espagnols (actuellement les meilleurs des compétitions internationales depuis pas mal d'années), celle de l'Italien champion du monde la catégorie est celle du premier Français classé (l'ami Juju). PS: Marc Debatty est un ami proche et je peux vous dire qu'il combat le conformisme de toutes ses forces.
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Oui, celui-ci est très bien. Reste que la pince du nez, n'est pas toujours très facile. Certains (aines) vont jusqu'à soulever le masque pour faire le Vasalva. Donc, bonne dissociation buco-nasale nécessaire. J'en connais qui, après y avoir goûté, ne peuvent plus s'en passer.
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Oui, ça c'est l'avis général auprès des plongeurs coutumiers des photos sous-marines : lassitude. Pourtant pour les vues rapprochées de modèles (il existe des phénomènes de mode qui font qu'en France, on ne voit que très peu ce genre d'images, alors que dans d'autres pays, c'est le contraire) le regard est vraiment mis en valeur par les masques rond. Il ne faut pas hésiter à maquiller le modèle. Le cerclage métallique ne pose pas de problème au flash et perso, je préfère, en revanche les modèles en caoutchouc noir ne sont pas terribles. Prendre un modèle en silicone translucide. Je viens de regarder chez Subchandlers où j'en avais pris un (translucide avec cerclage), il n'est plus au catalogue. Il faudra également un temps d'adaptation au modèle pour le Vasalva.
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Je suppose que la question est posée dans le cadre d'une utilisation subaquatique, la réponse ne serait pas la même pour une utilisation terrestre. Je suis équipé en Canon, donc, ma réponse est d'ordre général et ne concerne pas le choix entre deux optiques que je ne connais pas. Pour commencer en utilisation subaquatique, on préfère souvent les fish-eyes aux grands-angles orthoscopiques qui semblent vous intéresser. Mais il est vrai que ces derniers ne sont pas sans intérêt pour des plans moyens : des cadrages types "compact" qui nous échappent une fois équipé d'un fish-eye et d'un objectif macro. La grande ouverture est sans intérêt sous l'eau. La performance d'un objectif doit être évaluée avec son environnement (dôme et bague-allonge) et non pas sur la base de ses performances en terrestre. Tel objectif moyen en terrestre peut se révéler très bon sous l'eau parce que telle marque de caisson a dans son catalogue d'accessoire un dôme parfaitement adapté. Le dôme intervient dans la formule optique. Désolé, ma réponse n'est pas binaire...