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Salut Flo, tu as bien de la chance. Moi, il me faut attendre encore trois petites semaines avant de rejoindre Nice. Pour la plongée en club, sans aucune hésitation je te conseille Easy Dive à Juan les Pins http://www.easydive.fr C'est un club très pro qui met l'accent sur la sécu et la diversité des sites. Le matériel est au top et ils ont trois bateaux en excellent état. Et, ce qui ne gache rien, le couple qui tient le centre, Gregory et Alexandra, est très sympa. Sur Cap d'Antibes, il y a aussi plein de possibilités de plongées depuis le bord avec des sites comme Le Bacon ou Le Graillon (mise à l'eau derrière l'hôtel Eden Roc). Bon WE.

Chouette, une sirène avec une caudale. Bienvenue à toi.

15 litres Décathlon acheté neuf... et volé 4 ans plus tard. Depuis je n'ai plus de bloc et, avec 35 plongées par ans, c'est la meilleure solution.

J'ai plongé au Kenya en janvier 2002, à Diani. Eau chaude, très chaude même, mais visie pas terrible. Côté pellagiques, j'ai vu un requin baleine. Et puis des tas de tortues. Le club était le Baracuda Diving Team, situé sur la plage du Tiwi Beach (Framissima)

Comme Iero, sous le backpack tenu par deux élastiques et sécurisé par un bout.

Les Maldives, c'est l'idéal pour commencer à plonger. C'est là que j'ai fait mon baptème en 1999, à Embudu. Il y a toujours de quoi plonger sur la barière de corail qui forme le lagon de l'ile

Merci pour ce CR Fred. J'ai plongé sur le Rubis en avril et j'ai retrouvé les impressions que j'avais ressenties.

Pas de soucis Tryton, tous les clubs d'Argeles vont plonger sur Collioure, Port Vendres, Banyuls, ou même plus loin vers l'Espagne. Et dans ces coins là, il n'y a pas de sable, c'est les Albères qui se jettent dans la grande bleue et les fonds sont donc rocheux. Et c'est sans compter avec 4 très belles épaves au large de Port Vendres. Si la visie est bonne, tu feras une belle plongée.

C'est incroyable ce qui est arrivé à Jacques et ses amis. J'ai découvert et lu avec intérrêt son CR car j'ai moi-même plongé avec Isadora. C'était le 21 avril dernier et, heureusement pour mon binome et moi, ça s'est nettement mieux passé, à tel point que j'ai l'intention de retourner plonger avec Michel Charbonnier (Captain Blight) en août. Nous avons plongé toute une journée, le matin sur le Rubis avec Pierre, un pote de Michel comme guide, et l'après-midi sur l'Estingole avec Michel comme guide. Tout s'est très bien passé, Michel a été un capitaine et un guide agréable et compétent. J'espère qu'il en sera de même dans deux mois. Alors comment expliquer son attitude avec Jacques ? Passage à vide ? Incompréhension mutuelle ? En tout cas, je comprend parfaitement le mécontentement de Jacques.

Il y a aussi Isadora sur le port de Cavalaire, qui propose de plonger à partir d'un voilier. J'ai testé en avril, ils sont OK. Comptez 75 € la journée de deux plongées sur épave.

Ca y est, j'ai écrit à Chichi, bien que je doute de son intérrêt pour la chose subaquatique.

Y'a plus qu'une solution, faut plonger avec un fusil et tirer sur les corailleurs Font chier ces sales cons.

Rien à faire des chapelles. Accueil sympa, matériel au top, encadrants compétents, bateau confortable, sécurité à bord, prix compétitifs sont des critères plus importants que l'appartenance à une fédé ou un groupement commercial.

Suis OK en tant que participant sur l'Ile de France, mais suis trop overbooké pour organiser quelque chose.

J'ai deux MK20, l'un de 1999 et l'autre de 2000, tous deux convertis en Din en 2002. J'ai toute confiance en Scubapro qui applique une politique de rappel de matériel dès qu'un problème est connu. C'est le cas actuellement pour les phares Scubalux qui sont remboursés à hauteur de 275 € (avoir sur matériel Scubapro et Uwatec) pour un HP 350 et pour certains Aladin (X-Air, il me semble).

Je plonge (90 % de plongées loisir) depuis quatre ans avec une stab à flotabilité dorsale, une Scubapro X-Wing upgradée l'an dernier en Glide Tek, et je peux te dire que ce genre de stab est absolument géniale en plongée loisir. Il me serais très difficile maintenant de revenir à une stab plus classique tant le confort apporté par une flotabilité dorsale est appréciable. N'hésite pas, fonce, une flotabilité dorsale est parfaitement adaptée à la plongée loisir.

Dans mon cas, ce n'était pas très agréable puisqu'il me semblait couler avec la tête qui partait sur le côté, le tout accompagné d'une forte nausée qui a disparu dès que je suis remonté de deux ou trois mètres.

C'est d'autant plus vrai que j'avais deux autres masques mais laissés à Paris (voyage en avion et limitation du poids). Quant au petit masque dans une poche, celles de ma stab (Scubapro X-Wing) ne le permettent pas.

Eh oui, la perte du masque est due à une erreur digne d'un débutant : masque sur le front pendant un capelé ! Ceci dit, c'est un moindre mal car j'ai perdu un Cressi Big Eye, un masque acheté voici trois ans et qui ne m'a jamais vraiment satisfait (entrées d'eau à répétition). Il faut bien positiver... Il est évident que cette narcose a été causée par plusieurs facteurs qui se sont combinés : accumulation de profondes, condition physique un peu juste, froid. L'avantage de la chose, c'est que maintenant je sais ce qu'est une narcose et je sais aussi que ça se gère. Par contre, je doute que cette expérience me soit utile pour l'avenir car il n'est pas sûr du tout que ma prochaine narcose, s'il y en a une un jour, se manifeste par les mêmes symptomes. Donc, prudence !

Du 18 au 23 avril, je me suis offert quelques jours de plongées sur la Méditerrannée en compagnie de mon binôme préféré, niçois d'adoption. Ce fut pour moi l'occasion de tester ce qu'est une bonne narcose. Une expérience instructive mais que je ne souhaite à personne. On commence le mardi par une plongée, ou plutôt devrais-je dire une tentative de plongée, sur un site du Vars dont j'ai oublié le nom. C'est un départ du bord et nous nous changeons sur un parking avant de "dégringoler" par un mauvais sentier sur une plage de caillasses. 300 m de capelé plus tard, nous sommes sur le site, une grotte à explorer à une dizaine de mètres de fond. Malheur à moi, je m'apperçois que j'ai perdu mon masque. Mes trois équipiers le cherche pendant une vingtaine de minutes avant de se résigner à explorer la grotte sans moi. Il partent pendant une quarantaine de minutes et je reste en surface à les attendre. Malheureusement, la mer est agitée, le vent est frais et je suis en humide 2 x 5 mm dans une eau à 13°. Bilan, je commence à me les geler et, surtout, j'ai le mal de mer, ce qui se termine par un nourissage en règle des poissons. Je ne vous dis pas comme j'étais content de voir réapparaitre mes copains de palanquée ! Mais nos déboires n'étaient pas finis puisque sur le chemin du retour en capelé, j'ai perdu ma protection d'Aladin et mon binome a paumé son masque. Il y a des fois où la plongée du bord coûte plus cher qu'un plouf en structure... Deuxième essai le lendemain. Nous sommes au Cap d'Antibes, au Bacon. C'est aussi une plongée depuis le bord et j'étrenne ma nouvelle semi-étanche Scubapro Scotia (et un nouveau masque Seac Sub). La sortie de l'eau est sportive et il est évident que je manque de condition. Le lendemain jeudi, nous sommes toujours au Cap d'Antibes, au Graillon, pour une nouvelle plongée depuis le bord après un "trek" sans sherpa dans les rochers. Nous descendons à 21 m et j'apprécie ma nouvelle combinaison dans cette eau à 13°. Pour le vendredi, nous partons dans le Vars, à Cavalaire pour une journée d'explo sur épaves et nous embarquons sur le voilier d'Isadora Croisières, le club de Michel, un guide de plongée génial et très sympa. Nous sommes quatre plongeurs sur le bâteau et la journée promet d'être inoubliable, elle le sera... Le matin, nous descendons sur le Rubis à 41 m pour une plongée de 26 mn. La visie est très bonne et nous profitons pleinement de cette épave de sous-marin. L'après midi, plongée sur l'Espingole à 39 m pour un temps total d'immersion de 41 mn. Comme les ordis nous plombent au niveau majoration, on se prend 2 mn de plalier à 6 m et 12 mn à 3 m, le tout en pleine eau sous un parachute. Pour le vendredi, retour dans les Alpes Maritimes, à Juan les Pins, pour une profonde sur la Fourmigue. On descend à 43,9 m et, pour la première fois de ma vie, je me choppe une narcose à ne pas piquer des hanetons. Nous étions trois, un N4 comme guide, mon binome habituel et moi, tous deux N2. Le N4 était devant, et nous deux un peu en arrière, presque sur le fond à "taquiner" une grosse langouste pas effrayée pour deux sous. J'étais bien, serein, heureux. Mon binome à côté de moi semblait à l'unisson lorsque j'ai eu la sensation qu'il s'éloignait et que je coulais. En fait, j'ai immédiatement réalisé que c'était ma tête qui tombait sur le côté, le tout accompagné d'une légère nausée. J'ai voulu faire le signe "je suis narcosé" mais ai eu le sentiment que je n'en aurai pas le temps. Aussi, concentrant toute mon énergie encore vaillante, j'ai donné un vigoureux coup de palme et suis remonté de trois mètres, suivi immédiatement par mon binome qui s'était apperçu que quelque chose ne collait pas puisque je n'avais pas répondu à plusieurs signes répétés. Nous étions en fin de plongée et sommes remontés lentement. L'après-midi, par sagesse, nous n'avons pas plongé mais nous nous sommes rattrapés le lendemain pour une dernière plongée sur La Petite Françoise aux Iles de Lerins, un très beau tombant que nous avons exploré pendant 40 mn jusqu'à 35 m. C'est là que j'ai pu constater qu'il était important de bien replier les manchons de la Scotia sous peine de finir en humide complètement frigorifié. Malgré tous ces déboires, la semaine fut magnifique et j'ai hâte de recommencer... Peut-être à la fin du mois.

Hello. J'ai ma Scotia depuis deux semaines et j'ai plongé six fois avec en Méditerrannée (eau entre 12 et 14°). Auparavant, je plongeais avec une Scubapro S-Tek 5 mm (monopièce plus surveste). La comparaison est évidente, la Scotia est bien plus chaude et plus facile à enfiler. Que du bonheur car plus jamais froid. Les points négatifs maintenant : - Elle est lourde (c'est important pour les voyages en avion). - J'ai dû ajouter 2 kg à mon lestage habituel (mais je pense que c'est momentané, le temps qu'elle se fasse et que je m'habitue). - Il faut bien replier les manchons de poignets et de chevilles sinon c'est l'innondation et glagla (vécu lors de ma 6e plongée, j'avais oublié de rabattre les dits manchons). - Il faut une aide pour fermer la combinaison. - L'étanchéité entre cagoule et combinaison n'est pas facile à faire au début, surtout sur la nuque. On y arrive avec un peu d'habitude... ou avec l'aide du binome qui fermera la combinaison. - On ne peut pas pisser dedans ! - Bien fermée et avec les manchons bien repliées, elle est tellement étanche que l'air qu'elle contient n'arrive pas à s'échapper et que l'on peut ressembler à un ballon baudruche. Il faut la purger avant la descente en glissant les doigts dans l'encolure. Si c'était à refaire, j'achèterais la même combinaison sans hésiter, rien que pour le confort, la chaleur et le look.

J'ai aussi une Scotia et pas de problème. Donc : le plastique c'est chic

Il y a bien Aqua Pro Dive sur le port de Saint Laurent mais je ne te les recommande pas car, si ce club était sérieux il y a encore deux ans, tout s'est très vite dégradé et le patron est devenu "jemenfoutiste" au point de sortir son bateau quand il lui tombe un oeil.

Paris-Nice sur Air France : 1h15 et environ 120 € par personne si on réserve tôt.

Didier, peux tu nous dire à combien te sont revenus ces dévidoirs et combien de temps a-t-il fallu pour les construire ? Beau travail !