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Lire : Cela signifie qu'aucun texte de portée inférieure ne peut venir en contradiction avec un texte de portée supérieure.
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Bonjour, Je pense qu'il y a une grande confusion. Le MFT n'a pas valeur de loi ni de réglementation. Le principe en droit est celui de la hiérarchie des textes (pour les férus en droit, vous pouvez consulter : https://www.legifrance.gouv.fr/contenu/menu/autour-de-la-loi/guide-de-legistique). Voir fichier pdf joint. Cela signifie qu'aucun texte de portée inférieure ne peut venir en contradiction avec un texte de portée inférieure. Par exemple, le MFT ne peut pas venir contredire le code du sport. Mais il est possible de compléter le code du sport lorsqu'il est muet, comme pour la plongée des enfants. Bien cordialement, Alain Foret Hierarchie-textes.pdf
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L'accident en plongée ne serait pas une fatalité
Alain Foret replied to PlongeurSDF's topic in Incidents et accidents
Bonsoir, Je ne vois aucune contradiction, bien au contraire. Le formule citée a été discutée il y a une vingtaine avec certaines personnes du CROSS. Ne pas hésiter en cas de doute. Et s'il n'y a pas d'accident ... c'est à l'hôpital de le décider. Bien cordialement, Alain Foret Auteur des livres et supports pédagogiques Plongée Plaisir Bonsoir PongeurSDF, Comme en toute chose il faut aller jusqu'au et avoir de la rigueur. "Sur-évaluer", oui mais "Quoi" ? Le nombre d'accidents réels par rapport au nombre d'opérations déclenchées via le CROSS et la SNSM. Si tu lis ce que j'ai écrit précédemment, tu verras que ce point a, de tous temps, été adressé dans les statistiques. Du temps des statistiques du Dr Bruno Grandjean, sur 350 dossiers par an, 60 environ conduisaient à un dossier avec accident avéré. Pour autant les chiffres indiqués n'incluent pas les accidents provenant d'une autre origine (le 15, accès direct à l'hôpital, etc.). Sujet pas nouveau ... Bien cordialement, Alain Foret Auteur des livres et supports pédagogiques Plongée Plaisir -
L'accident en plongée ne serait pas une fatalité
Alain Foret replied to PlongeurSDF's topic in Incidents et accidents
Bonjour, Concernant les appels au 15, je l'ai déjà indiqué. C'est un biais pour SNOSAN (qui passe pas les CROSS et la SNSM), pas dans ce que j'ai écrit à propos des statistiques du Dr Bruno Grandjean qui passait par les CAISSONS... Bien cordialement, Alain Foret -
L'accident en plongée ne serait pas une fatalité
Alain Foret replied to PlongeurSDF's topic in Incidents et accidents
Bonjour, Ce tableau semble effectivement très intéressant, à la condition de savoir compléter la nature des chiffres. Sauf erreur de ma part, le "nombre d'accidents" indiqué n'est pas le "nombre d'accidents" mais le nombre d'appels (VHF 16 / TEL 196) au CROSS ou à la SNSM (voir site SNOSAN qui indique d'où viennent les déclarations). Ce nombre ne permet donc pas de savoir : - Combien de déclarations on donné lieu à des accidents graves (versus, simple appel de précaution avec O2 et évacuation - puis sortie rapide de l'hôpital sans accident avéré) ; - Combien d'accidents ne sont passés ni par les CROSS ni par la SNSM : c'est le cas lorsque le bateau revient directement à terre ou lorsque le 15 a été appelé. Au final, par exemple, le nombre de 232 "accidents" en 2013 semble sous-dimensionné : lorsque le Dr Bruno Grandjean (CMPN-FFESSM) faisait des statistiques à partir des déclarations des caissons, on en était (vers 2012/2013) à 350 déclarations donnant lieu à environ 60 accidents graves par an en plongée avec scaphandre. En revanche, ce qui ne bouge pas, c'est le nombre annuel : il reste de l'ordre de 240 cas chez SNOSAN, tout comme il restait de l'ordre de 350 dans les statistiques du Dr Bruno Grandjean (on parle bien de "déclarations", ce qui ne signifie pas qu'il s'agit du nombre d'accidents - voir ci-dessus). Quant aux décès, il s'agit probablement de ceux déclarés au moment de la prise d'information du CROSS ou de la SNSM. Donc, même difficulté d'interprétation. Sur le plan méthodologique, le plus fiable serait une déclaration émanant des hôpitaux lorsque le cas du patient est classé en accident : - scaphandre ; - recycleur ; - apnée ; - chasse sous-marine. Bien cordialement, Alain FORET -
L'accident en plongée ne serait pas une fatalité
Alain Foret replied to PlongeurSDF's topic in Incidents et accidents
Oui, bien sûr. Mais même pour les organismes d'État, le croisement des données est régulièrement refusé. Il faudrait parvenir à créer un Observatoire des Accidents de Plongée, qui permette d'aller au-delà des simples déclarations d'accidents pour être autorisé à analyser le type d'accident. Ce n'est pas gagné ! -
Bonjour, Question 1 : Le fait de sauter de 5 mètres ou plus, faut il faire une décompression une fois dans l’eau ? Réponse 1 : Le fait de "sauter" d'une certaine hauteur est sans rapport avec la désaturation. Question 2 : Sauter avec les bouteilles c’est possible ? Réponse 2 : Oui c'est (c'était) fait couramment depuis un hélicoptère par les militaires ou la sécurité civile. Par exemple, c'était pratiqué couramment à Bandol dans les années 60-80 pour les instructeurs de plongée (loisir), afin qu'ils découvrent ce que cela impliquait. Question 3 : Les grottes aquatiques qui ont des poches d’air, une fois la tête sortie de l’eau fait il faire une décompression à nouveau ? Réponse 3 : La nécessité d'une désaturation n'est pas liée à cette opération, sauf à connaître précisément les paramètres (profondeur, temps). Bien cordialement, Alain Foret Auteur des livres Plongée Plaisir
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L'accident en plongée ne serait pas une fatalité
Alain Foret replied to PlongeurSDF's topic in Incidents et accidents
Bonjour, Il faudrait pouvoir croiser les "opérations déclarées" avec les "conséquences médicales", c'est à dire croiser les déclarations CROSS/SNSM (seules entrées dans les statistiques SNOSAN) avec les conséquences (Hôpitaux, caissons). Or, cela est refusé à ce jour en France, au motif de la confidentialité des informations médicales. L'autre possibilité consisterait à ne pas s'occuper des opérations (CROSS, SNSM) et à ne considérer que les dossiers médicaux anonymisés, procédure légale, qui pourrait être mise en place mais qui ne l'est pas à ce jour en France. C'est ce que faisait le Dr Bruno Grandjean au nom de la FFESSM jusqu'en 2013, même si tous les hôpitaux (caissons) ne participaient pas à l'étude ... Sans cela, difficile de tirer des conclusions. Bulles cordiales, Alain FORET -
L'accident en plongée ne serait pas une fatalité
Alain Foret replied to PlongeurSDF's topic in Incidents et accidents
Bonjour, Concernant les déclarations, il y a de tous temps un risque de biais méthodologique : - s'agit-il des opérations ou des accidents avérés (= conséquences graves, bobologie ou simple frayeur) ? Parce que, si on incite au déclenchement de la chaîne des secours en cas de doute, les chiffres "opérations" peuvent augmenter sans que les chiffres "accident n'augmentent". J'étais déjà intervenu sur cette difficulté auprès du CROSSMED en 2005. Les opérateurs ne peuvent pas inciter à lancer la procédure de secours en cas de doute et, en même temps, se plaindre lorsque les opérations augmentent après diffusion de consignes en ce sens. A priori, le site SNOSAN parle d'opérations (donc on ne connaît pas les suites) : https://www.snosan.fr/storage/app/media/bilan 2021/SNOSAN Bilan 21 version final BD.pdf Bref, le croisement avec les conséquences est essentiel ... mais toujours pas fait en France. En conséquence, on ne peut pas tirer de conclusions. Bien cordialement, Alain Foret Plongée Plaisir -
L'accident en plongée ne serait pas une fatalité
Alain Foret replied to PlongeurSDF's topic in Incidents et accidents
Bonsoir, A propos de ce sujet, voici un accès à la vidéo de L'Amphithéâtre Plongée Plaisir, faite avec le CROSSMED en 2011 ... toujours d'actualité. https://www.plongee-plaisir.com/fr/produit/une-reprise-progressive-de-lactivite/ Bulles cordiales, Alain Foret -
L'accident en plongée ne serait pas une fatalité
Alain Foret replied to PlongeurSDF's topic in Incidents et accidents
Bonsoir, Ce truc franco-français de la "plongée militaire dans le loisir" date de 40 ans, aujourd'hui c'est dépassé, bien évidemment. Ce n'est vraiment plus le sujet. Et, en plus, il faut respecter la plongée militaire qui, elle aussi, a évolué avec son temps. Bref, à mon sens, ce n'est pas une question pertinente. Bien cordialement, Alain Foret BEES2/DESJEPS Plongée Auteur des livres et supports pédagogiques Plongée Plaisir -
L'accident en plongée ne serait pas une fatalité
Alain Foret replied to PlongeurSDF's topic in Incidents et accidents
Les dernières analyses du Dr Méliet (2018) ne font pas ressortir de différence notable. La seule modification, non pas dans le nombre mais dans le type d'accident, avait été signalée par le Dr Bruno Grandjean (dernière étude en 2013) : plus d'ADD de l'oreille interne (avec % global d'ADD non modifié). La vitesse de remontée, trop lente pour de nombreux plongeurs (plus à 4 ou 5 m/min qu'à 10 m/min, le syndrome du "j'ai tellement peur de remonter vite que je ne remonte plus") est-elle en cause ? Il faudrait faire une étude. La seule chose certaine c'est que les ADD vestibulaires augmentent et ceux médullaires ou cérébraux diminuent depuis l'avénement des ordinateurs de plongée et les plongeurs rivés sur leur écran d'ordinateur à ne surtout pas mettre en alarme plutôt que de s'occuper de remonter à 10 m/min :-). Depuis 1998, toutes les statistiques montrent une stagnation du nombre de plongeurs en France comme à l'International (y compris statistiques PADI) : croire que la plongée en scaphandre est une activité en croissance n'est pas avéré. En conséquence : une activité légèrement stagnante, des ADD qui n'augmentent pas en proportion mais changeraient de nature, du fait des modifications des conditions de la remontée. Bien cordialement, Alain Foret BEES2/DESJEPS Plongée Auteur des livres et supports pédagogiques Plongée Plaisir -
L'accident en plongée ne serait pas une fatalité
Alain Foret replied to PlongeurSDF's topic in Incidents et accidents
Bonsoir, Les études convergent toutes, tous pays confondus, vers un risque d'accident grave (essentiellement ADD) de 1 à 5 pour 10 000. Sources : a) Peter B. Bennett, Epidemiology of decompression illness and fatalities in recreational divers, in Proceeding of the 1st European Consensus Conference on Hyperbaric Medicine, Lille, septembre 1994 ; 28 - 34. Ainsi que son livre The Physiology and Medicine of Diving. b) Enquête CROSSMED, 2003. c) Coastguards en Grande-Bretagne : 1 accident pour 6383 à 8 511 plongées (2003) d) Blatteau J.-E., Guigues J.-M., Hugon M., Galland -F.-M., Bilan de 12 années d’utilisation de la table MN 90 par la Marine nationale. Analyse rétrospective de 61 accidents de désaturation, MedSubHyp ; communication présentée lors de la réunion scientifique d’automne de septembre 2004. e) B. Grandjean, Épidémiologie des accidents de la plongée sous-marine autonome de loisir, in Traité de médecine hyperbare, Ellipse éditions 2002 ; 153 - 159. f) Jean-Louis Méliet, coordinateur, Prise en charge en santé au travail des salariés intervenant en conditions hyperbares, MedSubHyp et SFMT, 2018, p.28. La (non)reprise progressive est, bien évidemment, un élément clef. Extrait de : Plongée Plaisir 4, 11e édition, 2023, p. 307. Deux formes de pratique semblent se compenser : - Quasiment pas de visite médicale dans certaines zones avec plongées sans palier et forte limitation de profondeur (ex. 18 m) ; - Plongée plus profondes avec paliers mais visite médicale (division des risques par 2,5 selon étude de Cali-Carleo). Au final, dans les deux formes de pratique il n'y n'aurait pas plus de risque. Un risque de 1 à 5 pour 10 000 ne permet pas de classer la plongée comme "discipline à risque" malgré ce que l'on entend un peu partout ... Bien cordialement, Alain FORET BEES2/DESJEPS Plongée Auteur des livres et supports pédagogiques Plongée Plaisir -
Ce n'est pas du tout ce que j'ai écris. ET J'ECRIS EN MAJUSCULE EFFECTIVEMENt POUR CRIER. JE N'AI PAS PARLE DE PA40.
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Par contre le DP peut inscrire le N2 en PA40 .... et donc l'autoriser a descendre a 30 m en compagnie de 1 ou 2 N3. donc pas besoin de N4 ou plus PAS DU TOUT, J'AI ECRIT L'INVERSE.
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Non. Un N2 est PA20 + PE40. Il n'y a rien à valider.
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Non, rien n'est défini en ce sens dans le code du sport. Ça se discute ... comme d'habitude, ceux qui font n'importe quoi conduiront à des textes plus restrictifs ... ce dont la plongée française n'a vraiment pas besoin. Le cas des brevets/qualifications français pose des questions différentes des certifications autres (PADI, NAUI, SSI, ACUC, ...). On oublie (mais les avocats spécialisés nous le rappellent régulièrement) que l'annexe III-14b du code du sport indique : "Brevets de pratiquants délivrés par la Fédération Française d’Etudes et de Sports Sous-marins (FFESSM), la Fédération Sportive et Gymnique du Travail (FSGT), l’Union nationale des Centres sportifs de Plein Air (UCPA), l’Association Nationale des Moniteurs de Plongée (ANMP), le Syndicat National des Moniteurs de Plongée (SNMP) et la Confédération Mondiale des Activités Subaquatiques (CMAS) attestant des aptitudes de l’annexe III-14 a (Article A. 322-77)." Les brevets ATTESTENT des aptitudes. Le DP n'a donc pas d'autre choix que de les prendre comme telles SANS LES MODIFIER ! Comment faire pour restreindre les prérogatives ? Via les paramètres de la plongée. Exemple : Aptitudes PA-40 Paramètres encadré par encadrant de palanquée (P4 ou moniteur) entre 0-20 m ... (par exemple, si reprise d'activité). ABSOLUMENT RIEN N'OBLIGE UN DP À ÉCRIRE DES PARAMÈTRES ALLANT AUX LIMITES DES PRÉROGATIVES ...
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Bonjour, Je ne partage pas cette analyse. L'évaluation d'aptitudes supérieures au brevet (surclassement), ex. brevet N2 avec PA-40 sur la feuille de sécurité par le fait du DP, ne me semble pas conforme à la réglementation. Car dans ce cas, autant délivrer réellement l'aptitude. Si le DP ne le fait pas ... c'est qu'il y a un loup (=il n'est pas PA40 mais pour aujourd'hui il le sera parce que ça m'arrange, je manque d'encadrement ...). Voir à ce sujet la rubrique réglementation Plongez ! n°31 - janvier-février 2021 Ce point mériterait un positionnement clair de la fédération délégataire. A défaut, à chaque DP de choisir son camp et son risque ... particulièrement en cas d'accident. Bien cordialement, Alain Foret
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Bonjour, Ce n'est en rien contradictoire. Ce sont deux questions différentes. Tu trouveras les 2 cas dans ton livre Plongée Plaisir : 1. Si un niveau 3 plonge avec un niveau 2, il est limité aux prérogatives du niveau 2. 2. Les niveaux 3 entre eux peuvent bénéficier d'un cas dérogatoire : plonger entre niveau 3 en l'absence de DP, sous certaines conditions ... (et là il ne peut y avoir de plongeurs niveau 2). Les pages citées (47 et 48) concernent les exercices. Ce qui suppose, avant de faire les exercices, d'avoir travaillé le contenu. Pour les prérogatives d'un niveau 3 (PA-60 et PE-60), elles sont détaillées pages 21 et 27 de Plongée Plaisir 3, 9e édition (2016) : Prérogatives en autonomie • 2 ou 3 plongeurs P3 (PA60) et supérieur peuvent être autonomes entre 0 et 60 m. • En l’absence du directeur de plongée, ils peuvent organiser eux-mêmes leurs plongées en les limitant à 40 m, après autorisation de l’exploitant et à la condition d’informer l’exploitant, avant la plongée, du choix du site. L’exploitant entérine l’organisation mise en oeuvre pour assurer la sécurité des plongeurs et le déclenchement des secours. Prérogatives en étant encadré • 1 à 4 plongeurs P3 (PE60) peuvent évoluer entre 0 et 60 m encadrés par un moniteur 2e degré (E4). Extrait de Plongée Plaisir 3 page 21 Par exemple, page 27, il est écrit : Si une palanquée est constituée de plongeurs justifiant d’aptitudes différentes, celle-ci n’est autorisée à évoluer que dans l’espace d’évolution des plongeurs justifiant des aptitudes les plus faibles. Par exemple, si un plongeur niveau 3 plonge avec un niveau 2 en autonomie, ils sont limités aux prérogatives du niveau 2 (20 m). Sur la même page, il est écrit : En l’absence de directeur de plongée, les plongeurs PA60 sont limités à 40 m après accord de l’exploitant de l’établissement d’APS, après l’avoir informé du choix du site et après qu’il ait entériné l’organisation mise en oeuvre pour assurer la sécurité des plongeurs et le déclenchement des secours. Ce qui correspond aux 2 questions du test de connaissances. Ces prérogatives sont définies dans la règlementation française (code du sport). Bien cordialement, Alain Foret Auteur des livres et supports pédagogiques Plongée Plaisir
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Ce n'est pas une remarque qui règle le problème pour le passé. Mais pour tout nouvel équipement avec étiquette, peut-être serait-il judicieux de conserver une photo imprimée de l'étiquette. Voir ci-joint. Vu les éléments indiqués, la traçabilité semble assurée. Reste à faire le lien entre l'équipement et l'étiquette via le n° du modèle....
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Oui c'est sûr. Maintenant il faudrait savoir si ce problème est significatif (si c'était le cas, il faudrait le faire remonter aux fabricants pour améliorer le marquage). En ce qui concerne mon expérience, je n'ai pas rencontré de problèmes de la sorte. Ce serait sans doute possible à la condition que le modèle précis soit précisé sur la notice. Il y a eu le cas en Guadeloupe il y 4 ou 5 ans avec des combinaisons, la référence à la notice a été refusée car il s'agissait d'une notice générique pour les combinaisons de la marque et pas spécifique au modèle contrôlé. Après, il est peut être possible de contacter le fabricant pour lui demander un courrier avec preuve à l'appui de la certification CE pour l'équipement concerné. Cela suppose, je pense, une démarche pour un nombre conséquent d'équipements (je vois mal un fabricant s'embarquer dans des courriers individuels).
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Bonsoir, Lire d'abord ce qui a été écrit. Le marquage CE concerne la conception/fabrication ainsi que la distribution, la commercialisation (vente, location) ou le prêt du matériel concerné en zone UE. À titre personnel, chacun fait comme il veut (hormis pour les blocs car réglementation gonflage et les recycleurs car le marquage "CE" est exigé dans le code du sport). Pour en savoir plus : lire l'article sur le marquage CE que j'ai écrit dans la rubrique Réglementation du magazine Plongez ! n°41 de septembre/octobre 2022. Bien cordialement, Alain Foret Bonsoir, Pour les bouteilles, il est bien évidemment interdit (c'est du pénal) de faire un marquage officiel soi-même (CE ou autre). Le problème de la peinture sur les blocs a été soulevé lors des contrôles de 2019 : les marques d'identité doivent rester lisible, aucune dérogation. Dans mon coin, ceux qui repeignent les blocs prennent une aiguille et "recreusent" les marques avant que la peinture ne soit sèche. Voir pdf joint concernant les contrôles. Concernant les gilets, je ne constate pas le problème que tu évoques. L'étiquette est fixée derrière le back-pack, parfaitement lisible malgré plusieurs années d'utilisation. Concernant les combinaisons, le marquage CE est généralement fait sur l'équipement lui-même ... Idem pour les masques (ex. sur la jupe). Après, comme indiqué ci-dessus, le marquage "CE" ne concerne pas l'usage personnel (mais la vente neuf et occasion, la location et le prêt de matériel). Bien cordialement, Alain Foret Bilan_AR_plongée_vf[1].pdf