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Typhon

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Tout ce qui a été posté par Typhon

  1. Je trouve au contraire qu'il y a plein de raisons pour ça sans même avoir à penser fiabilité, à commencer par la plus évidente pour une majorité des ordinateurs : si tu mets en mode erreur le plus pénalisant dès la première plongée il ne te servira plus à grand chose.
  2. Je suis d'accord. Il me semble alors tout autant compliqué d'écrire "le test 2 x 30 permet très bien d'estimer le risque [...]". Estimer que le risque peut augmenter ou diminuer, à la rigueur. Mais comme tu le dis, on ne sait pas de combien : ça ne permet pas encore de conclusion intéressante. Y compris même de dire que l'un serait "plus risqué" que l'autre, cette phrase ayant en langage commun un sous-entendu "de façon non-négligeable" qu'elle n'a pas dans le langage formel qui permet d'exprimer cette conclusion.
  3. Je ne suis pas complètement sûr de comprendre, est-ce que c'est correct ? Ta situation actuelle : - Tu as actuellement deux S80 non-oxyclean avec un robinet DIN - Tu ne disposes pas de détendeurs oxyclean Ton objectif : tu voudrais disposer d'au moins un ensemble bloc + détendeur oxyclean, et tu te poses la question pour le deuxième. Si c'est ça, comme on t'a déjà répondu plus haut, l'important en priorité c'est ce que tu mets dans tes blocs et détendeurs, pas leur robinetterie. Pour simplifier, un bloc qui va voir plus de 40% d'oxygène dans sa vie ne doit jamais contenir que du « propre » (oxygène ou air/nitrox surfiltré). Un bloc qui a vu de l'air ou du nitrox pauvre non-surfiltré ne doit plus être gonflé directement avec de l'oxy (donc pas de pression partielle, tu peux gonfler au stick jusqu'à 40% en revanche). Idem pour les détendeurs. C'est un minimum, on peut aussi le cas échéant adopter une discipline plus stricte comme @christophe 38 qui ne met jamais de nitrox dans ses blocs oxy. Attention que le surfiltrage ne doit pas être fait n'importe comment. Une fois que tu respectes cette règle correctement, niveau sécurité c'est a priori bon. Reste à voir la logistique : si tu dépends d'un gonfleur externe pour tes mélanges riches et qu'il exige du M26, pas le choix, il va bien falloir y passer. Selon son pointillisme, ça peut être uniquement pour les mélanges >40% ou pour tous les nitrox >22%, auquel cas tu peux adapter tes différents blocs, tout en différenciant leur usage comme expliqué au paragraphe précédent. Pour tes détendeurs, encore une fois je ne saisis pas trop où tu en es, mais si tu as besoin de t'équiper en nouveau matériel autant les prendre avec la queue qui va bien (ça évite de rajouter l'adaptateur). Mais si c'est juste une question de norme, changer la vis du détendeur c'est 30 balles et un tour de clef allen.
  4. Avec un petit bémol de réalisme : quand on prépare un niveau, il faut tenir un minimum compte de l'avis de celui qui va signer la carte. Les anglais le font. Au niveau Ocean Diver, c'est-à-dire leur niveau 1. Est-ce que ça leur facilite la tâche ? Pas forcément, mais ça ne la rend pas impossible, et si on plonge en étanche il faut bien savoir remonter avec. Mais comme @LGF l'a très bien dit, "seul contre tous" ça risque de mal se passer, il faut au minimum un formateur bienveillant et compétent pour apprendre à faire.
  5. Sans aller bien loin, les plongeurs britanniques sont systématiquement en étanche dès leur premier niveau. Il va simplement falloir que tu trouves quelqu'un pour te montrer comment t'en servir, et ensuite ça demandera peut-être un certain temps d'adaptation. Ça ne sera pas bien long et tu devras de toute façon y passer que tu sois PN2 ou Niveau 14. Pour ta formation en elle-même, tu verras comment ça se passe. Reste ouvert à la possibilité de cocher les cases avec ta combi de chasse, une fois ton niveau validé tu seras plus tranquille pour plonger confortablement. Encore une fois les britanniques font des assistances en étanche dès leur « niveau 1 », mais si tu tombes sur un formateur pénible (traduction : il ne sait pas faire et il va te le reprocher), n'hésite pas à renfiler l'humide pour t'en débarrasser.
  6. "Madame ça sert à quoi dans la vraie vie les maths ?"
  7. Pour quelqu'un qui ne veut pas de wing avant de passer ses niveaux fédéraux ?
  8. C'est un détail dans la discussion, mais en plus de la procédure « à la main » en suivant le GF surface/99 en direct, tu peux changer le GH haut en cours de plongée au moins sur les shearwater (et certainement sur les autres ordinateurs du même genre que je n'ai pas essayé).
  9. Sans savoir si c'est la bonne réponse, une explication plausible serait que le plongeur soit passé directement du NC en ouvert au recycleur, puis au diluant trimix, sans passer par la case trimix ouvert. Pour quelqu'un qui n'a jamais particulièrement travaillé des remontées maîtrisées depuis la profondeur (bien sûr à l'air on évite les fusées, mais c'est moins strict et on a en général moins de blocs et de changements à faire), le fait de rajouter de l'équipement (même non utilisé) ne va pas faciliter l'apprentissage. Pour un plongeur déjà qualifié trimix en ouvert, on part au moins d'une situation maîtrisée et on rajoute le recycleur qu'on n'utilise pas. La marche est moins haute. Il y a quand même toujours le volume de la boucle à gérer, comme on ne respire pas dessus elle va contenir peu de gaz mais on ne peut jamais la vider complètement. Ça aide de la purger manuellement une fois de temps en temps.
  10. ... oui ok ? À ce compte là, heureusement que l'objectif de la norme CE n'était pas de résoudre la faim dans le monde ou le spam sur internet. Il y a eu un paquet de progrès techniques sur les recycleurs depuis l'époque de ta construction. Pour autant, le principe général reste forcément plus ou moins le même : on respire dans un sac, on fixe le CO2 et on réinjecte de l'oxygène. Du coup forcément si tu te bases uniquement sur un aperçu superficiel en surface d'une machine conçue il y a 20 ans, tu ne pourras constater grand chose. Mais tu te mets le doigt dans l'oeil si tu penses que c'est une conclusion pertinente.
  11. La norme n'a jamais eu pour objectif de "pousser au progrès technique". Par ailleurs si tu voulais constater des progrès techniques de conception, peut-être que prendre une machine "conçue il y a 20 ans" n'était pas la meilleure des idées... Et c'est en mettant de côté le biais inévitable en faveur d'une machine que tu as construite et plongée des années par rapport au Revo que tu as à peine entrevu.
  12. Tu as le droit de plonger presque partout avec ton recycleur construit dans ton garage. Contrairement à l'autogire tu n'as même pas besoin du moindre diplôme pour ça.
  13. On devrait ou on pourrait imaginer plein de choses, mais à partir du moment où une norme CE existe pour les recycleurs, difficile d'imaginer qu'elle ne parle pas en tout premier lieu des moyens de contrôler sa ppo2. En ouvert tu plonges de fait avec des détendeurs et des blocs aux normes (en mettant de côté les arguties pseudo-juridiques sans intérêt sur le changement de la couleur des tuyaux). Personne ne se pointe dans un centre avec un détendeur fait maison, et si tu arrives avec une chambre à air à la place de ta wing tu risques d'avoir au minimum des gros yeux. En recycleur de fait la CE nous embête parce qu'il existe un tas de recycleurs qui ne l'ont pas, qu'ils soient modifiés, fabriqués maison ou simplement à trop petite échelle par un fabricant qui a estimé que le marché européen n'en valait pas la peine. C'est regrettable mais la situation est très différente, on peut reprocher beaucoup de choses au code du sport en terme de recycleur et de plongée technique en général (voire de plongée tout court), mais sur l'exigence CE il est malheureusement difficile d'en attendre moins sans faire sauter complètement toute référence au recycleur. Et il se trouve que le triton est certifié CE avec le monox. Donc techniquement, sans le monox pas de CE. On peut encore une fois le regretter, et peut-être que d'autres machines se sont débrouillées différemment, mais à un moment il faut bien certifier quelque chose de concret...
  14. Pour le monox, j'ai trouvé la solution. Une plongée en oubliant de refermer le bouchon après chargement, et toutes les suivantes pour se rendre compte qu'avec le nerd on s'en passe très bien J'ai fini par le faire réparer , parce que ça m'était arrivé d'oublier le chargeur du nerd (mais pas celui du monox) en partant en vacances et qu'il en faut bien au moins un d'utilisable. J'ai hésité à carrément remplacer le monox noyé par autre chose. Le nerd en principal est extrêmement pratique, dans la plupart des plongées je ne regarde que ça (... surtout quand le reste est noyé) mais tant qu'à mettre un appareil secondaire, j'ai espéré pouvoir trouver mieux, quitte à devoir de toute façon racheter quelque chose. Un petrel par exemple aurait avantageusement remplacé le monox pour l'affichage de la ppo2, avec en bonus le calcul de la décompression. Je plonge en général avec un perdix déconnecté au poignet, un petrel connecté aurait pu remplacer le monox (clippé sur le triton ou laissé dans le sac) et le perdix. Mais je tiens à plonger avec un hud, aussi minimaliste soit-il. Le nerd fait très bien l'affaire, mais puisque l'objectif n°1 était d'avoir un backup pour les plongées où il n'est pas utilisable, il me fallait un hud secondaire. Donc exit le petrel. Il existe bien des hud alternatifs (shearwater, ou divesoft, ou autre), mais sans avoir les fonctionnalités d'un ordinateur, l'intérêt me semblait plus limité. Un deuxième nerd aurait techniquement coché les cases. Mais autant le premier s'oublie quand on ne le regarde pas exprès, autant ça ne m'inspire pas plus que ça en terme d'encombrement de la boucle d'en avoir un de chaque côté. Finalement j'ai donc gardé le monox, avec son hud simplifié (tant qu'à faire j'ai pas besoin de compter les clignotements). Le monox lui-même restera dans le sac du triton et voilà. Au moins je suis plus tranquille sur le CE. Dans mes rêves, j'attends que m3s propose un remplacement du monox avec une interface aussi intuitive qu'un shearwater, un calcul de décompression, un hud aussi facile à lire que l'actuel, une batterie qui ne se décharge pas au sec et qu'on ne peut pas malencontreusement noyer aussi facilement. En attendant, finalement le monox fait le job...
  15. Je n'aimerais personnellement pas devoir faire confiance à des rilsan, mais de fait sur cette fixation ils ne sont pas soumis à beaucoup de torsion. Contre les UV un bout de manchon thermorétrécissant pourrait faire l'affaire (mais du coup il faudrait refaire l'attache pour l'y glisser avant de fermer), visuellement ça cache l'état des colliers par contre.
  16. Si tu veux un Revo c'est très bien, mais je ne sais pas d'où tu sors ces chiffres. Le triton neuf sans ordinateur connecté (simplement un monox pour lire ta ppo2) est à 4695 € HT (soit 5634 € TTC) sur le site de M3S . Il se branche sur n'importe quelle configuration ouverte, tu n'as pas besoin d'un bi-bouteille. Et tu n'auras pas plus de câbles que sur un revo avec deux revodream.
  17. 1. Tu as testé ton octopus, donc respiré dedans. Il faut combien de temps de "rinçage" à l'eau de mer pour tuer des bactéries ? 2. Si l'enseignement de l'échange d'embout se fait tout court, c'est pour savoir le faire en vrai. Il y aurait certainement à dire sur le sujet, reste que même la doctrine fédérale continue de penser qu'il est préférable d'éviter le rhume en entraînement, mais qu'en situation de noyade potentielle c'est une solution acceptable.
  18. "je n'ai encore jamais eu besoin de [X] donc [X] ne sert à rien" ? Je ne comprends pas ce que tu essayes de montrer.
  19. Ça c'est la théorie, c'est beau tout le monde fait bien comme il faut. En pratique, il faut arrêter l'hypocrisie deux minutes. Vérifier son matériel avant la plongée, ça a beau être enseigné depuis le niveau 1, dans une écrasante majorité des cas on constate que c'est fait, au mieux, à la va-vite. Quelle est par exemple la proportion de plongeurs qui vérifie son octopus dans l'eau et pas juste en montant son bloc (voire si on a de la chance sur le bateau) ? Si ce n'est pas fait, tu peux aussi bien considérer qu'il te donne de l'eau avec ton air. Pour une assistance, c'est moyen. Enfin, si tu essayes de me dire que tu contrôles systématiquement tout ton matériel avant de t'immerger, que tu testes tes détendeurs dans l'eau dans 100 % des plongées et que ton bubble check à 3 m est absolument systématique, ok. Comme je n'ai pas envie de perdre de temps je vais prendre mon plus bel air admiratif et faire semblant de te croire (mais n'en penserai pas moins). La suite de la réponse n'en est pas moins vraie : si ces vérifications étaient infaillibles, on n'aurait pas besoin de détendeur de secours du tout. Tu remarqueras que je ne prétends pas que la procédure tuyau long "standard" est la seule façon de faire : si tu veux utiliser un octopus monté de façon plus classique, ça ne me pose aucun problème. Je l'enseigne, je le pratique parfois (en regrettant le sidemount ), je n'ai aucun problème à plonger avec quelqu'un équipé de cette façon. Ce que je dis, c'est que le tuyau long a pour avantage n°1 de donner un détendeur dont on sait de source sûre qu'il fonctionne, et que cet avantage, s'il n'est pas en soi suffisant pour disqualifier les autres méthodes (qui ont les leurs, par exemple une première prise en main plus facile), n'en est pas moins incontestable.
  20. Ou dans le nez, de travers etc ... ( Diffraction ) Ton principal en bouche, c'est-à-dire ton détendeur principal que tu as en bouche. Tu plonges avec ton détendeur dans le nez toi ? Par ailleurs la technique "standard" consiste à présenter ton deuxième étage, pas à l'enfourner dans la bouche de l'assisté. À un moment, si même comme ça (ou en le prenant lui même) il n'arrive pas à le prendre, de deux choses l'une : soit aucune technique ne l'aurait sauvé, soit il faut reprendre les bases du niveau 1. C'est vrai, mais Il arrive aussi que l'on teste son matériel avant de s'immerger Mauvaise réponse. D'une part, il arrive infiniment plus souvent, surtout en plongée loisir, qu'on ne teste pas son matériel avant de s'immerger. D'autre part, si la procédure de partage d'air existe, c'est précisément parce "qu'il arrive" que les vérifications ne suffisent pas. Il arrive qu'on vérifie que son détendeur fonctionne, il arrive qu'on vérifie son air au cours de la plongée, et pourtant on plonge toujours avec un octopus et on apprend la procédure de panne d'air. Qu'en dire ? Ton équipier pourrait avoir un problème mais ton détendeur de secours en est infailliblement exempt ? Qu'en sait on? Ça c'est dans un monde parfait ! Si l'on m'arrache le détendeur que j'ai en bouche, ça pourrait me surprendre ! Entre la surprise et la panique, il y a une marge ! Ça ne sera certainement pas les cinq secondes les plus confortables de la plongée, mais selon toute probabilité, tu seras largement plus à l'aise à ce moment là que ton équipier qui palme en apnée expiratoire depuis une demi minute et qui vient enfin de réussir à retrouver de l'air. Si ce n'est pas le cas c'est probablement que tu plonges largement au delà de tes capacités. Correctement entraîné et exercé, le passage sur le secours ne devrait être qu'une formalité. Je ne comprends pas pourquoi tu te donnes la peine de contredire point par point un message pour finalement arriver à la conclusion écrite dans ses premières lignes. Les procédures en premier, le matériel en découle, rien de nouveau sous le soleil. Mais bon, à un moment les "standards" n'existent pas que pour enrichir les instructeurs : il y a de très fortes chances que ce qu'ils proposent après des années d'expérience(s) soit largement supérieur à la technique perso d'un plongeur qui pense savoir mieux que les autres sous prétexte qu'il se trouve "à l'aise".
  21. Maintenant que la question a été vite répondue et qu'on en est déjà à la deuxième page de messages en rapport, il est temps de dériver. Tu as l'air de partir un peu vite vers une configuration assez hasardeuse. Ou, vu d'une autre façon, de commettre l'erreur classique de partir sur le matériel d'abord et de penser aux procédures ensuite. Il faut raisonner dans l'autre sens : un tuyau de 2 m, c'est super lorsqu'il est au service d'une configuration pensée pour. Et, disons le tout de suite, il n'y a pas 36 façons propres de faire. Par contre, si c'est pour le mettre un peu n'importe comment en comptant sur le fait que le matériel va jouer son rôle tout seul, ça va être non seulement inefficace, mais en plus certainement désagréable. Pour faire court, la façon habituelle de plonger avec un tuyau long, c'est de l'avoir sur le détendeur principal. On l'installe en faisant une sorte de boucle autour du corps, tu trouveras photos ou vidéos en ligne. Et on respire dessus pendant la plongée. Le détendeur de secours est, au contraire, comme on t'a dit plus haut, sur un tuyau très court (de quoi faire le tour de ton cou, en gros) et attaché sur un "tour de cou" (google images), une sorte de collier élastique qui lui permet de pendre juste sous le menton. En cas de besoin de partage d'air, il se passe exactement ce que tu disais plus haut : tu donnes ton principal (en bouche) à ton assisté. Ou il le prend tout seul s'il est en panique. Tu sais qu'il fonctionne, puisque tu respirais dessus à l'instant : c'est l'avantage n°1 de la chose. Ensuite, comme toi tu n'es pas en panique, et que tu as ton secours qui pend juste sous le menton, tu passes dessus en un mouvement (parfois, même pas besoin d'utiliser les mains). Pas d'octopus à aller chercher sur un clip à gauche, ou alors est-ce qu'il était plutôt à droite, non ici c'est mon parachute, ah attends il s'est détaché tout seul en fait. Et pas besoin de jaune Ensuite, sans forcément aller vers un cours spécifique (même si c'est évidemment encore mieux, on n'a pas forcément la possibilité), ça vaut le coup de regarder au moins une vidéo bien faite pour comprendre à la fois comment le partage fonctionne et comment évoluer par la suite. C'est vraiment pas sorcier, mais ça s'invente pas forcément tout seul, il y a un ou deux trucs de positionnement qui te simplifieront bien la vie (surtout si tu comptes t'en servir pour prolonger une balade plutôt que remonter immédiatement à la surface).
  22. Je n'ai pas vérifié les détails des chiffres, mais vus ceux de la page précédente ça ressemble beaucoup à un bête artefact statistique. Les échantillons restent très petits et les incertitudes importantes ("entre 500k et 1M plongées en ouvert", du simple au double !) ; les deux ensemble causent très probablement une forte instabilité d'un "ratio" de risque. Les eccr sont a priori sensiblement plus répandus dans le loisir (parce que Inspiration), il suffit de pas grand chose, quelques mccr qui passent entre les gouttes, pour le modifier drastiquement en apparence. Il ne faut pas accorder trop d'importance au "300 vs 900".
  23. Supposons que minimiser l'iss soit une heuristique fiable. Supposons aussi que les algorithmes actuels ne sont "pas trop mauvais". Trouver une durée de desat est simple : in prend un algorithme "pas trop mauvais". Si on optimise l'iss sur la même durée, à supposer que les heuristiques ci-dessus sont valides, on ne devrait qu'améliorer la décompression. Ça ne permet pas encore de trouver un profil sûr encore plus court, mais ça devrait déjà être un net positif.
  24. C'est un site étranger. Il faut attendre que la communication des derniers résultats scientifiques soit traduite.
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Bonjour,

 

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