val74700

Là tu compares le poids apparent du fût de 15 litres sans la robinetterie avec le bi gréé de ses deux robinets plus manifold plus cerclage.... Si quelqu'un à une idée du poids approximatif d'un robinet double.... ?

Ton poids apparent de 2.4 kgs pour le 15 litres c'est avec la robineterie ? Donc d'après toi un bi12 impose 6 kgs de lest de moins qu'un 15 litres ! Ca me paraît énorme comme différence

Ca j'peux pas , le 15 litres est au club et en hors club il ne le prête pas.

Bonjour, Je dois plonger samedi avec un collègue et avec un nouveau bloc. Histoire de ne pas pourrir la plongée et ne pas passer une heure à faire des tests de lestage avant d'y aller, j'aurais besoin de vos lumières. Jusqu'à maintenant je plongeais avec un 15 litre du club, lesté pile poil. Là je vais plonger avec un bi12. J'ai fait mes petits calculs en partant de 17.4 kgs pour le 15 l (mais ça j'n'en suis pas sûr) et 28.8 kgs pour le bi (juste les fûts) Avec une masse volumique de l'acier à la louche autour de 7.8 kg/litre j'obtiens un 15 litre quasi neutre ( +0.2 kgs de poids apparent) et un bi positif de +1.1 kg, ceci à vide. A 50 bars il faut rajouter 1.56 kg d'air dans le bi et 0.975 kg dans le 15 litres, donc un bi plus lourd de 0.585 kg. J'ai pas pris en compte la différence de poids de la robinetterie (le bi complet avec cerclage et robinet pèse 32 kgs, aucune idée du poids de celui du 15 litre ?) Donc là si je ne me trompe pas, je vais être plus lourd avec le bi d'environ 1.5 kgs si le 15 litre est bien à 17.4 kgs et pareil si il est à 18.6 kgs, c'est ça ?

[h=2]Anomalies[/h] Le cas le plus généralement connu d’anomalie dilatométrique est celui de l'eau, qui présente un comportement particulier dans sa phase liquide entre 0 °C et + 4 °C : lorsque la température augmente dans cet intervalle l'eau se contracte, son volume massique diminue, ce qui correspond à un coefficient de dilatation thermique négatif. Ce phénomène est couramment appelé le « paradoxe de l'eau ». Cependant, d'autres matériaux possèdent un coefficient de dilatation thermique négatif : le tungstate de zirconium, α-ZrW2O8, se contracte lorsque la température augmente entre - 272,85 °C et 777 °C, température à laquelle le matériau se décompose. Ce phénomène a aussi été observé pour d'autres membres de la famille AM2O8 (A = Zr ou Hf et M = Mo ou W)6 ; le germanate de cuivre et fer Cu2Fe2Ge4O13, monoclinique et constitué de chaînes d'octaèdres FeO6 en zig-zag le long de la direction b qui sont séparées dans la direction a par des dimères de carrés plans CuO4, a un coefficient de dilatation thermique négatif le long de a entre −233,15 °C et −73,15 °C, alors que dans les autres directions le coefficient de dilatation thermique est positif. Cette contraction thermique à basse température est supposée être due à la répulsion magnétique entre les ions Cu2+ à l'intérieur des dimères7 ; le borate de strontium et de cuivre SrCu2(BO3)2, quadratique et constitué de couches ondulées Cu2(BO3)2 dans le plan (a, b) séparées le long de c par des atomes de strontium, possède un coefficient de dilatation thermique négatif dans la direction c entre 76,85 °C et 121,85 °C. Ce matériau subit une transition de phase structurelle du second ordre à 121,85 °C : au-dessus de cette température les couches Cu2(BO3)2 deviennent planes, nécessitant moins de place dans la direction perpendiculaire c, ce qui explique le coefficient de dilatation thermique négatif8 ; la libéthénite Cu2PO4(OH) se contracte dans la direction c lorsque la température augmente à partir de 500 °C, signe précurseur de la déshydratation du matériau qui est complète à 580 °C9. Tiens, pour compléter

LEE, le fait d'évoquer des lois physiques c'est un exutoire à tout et n'importe quoi ? Va expliquer au mécano' de formule 1 ou de motoGP que faire le plein de leur bolide "au kilo" c'est n'importe quoi ! C'est même dans leurs règlements, tant de kilogrammes de carburant autorisé (105 kgs pour les formule1). Quand à ne pas refroidir les blocs sous prétexte de contrainte, j'avoue que j'ai du mal à saisir ! Le moteur de nos voitures qui chauffe, on le refroidi bien (à l'eau et à l'huile) pour éviter justement qu'il ne casse non ?

Quand a l'eau j'aurais du effectivement pour être plus précis exposer le fait qu'elle jouis d'une anomalie de dilatation. Un des rare élément à ne pas se comporter "normalement" avec une dilatation croissante en fonction de la température (avec quelques autes éléments "exotiques" qu'on est pas près de croiser en plongée). Evidemment je sais que l'eau est la plus dense à 4°C ! Et puis sinon il aurait aussi fallu prendre en compte le taux d'humidité de l'air qui influe sur cela, et sans doute bien d'autres choses...mais là on touche à la précision du calcul, et pas sûr que l'on s'amuse à gonfler son bloc au dixième de gramme, donc on peut rester dans une certaine approximation. D'ailleurs dans mon "tableau", j'ai mis les densité avec une précision de 10 grammes. Mais bon, à la base on parlait d'air....nan parc'que sinon on peut aussi évoquer la variation de volume des blocs de plongée en fonction de la température (ben oui, l'acier aussi se dilate)

J'ai jamais écrit ça, j'ai écrit que je gonflais (enfin, que je parler de...pareil, jamais dit que je le faisais, juste que c'était pas con de gonfler "àu poids" (à la masse pour être exact, sinon on va encore me rétorquer que le poids dépend de l'altitude ) en fonction de la température de l'eau dans laquelle j'allais plonger. C'est quand même pas tout à fait pareil !

Effectivement un kilogramme d'air à la même masse à 20°C et à 40°C. Le kilogramme d'air n'aura juste pas le même volume ...comme le plomb et la plume :froglol:. Ce que tu écris est juste vrai en milieu confiné, genre dans un bloc. Mais dans ce cas, c'est la pression qui augmente . La fameuse loi des gaz parfaits : PV = nRT

Franchement non. Si il n'y avait pas de différence de masse de l'air en fonction de la température, y'aurait pas un pêt de vent sur terre. C'est parce que l'air chauffe qu'il monte, et parce qu'il se refroidi qu'il redescend, formant les vents. Tout ce qui chauffe se dilate, et la dilatation c'est une augmentation du volume pour une même masse, donc une baisse de la masse volumique....comme dans mon tableau.

Je sens comme une certaine confusion chez certain entre masse, volume, densité, poids.....:froglol:

Ben non, là je parle de la température de l'eau dans laquelle tu plonges ! Au gonflage la température peu monter à 1000°C (là j'déconne hein...pas prendre au premier degré)on s'en fout du moment que tu ai la masse d'air recherchée pour une eau à une température donnée. Genre, si tu plonges au Léman dans une eau à 6°C, que t'as un un bi 10 et que tu veux avoir 230 bar dans cette eau, il te faut donc (230x20)/1000 x 1.26 (masse de l'air à 6°C), soit 5.8 kgs (précision au 100 grammes). Après tu mets ton bloc à gonfler sur une balance, tu le chauffes au chalumeau si ça t'enchante, du moment qu'au final ta masse augmente de 5.8 kgs, t'aura tes 230 bars à 6°C.

Et je rebondis sur ce que tu dis NTD : D'une effectivement ça n'enlève pas la nécessité de prendre des précautions, de deux, dans ce cas plus besoin de tableau, il suffit de lire le marquage sur les blocs, calculer la masse d'air que ça représente et ainsi on est sûr d'avoir bon.

Alors je reprends ton exemple : un 15 litres , 15°C, 230 bars (j'ai fait mon tableau ainsi, donc la flemme de..), c'est 4, 230 kgs de gaz. Point barre.

Aller, je les enc' pour vous T° : 4°C : 6°C : 10°C : 12°C : 14°C : 16°C : 18°C : 20°C : 23°C : 25°C kg/m3 : 1.27 : 1.26 : 1.25 : 1.24 : 1.23 : 1.22 : 1.21 : 1.20 : 1.19 : 1.18 Pour un bi12 à 230 bars ça fait quand même un demi kilo de gaz en moins entre 25 et 4°C !

Ben ça au final c'est juste le plus intelligent. Si 'y a bien un truc qui ne variera pas, c'est la masse du gaz embarqué. Il suffit d'avoir un tableau avec la masse de l'air en fonction de la T°, de connaître la température de l'eau où l'on va plonger et l'on est sûr d'avoir la bonne pression dans l'eau.

Bonjour, je profite de ce fil pour poser une question un peu du même type : Partant du principe que si on fait une plongée un peu engagée (profondeur x temps), il n'est pas stupide d'utiliser la règle des tiers à minima, donc un tiers pour l'aller, un tiers pour le retour, les paliers, et donc un tiers de sécu, voir plus en cas de planif' plus poussée, ou pire pour les sout' parfois à la règle des 1/4, 1/6eme ou je ne sais quoi ? Je me demande donc quel lestage je dois prendre : La coutume/logique serait d'être neutre à 3 mètres avec 80 bars (environ 1/3 sur 230 bars) dans le bloc, mais quid en cas de pépin (genre assistance air au buddy) que je "tape" dans les 80 bar et qu'il me reste moins...là ça devient chaud de tenir les paliers non ( 30 bars de moins sur un 15 litres ça fait 585 grammes environ) ? Et les sout', si vous êtes neutre quand tout va bien en rentrant avec la moitié ou les 4/6 eme, comment ça se passe si vous perdez du gaz et que vous rentrez avec "rien" ? Vous gérez ça comment ?

Ben déjà disons qu'en lac c'est rarement "grand beau", et en général à 40 il y fait nuit même en plein été et en plein jour donc... ;-) Ensuite les plongées "club" se font le mardi soir vers 20h00, et début novembre à 20h00 ben 'y fait déjà nuit :-) (nous étions les seul (2 élèves, le moniteur) ce soir là, pour finir la formation nitrox conf') Donc en gros ça ne changeait pas grand chose par rapport à d'habitude...et autant savoir faire une remontée de nuit ici. Pour ma part je n'emets aucune critique envers mon formateur sur le fait d'avoir fait ça, j'étais même carrément demandeur.

Pas de souci, bien sûr que j'ai l'intention de m'améliorer et de travailler tout ça...d'ailleurs j'attaque la formation N3 en avril. Là, la dernière remontée assistée que j'avais fait datait de mon N2 l'année dernière donc... Effectivement c'est un exercice à refaire encore et encore, surtout dans ces conditions. Déjà je me suis payé un masque à ma vue (et oui, presbyte à +2.50 sans verre correcteur, pas facile). J'ai dit que cétait pas simple, j'ai pas dit que je l'avais totalement raté ;-)

Je suis N2. Lors de ma formation nitrox conf' j'ai fait deux remontées assistées de 35 à 20 ...en lac, de nuit...ben c'est pas simple :eek:. Gérer les deux inflateurs, tenir l'assisté, essayé d'y voir quelque chose sur l'ordi (j'ai pas la chance d'avoir un OSTC ou un Perdrix avec un gros écran et de la couleur ), essayer de savoir si on monte, on ne bouge pas ou on descend, dans le noir...comment dire.... Je n'imagine même pas ce que ce doit être "en vrai"dans ces conditions

j'ai bien envie de partir avec l'étanche mais peur que ce soit un peu "too much". J'ai plongée cet été en Corse (27°C en surface, 17° "au fond) et j'ai bien aimé.... La combi de chasse c'est plus "fluide" sous l'eau, mais compressible. Après pas sûr qu'en croisière on descende profond... Et perso si je devais choisir entre combi de plongée et de chasse je crois que je prendrai celle de chasse...mais comme au final j'ai peu d'expérience (je n'en suis qu'à une soixantaine de plongées...)

Je m'incruste : croisière mi-octobre en Egypte pour moi. J'ai plusieurs choix à la maison : - 5 mm de plongée (décath'), éventuellement avec un shorty et/ou une souris néoprène ... mon premier achat "combi". - 5 mm de chasse - 7 mm (haut + long john) de chasse - étanche trilam (modulable pour les sous-vêtements) D'après vous, qu'elle est le plus judicieux ?

Pas sûr que le caisson est à voir avec l'amélioration de ton état, j'entends pas là ta perception de l'intensité des acouphènes. Ces petites bestioles sont sensibles à l'état psychologique de la personne atteinte. Le simple fait que tu ai été pris en charge au caisson, prise en charge correspondant à ton voeux le plus cher du moment, peu avoir suffit à t'apaiser et faire baisser la sensation d'intensité de ton acouphène. Comme tu le dis, c'est le silence qui est le plus insupportable, tout simplement parce que c'est à ce moment que l'acouphène est audible. Une acouphénométrie aurait sans doute révélé un acouphène d'environ 3 dB au-dessus du seuil d'audition à la fréquence concernée, et ce quelque soit le seuil et ta sensation d'intensité. 80 % (à la louche) des gens qui ont des acouphènes vivent très bien avec, tandis que cela est un problème parfois important pour les 20 % restant. D'ailleurs, t'a-t-on fait une audiométrie tonale, une acouphénométrie ?

Non, essentiellement démagnétisation des boutons de contrôles (dans mon cas le "UP", ce qui m'empêche tout changement de gaz, lecture de log, changement de mode SCUBA / APNEE, etc..)

J'ai le même souci, j'attends mes dernières plongées de l'année pour l'envoyer en SAV. Bouton "UP" qui ne fonctionne plus. Du coup bien galère, ça m'est arrivé pile avant les plongées de formation Nitrox Confirmé, donc impossible de faire les changements de gaz sur l'ordi. Je ne sais pas quel âge tu as, mais pour moi (presbyte) ça devient petit à lire, et effectivement le rétro-éclairage pas top (plongées en lac, donc toujours dans le noir et souvent avec de la touille). La ceinture oublie, ça n'a pas marché longtemps chez moi...p'têt un souci de pile de la ceinture, quoi qu'il en soit comportement "aléatoire" du cardio'. Je l'utilise aussi en apnée et là pas de souci. Je la trouve quand même bien complète pour une montre ordi de ce prix (3 gaz, apnée) et si ce n'est le problème de la lisibilité en étant presbyte et plongeant en lac (mais ça, n'importe quel ordi' d'à peu près cette taille j'aurais le problème de toute façon....), elle me satisferait pleinement. Pour moi la démagnétisation est arrivée après 2 ans, 60 plongées "bouteille" et un très grand nombre d'apnées. Pour le mode apnée RAS, ça marche bien, avec possiblilté d'alarmes de profondeurs (2), de vitesse de remontée (pour moi pas très utile, j'descends pas assez bas), temps de surface paramétrable, etc...