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Scubaphil

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Tout ce qui a été posté par Scubaphil

  1. Pas sûr d'avoir compris le sens profond de ce texte, mais bon, joli travail de l'IA !
  2. Toutes mes félicitations @Matt. Te voilà père de 3 enfants : deux filles et un forum !
  3. Modularisation du MF2 intéressante, oui peut être. Mais quand on parle de pénurie de MF2 et de E4, de quoi parle-t-on au juste ? - du manque de 2ème degrés pour former des Initiateurs et des MF1 ? - ou du manque de moniteurs pour encadrer et enseigner entre 40 et 60 m ? Personnellement, je pense que la vraie pénurie est sur le 1er cas (formateurs de moniteurs). Mais si la modularisation du MF2 débouche sur un flux majoritaire vers le BEPPA (et pas le FFM), la réforme ne réglera pas le problème. Voire pire, pourrait l'aggraver ...
  4. La source : https://ffessm.fr/actualites/enfin-le-mf1-plus
  5. Il faut bien commencer par quelque chose. Et puis dans les échanges précédents, il n'était pas question de cursus complet, mais de "propose enfin", "favorable à" ... j'ai donné la réponse : elle (la FFESSM) propose déjà ! Même si ce n'est pas pour tout. Mais les formations N1 constituant 60% des certifications délivrées de plongeur, c'est déjà pas mal.
  6. Scubaphil

    Péricardite et plongée

    Ouaih ... bof ... une péricardite résolue depuis 6 ans, il y a de grandes chances que ce ne soit pas une contre-indication. Mais à confirmer par une visite médicale qui devra s'enquérir de ce qu'était exactement cette péricardite (sa nature, son traitement ...) et préciser s'il y a des séquelles éventuelles.
  7. En fait, ce qu'on appelle pompeusement "la filière par capitalisation", ce n'est qu'un mode d'entrée dans le cursus (une alternative au stage initial). Une fois cette étape passée, tout le monde est en "stage pédagogique en situation " et c'est là que les allègements sont possibles. Les allègements pouvant s'appliquer (entre autres) aux candidats titulaires de l'Initiateur, ils peuvent donc typiquement concerner les candidats entrés par la filière capitalisation.
  8. Bien vu ! J'en étais resté à l'introduction. Au vu de la dernière page (34) où sont listées les mises à jour, il apparaît probable que cette rédaction introductive soit la bonne, donc disparition de la condition d'ancienneté du N4 et de L'Initiateur. Oui, mais à noter que tu peux aussi faire la filière par capitalisation (modules 6-20 puis 20-40) ET demander des allègements. Oui, le stage de mise en situation, c'est ça. On peut ajouter aussi organiser des plongées (apprentissage du rôle de DP). Oui. Pour que tes séances soient validées, il faut qu'un tuteur E4 soit présent. Il n'est pas forcément présent à 100%. Il peut par exemple te donner des conseils avant ta plongée, te laisser faire, puis débriefer avec toi après. Tu veux dire en club associatif, je suppose. Oui, bien sûr, on parle d'un brevet de bénévole, donc le milieu associatif est le terrain privilégié pour le faire. Vu que tu es déjà Initiateur, pour toi, ça peut "simplement" être de continuer tes activités, mais en étant guidé, supervisé, corrigé par un tuteur. Tu peux aussi faire tout ou partie de tes mises en situation en milieu commercial, mais en verrouillant bien les aspects administratifs (convention signée, paiement, même symbolique, d'une participation pour éviter la qualification de travail dissimulé). C'est une expérience que je conseille (au moins quelques jours) quand on sort du monde associatif, pour s'ouvrir à d'autres fonctionnements, avoir un autre point de vue sur l'activité. Oui, le stage final, c'est une sorte de préparation à l'examen. Par contre, très différente d'un stage N4 vu les épreuves qui n'ont rien à voir. Traditionnellement, les stages finaux et examens sont accolés l'un à l'autre. Mais dans les textes rien ne t'oblige à passer l'examen immédiatement après le stage final. De ma petite expérience, je trouve très intéressant de pouvoir faire un stage final pour se confronter un peu à ses propres limites, mettre en lumière ses difficultés, repartir en situation pour quelques séances d'ajustement et ne passer l'examen qu'après. Mais il faut avouer que ce n'est pas la tendance générale ...
  9. Les gars, faudrait vous renseigner un peu, parce que ça existe déjà, même à la FFESSM ! https://formation.ffessm.fr
  10. Pour appuyer et compléter la réponse de @LGF : Il faut être titulaire du module 6-20 m depuis moins de 3 ans pour faire le module 20-40 m. Ici, on parle d'un autre délai de 3 ans. C'est le délai maximum pour effectuer le stage de mise en situation + stage final, qui s'étend entre la fin du stage initial ou du module 20-40 m et l'examen. En fait le MFT est incomplet en page 27, puisqu'il devrait être libellé ainsi : C'est vrai que les modules complémentaires 20-40 m ne sont pas très communs dans l'affichage des programmes de CTR, de Codep ou autres. C'est pourtant bien plus facile à organiser qu'un stage initial, puisque qu'un MF2 suffit (pas besoin d'Instructeur Régional), que ça ne prend qu'un jour (ou 7h) ... et ça pourrait parfaitement s'entendre comme un élément du stage initial, mais personne ne semble oser ... trop nouveau, trop moderne ..; dommage ... Si cette filière n'est pas très développé actuellement, je pense que ça résulte de 2 facteurs principaux : - l'absence de mise en valeur et de promotion par les cadres en sortie de N4 et d'Initiateur, - la forme du module complémentaire 6-20 m, qui est de mon point de vue beaucoup trop lourde, avec 4 plongées obligatoires (en milieu naturel de surcroît) de mise en situations pour valider le module. De fait, ces 4 plongées ne pourront pas être comptées dans le stage de mise en situation MF1 (puisque celui-ci ne commence qu'après le module 20-40). On peut regretter d'avoir mis autant de plongées (avec un tuteur) pour le valider et que ces plongées ne puissent se faire en fosse. Le stagiaire étant lui même en phase d'apprentissage, un compagnonnage en milieu plus facile paraît pourtant idéal ... a mettre en balance avec le stagiaire "initial" qui passe 5 jours en salle de cours ... Pour avoir déjà organisé et réalisé un module complémentaire 20-40, cette non compétitivité de la filière par capitalisation est bien dommage. Une fois terminé ce module, le candidat devient stagiaire MF1 en situation, tout comme un autre sortant du stage initial. Il n'y aura pas de différence entre les 2 pour la suite du cursus.
  11. Scubaphil

    Ordinateurs

    Mais pourquoi donc 2 minutes de différence serait "normal" et 5 minutes ne le serait pas ? C'est très subjectif. On a quand même dans cet exemple 2 modèles radicalement différents. On peut donc s'attendre à des résultats sensiblement différents. Si tous les modèles se tenaient dans un mouchoir de poche, on pourrait aussi s'interroger sur l'intérêt de développer des modèles distincts, pour finalement aboutir à la même chose ... Pour revenir à tes divergences entre tes 2 ordis, as-tu vérifié comment était pris en compte le palier de sécurité ? inclus dans la DTR ? ou pas ? ... ça peux parfois expliquer des affichages (de DTR) assez différents, alors qu'en fait les décos proposées sont assez proches.
  12. Il y a un 3ème club à Port-Louis. A vrai dire, je ne le connais pas, je ne sais pas s'il est toujours actif. Hypothèse douteuses quand 2 bateaux de 2 structures différentes, sur 2 quais différents, subissent dommages simultanés.
  13. Je confirme. L'étude en question est celle-ci. Un petit résumé que j'avais faite en 2016 : étude française menée en caisson. Elle a porté sur 12 plongeurs sélectionnés pour être "bulleurs" au doppler. Elle a comparé des plongées à 28 m de 55 minutes (temps fond) avec une remontée effectuée selon le protocole MN90, l'ensemble étant réalisé soit à l'air, soit au Nx36 (même désaturation dans les 2 groupes : 15m/min, 2' à 6m, 36' à 3 m, 6m/min entre les paliers). Cette étude teste donc le principe de plonger au nitrox avec ordi réglé sur air. Elle est méthodologiquement irréprochable. Le résultat est sans appel : l'utilisation du N36 dans ces conditions (procédure air) réduit constamment et fortement la quantité de bulles après la plongée. Depuis, j'ai trouvé une 2ème étude qui va dans le même sens, mais je n'ai pas un accès à la publication complète. A priori, là encore, on a testé Air versus Nx 28, avec le même protocole de remontée (donc équivalent à Nx28 avec réglage air. Les questions sont hautement pertinentes, mais comme tu le supposais très bien, ces études ne permettent pas d'y répondre. Je me pose la même question. Je n'ai pas trouvé d'étude comparative qui apporte des éléments de réponse formels (je n'ai peut être pas bien cherché), mais il y a quand même celle-ci qui s'en approche un peu : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23493363/ pour laquelle j'avais résumé ainsi en 2016 : Un peu plus complexe à appréhender. Elle s'intéresse principalement à des marqueurs de stress physiologique et à l'activation de certains globules blancs lors de la désaturation. Mais elle a utilisé pour ce faire des comparaisons entre activité physique ou repos pendant la plongée, et respiration d'air ou de Nx32. Cette étude américano-croate menée lors de plongée en milieu ouvert (en mer, à Split) a porté sur 24 plongeurs expérimentés. Elle a comparé des plongées à l'air à 18 m de 47 minutes (temps fond) avec des plongées au N32 à 22,5 m de 47 minutes (temps fond). Dans les 2 groupes, la PPN2 est équivalente. Remontée sans paliers en 2 minutes dans les 2 groupes. Même si elle joue sur la profondeur plutôt que le temps, cette étude s'apparente donc au principe de plonger au nitrox avec ordi réglé nitrox. Le résultat est très différent : aucune différence du taux de bulles circulantes n'est noté entre les plongées à l'air et les plongées au nitrox, que ce soit avec ou sans activité physique réalisée au fond. Dans cette seule étude que j'ai trouvée où le nitrox est utilisé en version "optimisée", le bénéfice en termes de bulles n'est pas mis en évidence. Peut être la tranche de profondeur est-elle mal choisie et le bénéfice apparaitrait pour des plongées à 30-35 m ?
  14. Strasbourg, 140 m d'altitude, la GdF ne doit pas en être loin, c'est quand même presque le niveau de la mer. En faisant le test un jour d'anticyclone, c'est comme si.
  15. Juste sur ce point, non, ce serait un peu comme dire qu'il vaut mieux rester au fond pour mieux désaturer, plutôt que de faire un palier à 3 m. Sur le plan théorique, l'idée de @caolila n'est pas mauvaise : Ton habitat étant à 1100 m, en passant du temps à 400 m, du désatureras un peu plus que le même temps à 0 m. Mais bon, il faut que se soit possible, qu'il y ait une étape possible à la bonne altitude. Et dans tous les cas, gardes à l'esprit de prendre ton temps à la sortie de l'eau, de ne pas commencer à monter avant 1h, mieux 1h30 ou 2h. De profiter de cet intervalle pour bien t'hydrater et de faire une pause pipi + nouvelle hydratation entre 300 et 500 m d'altitude si possible. Si jamais tu devais faire une plongée assez engagée (pour faire simple, je dirais plongée à plus de 30 m, ou avec plus de 3' de paliers obligatoire ou double tank), prévois d'emblée de te faire un resto avant de remonter, histoire d'allonger ton intervalle de surface à 2-3h. Je ne connaissais pas cette règle non plus.
  16. Merci de penser à moi. Pas encore eu le temps de voir la conférence que tu recommandes, certainement passionnante. Le résumé que tu proposes me paraît très censé. Je me suis exprimé sur un sujet proche dans un autre fil : oui, dans les ADD, il y a la problématique des bulles ET celle de la réaction physiologique associée aux bulles. J'avais écrit quelque chose de finalement assez proche : à notre échelle de pratiquants, savoir qu'il y a des réaction physiologiques, c'est bien, mais garder en tête que le problème principal reste les bulles, je pense que c'est encore mieux.
  17. La source de l'acronyme n'est pas fédérale, mais le Code du Sport. Absolument. Ben non, pas pour les écrits ministériels, sorry. Dans l'Arrêté du 26/05/1983, il est question de "bouée de sécurité gonflable" (article 15, pour les chefs de palanquée). Dans l'Arrêté du 20/09/1991, apparaît la notion de "système de sécurité gonflable" (article 8, pour les guides de palanquée et autonomes) Dans l'Arrêté du 22/06/1998, puis dans le Code du Sport version 2010 et version 2012 on ne parle plus que de "système gonflable" (articles 10 puis 322-80, pour tous les plongeurs autonomes, puis pour tout le monde). Par contre, il est précisé "permettant de regagner la surface et de s'y maintenir", ce qui confirme l'usage de sécurité par destination, même si l'objet est couramment utilisé pour la stabilisation. D'ailleurs, les anglo-saxons parlaient de "stabilizing jacket", maintenant plutôt de "BCD", tandis que le jargon français a plutôt retenu "stab". Ces variations sémantiques décrivent assez bien les évolutions différentes de la plongée loisir française et anglo-saxonne, où d'un coté la collerette puis la stab arrivent d'abord pour secourir, puis s'impose pour le confort, alors que de l'autre coté, la stab est développée d'abord pour le confort et sert accessoirement à secourir.
  18. C'est pourtant ce que font les essais cliniques : reproduire en grand nombre des mesures sur des sujets pour lesquels l'attribution du critère expérimental ou pas a été alloué par le hasard, pour déterminer l'effet du dit critère, malgré la variabilité inter-individuelle importante dans la population. La condition de réaliser obligatoirement les 2 hypothèses chez le même sujet n'est pas forcément nécessaire, même si ça peut se faire (ce qu'on appelle des essais cliniques croisés). Personne n'a dit que c'était facile (de comparer l'effet de 2 procédures différentes en termes physiologiques). @LGF t'a simplement répondu sur le fait que c'était méthodologiquement possible. Et je partage pleinement son point de vue. Si ce n'est pas fait, en matière de décompression, c'est principalement parce que ce sont des problèmes "de niche", qui n'intéressent que peu de personnes, et nécessitent de gros moyens (tant financiers que logistiques) pour être résolus. Dans notre contexte de crise économique chronique (depuis 50 ans), la recherche en santé priorise d'autres thématiques.
  19. Scubaphil

    GF encore et encore

    Le même intérêt que de rajouter quelques minutes de sécurité à son palier de 3 m ou que de décider de remonter plus tôt que prévu (par exemple 5 minutes avant palier plutôt que 2).
  20. C'est vrai, pour le moment, nous ne savons pas. On peut juste dire quand même que les contacts sont assez étroits entre AF, Président de la CTN et Président-Adjoint de la fédération, sur des sujets techniques liés à la décompression, dont vous devriez entendre parler prochainement ... AF ayant été désigné comme "expert" par la fédération pour intégrer un groupe de travail. Le travail ne porte pas sur les GF et/ou la pénalisation des successives, mais ça démontre a minima une proximité certaine. A suivre.
  21. du SNMP plutôt ? Tout à fait. Il était aussi Instructeur Régional et Monsieur Blanchard, Président de la CTN puis de la fédération, a fait modifier le règlement du collègue des Instructeurs Nationaux pour limiter l'accès à ce titre à 50 ans et empêcher ainsi AF de devenir IN ... Enfin officiellement, il y a eu un bla bla pour justifier la mesure, mais dans le milieu, tout le monde a compris pour qui était dessinée cette attention spéciale. Sur ce plan, je crains aussi en effet que pour une large majorité ds moniteurs et pratiquants, ce soit du tout cuit pour AF. Sa réputation le précède. Et pour beaucoup, si Foret a dit ou que c'est écrit dans un livre de Foret, tu n'as aucune chance d'apporter une idée dissonante.
  22. Scubaphil

    la mer l'a peté

    On souhaite du courage aux compères de La réunion et on espère que ça ne tapera pas trop fort.
  23. Scubaphil

    Opération kyste ovaire

    Mea culpa, je sors de 12 jours consécutifs de travail, dont la moitié avec une grosse crève et l'autre moitié avec la voix cassée, je dois être un peu fatigué. Donc réponse plus adéquate : ça va pas non, pas d'acte gratuit ! D'autant plus qu'un certificat peut être tarifé librement ...
  24. Scubaphil

    Opération kyste ovaire

    1) Jusque là, ce n'est pas sa demande. 2) Mes qualifications ne sont pas valables en Thaïlande. 3) Elle n'en n'a peut être pas besoin. 4) Je ne ne réponds ici que sur le point particulier de son exérèse de kyste ovarien en cœlioscopie. Un CACi impliquerait d'avoir connaissance globale de l'état de santé de la personne, ce qui n'est pas l'objet de la discussion. Mais en fait, ça vous dérange tant que ça que des avis d'ordre médical puissent être donnés sur un forum ? Des avis, pas des décisions, pas de attestations ou des prescriptions.
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Bonjour,

 

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