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Plongeur.com - Le site de la plongée sous marine

DivideByZero

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Tout ce qui a été posté par DivideByZero

  1. Salut, De ma (bien que modeste) expérience et de mes (bien plus nombreuses) discussions avec divers plongeurs, je n'ai jamais entendu une quelconque histoire de plongeur 100% FFESSM à qui on ait refusé une plongée à l'étranger. Je pense que d'autres ici pourront confirmer également.
  2. Exactement. D'où ma réflexion sur le fait que si on veut éviter au maximum ce problème, je ne vois finalement pas d'autre choix que de contraindre (malheureusement) la pratique à l'obtention d'un brevet (avec toutes les limites que ça impose).
  3. « Je picole avant de conduire et il m’est jamais rien arrivé », « Mon grand-père fume comme un pompier et il a vécu 95 ans », « J’ai pas pris de traitement contre le palu quand je suis allé randonner dans la jungle dans une zone endémique et je l’ai pas attrapé »… Dans la plupart des cas, être c*n ça ne tue pas, mais c’est pas une raison pour l’être ^^ Pour le problème dont il est question, effectivement un plongeur conscient devrait se poser les bonnes questions avant de se lancer sur une plongée comme celle-là, sans formation ou expérience adéquate, sans matériel adapté… mais malheureusement on ne peut pas forcer les gens à être prudents… Surtout qu’en France on a un peu une formation N3 qui fait de nous des plongeurs autonomes, point barre. Est-ce qu’un système à la PADI ne serait, finalement pas, une bonne chose avec des modules à la carte ? Le N3 permettant d’être autonome dans des conditions « standards » (à définir) de plongée. Pour les conditions particulières (plongée lac en eau froide), avoir une formation complémentaire et la rendre obligatoire ? Ou bien, carrément rendre la formation N3 plus adaptée à ce genre de situation de sorte que n’importe quel diplômé N3 soit apte à faire de la plongée lac en eau froide, point barre. C’est dommage d’en arriver là, mais la prévention ne suffit pas et on à un moment on est obligé de forcer la main. Cela dit en théorie c’est aussi au club de plongée de vérifier que les plongeurs qu’ils emmènent sont aptes.
  4. Effectivement, je recommande aussi. Je ne connaissais pas avant récemment, mais j'ai rencontré Corinne (la rédactrice) dans un club de plongée aux Philippines, qui m'a parlé de son blog, et depuis je m'en inspire
  5. Bravo pour les photos, elles sont magnifiques. Pourrais-tu donner un ordre d'idée du prix, pour 2 semaines de plongée aux Raja Ampat ? C'est quelque chose dont je rêve mais le prix des voyages clés en main m'a toujours refroidi
  6. Si tu passes par le Mexique, effectivement les cénotes paraissent incontournables. Et tant qu'à être dans le Yucatan, tu peux visiter les sites Maya (pour le tourisme "classique") et ensuite aller faire au un saut sur Cozumel pour plonger Et après tu peux aller faire un tour dans le reste des Caraïbes. Niveau plongées tu as bien sûr l'Egypte... Cependant, le tourisme classique en Egypte sera plutôt dans de la vallée du nil (Alexandrie, Louxor), ce qui n'est pas vraiment à côté des cotes de la Mer Rouge. Les Maldives pour voir du gros... mais là à part plonger il n'y a rien à faire, donc je ne conseillerais pas (sauf si le but de ton voyage est essentiellement de plonger). Ensuite tu as de bons spots en Asie du sud-est. Les Philippines me semblent incontournables (aussi bien pour les plongées exceptionnelle que pour le tourisme sur la terre ferme). La Thaïlande c'est chouette, l'Indonésie aussi. Même si j'ai aimé Bali en général, je n'ai pas trouvé que les plongées y soient exceptionnelles non plus.
  7. Comme ça . Sinon je comprend le (faux) problème, surtout à l'étranger dans les mer chaudes, où le service est tel que les gentils gars qui sont sur le bateau s'occupent de tout. On est vite tenté de se laisser porter par le truc, et des laisser les autres bricoler notre matos (chose qu'ils font par réflexe car 90% des plongeurs trouvent ça appréciable voire normal). Mais il faut être capable de vérifier quand même son matos, même si " le gars qui fait ça tous les jours depuis 10 ans" l'a déjà fait. Au moins en France on a pas ce problème là, puisque la règle est plutôt "t'es grand donc tu te dém*** avec ton matériel" (d'ailleurs on t'a pas vu aider à porter les blocs, tu te crois où ? )
  8. Salut, Moi qui suit frileux j'ai fait toutes mes plongées en 5mm. En Cénote c'est juste ce qu'il faut, et comme dit plus haut en mer si on a chaud suffit d'ouvir un peu. Si vous n'avez qu'une 3mm, effectivement si madame est frileuse ça peut être une bonne idée de rajouter un shorty dans les cénotes (l'eau était à 24°C quand j'y étais)
  9. C'est-à-dire en cohérence avec la majorité des plongées tout court, non ?
  10. Effectivement normalement l'aiguille fait le yoyo quand le bloc est quasi-fermé. Je pense que dans mon cas, j'ai dû faire un trop grand 1/4 de tour: vanne suffisamment entreouverte pour que l'aiguille ne fasse pas de yoyo à 200b en surface... mais pas suffisamment ouverte pour qu'à 20m et 90b restant, le débit d'air soit suffisant pour inspirer.
  11. Salut, Personnellement j'ai déjà eu le souci. Une plongée comme tant d'autre, un beu le bordel sur le bateau (comme souvent), je fais des aller-retour, je sais plus si j'ai ouvert mon bloc ou pas. Je touche le robinet, je l'ouvre (enfin c'est ce que je pense...), 1/4 de tour réflexe. Je m'équipe, mano main gauche, détendeur en bouche, je respire 2 grands coups. C'est bon y'a de l'air, l'aiguille est toujours à 200 bars: ma bouteille est ouverte. Check, body check, on y va. La plongée se passe bien, puis arrivé à mi-bouteille je commence à avoir du mal à faire de grandes inspirations... le temps passe et le problème s'accentue, si bien que rapidement je suis incapable de faire des respirations complètes, pourtant il me reste 90b. En regardant mon mano, je constate qu'à chaque inspiration, l'aiguille redescend et atteint le 0 (et c'est le moment où je ne peux plus insiprer plus). Je comprend rapidement que le robinet est en réalité fermé (à 1/4 de tour près). Donc j'ouvre correctement mon robinet, et le reste se passe bien. Heureusement ce petit souci n'aura pas porté plus à conséquence, mais ça souligne le fait que le risque existe. Si ma bouteille avait été complètement fermée, je m'en serais rendu compte avant de me mettre à l'eau ; alors que là ça n'est pas apparu tout de suite. J'ai l'impression (peut être ai-je tort), que la règle des "1/4" sert à pouvoir fermer son robinet quand il a été ouvert par un bourrin ? Est-ce qu'il ne serait pas plus judicieux d'apprendre aux gens à ouvrir normalement le robinet et que ça ne sert à rien de forcer comme des boeufs une fois arrivé en butée (le robinet va pas se fermer tout seul une fois sous l'eau), plutôt que d'invoquer une règle empirique pour se prémunir de ces bourrins ?
  12. Il y a aussi certains mots ou comportements agressifs qui ne tombent pas sous le coup de la loi (et donc aucun risque que ça aille "plus loin" dans la vraie vie), que l'anonymat permet mais qu'ils ne se permettraient pas dans la vie réelle car ils s'en prendraient une. Je pense à des messages agressifs et méprisants par exemple (je n'ai pas d'exemple particulier sur P.com).
  13. Salut, En règle générale à l'UCPA, plus le prix du séjour est cher, plus la moyenne d'âge est élevée. L'an dernier j'ai fait El Gouna (Égypte), la moyenne d'âge était de plus ou moins 30 ans, effectivement. (J'étais dans la moyenne). C'est pas pour autant qu'on allait se coucher à 21h avec une tisane, on allait aussi boire des coups et faire la fête, raisonnablement, le soir, entre "vieux" de 30 ans. De toute façon, en plein séjour plongée, c'est pas hyper recommandé de se mettre une caisse si on plonge le lendemain matin à 9h... donc 20 ans, 30 ans ou plus, la bonne conscience devrait limiter ce genre de comportements dans les séjours plongée. Il y avait aussi des beaucoup plus jeunes (18-20 ans), qui avaient le même rythme que les plus vieux. Globalement, même si la moyenne d'âge sera plus élevée dans un séjour plongée en Égypte (cher), que dans un séjour ski dans les Alpes (pas cher), ça reste l'UCPA, ça reste jeune, ça reste bon enfant. Et ça reste quelque chose que je conseille. Ensuite, un séjour orienté plongée, c'est pas ce qu'il y a de plus conseillé pour faire la bringue. (mais c'est pas pour autant que c'est le calme plat) (Je précise que je n'ai jamais fait de séjour plongée en France avec UCPA)
  14. Pas trop d’accord sur l’apnée. Je rejoins l’avis de certains, je suis pas sûr (et même plutôt persuadé du contraire) qu’une apnée de 25m soit représentative de la capacité de quelqu’un à réagir à une panne d’air en conditions réelles. Je m’explique : quand on fait de l’apnée on se met en condition apnée. On respire bien au préalable, on se détend, on est en condition. On inspire un grand coup et on part faire nos 25 mètres, les doigts dans le nez. En plongée c’est pas la même histoire. Je fais ma plongée avec une respiration normale, j’inspire, j’expire, j’attends quelques secondes, et quand je ressens le besoin d’inspirer de nouveau je le fais. La plongée passe, j’inspire, j’expire, j’attends quelques secondes (poumons quasi vides), j’ai besoin d’inspirer… et clac ! ya rien qui vient, mon bloc est vide, un joint a lâché, peu importe. Je me retrouve à devoir gérer une situation stressante, poumon vide, j’ai besoin de respirer quoi. Est-ce que mes 25m d’apnée, dans les conditions idéales du N3 vont me permettre de gérer la situation correctement ? Personnellement j’ai un doute. Moi si ça m’arrive, je pense que ça sera une autre histoire (surtout à 40m et + !), et que ma belle carte d’Apnéiste Confirmé (pourtant 75m d’apnée dynamique et 3’ de statique) ne m’aidera pas. Alors certes en plongée réelle on est pas à 25m de son binôme… mais on est pas non plus collé à lui (sauf cas particulier des plongées avec 0 visi). Je ne dis pas que l’épreuve d’apnée est inutile. Mais je trouve ça paradoxal de coller de l’apnée à des N3, et de ne pas trop mettre l’accent sur le préventif, c’est un peu contradictoire, autant voir les deux non ? Concrètement (du moins lorsque moi j’ai passé mon N3), tu pars plonger à 60m avec ton 12L, un détendeur et un octopus et ça pose de problème à personne Sinon je suis entièrement d’accord sur la nécessiter de juger le niveau physique, et l’aisance, pour un N3. Mais je ne pense pas que l’apnée soit un bon moyen. My opinion
  15. J'ai déjà plongé dans de l'eau à 13°C, en semi de 7mm + une souris, cagoule et gants bien entendu. Ça se fait, mais je me les suis gelé. Si j'avais pu plonger en étanche je l'aurais fait :p
  16. Excellent Par contre il y a quelque chose de bien avec Facebook, c'est que pour le partage (voire le stockage) de photos, c'est illimité ! Alors que faire son propre blog indépendant, dépassé une certaine taille (vite atteinte avec des photos), ça devient payant.
  17. Merci à tous les 2 Pour la plume de mer, effectivement Pteroeides sp semble bien correspondre au niveau des couleurs !
  18. Ou bien que les plongées profondes sont finalement assez rares... Il serait intéressant d'avoir des stats sur le nombre de plongées effectuées en zone profondes vs le nombre d'accident.
  19. Ben ça c'est une règle qu'une structure conscienceuse doit devoir appliquer (dans mon ancien club c'était 50 plongées mini avant de commencer la formation N3, par exemple). Mais c'est pas systématique vu qu'en pratique rien ne l'impose réellement.
  20. Au temps pour moi, j'ai pas fait l'effort de chercher plus loin. (Il n'empêche que ça doit exister, j'ai croisé pas plus tard qu'il y a 2 semaines un N3 avec 25 plongées...).
  21. Bonjour, Je reviens d'un séjour aux Philippines, où j'ai bien entendu plongé à de nombreuses reprises. Ceux qui y sont déjà allé le savent, en termes de biodiversité c'est exceptionnel. Et justement, il y a 2 machins que je n'arrive pas à identifier. Je n'ai pas trouvé sur Doris non plus (probablement ai-je mal cherché...), donc si quelqu'un pouvait m'aider... Merci !
  22. Un exemple pris au hasard en tapant "Passage N3" sur google: https://www.aquadomia.com/formation-plongee-niveau-3-pa60/ Ils te proposent une formation N3 sur 4 jours... Je ne sais pas ce que ça vaut (même si j'ai une petite idée ) ni si il y a beaucoup de clubs/organismes qui ont ce genre de pratiques, mais en théorie il semble possible de se pointer dans un club et demander à passer le N3, comme ça, à l'arrache. A partir de là, il doit y avoir des clubs qui font le truc sérieusement (sur plusieurs semaines), mais doit bien y en avoir quelques uns qui te torchent le truc en quelques jours. Quand on est dans un club à l'année, et qu'on s'entraine toutes les semaines, même en piscine, la notion de contrôle continu a du sens (et est pertinente). Quand on passe son N3 sur sa semaine de congé, c'est différent. De toute façon c'est un peu le problème inhérent à toutes les formations où le diplôme est donné par l'organisme qui fait la formation. Il y a beau y avoir des standards définis à haut niveau, en réalité la qualité de la formation (et donc du diplôme), va différer grandement d'un organisme à l'autre.
  23. Ce n'est pas ce que j'ai dit. Je dis juste qu'il ne faut pas partir du principe que telle chose est impossible uniquement parce-qu'elle l'est pour nous. Maintenant si tu es adapte du sophisme et que tu extrapoles tout jusqu'à en tirer des conclusions comme tu le fais, libre à toi, mais ne m'implique pas là dedans. Il y a une différence entre l'approche: "C'est impossible pour moi" => "C'est impossible pour tout le monde" (le raisonnement de certains) Moi ce que je dis, c'est: "C'est possible pour untel" => "Il n'y a pas de raison a priori que ce soit impossible pour un autre" (sans que ça implique forcément que ça soit possible...). Par contre je n'ai jamais dit: "C'est possible pour untel" => "C'est possible pour tout le monde" (ce que tu penses ce que j'ai dit)
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Bonjour,

 

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