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Plongeur.com - Le site de la plongée sous marine

Alain Foret

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Everything posted by Alain Foret

  1. Bonjour, Je ne souhaite pas polémiquer, je tentais juste de donner une explication concernant mon vécu. Pour ce qui est de ta question, je ne suis plus un élu fédéral. C'est promis, je n'aborderai plus ce type de question. La polémique ... j'en ai plus que soupé. Bien cordialement, Alain Foret
  2. Bonjour, Plongée Plaisir Monitorats paraît le 10 janvier et sera présenté au Salon de la Plongée de Paris du 15 au 18 janvier 2010. Disponibilité sur toutes les stands librairie. Dédicace : stand des Editions GAP (D15) et de Trutle prod. (A12). Feuilleter le livre en ligne (flip-bbok) : http://www.plongee-plaisir.com/PPM/PPM/Index.html Consulter des pages pdf et autres ressources : http://www.plongee-plaisir.com/ppm.htm Bien cordialement, Alain Foret Auteur des livres Plongée Plaisir
  3. Bonsoir, Plongée Plaisir Monitorats paraît le 10 janvier et sera présenté au Salon de la Plongée de Paris sur tous les stands librairie (dédicace sur le stand des Editions GAP et sur le stand de Turtle Prod). Feuilleter le livre en ligne (flip-bbok) : http://www.plongee-plaisir.com/PPM/PPM/Index.html Consulter des pages pdf et autres ressources : http://www.plongee-plaisir.com/ppm.htm Bonnes plongées, Bien cordialement, Alain Foret Auteur des livres Plongée Plaisir __________________ Plongée Plaisir
  4. Bonjour, Il y a une autre raison : la carte permet d'informatiser le brevet. Or, sans informatisation du RIFAP il est impossible de délivrer en ligne les brevets qui exigent de disposer du RIFAP. On pourrait dire qu'il est possible d'informatiser le RIFAP sans faire payer de carte ... l'expérience à montré dans les années 1990 que ça ne marche pas (lorsque la carte CMAS était délivrée sur demande, le processus ne fonctionnait pas, il a fallu le rendre obligatoire). D'où l'obligation de passer par la carte. Bien cordialement, Alain Foret
  5. Bonsoir, J'y serai du vendredi au lundi, pour les dédicaces. Bonnes fêtes, Alain Foret
  6. Bonsoir, C'est rectifié. C'était une erreur de ma part sur le site Internet. http://www.plongee-plaisir.com/supports.htm A+ Alain Foret
  7. Bonsoir Benoit, Peux-tu me donner des infos plus précises ? Je ne vois pas où c'est. Parles-tu de Plongée Plaisir Océanotes ? A te lire, Alain Foret
  8. Bonsoir, Tu peux consulter des pages sur http://www.plongee-plaisir.com/PPI/PPI/Index.html pour te faire une idée par toi-même. Bien cordialement, Alain Foret
  9. Bonsoir, Bonne lecture en tout cas... Pour aller plus loin, Plongée Plaisir Monitorats paraît le 10 janvier et sera présenté au Salon de la Plongée de Paris. Feuilleter le livre en ligne (flip-bbok) : http://www.plongee-plaisir.com/PPM/PPM/Index.html Consulter des pages pdf et autres ressources : http://www.plongee-plaisir.com/ppm.htm Si je fais une faute de goût en parlant de ma future publication, que le Grand Maître du forum intervienne :-))))) Bien cordialement, Alain Foret Auteur des livres Plongée Plaisir
  10. Bonsoir Gérard On ne leur demande aucune fiche à nos stagiaires MF1. Mais la demande de leur part est pressante.` Et quand tu es le seul à ne pas céder à la mode des fiches, la pression est forte. A+ Alain Foret
  11. Bonsoir, Oui, j'ai bien reçu ton image. Merci. Désolé de ne pas t'avoir répondu immédiatement. Pour la mise en oeuvre sur le même modèle, il faut y réfléchir ... En secourisme c'est simple parce que c'est codifié (conscient/pas conscient ...). En péda, il y a sans doute des domaines où on peut présenter un arbre de décision ... mais je ne vois pas encore comment. A+ Alain Foret
  12. Bonsoir Gérard, Je suis d'accord avec toi. En fait : - Il y a la demande du stagiaire, qui veut se rassurer, a besoin de "savoir comment faire juste", "ne rien oublier", etc. Cette demande est parfaitement légitime. - La réponse apportée par les moniteurs qui devrait être d'aider à dépasser ces difficultés, de faire comprendre que pour aider un élève à améliorer son palmage, il est impossible de faire une fiche-type, qu'il n'y a pas "une" vérité mais des élèves et qu'il faut le plus possible individualiser l'enseignement, etc. - La démagogie ou la simplicité (pour se débarrasser du problème) qui consiste à proposer sa fiche-type et à clore le débat. Là ou c'est pervers que cette "fiche-type" correspond à une attente et celui qui la fournit est du coup valorisé alors qu'en réalité il ne rend pas vraiment service ... Au demeurant, pour revenir à la question initiale de Nanou, je vais voir non pas comment proposer des fiches-type mais voir comment aider les lecteurs à faire leurs propres fiches-types. C'est peut-être une solution ... Cordialement, Alain Foret
  13. Bonsoir Gérard, >>>>>>>>>>>> Eh oui, mais c'est pas si simple. Quand dans une fiche-type on t'explique que tu vas pouvoir faire faire une bascule-arrière en piscine, c'est pour de nombreux moniteurs une erreur de sécurité éliminatoire (à moins de préciser comment cette bascule est faite). Quand tu prévois de toujours faire la démonstration dans l'eau, c'est problématique. Cà peut être nécessaire mais pas tout le temps. Quand on t'explique que le pré-requis du baptême est de savoir nager, c'est largement discutable. etc. Bref, c'est le problème des fiches-types qui au final n'expliquent rien. Les élèves qui les utilisent à outrance sont rarement capables de les justifier, voire de proposer d'autres approches. Et au final la note dégringole ... Sans compter la lassitude du jury qui voit tous les candidats répondre de la même manière au même sujet. Il est étonnant d'ailleurs que la fiche-type ait une telle importance en plongée. Au tennis, au foot, au hand, ... l'entraîneur prévoit des séances, s'adapte à son public, etc. et ce n'est pas la méthode de la fiche-type qui peut être privilégiée dans ce cas. De plus, pour des sujets du type "résolution de difficultés", la fiche-type conduit à une impasse puisque le cours est à bâtir en fonction des difficultés de chaque élève. En résumé, que chaque stagiaire fasse "sa fiche-type", oui bien sûr, ça aide beaucoup quand on débute et ça permet d'utiliser les principes pédagogiques. Charge alors au tuteur du stagiaire de valider la fiche-type. Mais que bâtir des fiches-types identiques pour tout le monde en toute situation ... là je dubite :-)))) Bonne soirée, Alain Foret
  14. Bonjour Dan, Oui, tu as raison à propos du discours "homogène". Mais tout dépend dans quel système on se trouve. Si tu me demandes d'écrire un livre de péda pour PADI, NAUI, SSI ou autres, aucun doute, je vais t'écrire leçon 1, leçon 2, leçon 3 etc. car ces cours sont prévus comme cela. Mais dans notre système, ce n'est pas le cas. Du coup, si tu écris toi-même leçon 1, leçon 2, ... tu peux le faire, mais ça n'engage que toi et ça ne correspond pas aux exigences du système français. Or, si tu écris un bouquin, tu dois te conformer au système dans lequel il s'inscrit. Autre point : quand tu cites le cas de moniteurs indiquant que ce tu fais n'est pas bon sans proposer quelque chose, c'est une dérive. Encore une fois, ne pas confondre ce qui est écrit et ce qui est dit en formation. Quand tu écris un livre, si tu met en place une fiche-type, tout le monde la répète, sans parfois la comprendre. Et çà, c'est problématique. En revanche, sur la base des informations écrites dans un bouquin, les moniteurs et tuteurs de stage peuvent aider leurs élèves à bâtir leurs fiches. J'ai l'impression à vous lire les uns et les autres, que vous attendez d'un bouquin de pédagogie qu'il se suffise à lui-même, qu'on a qu'à le lire pour faire directement un cours. Je ne partage pas cet avis. je crois qu'un livre de pédagogie est un outil, à utiliser avec ses moniteurs ... mais il ne remplace pas les moniteurs. Bine cordialement, Alain Foret
  15. Bonsoir Nanouch, On est d'accord, pas si simple. Et écrire une fiche type (simple à faire !) ne semble pas répondre à cette demande car castratrice par nature (présentation d'une seule façon de faire ...). Exemple de fiche-type pour ton "Baptême", parmi 1001 possibles ... Accueil : Bonjour, je m'appelle Nanouch, je suis ta monitrice du jour. Tu t'appelles ... J’ai entendu dire que l’on respirait de l’oxygène en plongée. Pouvez-vous le confirmer ? Avant toute chose, si vous n’y voyez pas d’inconvénient, nous allons nous tutoyer, c’est l’usage en plongée. Pour répondre à ta question, contrairement à ce que l’on croit généralement, une bouteille de plongée contient de l’air, exactement le même que celui que nous respirons habituellement, et non de l’oxygène. Et combien de temps peut-on respirer avec une bouteille ? Une très grande quantité d’air est comprimée dans les bouteilles. On peut respirer de 1 à 2 heures dans la zone des 6 mètres (20 pieds). Combien de temps dure un baptême? En général, de 20 à 40 minutes. On a de la marge. Un baptême se déroule à quelle profondeur ? Généralement, entre la surface et 3 à 6 mètres (10 à 20 pieds) de profondeur. C’est la profondeur idéale pour découvrir la faune et la flore et pour ressentir de nouvelles sensations. Tout le monde peut plonger ? La plongée est ouverte à tous, jeunes et moins jeunes, à condition d’être en bonne santé. L’activité est toutefois interdite aux femmes enceintes. Et certaines contre-indications telles que l’asthme, les bronchites ou sinusites chroniques, les problèmes cardiaques ou le diabète obligent à demander un avis médical. De ce côté-là, pour moi tout va bien. Mais, comment respire-t-on sous l’eau ? Sous l’eau, nous respirons avec un détendeur. Il suffit de mettre l’embout en bouche et de serrer légèrement avec la mâchoire. Tu veux essayer ? Super, c’est facile. Mais ça fait du bruit. Oui, en surface, certains détendeurs font un peu de bruit lorsqu’on inspire. C’est tout à fait normal du fait des pièces mécaniques en mouvement. Ce bruit disparaît une fois dans l’eau. En fait, il suffit de respirer normalement par la bouche. Tu auras l’occasion de te familiariser avec ce détendeur tout à l’heure, en surface. Ah, très bien ! Et ça, c’est quoi ? C’est un gilet. Il sert à porter la bouteille comme un sac à dos. Il sert aussi de bouée, et peut être gonflé ou dégonflé à volonté. Tu n’as pas à t’en occuper, je m’en chargerai. La bouteille est lourde, on va couler ? Pas du tout. Dans l’eau, la bouteille est beaucoup plus légère qu’en surface. Avec une combinaison, il est même parfois nécessaire d’ajouter une ceinture de lest pour parvenir à s’immerger. En fait, c’est très simple ! Tout à fait. Il suffit de mettre la bouteille comme un sac à dos, de prendre le détendeur en bouche puis d’inspirer et d’expirer par la bouche. Pour voir, il suffit de mettre un masque. Je n’ai utilisé un masque qu’une seule fois, au bord de la plage et je n’ai pas vu grand-chose, il y avait plein de buée. Pour éviter cela, il suffit d’utiliser un liquide anti-buée ou de mettre de la salive à l’intérieur, sur la vitre, de frotter avec les doigts et de rincer. L’efficacité est garantie. Voilà, mon masque est mis. Je crois qu’il te serre un peu trop, il faut desserrer la sangle. Je préfère garder la sangle serrée pour éviter que l’eau ne rentre. C’est au contraire si tu la serres trop que de l’eau peut rentrer. La sangle permet uniquement le maintien du masque. Pense ensuite à retirer tes mèches de cheveux et à bien positionner le masque sur ton visage. L’étanchéité est assurée. Oui, mais si j’ai un petit peu d’eau ? Lorsque tu mets ton masque sur le visage, il est mouillé, puisque tu viens de le rincer. Il est donc un peu humide mais c’est tout. D’accord. Mais maintenant, je ne peux plus respirer par le nez. En effet, tu dois toujours inspirer par la bouche et généralement souffler aussi par la bouche. En revanche, si tu sens que le masque se plaque un peu sur ton visage, tu dois souffler par le nez. Cela le remettra en bonne position. Ce phénomène est dû à la pression de l’eau. La pression de l’eau ? Oui, quand nous plongeons, notre corps subit la pression due au poids de l’eau. On ressent principalement ce phénomène au niveau des oreilles. On a très vite une gêne, comme parfois en montagne ou en avion, mais avec plus d’intensité. Il faut alors pincer son nez entre le pouce et l’index puis souffler doucement, comme lorsqu’on se mouche. Cette manoeuvre s’appelle un « Valsalva ». Elle ne doit pas être brusque. Lorsqu’elle est efficace, tu sens au niveau de tes deux oreilles que l’équilibre des pressions s’effectue correctement. Cette manoeuvre doit être renouvelée tout au long de la descente dès que tu commences à ressentir cette pression au niveau des oreilles. Et si ça ne marche pas ? Si tu n’y arrives pas du premier coup, il te suffit de me le signaler en faisant le signe « ça ne va pas » et en montrant ton oreille. Nous remonterons de quelques dizaines de centimètres, jusqu’à ce que la gêne ait disparu. Tu n’auras plus qu’à renouveler la manoeuvre et sur ton signe « ok, tout va bien », nous continuerons à descendre. Que fait-on une fois au fond Il suffit de respirer et de regarder. Regarder mais sans toucher. Il faut respecter la nature et ne rien remonter. Tu dois avancer lentement en évitant de faire fuir les poissons. Pour rester plus longtempsje peux faire un peu d’apnée ? Non. Il te suffit de respirer normalement sans chercher à économiser ton air. A la remontée, insiste un peu sur l’expiration. Et que fera mon moniteur ? Il te montrera la faune et la flore et te guidera tout au long de la plongée, en restant à côté de toi. Et maintenant ? Eh bien je vais t’aider à t’équiper et nous allons y aller. Je vais me mettre à l’eau en premier avec ta bouteille et ton gilet. Tu me rejoindras en descendant à l’échelle. Je t’aiderai alors à mettre ta bouteille dans l’eau. Tu commenceras à respirer avec le détendeur et quand tu t’y seras habitué, nous descendrons ensemble. Je suis prêt. Alors on y va. [30 minutes plus tard…] C’est super ! Il y a plein de choses à voir. Par contre, j’ai eu un peu de mal à trouver mon équilibre. C’est normal. Dans l’eau, nous avons un nouvel équilibre à trouver. Cela peut prendre du temps. Le plus souvent, plusieurs plongées sont nécessaires. Ce qui est étonnant, c’est que ce n’est pas aussi bleu que dans les films. C’est parce que nous sommes près de la surface. L’eau apparaît beaucoup plus bleue lorsqu’il y a plus de profondeur. Comment s’appelle la plante avec son beau panache ? Ce n’est pas une plante, c’est le panache d’un ver marin appelé spirographe. Si l’on s’approche, ce panache se rétracte. Et les plantes rouges ? Ce sont aussi des animaux. On les appelle des gorgones. Désolé pour la mise en forme, mais l'éditeur du forum est très lilmité ...Amicalement, Alain Foret
  16. Jago a écrit : "Pour finir, je rappelle cette parole de Benjamin Franklin : "Si tu me dis, j'oublie... Si tu m'enseignes, je me souviens... Si tu m'impliques, j'apprends." Vieille vision de la pédagogie axée sur l'enseignement descendant : l'enseignant sait le moniteur apprend. Aujourd'hui, les processus d'enseignement impliques l'élève qui, seul peut développer les apprentissages. C'est plus compliqué pour le moniteur, c'est le contraire absolu des fiches péda, ... mais c'est le plus efficace pour les élèves. Principe péda n°1 = faire pratiquer les élèves, donc les impliquer. Voir Plongée Plaisir Initiateur pages 141 à 147 :-))) A+ Alain Foret
  17. Bonsoir Jago, C'est une piste constructive. Merci pour l'info. Alain Foret
  18. Bonsoir Gérard, La question "bénévole ou pas" est dans rapport. Nous parlons de pédagogie. Le système perroiquet que tu qualifies d'efficace se caractérique par : - l'absence d'autonomie ; - l'incapacité à répondre aux difficultés des élèves non incrites dans le manuel. Cela étant, je rejoins ton idée de ne pas refaire faire aux élèves des choses largement connues. C'est la raison pour laquelle dans Plongée Plaisir Iniitateur j'ai largement illustré : - les justifications d'exercices ; - les difficultés rencontrées. Pour autant, à chacun de bâtir son cours. Bien cordialement, Alain Foret
  19. Bonsoir Nanouch, Encore une fois, je comprends bien ta démarche. Et crois bien que si j'ai la possibilité d'y répondre complétement dans un livre, je n'y manquerai pas. Mais un livre ne paut pas tout. Particulièrement en pédagogie. Quand tu dis : "Je ne veux que vérifier que je n'oublie rien dans ma fiche". Il n'y a aucune réponse -type. Car il y a autant de fiches que de moniteurs. Et dans le lot, à la fois de très nombreuses fiches différentes et en même temps valables. Si tu te compare à une seule fiche écrite, tu ne feras, au final que recopier la fiche. En conséquence, un livre de pédagogie sportive doit donner la démarche et les principes. Aux élèves de bâtir les cours. Il n'y a d'ailleurs qu'en plongée que la question se pose. Dans bon nombre d'autres disciplines sportives (ex. foot, tennis, voile, hand-ball, basket, ...) les fiches-types sont tout simplement inexistantes. Mais, encore une fois, si je peux mettre en place un système plus performant qu'actuellement dans Plongée Plaisir Initiateur, je le ferai. Toute proposition est bienvenue. Bonne soirée, Alain Foret
  20. Bonsoir, Tout écrit est perfectible et je prends en compte ta remarque, comme celle de Nanouch. Le tout étant de pouvoir y répondre sans abdiquer sur le fondamentaux. J'y réflechis. Je vous invite également à réflichir au fait qu'un livre, qui plus est un livre de pédagogie" est une aide. Il doit être utilisé en complément de vos apprentissages avec un tuteur ... Un bonne équipe erait constituée : - de livre, qui fixe les principes ; - du tuteur qui illustre sur le terrain. Trop souvent, l'absence ou la démobilisation des tuteurs fait que les stagiaires (initiateurs ou moniteurs) attendent tout d'un livre (y compris la répition de cours, comme un perroquet, ce qui n'est pas l'objet) ... Cela étant, j'ai bien compris les remarques et je les note pour une prochaine édition. Bien cordialement, Alain Foret
  21. Bonsoir, 1. Gérard95 a écrit : "Sans vouloir entrer dans la polémique, ce livre dont la dernière édition date de 2001 n'est plus "reconnu" par la FF (pour des raisons "pédagogiques"), qui lui préfère le "Plongée Plaisir : Initiateur" d'Alain Foret." La FFESSM n'a rien à voir là dedans et ne reconnaît pas plus Plongée Plaisir Initiateur que celui du Béluga. 2. Nanouch a écrit : "J'ai déjà le "plongée plaisir" d'Alain Foret et je l'utilise pour mes fiches mais je n'en suis pas vraiment satisfaite (pas assez concret, pas pratique et trop "fouillis" pour moi)" Je comprends bien cette demande de fiches types prêtes à l'emploi. Cependant, cela me semble tellement anti-pédagogique que je m'y refuse. Comprenons-nous bien. Que la demande soit d'avoir des fiches-types, je le sais bien. Que fournir des fiches-types soit une bonne réponse, je le conteste. En contrepartie, l'approche par la pédagogie est plus complexe que par les fiches-types c'est vrai. Mais il faut savoir ce que l'on veut. La pédagogie au sens "CMAS" suppose de savoir bâtir soi-même un cours. C'est beaucoup plus complexe que de redire un cours bâtit par d'autres (comme dans d'autres organisations). Le vrai problème est celui des prérogatives d'un initiateur de club, devenu un véritable moniteur au fil du temps. Au début, c'était une simple "aide-moniteur". Dans ce cas, donner une fiche-type pouvait s'envisager. Ce n'est plus cas aujourd'hui. Cela étant Nanouch, je te souhaite bonne chance, l'essentiel étant de parvenir à faire partager ta passion ... Bien cordialement, Alain Foret Quand un homme a faim, mieux vaut lui apprendre à pêcher que de lui donner un poisson - Confucius Quand quelqu'un veut appendre la pédagogie, mieux vaut lui apprendre les principes de pédagogie que lui préparer un cours-type. PS : Pas d'accent circonflexe sur mon nom, il vient des menuisiers de Paris (Foret) et pas de Forest Gump avec un S devenu ^ sur le e.
  22. Je t'ai reconnu sous le masque et la barbiche ... A+ Alain
  23. Bonsoir, Triste nouvelle, Guy Poulet est décédé. Guy Poulet, qui avait découvert la plongée en 1957, était connu de plusieurs générations de plongeurs pour avoir écrit "Connaissance et technique de la plongée" en 1962 (préfacé par Maurice Herzog, traduit en 4 langues, plusieurs fois réédité) puis pour avoir été président de la commission technique nationale de la FFESSM de 1966 à 1981 (devenue la commission de l'enseignement de la plongée entre 1966 et 1969). Durant ses mandats successifs, il créera : - Le brevet de moniteur auxiliaire de plongée en scaphandre (avec 3 épreuves de pédagogie : préparatoire, pratique et théorique, toujours en vigueur aujourd'hui). La première session, nommée Jean Bart a lieu à Paris le 18 mars 1967 et à Bendor les 1er et 2 avril (Jury : Yves Nomand, Maroc Israël, Marcel François, Dr Tailleur, Jean-Michel Oyhenart). - Le brevet d'initiateur de club (1973). - Le brevet de moniteur fédéral (1975). - etc. Guy Poulet a également participé à la création de l'ANMP avec Daniel Mercier et Gérard Altman et à la création du Festival de l'image sous-marine avec Daniel Mercier (Festival dont l'édition 2009 s'ouvre jeudi soir à Marseille). Guy Poulet est né à Avignon en 1924. Professeur d'EPS à partir de 1943, il enseigne à Joinville puis au lycée Janson de Sailly. De 1966 à 1982, il occupe le poste de CTR Plongée à l'académie de Nice. Passionné d'alpinisme, il réalise la première traversée intégrale des aiguilles de Chamonix et de la face nord des Drus et la "première" française de la face sud de l'Aconcagua (7035 mètres). Il eu des orteils amputés à l'issue de cette expédition. Il publia en 1955 "Victoire sur l'Aconcagua". Guy Poulet était Officier de la Légion d'Honneur et Commandeur du Mérite sportif. Tristement, Alain Foret
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Bonjour,

 

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