Jump to content
Plongeur.com - Le site de la plongée sous marine

VincentD

Membres
  • Posts

    622
  • Joined

  • Last visited

  • Days Won

    10
  • Country

    France

Everything posted by VincentD

  1. J’ai l’ancienne Paralenz et une GoPro désormais et effectivement, je préfère la GoPro qui me convient mieux, notamment - parce qu’elle donne de meilleures images que l’ancienne - parce qu’elle me permet de changer de batterie entre deux longues plongées et donc de ne pas avoir de panne d’énergie - d’ajouter une lentille macro pour immortaliser des bestioles que la Paralenz ne peut pas attraper Évidemment, l’absence d’écran sur mon ancien modèle est aussi problématique par rapport à la GoPro maintenant , la paralenz est super pratique en ne nécessitant rien d’autre qu’elle même
  2. J’hésitais entre l’Indonésie et la gravière du fort pour ces vacances… mais je n’avais pas pensé à l’état de Thau Blagues à part, il faudra que j’aille y mettre les palmes un de ces jours !
  3. Hello, De mémoire, c'est 1234567890; Pour le manuel, j'ai trouvé ça : https://www.sublub.nl/files/handleiding-paralenz-vaquita1270013194719.pdf Un conseil : insiste fort sur le rinçage car la bague a tendance à bloquer vite. Dans mon cas, je suis passé par un démontage et le changement des aimants de la bague qui étaient très oxydés.
  4. Jour 2 Tandurusa C’est une plongée très proche du port de Bitung… avec un petit côté surprenant de s’imaginer plonger dans ce type d’endroit On retrouve une pente douce de 5m jusque dans les 20m avec un peu de courant en bas, une fois que nous ne sommes plus abrités (mais rien en comparaison de Bunaken). Nous commençons à prendre le coup et le goût pour cette manière de plongée. Classique Mantis shrimp Du tout tout petit nudi - Favorinus mirabilis si je ne me trompe pas Là aussi, ce n'est pas très grand pour une murène En un painted frogfish pas très gros (il suffit de regarder la taille du sable autour) Tanjung slope Cette fois un peu de corail et de belles gorgones dans lesquelles nous trouvons nos hippocampes pygmées bargibanti : ils sont vraiment minuscules et ont le bougeotte… Un spécimen rose sur l’une des gorgones et deux jaunes sur une autre. On les retrouvera lors de notre dernière plongée sur ce site. Ce sera aussi notre seule tortue à Lembeh, après les dizaines vues à Bunaken Jolie seiche qui donne une idée du "paysage" Festival de nudis Notre premier bargibanti Le même hippocampe sous un autre angle Un autre hippocampe pygmée des gorgones, mais en jaune Slow poke Le site est très proche de Tanjung slope et lui ressemble en termes de type de fond. Cette fois, Mme est restée au BSDR et je plonge avec un couple de britanniques. Emperor shrimps Robust ghost pipefish Une autre seiche Et ce crabe presque invisible dont je ne connais pas le nom Lembeh - Crabe invisible non identifié.mp4 Le même en vidéo
  5. Suite du CR : la plongée à Lembeh avec le BSDR. Si je devais résumer notre expérience plongistique à Lembeh, je dirais que nous avons très vite accroché et beaucoup aimé cette manière de faire : prendre le temps de chercher et observer les animaux sous-marins - palang palang. Quand on ajoute à cela un encadrement sur mesure et des conditions au top (très peu de courant, eau chaude, service extra…), cela donne envie de revenir. Entre Bunaken et Lembeh, Mme aura fait une vingtaine de plongées, lui permettant d’avoir très très nettement gagné en aisance et en confiance. Plonger à Lembeh nécessite de faire attention à ne pas remuer le sable comme un sauvage : c’est bon pour le travail de flottabilité Matériel et organisation Ici comme au PDR, tout se fait au niveau du centre de plongée situé au niveau de la mer. On y trouve un vestiaire pour chaque bungalow pour y entreposer le matériel la nuit, une salle pour le matériel photo/vidéo avec alimentations stabilisées, pleins de bacs de rinçage, deux douches (non chauffées), des WC, des bancs et des sièges face à la mer pour prendre le goûter entre deux plongées. Côté gonflage, ils disposent de tout ce qu’il faut pour faire du Nitrox (nous n’avons pas cherché à en avoir). J’ai eu le sentiment que c’était très pro de ce point de vue et aussi moins bruyant qu’au PDR : les bungalow étant plus éloignés du compresseur. Le club dispose de trois petits bateaux dans lesquels il y a de la place pour un pilote, 4 plongeurs et deux guides au maximum, ce qui garantit qu’il n’y ait pas foule. La plupart du temps, nous plongerons à deux, Mme et moi en plus du guide. Je me joignais à un couple de britanniques quand Mme ne plongeait pas et il est arrivé deux fois que nous plongions à 4 avec notre guide (le couple britannique et nous deux). C’est un peu plus serré qu’au PDR, mais comme nous revenons au BSDR entre deux plongées, cela ne pose aucun problème. Sur cette photo prise depuis la terrasse du club de plongée, on voir bien le sable noir caractéristique du BSDR et deux des petits bateaux qui nous emmènent plonger. Niveau matériel loué, il fallait donner les tailles avant d’arriver et le BSDR ne dispose pas de beaucoup de matériel de location. Mme a perçu un MK2 et une stab club d’Aqualung. Le tout est un peu moins quali qu’au PDR et aussi plus cher, mais ça fait le job. J’ai constaté que contrairement au PDR, la plupart des plongeurs arrivaient ici équipés. Côté organisation, on nous demande ce que nous voulons faire la veille pour le lendemain et tout cela s’organise tout seul pour nous. Linda (la manageur) et Etmo (super guide) s’occupaient de tout pour nous. Le premier jour, ils récupèrent notre matériel au bungalow et nous le descendent. Il n’y a rien à faire si ce n’est s’habiller, tout le reste est géré par le staff (rinçage, séchage, etc.). Seule exception : il faut rincer soi-même son matériel lors des plongées sur le House Reef Le schéma est a peu près toujours le même : - 7h00 : PDJ - 7h50 : Rdv au club pour enfiler la combi qui nous attend devant notre vestiaire - 8h00 : départ du bateau vers l’un des sites (5 à 10min de navigation) pour une plongée d’une heure au moins - Vers 9h30 : retour au BSDR où nous attend au club de plongée un café et de quoi grignoter - 11h00 : le bateau repart pour la seconde plongée du matin - Vers 12h30 : Retour au BSDR pour le déjeuner - 14h30 : le bateau repart pour la plongée de l’après-midi - 16h45 : départ de la Mandarin Dive pour ceux qui le souhaitent - 17h45 : départ pour la night dive pour ceux qui le souhaitent A noter, on peut bénéficier du house reef pour aller plonger seuls, ce que nous ferons une fois le premier jour. Attention toutefois, la plongée solo est interdite. Il faut donc soit être 2, soit prendre un guide avec soi. Les plongées Jour 1 : une transition tranquille de Bunaken vers Lembeh Angel’s window Nous plongeons sur le site d’Angel’s window qui est centré autour d’une très jolie patate de corail et nous permet d’avoir une transition douce entre Bunaken et Lembeh. On est loin des tombants de Bunaken, mais aussi très loin de ce que peut offrir la Gdf à la même saison Au menu, mantis, hippocampe pygmée de pontoh (cf. post précédent), les désormais classiques crevettes de corail à bulle et crabes orang-outan. Au passage, un joli corail rouge. Transition en douceur... des images proches de celles que nous avions à Bunaken Mantis shrimp Doris à rebord noir Jahir C’est parti pour la découverte de la muck dive. Sable noir, pas grand chose à l’horizon, mais dès que nous arrivons sur une anémone ou un point particulier ça grouille de vie ! Et nous commençons ce que Mme appellera la chasse aux Pokemon rares. Sans notre guide Yano, très difficile de s’en sortir, tant certaines bestioles sont passées maîtres dans l’art du camouflage, et de superbes nudibranches. Ce sera aussi notre premier frogfish : un très beau hairy frogfish. Lembeh, le plus souvent, ça ressemble à ça Mexichromis katalexis Lembeh - Crabe non identifié.mp4 Au jeu du camouflage, ce crabe non identifié était pas mal... je n'essaie même pas la photo Hairy frogfish - le premier frogfish d'une longue série BSDR house reef Petite plongée tranquille l’après-midi sur le housereef du BSDR. L’objectif est de se balader, mais aussi et surtout que Mme puisse s’entraîner au lâcher de parachute. Le fond est à 4m max, ce qui est suffisant pour ce que nous voulons faire, même si j’aurais préféré aller dans les 6-7 m pour nos exercices. Quand on parlait de plongée dans la décharge... Mais on y trouve de belles petites choses
  6. Ils ne sont déjà pas faciles à repérer et à immortaliser, et en plus, ils se jouent de nous...
  7. Le tri des vidéos bat son plein. En attendant le CR sur la plongée au BSDR, voici un best of des hippocampes que nous avons croisés à Lembeh... Cette fois, j'essaie de les rendre visibles...
  8. Nous étions dans le bungalow #3. Je dois admettre que nous ne sommes pas sortis autour du BSDR et que ces quelques jours ont été dédiés à la plongée et au repos dont nous avions grand besoin ! En tout cas, merci à toi @brenique et à @caolila pour la découverte de l’endroit. De l’intérêt des CR
  9. Étape 3 - Détroit de Lembeh - Black Sand Dive Retreat - Du 01/10 au 07/10 Notre dernière étape s’est déroulée au Black Sand Dive Retreat (BSDR), dans le détroit de Lembeh, côté Terre. Nous avions prévu 4 jours de plongée (du 02/10 au 05/10) puis une dernière journée consacrée à une excursion au parc national de Tongkoko (à Terre !). Finalement, nous aurons poussé à 5 jours de plongée et une après-midi à Tongkoko. Pour ne rien vous cacher, j’appréhendais très fortement cette dernière étape, suite notamment à ce conseil d’expert de @dipi lorsque je préparais le séjour. Alors oui, Lembeh est déroutant au début… mais très vite, nous nous sommes pris au jeu que Mme décrit assez justement comme une immense chasse aux Pokémon rares Et le BSDR porte parfaitement son nom : ce furent 6 jours hors du temps, dans un environnement extra et il y a fort à parier que nous y retournerons ! La vue depuis notre balcon Comparaison n’est pas raison, mais : Si je devais comparer le Panorama Dive Resort et Bunaken et le BSDR, je dirai que les deux sont fort différents et présentent tous deux leurs avantages et inconvénients. Le BSDR offre un cadre ultra privilégié avec seulement 7 bungalow, soit 14 personnes au maximum et un sentiment de se retrouver seuls au bout du monde, avec un super service. La qualité de l’hôtellerie est très clairement plusieurs clics au dessus du PDR, il n’y a pas photo. Le restaurant est plus haut de gamme (avec des assiettes superbement dressées, même si nous avons préféré la nourriture à la bonne franquette du PDR), on retrouve une piscine (que nous n’avons évidemment pas utilisée !), mais surtout un service plongée à la carte avec un guide pour deux dans les trois quart des plongées et la volonté évidente de répondre à nos attentes en adaptant les sites de plongée à nos envies. Tout cela a un prix évidemment (plongée équipé à 37€ au BSDR contre 23€ au PDR et plongée avec location de matériel à 44,5 € au BSDR contre 25,3 € au PDR), notamment comparé au PDR qui est, on l’a déjà dit, un rapport qualité prix incomparable. Avant d’arriver Nous avions pris contact avec le BSDR via leur site internet https://www.blacksanddive.com et sommes alors entré en contact avec Fung, que je comprends être la propriétaire du site avec Fung (ils n’étaient pas présents lors de notre séjour). L’accueil et la prise en charge sont plus pros qu’au PDR, même si j’adore le côté spontané des échanges WhatsApp avec Sven qui ne cache pas que les formulaires de réservation et les acomptes, ça l’agace Très vite, nous ajustons les dates, les prestations (récupération à Bahowo, redéploie à l’aéroport, 6 nuits, 4 jours de plongée) et payons notre réservation par Wise avant d’arriver. C’est facile et très efficace ! Nous envoyons quelques éléments sur nos qualifications de plongée, les tailles de Mme pour la location de la stab et voilà. L’arrivée au BSDR Comme déjà dit, Linda, la manager du BSDR et le PDR se sont mis d’accord ensemble pour arranger notre récupération au ponton du Mangrove Park Bahowo, prévue pour 15h00. Le chauffeur arrivera finalement avec 4min de retard et se confondra en excuses… Véhicule tout confort (un clic au dessus de notre cher Amir) et nous voilà en route pour une heure et demi de transit en direction de Manado où nous prenons l’autoroute pour Bitung puis les petites routes sinueuses qui nous amènent. À notre arrivée, Linda, nous accueille dans la salle du restaurant avec un jus de Papaye frais. On remplit les formalités administratives classiques (nous n’avions rien fait de tout cela au PDR ), on signe la décharge traditionnelle et Linda nous explique par le menu les possibilités qui nous sont offertes, les extras si nous voulons plonger de nuit, etc… Là encore, on sent que c’est pro, même si on aimait bien ce petit côté UCPA chic du PDR… A l'aller, comme au retour, petite embarcation pour rentrer et pluie au programme. Cette fois, notre piroguier s'arrêtera au village de Bunaken pour récupérer de la famille, dont deux petites filles toutes mignonnes qui s'endormiront le temps de la taversée. La chambre Comme au PDR, le BSDR est juché sur une colline, face à la mer. Cette fois cependant, tous les bungalow sont en haut de la colline (où se trouve aussi la piscine et le restaurant) et offrent une vue magnifique sur le détroit de Lembeh et l’île du même nom. À l’arrivée au bungalow (à près de 30m du restaurant…), nous sommes scotchés par ce luxe auquel nous ne sommes pas habitués : c’est beau, c’est grand, la vue est splendide… et quand Mme entre dans la salle de bain à la balinaise, elle est comblée Et si Mme est comblée, je le suis aussi ! Très concrètement, la chambre est équipée de la clim, d’un lit gigantesque, d’une table avec distributeur d’eau chaude (pour le café - du Nescafé cette fois - et le thé), d’un bureau qui me servira de zone de rechargement du matos, d’un grand dressing (nettement plus grand que chez nous), et de cette fameuse salle de bain. La terrasse est immense et équipée de fauteuils qui nous permettent de profiter de cette vue sans se lasser. Si j’avais un reproche à faire, ce serait de ne pas avoir de moustiquaires alors que les petites bêtes sont voraces et les bucherons qui jouaient de la tronçonneuse tous les matins à compter de 8h… Notre chambre à l'arrivée... il y a pire dans la vie... Photo de la salle de bain que j'ai récupérée sur le site du BSDR Les repas Ils se prennent dans la salle commune qui dispose également de deux salons et où nous nous retrouvons aussi tous les jours pour le goûter. Cette fois, on trouve des tables de deux ou de 4, et au regard de la fréquentation (nous étions 10 au plus fort de nos quelques jours passés là-bas) nous serons toujours en amoureux avec vue sur le détroit le plus souvent. Chaque matin, on nous présente le menu de la journée et nous choisissons entre deux à trois plats et/ou entrées et entre deux desserts. Le soir, il s’agit de choisir le petit-déjeuner du lendemain (plus copieux qu’au PDR). On sent que le cuisinier met les petits plats dans les grands et la déco des assiettes est systématiquement impeccable. Mais comme dit au dessus, nous avons finalement préféré les plats du PDR qui étaient succulents. Niveau horaires, c’est similaire à Bunaken : Pdj à 7h pour aller plonger à 8h, déjeuner au retour de la seconde plongée du matin vers 12h30/13h et dîner à 19h. Petit-déjeuner difficile, comme vous pouvez l'imaginer Les extras N’ayant pas besoin de laver de linge, nous n’avons pas d’infos à ce sujet. Comme à Bunaken, des massages sont possibles, mais nous n’avons pas testé. Enfin, nous avons opté pour la randonnée dans le Park national de Tangkoko, une sortie qui nous aura été facturée 85€ par personne et que nous avons bcp apprécié. J’y reviendrai plus tard dans un paragraphe dédié. Le retour Le dernier jour, nous quittons l’hôtel en même temps qu’une famille de 4 hollandais avec lesquels nous avons passé la semaine. Linda nous organise les horaires comme il faut et nous profitons encore un peu des lieux. On nous prépare une petite bouteille d’eau fraiche et c’est le temps de dire au revoir à tout le monde, Etmo, notre guide étant venu nous saluer au moment du départ. C’est triste de partir après ces journées exquises passées ici, à Bunaken et à Tomohon… mais nous reviendrons très certainement ! À noter Nous avions vu sur Internet le Lembeh Resort - Dive Resort & Spa, qui se situe sur l’île de Lembeh et qui affiche des photos de villas somptueuses avec piscine privée et qui donnait l’eau à la bouche, notamment à Mme. Le hasard fera que nous irons plonger au pied de l’endroit (site de Pintu Colada)… qui a une vue directe sur le port de Bitung… loin d’être aussi chouette que celle que nous avons depuis le BSDR. Aucun regret donc Il me reste désormais à parler de la plongée et de notre chasse aux Pokémon
  10. J'ai extrait les seules séquences utiles de la vidéo et recentré sur la bonne zone. Ça reste difficile à voir. Souvenons-nous que je n'avais aucune idée de ce que je filmais Bunaken - Hippocampus pontohi.mp4
  11. Peut-être que l'option consisterait à aller à Bunaken avant alors. Mais tu t'exposes à ce que ta binôme ne veuille pas aller à Lembeh après... et que tu en baves pour 6 mois après
  12. Ah oui, c'est très flou Et comme c'est extrait d'une vidéo, c'est pas non plus top top. Je posterai plus tard ladite vidéo... qui en plus est mal faite, prise dans le courant et en vrac
  13. Pas de paliers de décompression, certes, mais avec une telle vitesse de remontée, on oublie de dire qu’il a du repartir à mi profondeur, 5400m donc, pour faire 5min et remonter ensuite en toute sécurité
  14. Suite du CR sur l'étape 2 à Bunaken : La suite des plongées sera nettement moins chaotique et permettra de se faire aux spécificités locales Globalement, les sites que nous avons pratiqués nous ont tous beaucoup plu, avec, en haut de la liste, le spot de Likuan 2 que je trouve splendide, et en bas de la liste, le site de Fukui que j’ai trouvé un peu moins sympa mais c’est très relatif et je signerais de suite pour retourner sur Fukui demain. Les plongées se font à quelques minutes de bateau (je dirais 15/20 min au max) du PDR et les sites sont connus la veille au soir : Sven passe lors du dîner pour recaler le programme du lendemain. On total, j'aurai fait 14 plongées dont une de nuit, et nous serons restés plutôt côté Sud de l'île. Comme on peut le voir juste au-dessus, on finira notre passage à Bunaken par les deux sites qui nous avaient tant donné de fil à retordre au commencement. Cette fois, sans le courant de malades et avec l’expérience acquise par Mme (qui aura fait 11 ploufs), cela n’aura été que du plaisir. C’est d’ailleurs lors de cette dernière journée que nous aurons vu deux pointes blanches nous tourner autour à bonne distance : un chouette moment assurément. Globalement, on trouve de superbes tombants, bien verticaux, dont certains me semblent aller bien au delà de 60m (mais où il n’a pas semblé utile d’aller poser les palmes, tant ce que nous avons vu était joli, sans compter que Mme, du haut de son N1, ne pouvait de toute façon pas y aller). On y trouve tous types de coraux que j’ai trouvés en très bonne santé et une faune abondante. Comme déjà annoncé, on y rencontre de très nombreuses tortues pas farouches pour un sou, mais alors pas du tout farouches Il m’est arrivé plus d’une fois de devoir me pousser pour laisser passer l’une d’elles ! On a vu passer des Napoléons sur une plongée sur 3 environ, de même que des requins de récifs, pointes blanches, pointes noires. J’ai vu passer au loin un Thon et une raie aigle, mais cela s’arrête là pour le gros. La plongée de nuit (j’y suis allé sans Mme) est à faire aussi pour découvrir le parc de Bunaken un peu différemment, j'en garde un bon souvenir ! Plongée après plongée, je suis resté émerveillé par les milliers de balistes bleus (je les aime bcp) et leurs copains qui nous ont accompagnés. Pour Mme qui découvrait les récifs coraliens, c’était un émerveillement permanent. Elle a gagné en aisance au fil des plongées et a bien compris désormais comment on peut être aussi mordu de plongée… Faut dire que c’est difficile de ne pas aimer Bunaken. À la découverte des toutes petites choses Ce que je retiens surtout, c’est que Bunaken aura finalement été une parfaite mise en bouche avant d’aborder Lembeh. En effet, nos guides (Indra et Yobel en particuliers) sont passionnés pour dénicher beaucoup de petites choses à côté desquelles on serait passé sinon. Cela va des Nudis pas plus gros que le huitième de l’ongle de mon auriculaire, aux crevettes ou crabes ouran-outang camouflés dans le corail à bulle ou tout autre cachette. J’ai été impressionné par leurs yeux de Lynx ! Ça ne plaît pas à tout le monde, mais j’ai trouvé ça plutôt chouette. Cela aura aussi été l'occasion de tester la lentille macro de la GoPro qui aura été un précieux compagnon. Pour la petite histoire, il est parfois arrivé que le guide me montre qqch que je ne voyais pas. Ce n'est qu'en visionnant le film ensuite que j'ai ainsi découvert que j'avais vu un micro hippocampe Mais plutôt que de longs discours, voici quelques captures d’écran issues des vidéos prises avec la GoPro : Pangalisang - tombant Along Banua - Crocodile Fish Scorpion Fish Un cliché classique, mais je ne me lasse pas Idem Poisson feuille Orang Outan crab Orang Outan crab et crevette dans un corail à bulle Crevette dans corail à bulle Hippocampe que je n'ai identifié qu'après la plongée - si qqn en a le nom, je suis preneur Pour donner une idée de la taille des petites bêtes que l'on recherchait Et maintenant, quelques nudis Prochaine étape, ce sera le détroit de Lembeh et le Black Sand Dive Resort. Mais il me reste un peu de travail de tri des vidéos avant ça
  15. Bunaken-Tortues_1080_H264.mp4 @Cécilette, @brochet, Parvenez-vous à lire cette vidéo ?
  16. Arf, peut-être un pb de codec (j'ai encodé en h.265 pour limiter la taille du fichier). Je refais un encodage ce soir à la maison pour faciliter la lecture. La qualité sera réduite mais ce sera lisible
  17. Je n'aurais jamais vu autant de tortues que sur les tombants de Bunaken. Alors avant de poursuivre ce CR, partage d'un montage réalisé rapidement au moyen de l'App GoPro, les précédents viennent d'iMovie. Ça donne en creux une bonne idée du type de plongée à Bunaken : de superbes tombants !!! Bunaken-Tortues_1080.mp4
  18. La plongée Venons-en enfin au sujet qui nous intéresse ! Matériel et organisation Le club de plongée regroupe les clients du Panorama Dive Resort et du Panorama Backpackers. Cela permet à la structure de mettre en oeuvre trois beaux bateaux dans lesquels nous nous retrouverons à une dizaine environ. Une vue de l'un des bateaux du PDR. Mme ne disposant que de sa combinaison et de ses palmes, nous avons loué le matériel sur place. Côté détendeur, c’est de l’Apeks DST et XTX 40… on est loin du MK2 que l’on aura à Lembeh. Côté gilet, c'est un gilet Tusa Crestline impeccable. La plupart des plongeurs me semblent avoir loué le matériel sur place. On y trouve aussi des 3mm Scubapro, des palmes réglables Tusa pas si mal (j’en reparle après). Le tout est parfaitement rangé dans un local dédié où ça sent bon la germanitude Je découvre le service à l’indonésienne pour la plongée : il suffit de déposer ses affaires de plongée au centre et tout arrivera ensuite par magie sur le bateau à chaque plongée, bloc gréé, matériel rincé. C’est franchement royal de n’avoir à penser qu’à arriver à la bonne heure au bateau. Côté horaires, on a d’ailleurs des plongées double tank le matin avec rdv à 8h au bateau, pour une mise à l’eau vers 8h30, et une seconde mise à l’eau entre 10h45 et 11h pour un retour vers 12h30-12h45 au PDR pour aller prendre une douchette et aller déjeuner. Pour la plongée de l’après-midi, c’est RDV à 15h et pour celle du soir, 18h si ma mémoire est bonne. On trouve des S80 par ici et nos plongées dureront de 8min à 1h22, avec des durées supérieures à l’heure la plupart du temps. Pas de frustration quant à la durée des plongées donc puisque les guides font remonter ceux qui arrivent à cours d’air (safety stop à 50 bars, on traine un peu avant de remonter à 30 bars) pour permettre aux autres de profiter. Les plongées Jour 1 : la mise en route Malgré son jeune âge plongistique (7 plongées pour mémoire), nous envisagions que Mme profite de son passage à Bunaken pour s’améliorer au travers de cours (elle préfère apprendre avec un prof), et notamment l’advanced open water. Sven émet des réserves quant à la faible expérience de Mme et propose dès l’après-midi de notre arrivée de prendre Mme en plongée de formation afin d’évaluer son niveau et aviser pour la suite. Il a été hyper pédagogue lors de cette plongée et très exigeant à la fois (dans le très bon sens du terme). À la sortie du bateau, il vient nous voir tout gêné en nous disant qu’il ne le sent pas pour l’AOW et qu’il faut que Mme gagne en expérience avant cela. On lui rééxplique que ce n’est pas la cacarte qui compte mais le gain en aisance et on peut voir dans les yeux qu’il se sent soulagé. (J’imagine que certains clients auraient fait un scandale !). Mme a eu un refresh par Sven et plongera en exploration pour gagner en aisance. Elle est rassurée De mon côté, je suis content de l’échange et de son professionnalisme. Mme me confirme qu’il est super pédagogue (ce que je verrai plus tard sur les bateaux). Je pense qu’il fait partie des instructeurs à recommander si l’on veut progresser. En plus, il propose des tarifs ultra compétitifs (cf son site internet). Pendant ce temps, je profite d’une première plongée d’exploration sur Likuan 2, un superbe tombant de plus de 80m je pense où ça foisonne de vie. J’ai plongé sans caméra pour cette première pour le plaisir des yeux. J’ai vu des tortues, Mme est jalouse, elle rêve d’en voir !!! Jour 2 : la déroute - Ron’s & Mandolin Mme et moi sommes désormais sur le même bateau pour notre première exploration ensemble. On nous assigne un instructeur allemand (qui quitte le PDR quelques jours plus tard) et nous retrouvons dans une palanquée à 4. Très bonne prise en compte et excellent briefing, tout va bien. Au moment de l’équipement, la sangle élastique de ma palme (avanti Quattro) casse en deux… Évidemment, pas de spare sur le bateau, mais le bateau d’à côté en a une en spare. Je pars donc avec une Quattro et une palme du club. On se retrouve tous au niveau du bateau à la mise à l’eau et on va pouvoir s’immerger. D’emblée, je note un bon gros courant. Je me retourne vers Mme, tout est OK, on peut poursuivre. Arrivé à 15m, je me dis que le courant est vraiment balaise… oh une tortue me passe dessous. Je me retourne et je vois que Mme ne suis pas du tout et se trouve emportée. Coup d’oeil vers le guide, il s’occupe de l’autre binôme… je file donc dare dare vers Mme et vois bien que ça va pas. Arrivée sur elle, elle me fait signe que les oreilles ne passent pas. Elle voit le guide s’éloigner, c’est la panique, je le vois dans les yeux. Elle cherche à remonter à toute vitesse, grosse panique. Contre toute attente, je vais donc pouvoir faire ma première remontée assistée sur Mme (avec des palmes dépareillées aux pieds, loi de l'emmerdement maximal oblige) : l’importance du regard et du toucher : il s’agit qu’elle voit que qqn s’occupe d’elle. Ça l'a d'emblée rassurée et calmée Comprendre ce qui se passe et décider : elle a mal à l’oreille, elle panique, le courant est trop fort pour rallier la palanquée, on va remonter On entame donc la remontée comme on l’apprend à l’école, ou presque. Mme veut remonter au plus vite, ça se sent. Je purge un peu tard pour stabiliser à 6m. On s’arrête mais je vois que Mme a mal et que si je tarde ou que je la lâche, elle va chercher à remonter… on verra donc plus tard pour le parachute Arrivée à la surface un peu rapide mais en sécurité. Je la rassure à la voix, et me signale au bateau avec mon parachute que je gonfle une fois là-haut. Une fois récupérés, il s’agit de comprendre ce qui s’est passé : elle a essayé d’appliquer une autre technique de compensation des oreilles que lui avait montré Sven et qui n’a pas marché et, le temps qu’elle essaye à nouveau, puis encore et encore, elle s’est fait emporter par le courant, vraiment fort. Et du haut de ses 8 plongées désormais, elle a paniqué… parce qu’elle avait mal à l’oreille alors que les fois d’avant ça passait, et parce que le courant, elle y a gouté au Sénégal et elle en a peur. La plongée aura duré 8min au total On attend les copains qui arriveront les uns après les autres en parlant de machine à laver, de courant pas normal, etc. Mme culpabilise de m’avoir fait louper une plongée. Elle ne veut pas se remettre à l’eau, de risque de me gâcher la journée si ça ne se passe pas bien. L’instructeur et moi la convainquons de se remettre à l’eau pour la prochaine. Elle utilisera le Valsalva qu’elle maîtrise pour équilibrer, pas de problème. D’ailleurs, la douleur n’est plus là depuis tout à l’heure. Bien que pas rassurée, elle accepte parce qu’on a pris le temps de détailler tout ce que nous ferons si qqch ne va pas. Cela rassure l’ingénieure qu’elle est. On arrive sur Mandolin et on repart. Mme est anxieuse, et moi, je fais semblant que tout est ok. Les oreilles passent nickel. En revanche, le courant est de nouveau encore bien fort. Je reste près de Mme qui n’est pas pleinement rassurée mais qui voit bien que ça le fait ! Je garderai un oeil sur elle toute la plongée... on verra plus tard pour les vidéos, le courant est un poil trop fort. Et puis arrivent les tortues, et les milliers de poissons le long de ce petit tombant avant de remonter sur un jardin de corail… À la remontée, Mme remercie l’instructeur qui lui a conseillé d’y retourner. Elle a adoré cette plongée, les couleurs, les tortues, la vie le long du tombant. C’est quand même autre chose que la Méditerranée ou le Sénégal où elle avait trempé les palmes ! Le courant ce jour-là aura été le plus fort de tout le séjour. Rien de comparable à ce que nous verrons en retournant sur les mêmes sites quelques jours plus tard. Cela aurait été plus pratique dans l'autre sens mais c'est ainsi Quant à la palme, c’est évidemment la première fois que je laisse mes bungees et mes Rilsan à la maison et je ne peux donc pas réparer. Mais un petit espoir naît quand un des guides me propose de lui confier l’élastique. C’est le même que sur les fusils de chasse sous marine. Il va voir ce qu’il peut faire. Finalement, le lendemain après-midi, mon héros trouve de quoi faire la réparation... je peux retrouver mes palmes. Mais cela illustre surtout la gentillesse des gens sur place. je ne l'avais pas sollicité et il s'est proposé de m'aider, gracieusement ! Difficile de les confondre avec d'autres désormais ! Même s'il me reste de quoi réparer la seconde, je vais surtout passer au bungee comme conseillé sur le forum.
  19. A la suite de ce reportage, j'ai essayé de voir ce que ça donnerait dans Subsurface. Les développeurs ne sont pas drôles et ne permettent pas de jouer et de faire n'importe quoi
  20. Étape 2 - Bunaken - Panorama Dive Resort - Du 26/09 au 01/10 La seconde étape de notre voyage se passera sur l’île de Bunaken au Panorama dive Resort (PDR). En résumé, c’est, comme déjà dit par d’autres dans les précédents CR, le meilleur rapport qualité prix qu’il m’ait été donné de voir jusqu’à ce jour : le cadre est magnifique, les plongées superbes, la nourriture extra (nous l’avons préférée à celle de l’étape suivante), le confort bon à très bon et le personnel est adorable. Dans le détail maintenant Rejoindre Bunaken Sven nous a proposé deux options pour rejoindre Bunaken, un ferry pour 50000 IDR par personne (3€), un bateau privatisé pour 200000 IDR (12€) qui nous emmène devant le resort… nous n’hésiterons pas. Sven nous demande simplement de lui envoyer un message WhatsApp la veille pour qu’il s’assure que qqun nous attende à la bonne heure. C’est ultra simple. C’est donc Amir qui nous emmène au Mangrove Park Bahowo, une jetée où nous sommes en effet attendus malgré notre retard (un peu de trafic par rapport aux prévisions et 15 min de retard). La jetée où nous prenons le bateau pour rejoindre Bunaken On arrive sur la jetée, au milieu de la mangrove, ça sent l’aventure qui se poursuit. Les valises sons chargée dans le petit bateau à balanciers. J’observe notre embarcation : les flotteurs des balanciers sont en fait des tubes de PVC rendus hermétiques, petit toit qui nous protège, il y a la possibilité de dérouler des taches sur les côtés… c’est rustique mais pragmatique. Évidemment, pas de gilets de sauvetage ou autres normes de sécurité. En route, il se met à pleuvoir. Notre skipper nous protège alors de la pluie comme il faut : service impeccable au regard de l’embarcation En route vers Bunaken Il pleut au départ mais le soleil est là bas ! Il faut compter 20 à 30 min de traversée et nous arrivons sur notre ile paradisiaque pour l’heure du déjeuner ! Un des bateaux de plongeurs arrive en même temps que nous et nous rencontrons Sven qui vient nous saluer. L’équipe nous accueille et dépose nos valises dans la chambre et de rejoindre la salle de déjeuner avant une première plongée d’emblée. Il est bon de passer au rythme Bunaken. Photo prise un autre jour mais qui donne une idée de ce que l'on vit en arrivant au PDR. Les chambres Les chambres du PDR sont accrochées à la colline sur laquelle est accrochée le resort. Tout en haut, les bungalows avec vue jardin, au milieu, ceux avec vue mer, et en bas, deux chambres individuelles un peu moins confortables. Nous avons opté pour le bungalow #2 avec vue mer et la climatisation et en sommes plus que ravis. Il faut compter 500000 IDR (29,4 €) par personne et par jour pour la pension complète… ce qui est incroyablement faible au regard de la qualité de service et de la vue, et quelle vue. La chambre est équipée d’un grand lit et d’un petit lit d’une personne, avec moustiquaires, de la clim, d’un ventilateur, une belle armoire pour poser nos affaires, un petit meuble sur lequel on trouve verre et carafe (à remplir en salle restau), une salle de bain très spacieuse avec lavabo, toilettes et douche. Pas d’eau chaude sur place. La température dépend donc du moment de la journée. Mme était très inquiète à ce sujet et ça n’a finalement pas posé de problème en dehors d’une douche tard le soir qui était fraîche (mais rien à voir avec ce que nous avions conne dans un EcoLodge au Sénégal). Surtout, tout cela est compensé par la terrasse où nous nous prélasserons sur des fauteuils à profiter d’une vue splendide. Notre chambre à l'arrivée... et la seule photo de l'intérieur que nous avons prise Cette vue... impossible de s'en lasser Malheureusement, le bungalow n’est pas disponible pour la dernière nuit et nous serons relogés dans une des deux chambres individuelles, mais qui dispose d’un lit de 160cm. Ce sera un peu moins grand, sans clim, mais aussi un peu moins cher (400000 IDR par personne, 23,5 €). En revanche, elle donne directement sur la plage et des transats. Surtout, c’est la seule option disponible pour passer 5 nuits sur place. Et si je n'avais que cette option disponible, j'irais quand même là bas sans hésiter La vue depuis la plage, juste devant notre nouvelle chambre, il y a pire ! Note pour plus tard : réserver plus tôt. Les repas Les repas se prennent dans une salle commune située à mi-hauteur entre notre bungalow et la plage. On nous demande à notre arrivée si nous avons un régime particulier. Comme ce n’est pas le cas, nous aurons le menu commun, servi dans des plats communs pour les trois grandes tablées (6 à 12 personnes par table). Cette formule nous permettra de rencontrer d’autres plongeurs avec lesquels nous avons passés d’excellents moments de discussion et de partage. Cela donne une petite ambiance auberge espagnole qui me rappelle mes débuts de plongeur avec l’UCPA. Surtout les repas sont excellents, mais alors vraiment très très bons ! La cuisine est locale et faite au niveau du jardin avant d’être apportée dans la salle repas. Le midi, c’est plutôt poisson et le soir, plutôt viande (poulet en majorité). Les entrées comportent le plus souvent un petit quelque chose frit (le gras, c’est la vie !), des soupes d’enfer, des salades, etc. Petit bémol pour les desserts que je ne recommande pas en dehors des fruits, mais le reste est extra et nous en gardons de supers souvenirs. Le PDJ est moins copieux qu’à Tomohon. Deux options dispos : toasts avec oeufs ou pancakes à la banane que nous adoptons après avoir essayé les deux options. Les fruits frais ne sont pas prévus au départ mais d’autres personnes en demandent et cela ne pose aucun problème : nous leur emboitons le pas Côté rythme, c’est PDJ de 7h à 9h (plongée à 8h), puis déjeuner à 13h de retour de plongée et dîner à 19h (sauf si plongée de nuit auquel cas, ils réservent le repas pour nous). À noter: Nous ne prenons pas les repas avec les guests du Panorama backpacker (mais plongeons avec eux) et la salle est accessible en permanence pour faire le plein d’eau ou boire un thé ou un café (celui qui nécessite un peu de patience pour laisser retomber le marc ). La journée, il fait très chaud dans le bungalow et la clim ne suffit pas à refroidir la pièce. C’est un bungalow traditionnel, donc fait de planches, sans isolation, donc c’est logique. Tout comme il est logique d’entendre tous les bruits de la nature. Je retiens surtout l’infinie gentillesse du staff qui nous appelle par nos prénoms, se plie en 8 pour nous aider : c’est génial. Les extras Le PDR propose plusieurs services en extra : le lavage du linge à 50000 IDR le kg - 3€. Compter 24 à 48h pour le lavage et séchage. Service très pratique. Mais l’extra qui aura conquis Mme est le massage. Une heure de massage directement dans le bungalow pour 200000 IDR - 12 €). À l’en croire, l’un des meilleurs massages qu’elle ait eus, de la tête aux pieds, avec musique d’ambiance, encens et huiles parfumées. Alors elle en fera deux et a encore des étoiles dans les yeux quand elle en parle. Le retour Pour le retour, je me réveille la veille du départ pour contacter le BSDR par mail où nous allons et voir comment cela va s’organiser. En fait, cela s’organise tout seul et les staffs se sont mis en relation pour nous permettre de plonger le 01/10 matin et nous transférer vers le Mangrove Park où nous serons attendus par un chauffeur du BSDR… trop facile !
  21. Madame me demande de faire quelques exports pour la famille... je m'exécute et en profite pour partager. Quelques prises de vues exploitables des requins vus à Bunaken. C'est souvent trop loin ou sans possibilité de faire la mise au point. J'ai aussi raté un magnifique requin de récif à pointe blanche de nuit en laissant la lentille macro sur la GoPro... dommage. Bunaken - Requins.mp4
  22. En attendant la suite du CR, un petit montage de quelques secondes pour vous présenter le fameux Blue Ring Octopus dont les précédents CR sur Lembeh parlent. (Qualité réduite pour limiter le poids du fichier) Blue Ring Octopus_HD.mp4
  23. Pour le visa, je partage l’avis de @Falkor : il y avait bcp de monde qui attendait au guichet quand on est arrivés. Au retour, quand on a embarqué, il y avait encore une vingtaine de personnes qui étaient descendues de l’avion 40min avant et qui attendaient… Quant à la suite du CR, ça va pas être de suite de suite, étant rattrapé par le boulot qui va me prendre mes prochaines soirees. C’était le deal avant de partir, mais ça pique
  24. La reprise du travail ne va pas aider à une rédaction rapide du CR dont voici la seconde partie : Étape 1 - 23-26/09 - Tomohon - Gardenia Country Inn Recuperation à la sortie de l’aéroport par Amir, le chauffeur qui nous a été recommandé par Sven et avec qui nous avons convenu des horaires par WhatsApp. Il nous attend à la sortie de l’aéroport. On fait une petite halte pour retirer du cash, et se faire expliquer que la plupart des ATM limitent les retraits à 2000 k ou 2500 k IDR (117 a 147€, ce qui est assez maigre si on veut tout payer par cash). Direction Tomohon pour notre première halte. Première bonne surprise, les paysages et les routes sinueuses de montagne sont superbes. Nous arrivons après plus d’une heure de route (trajet à 350000 IDR - 20,5 €) à destination. L’hôtel nous a été recommandé par Sven. Il s’agit d’un immense jardin botanique dans lequel se trouvent une dizaine de bungalows traditionnels en bois sur pilotis. Le jardin est splendide et la vue sur le volcan Lokon est magnifique. Nous avions réservé par Booking et resterons trois nuits sur place pour 4500000 IDR soit 88€ la nuit (nuit + PDJ). Nous sommes accueillis dans le restaurant ouvert sur le jardin par un café et de petites pâtisseries le temps pendant que nos valises sont installées dans le bungalow. Note au sujet du café, excellent par ailleurs : ne pas le boire de suite sous peine de mauvaise surprise il faut attendre que le marc se dépose au fond de la tasse… Pendant ce temps, des photographes ornithologiques s’activent à quelques pas de nous : l’endroit est réputé pour les oiseaux qui viennent profiter des multiples massifs de fleurs. On y trouve quelques espèces endémiques (dont le myzomèle des Célèbes que nous avons vu chaque jour depuis depuis la terrasse du restaurant). Ce jardin est un véritable havre de paix dans lequel il fait bon se balader et prendre le café, goûter offert chaque après midi. Côté hébergement, le bungalow est équipé d’une belle terrasse avec vue sur le jardin et le volcan Lokon, une belle salle de bain (avec eau chaude), la clim. Nous disposons de bouteilles d’eau à volonté. Rien à redire. Vue depuis notre bungallow Depuis la terrasse du restaurant Les commentaires sur les temps d’attente au restaurant m’avaient un peu effrayés. Nous passons commande avant 16h pour le dîner et tout est prêt quand nous arrivons. Les repas sont excellents et très abordables (compter 100000 à 150000 IDR - 6 à 9 € par personne). Le buffet de PDJ est excellent. Mention spéciale pour le jus de mangue. Journée du 24/09 : Mahawu, Water Fall, Linow Lake Pour la journée du 24, l’hôtel nous propose un chauffeur/guide pour une excursion très sympa : Petite randonnée autour du cratère du volcan Mahawu guidée par notre chauffeur. Compter une heure de marche sur des chemins rendus glissants par la pluie. Le guide est adorable et bien qu’il parle très mal l’anglais, on passe un super moment. La vue de là haut est superbe et nous apercevons Bunaken dans la brume… ça donne envie ! Le cratère du Mahawu Depuis Mahawu, et malgré la brume, on voit Manado... et Bunaken Après la redescente, nous reprenons la route vers le village de Woloan où sont construites les maisons traditionnelles en bois sur pilotis. On nous annonce le prix d’une de ces maisons (environ 3000€… j’ai du mal à y croire ). Les maisons traditionnelles du pays Minahasa Après un peu de route, nouvel arrêt au niveau de la chute d’eau de Air Terjun Tumimperas. Il suffit de descendre 300 marches pour admirer la chute depuis le bas… au milieu de la jungle. C’est splendide ! Mme est conquise. Il nous reste à remonter les marches Air Terjun Tumimperas Nous reprenons la voiture direction le Linow Lake. On s’arrête au Danau Linow Resort qui est un restaurant qui offre une vue splendide sur le lac. On en profite pour déjeuner au soleil alors qu’une sitcom locale est en train d’être tournée sur place Linow Lake On reprend la voiture 5min pour aller voir des sources chaudes sulfureuses (pour une fois que je peux le placer au premier degré) à proximité du lac. N’ayant jamais vu ça, je suis assez impressionné malgré l’odeur désagréable de souffre. Les sources chaudes - sur les vidéos, on voit que ça bouillonne ! Il est temps de rentrer à l’hôtel et de remercier le guide pour cette belle journée, et de prendre un café/goûter en terrasse. Côté prix, compter 400 k IDR (23,5€) pour deux pour le chauffeur plus encore environ 100 à 150 k IDR au total pour les accès et le déjeuner au restaurant du Linow Lake le parking de Mahawo, etc. Journée du 25/09, marché de Tomohon et cratère du volcan Look Départ de l’hôtel en passant par l’application Grab, le Uber local qui marche plutôt bien depuis le centre des localités (voir plus bas ) on réserve via l’app et on paye en cash. Cela fait 17000 IDR (1€) pour aller au marché local. J’aime me balader dans les marchés qui donnent une bonne image de l’endroit où l’on est. Les gens sont adorables et nous regardent déambuler avec amusement. Manifestement, les touristes ne sont pas nombreux par ici. Après les échoppes de fruits et légumes, d’épices, nous arrivons du côté du poisson (pas mal de poissons séchés), de la volaille puis des viandes. Tomohon est connu pour la vente de choses peu habituelles par chez nous : serpent, chauves souris, mais aussi chien. Il semblerait que la mode locale soit de tout passer au chalumeau… Je n'ai pas pris les chiens en photo, mais plutôt les chauve-souris avant leur passage au chalumeau Une fois la visite terminée, un petit coup de Grab et nous partons vers le Lokon (compter 36k IDR - 2,10€). J’avais préparé la randonnée avec AllTrails mais le point de départ était mauvais. Le chauffeur demandra conseil sur le bord de la route pour nous recaler sur le bon point de départ (ici). Il ne se sera jamais départi de sa bonne humeur et de sa gentillesse… quel plaisir. Nous partons donc pour une randonnée de deux heures environ sur un chemin balisé puis en remontant une coulée de lave (refroidie hein !) qui nous amène jusqu’au cratère. La fin se fait dans des pierriers mais rien d’insurmontable : nous croisons des touristes locaux en flip-flop, c’est dire Le sentier de lave qu'il faut suivre pour la grimpette Là haut, la vue sur le cratère et alentours est magnifique et nous récompense de ce petit effort. On prend le temps d’admirer la vue avant de repartir en sens inverse. Le cratère du Lokon et le Lokon plus haut. La randonnée s'arrête au cratère. Une fois de retour au parking, je commande un Grab qui doit arriver 15min plus tard… mais n’arrivera jamais. Puis un second, pareil… Manifestement, nous sommes un peu trop à l’écart des sentiers battus et nous décidons de rentrer à pieds à l’hôtel qui se trouve à 1h de marche. On profite de la ballade dans la campagne, puis d’enfants qui nous arrêtent pour pratiquer l’anglais qu’ils ont appris à l’école et nous demandent comment on trouve leur ville. On ne regrette pas cette mésaventure qui nous amène vers un restaurant qui a l’air très joli et très chic : le Tanaraya. On y sert des burgers et autres nourriture occidentale… cela ne valait clairement pas le coup et la bonne note Google Maps et nous lui préférons mille fois notre restaurant du Gardenia !!! Nous avons d’ailleurs reversé une sorte de pierrade pour le soir qui nous ravira pour cette dernière soirée en amoureux où nous sommes seuls dans les lieux. Journée du 26/09 - le départ Nous sommes seuls a l’hôtel et l’équipe nous a réservé un petit déjeuner gargantuesque et délicieux avant de faire le check out. Nous avons pris soin la veille de caler les horaires avec Amir le chauffeur et Sven du Panorama dive resort qui a arrangé les modalités de transfert en bateau vers Bunaken. Nous partons à 10h vers notre prochaine étape après ces trois jours au calme qui ouvrent les vacances de la plus belle des manières. Quelques points de détail : Tomohon est perchée à 800m d’altitude environ et l’air y est plus frais et sec qu’au niveau de la mer : relativement peu de moustiques et d’agréables courants d’air qui rendent l’endroit très agréable. Prévoir les manches longues pour les repas du soir car il ferait presque frais. En revanche, nous avons passé une seconde nuit assez agitée car des voisins de la ville ont fait une fiesta jusqu’au petit matin à base de musique très très forte et de basses pénibles : les boules quies ont été indispensables ! Prévoir un pantalon et des chaussures adéquates pour les marches et des parkas pour faire face aux averses, même si elles ne durent pas très longtemps. La partie plongée arrive bientôt. Le temps de défaire les bagages, d'extraire les vidéos, de faire le tri, etc.
  25. Faisant suite à ce post et comme promis, voici le CR de notre voyage au Sulawesi du Nord du 22 septembre au 8 octobre 2024. Pour les lecteurs pressés, le résumé : 2 semaines fantastiques et trois étapes - Tomohon (orienté marches et visites) , Bunaken, Lebeh - qui ont plu tout autant à Mme qui arrivait sur place du haut de son N1 et de ses 7 plongées qu’au plongeur un peu moins débutant (N3, 350 ploufs). Avant tout, un grand merci Ce voyage a été organisé en grande partie grâce aux informations disponibles sur le forum et à partir des échanges que j’ai pu avoir avec les contributeurs. Je commence donc ce CR par un grand merci à la communauté plongeurs.com ! Les préparatifs L’idée du voyage était de satisfaire Mme et moi qui n’en sommes pas tout à fait rendus au même endroit niveau plongée. Mme est jeune plongeuse et arrivait au Sulawesi avec seulement 7 ploufs au compteur. Il s’agissait donc de mixer des phases à Terre et des périodes de plongée. Sans être à la recherche du grand luxe, je cherchais aussi à offrir à Mme de beaux endroits où pouvoir en avoir plein les yeux même sans plonger. Petite difficulté supplémentaire, nous nous y sommes pris très tard pour l’organisation (mi août pour un départ le 22/09), ce qui a contraint nos possibilités sur place en fonctions des disponibilités et n’est pas optimal pour les tarifs des vols. Très rapidement, on est partis sur les options suivantes : plongées à Bunaken, découverte de la muck dive du côté de Lembeh, randos et visites de la région de Tomohon, visite du parc de Tongkoko. Notre choix s’est porté sur le Panorama Diving Resort sur l’île de Bunaken et le Black Sand Dive Retreat (BSDR) dans le détroit de Lembeh (côté terre, mainland). Nous n’avions pas de marges dans les dates des vols, aussi, nous avons tout organisé à partir des dispos des deux resorts de plongée ci-dessus. Nous avons échangé par mail avec BSDR et par WhatsApp avec Sven, le patron du Panorama. Cela nous a permis de caler les périodes de plongée et d’adapter le reste du séjour en fonction. Sven a été fantastique pour faciliter l’organisation en nous suggérant un super hôtel à Tomohon, des idées de balades la bas et nous mettant en relations avec un taxi. Avant notre départ Nous avons réservé les vols via Singapore Airlines qui était à peine plus chère que la concurrence au regard du moment où nous avons réservé mais avec des temps de trajet bien moindres. Sur les conseils de @caolila, nous avons pris notre visa en ligne. Il faut s’armer de patience, le site n’étant clairement pas intuitif et ayant planté plusieurs fois pendant le process. C’est indéniablement un GROS gain de temps à l’arrivée à Manado. Nous avions aussi rempli un formulaire sanitaire 48h avant le départ, mais cela s’est avéré inutile, personne ne nous l’ayant demandé à notre arrivée à Manado. Nous avions chacun pris une eSIM via l’application MobiMatter après avoir comparé les prix de plusieurs App (compter 12 $ pour 15Go). On a testé les opérateurs 3 (c’est le nom) et Sparks (qui propose la 5G). Nous n’avons jamais trouvé la 5G et recommandons donc 3 qui est moins cher pour la même qualité de réseau dans les zones où nous sommes allés. Nous avons d’ailleurs fait découvrir le concept a plusieurs voyageurs qui ont été conquis. Attention cependant à bien avoir un mobile compatible eSIM (un couple de français rencontré à Bunaken ne pouvait pas utiliser cette option sur leurs smartphones, bien que récents). Pour le reste, nous avons beaucoup utilisé Wise pour les paiements - lors des réservations comme une fois sur place. Penser à alimenter le compte par virement avant de partir, ça permet de payer moins de frais… ce que nous n’avions pas pensé à faire évidemment (les frais des cartes de débit sont moindres que ceux des cartes de crédit, bon à savoir) Pour le voyage, nos cartes Ultim de chez BoursoBank ont été top. Le compte et la carte sont gratuits et je dispose d’une carte à débit immédiat (carte de débit) sur un compte et une à débit différé (carte de crédit) sur un autre… Pas de frais de paiement à l’étranger et 3 retraits gratuits en distributeurs par carte. Note pour moi-même : ne pas oublier d’autoriser les paiements et retraits à l’étranger depuis l’application, sinon, ça marche moins bien. Les vols Comme déjà dit, nous avons choisi Singapore Airlines pour les vols. Les vols Paris - Singapour sont assurés par la compagnie elle-même et le tronçon Singapour - Manado est assuré par Scoot, la filiale low cost. Nous bénéficions de 30kg de bagages sur chaque vol et les bagages suivent logiquement tout seul malgré le changement de compagnie. Petite surprise quand même, il nous a fallu enregistrer le Scoot sur un site dédié qui n’est pas super intuitif (ça bloquait tant que j’indiquais que j’étais citoyen de l’UE…). Cela permet de choisir son repas pour le vol vers/depuis Manado. Pour l’aller, ce sera un départ prévu de CDG le dimanche 22/09 à 11h15, pour une arrivée prévue à Singapour à 6h05, 3h d’escale, re départ à 9h25 et arrivée à Manado à 13h15. Dans les faits, une fois à bord et sur le point de partir de Paris, une erreur de manipulation du tracteur tirant l’avion a amené de drôles de bruits, à devoir faire un check-up complet, changer je ne sais quoi, se faire un peu peur et partir avec une heure de retard Pour le retour, nous partons par le vol Scoot de 14h, arrivée à Singapour à 17h40. 6h d’escales. Re départ à minuit et arrivée au petit matin à Paris à Cela me permet de prendre le train depuis Charles de Gaulle vers Strasbourg et d’être au bureau dès midi (ça pique très très fort ). Il y a 6h de décalage entre Paris et Singapour et aucun entre Singapour et Manado. Nous optons pour une technique radicale pour effacer le jet lag : somnifères après le repas dans le vol Paris-Singapour. Ça remet à zéro le système et nous ne souffrons pas du décalage horaire. Côté confort et services, rien à redire sur les vols Singapore Airlines : confort, place pour les jambes (j’y tiens bcp ), bons repas. Pour les vols Scoot, c’est low-cost et assez logiquement plusieurs clics en dessous : genoux dans le siège de devant, nourriture infecte au retour (après deux semaines de repas très bons à excellents), sièges qui ont bien bien bien vécu. À noter, le fait de réserver via Singapore Airline permet de bénéficier du repas. Étrange quand le voisin n’a rien et nous regard manger. Pour le retour, nous avons six heures d’escale à Singapour. Je me rends compte un peu tard qu’il existe des visites gratuites de la ville organisées par la compagnie mais il faut réserver en avance pour en bénéficier, c’était plein pour nous - lien ici. On en profitera quand même pour aller visiter Jewel, un centre commercial littéralement au milieu de l’aéroport avec une chute d’eau de 40m à l’intérieur. Il suffit de remplir un formulaire à l’immigration et on sort de la zone internationale pour accéder au mall. On y est en dix minutes pas plus. Une bonne manière de se sentir encore un peu en vacances avant le choc du retour ! … la suite au prochain épisode…
×
×
  • Create New...

Bonjour,

 

logo.png.c7536bd9e68359a8804d246d311256bd.png

 

L'ensemble des services de Plongeur.com sont gratuits et c'est grâce à la publicité que vous pouvez en profiter. Or il semble que vous utilisiez un bloqueur de publicité.

Si vous aimez le site et que vous voulez pouvoir en profiter longtemps, merci de désactiver votre bloqueur de publicités lorsque vous naviguer sur Plongeur.com.