Texte fourni par ChatGPT.
Chère communauté aquatique,
Permettez-moi de vous narrer l'histoire rocambolesque qui se déroule au cœur de notre chère entreprise, Diver's Feet, où les palmes de plongée ont des noms, des ambitions, et parfois même des ennuis !
Je suis Palmo, une palme de plongée anthropomorphe, qui a eu le privilège (ou le fardeau, c'est selon) d'être engagé comme agent d'accueil puis au service Attribution pour le groupe Diver's Feet. Mon directeur, Palmi, était un personnage tout droit sorti des profondeurs de l'océan, avec un sens de la direction qui aurait pu rivaliser avec celui des baleines migratrices. Mais notre histoire prend un tournant quand Sparkie, un autre palmé plein d'énergie, est nommé directeur adjoint par Dottie, notre gestionnaire en chef.
Tout semblait nager comme sur des roulettes jusqu'à ce que Skipper, notre ancien collègue, prenne la vague vers d'autres aventures. C'est là que les ennuis ont commencé à buller à la surface. J'ai découvert que les attributions des pieds des plongeurs se faisaient dans les eaux troubles de l'irrégularité.
Le processus ? Un mystère digne des abysses ! Tous les premiers mercredis du mois, Harland, membre du Conseil d'Administration, émergeait des profondeurs avec une liste de familles de palmes anthropomorphes à caser sur les pieds disponibles. Et là, mes amis, c'est là que ça devenait aussi biscornu qu'un poulpe en tutu ! Nous étions obligés de travailler sur cette liste, même si les dossiers des candidats étaient aussi vides que les abysses de la mer de Sargasses.
Une commission secrète, une sorte de club des profondeurs clandestin, se réunissait sans tambour ni conque pour décider du sort des palmes. Sparkie, devenu directeur entre-temps, naviguait entre les bureaux et les salles de réunion, modifiant la liste à sa guise, comme un capitaine jonglant avec les courants marins. Moi et ma collègue, nous étions là, comme des poissons dans l'eau, à jongler avec les dossiers, à les constituer et les compléter pour qu'ils soient avalisés par cette mystérieuse commission.
La liste normale de passage par critères de points ? Oubliée comme une vieille bouée abandonnée ! Certains dossiers passaient et repassaient comme des vagues insistantes, tandis que d'autres restaient au fond de l'océan des tiroirs. L'ancienneté des demandes ? Aussi ignorée qu'une méduse dans un concours de beauté. La gestion des dossiers en souffrance ? Un naufrage organisé où les justificatifs disparaissaient plus vite que le Titanic.
Et comme si ça ne suffisait pas, des critères spécifiques et totalement non légaux étaient de rigueur pour les attributions en école de plongée. Les pieds des enfants étaient réservés aux palmes de natation, une règle sortie tout droit du fin fond de l'imaginaire marin, sans la moindre base légale !
Et puis, comme une tempête dans un verre d'eau salée, je me suis retrouvé licencié, jeté comme un vieux filet troué. Mais je ne vais pas me laisser couler sans me battre ! Les prud'palmes vont avoir du fil à retordre avec moi, car je suis déterminé à faire éclater la vérité comme une bulle d'air sous pression.
Alors voilà, chers amis plongeurs, plongeuses, et autres créatures marines, je vous livre mon témoignage avec toute l'humour et la dérision que peut avoir une palme de plongée anthropomorphe. Et que la Justice, comme les courants marins, fasse éclater la lumière sur cette affaire aussi sombre qu'une nuit sans lune au fond de l'océan.
Sur ce, je retourne barboter dans les méandres de l'administration, en espérant ne pas croiser de requins en costard !
Amicalement (ou presque), Palmo