
steph753
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Permettez-moi de déterrer ce topic => Qui pourrait me dire les différentes choses enseignées durant la formation N5 ? (P.S. : on parle souvent de ce que "donne droit" un N4/N5/E1/MF1 , avec d'interminables débats sur la cacarte et les prérogatives officielles. Ma question porte uniquement sur le contenu détaillé de la formation N5)
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En SM, je lis partout qu'il y a un tuyau MP de 210 et un tuyau MP de 65cm. Vois-tu un scénario où le binôme qui choperait le tuyau de 65cm serait en difficulté à cause du manque de longueur ? (moi oui, mais peut-être je me trompe) Si ta réponse est "non", alors pourquoi avoir un tuyau long ?
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Je ne suis toujours pas convaincu A partir du moment où on peut donner son bloc, je ne vois pas pourquoi les tuyaux auraient une longueur différente.
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Incident : bloc pas ouvert completement
steph753 replied to caolila's topic in Incidents et accidents
Merci @caolila pour ce retour d'expérience. J'y vois plusieurs choses : 1) le volant avec indicateur rouge/vert devrait être obligatoire partout et pour tous 2) la FFESSM (que pourtant je cite pas souvent en exemple) a dit «DEUX ... SOURCES ... d'air». Soit deux blocs distincts. Si quelqu'un a l'intention de dire «pas d'accord», merci de réfléchir un instant à la définition du mot "source" : pas exemple, l'eau dans un logement, il y a plusieurs robinets mais UNE source. En plongée, faute de branchies greffées, c'est pas si idiot que ça d'avoir DEUX SOURCES d'air. 3) Comme indiqué plus haut : chacun s'occupe de son matos, et personne ne touche le matos de quelqu'un d'autre (ou du moins pas sans son accord). Limite il faudrait un écriteau «si quelqu'un touche, je lui balance le bloc dans les dents» ... mais ça fait pas très convivial 4) bravo pour le valve-drill sur un seul bloc avec une seule sortie. ... mais n'était-ce pas risqué ? 5) Certains disent qu'il faut savoir à tout instant faire une (RSE) remontée sur expiration à la profondeur max où on souhaite aller. Exemple : «Je sais faire une RSE sur maxi 30m, alors je ne descends pas au-delà». Ça me parait un peu hard, mais c'est à réfléchir 6) En effet, l'histoire de la sonde semble apporter un élément de sécurité supplémentaire 7) J'ai une sorte de manie qui me vient de je ne sais plus où : sur le bateau, après avoir ouvert et respiré sur les détendeurs pour vérifier, je ferme les robinets, j'appuie sur les détendeur, je regarde que l'aiguille du Mano est à zéro, et je fais un noeud (pas serré évidemment) très lache sur chacun des tuyaux MP. Ca me rappelle que tout est prêt mais que les robinets sont fermés. Au moment de le mettre sur le dos, j'ouvre les robinets, je regarde le mano, je défaits les deux simili-noeuds, je mets sur le dos, et je vais au lieu de mise à l'eau. Avant de sauter je gonfle la stab, je respire deux fois sur le détendeur, je re-regarde le mano, je saute. A partir du moment où je défais les deux simili-noeuds, si quelqu'un touche je mords. -
Une petite question à ceux qui ont été formé au Side Mount (et à ceux qui forment également) : En BM, je comprends l'intérêt d'avoir un seul long hose, mais en SM non. => Pourquoi ne pas avoir un tuyau long sur chacun des blocs en SM ? En BM, chez les DIR, il se dit (et j'y crois ) que le binôme en panne d'air va se jeter sur le détendeur qui fait des bulles. Histoire de rassurer les FFESSMistes ça ne serait d'ailleurs pas idiot que le tuyau long soit de couleur jaune. En SideMount, dans le meilleur des cas c'est le plongeur qui donne l'air qui va choisir de filer le détendeur qui a un tuyau long (sinon ça ne risque pas d'être pratique). Dans le cas d'urgence, on se retrouve dans la situation où le plongeur en panne d'air va se jeter sur ce qu'il peut attraper pour respirer dessus, et là ça serait bien que dans n'importe quel cas il y ait suffisamment de longueur. D'ailleurs au sujet des longueurs : en BM, ça a son sens que le tuyau long fasse 2.10m de long (afin que le plongeur assisté puisse être derrière le plongeur assistant et qu'ils puissent passer dans un endroit où ils ne peuvent pas être côte à côte). En SM, ça ne me semble pas avoir de sens que ce soit aussi long : le plongeur assistant peut donner l'intégralité du bloc. Quelque chose comme 1.50m devrait suffire, non ?
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Méthode de planification de plongée loisir à l'air
steph753 replied to bardass's topic in Forum Principal
Outre cette méthode de calcul simple (simplifiée), de la règle de DTRx3 +50b (cette histoire des 50b me dérange, mais passons), il serait bon (depuis le temps !) que les fabricants d'ordinateurs de plongée (les modèles avec sonde) améliorent le matériels qu'ils vendent. Tous les ordinateurs ou presque affichent DTR (retour surface en minutes). Les ordinateurs les plus récents (et haut de gamme) affichent GTR (retour surface en bars si je ne dis pas d'idiotie). Sauf que ce GTR est calculé selon la ventilation (SAC) des dernières minutes (or on sait qu'un plongeur qui a un souci va ventiler bien +). Il faudrait que ce GTR puisse être calculé selon un SAC fixe (une valeur fixe). Et cette valeur serait, par exemple, 40L/min (ou 50L/min) car on planifie que la remontée peut se faire à deux plongeurs sur un même bloc. Egalement, côté calculs possibles avec un ordinateur, ça n'est pas infaisable de déterminer quel va être le GTR si on reste 1 minute de + à cette même profondeur. De même à temps + 2', etc etc. Au final, je ne vois pas en quoi cela poserait une difficulté aux fabricants pour que l'ordinateur (avec sonde reliée au bloc) affiche un décompte (en minutes/secondes) avant le moment de "décollage" que @bardass indique dans son document. Il en découlerait une simplification pour les plongées multi-niveaux. Certains seront 'contre' l'idée que l'électronique calcule ce genre de chose à notre place. C'est pas faux, mais ces même personnes utilisent un ordinateur qui leur indique leurs paliers... Vous en voyez encore souvent des N3 plonger avec tables MN90 lors d'explo récréatives ? Pourquoi les fabricants ne sortent pas cette fonction du décompte de temps avant décollage ? -
En tous cas chez ISE , ils recommandent le manifold ouvert d'un quart de tour. Ca c'est sûr. (ou alors mon instructeur m'avait dit des sottises il y a une dizaine d'années, mais j'en doute) @Narcosis : j'étais en train de penser à toi à propos de planif SM, en binôme, à l'air, à 40m, plongée carrée, 2x S80 chacun. Puis-je te contacter par email ? (d'ailleurs je ne sais pas si j'ai encore ton adresse email :-/ )
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Merci Lagos, ton texte peut être utile à certains. Il y a une dizaine d'années j'avais fait un BoE (Basics of Exploration) de chez ISE (Inner Space Explorer, créé par Achim Schlöffel, un ancien GUE) : c'est exactement ce que j'avais vu... mais il y a une question que je n'avais pas posé à l'époque : «Comment savoir/planifier la quantité de gaz qu'on va perdre si fuite gros débit ?» et, si on sait qu'on peut faire la remontée à deux sur le bi du binôme (je me souviens que c'est ce qu'on planifie), alors «pourquoi se dépêcher à : 1) fermer le manifold ; 2) identifier de quel côté est la fuite ; 3) fermer le bon robinet» ? Je crois que prochainement je vais un comparatif très détaillé d'une planification sur 40m de 3 binômes : un binôme avec un mono 15L 230b, un binôme avec BM S80 manifold , un binôme avec SM S80... Afin de voir, pour chaque, quel est le temps fond max (dans la planif) en sécurité.
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Merci. Comment les DIR planifient la perte de gaz suite à une fuite MP à 27.6 litres/seconde ? Entre le moment où la fuite commence, le moment où on prend conscience qu'il y a une fuite, le laps de temps (même court) où dans notre cerveau ça dit "il faut fermer le manifold", puis l'exécution, puis la fermeture totale du manifold (même s'il est ouvert d'un quart de tout et que ça se ferme vite), au total il se passe bien + d'une seconde. Comment les DIR planifient cette perte de gaz "worst case" ?
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Je repensais à l'idée de "partir avec manifold fermé" ... En cas de fuite au niveau MP, et lorsqu'on est un peu narcose (ah, vaste sujet), vous pensez qu'on réagit en combien de secondes entre le moment où la fuite commence et le moment où on a complètement fermé le manifold ? Parce que la fuite qui débite à 27,6 litres par seconde, ça va vite.. très vite. Dans le scénario dans le post initial, il est dit que M. Dupont part avec 2x12L gonflé à 230b. Il descend à 60m, et qu'à la 16e minute il y a une fuite (débit 27.6L/sec), et qu'il ferme le manifold. On va dire qu'à la 16e minute il a consommé 2230 litres. Il lui reste donc 137b dans son 2x12L (je me suis planté en écrivant 145b) juste l'instant avant la fuite. - Si le temps de réaction pour fermer le manifold est d'1 seconde, M. Dupont va sauvegarder 136b dans un de ses deux 12L - Si le temps de réaction pour fermer le manifold est de 2 secondes, M. Dupont va sauvegarder 135b dans un de ses deux 12L - Si le temps de réaction pour fermer le manifold est de 5 secondes, M. Dupont va sauvegarder 131b dans un de ses deux 12L - Si le temps de réaction pour fermer le manifold est de 10 secondes, M. Dupont va sauvegarder 126b dans un de ses deux 12L - Si le temps de réaction pour fermer le manifold est de 15 secondes, M. Dupont va sauvegarder 120b dans un de ses deux 12L - Si le temps de réaction pour fermer le manifold est de 20 secondes, M. Dupont va sauvegarder 114b dans un de ses deux 12L - Si le temps de réaction pour fermer le manifold est de 30 secondes, M. Dupont va sauvegarder 103b dans un de ses deux 12L - Si le temps de réaction pour fermer le manifold est de 45 secondes, M. Dupont va sauvegarder 85b dans un de ses deux 12L - Si le temps de réaction pour fermer le manifold est de 60 secondes, M. Dupont va sauvegarder 68b dans un de ses deux 12L On peut donc dire que "partir avec le manifold ouvert" (et le fermer en cas de pépin) signifie avoir confiance en sa très rapide prise de conscience que ça fuit ET très rapide réaction de vouloir fermer le manifold ET très rapide exécution pour fermer le manifold. Et, également dire que "partir avec le manifold fermé" (et le ré-ouvrir quand et pourquoi ??) évite cette crainte du temps de réaction. La question reste entière : si on part le manifold fermé, quand et pourquoi le ré-ouvrir ? Ce qui suit est une supposition/reflexion : Ok, on part manifold fermé : S'il y a une fuite sur un bloc, on l'identifie (question là encore de rapidité), on ferme le robinet adéquat, et s'il reste 20 ou 30 ou 50 ou 80 ou 100 ou 120b (qu'importe) ça va être une mage de sécurité supplémentaire qu'on va récupérer en ouvrant le manifold (on a dit "lorsque les deux blocs vont être à equipression" car ça minimise encore + les hypothétiques soucis). Si on a planifié la possibilité de remonter sur un seul bloc (qui n'a rien perdu), en quoi ça serait utile de récupérer l'air qui ne s'est pas échappée durant la fuite ? Une sécurité supplémentaire, ok, mais pourquoi faire ? (Ca serait peut-être pas mal d'ouvrir un fil dédié à cet autre sujet)
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Relis bien le scénario. Lorsque j'ai écrit cette phrase : - la fuite a eu lieu AVANT la fermeture du manifold et AVANT la fermeture du robinet du détendeur - le plongeur n'a pas ré-ouvert le manifold J'ai fait cette précision sur la fuite (au niveau de la moyenne pression) pour éviter une mauvaise remarque sur le débit de la fuite. Pour "une telle fuite" (= passer de 150b à 30b sur un 12L), ça signifie que le débit de la fuite a été important. Or, d'après des tests réalisés par certains, on sait qu'une fuite sur le tuyau MP est + problématique qu'une fuite sur le tuyau HP . (fuite de 1.7L/sec sur le tuyau HP et fuite de 27.6L/sec sur le tuyau MP, et quelle que soit la profondeur, d'après le "Guide de la Plongée Tek" 1ere édition page 82)
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L'intérêt de partir avec manifold fermé : moi aussi je n'ai pas un avis positif, mais essayons de comprendre... Partir avec un manifold fermé c'est comme partir avec deux blocs distincts non-reliés MAIS qu'on peut relier si finalement on en avait besoin. Et justement, quand pourrait-on en avoir besoin ? - On part manifold fermé - on respire alternativement sur l'un et sur l'autre : 230/230, 180/230, 180/180, 120/180, 120/120, etc - au moment de switcher (et donc de passer sur le bloc le + plein), le bloc le plus plein devient inopérationnel - on repasse sur le bloc le moins plein... et on n'en a pas passé pour faire surface en sécurité ? Et c'est là qu'on voudra ouvrir le manifold pour récupérer ce qu'il se trouve sur l'autre bloc ?
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Garmin inReach® Mini (sécurité, balise, satellite)
steph753 replied to steph753's topic in Le coin du matos
Remarque pertinente ! merci. -
Garmin inReach® Mini (sécurité, balise, satellite)
steph753 replied to steph753's topic in Le coin du matos
Quid si plongée hors structure et sans bateau ? (et donc sans smartphone à proximité car la voiture est garée loin) Aussi bien dans le cas d'une plongée solo, mais également dans le cas d'une plongée à deux avec un accident qui implique les deux (ça a souvent été le cas) et donc avec personne qui peut aller courir pour chercher les secours. L'idée est donc "nous avons (ou j'ai) fait surface, il faut là de suite contacter les secours pour dire précisément où on se trouve et signaler un ADD" ou alors "je suis sorti de l'eau, solo, sans ADD, mais j'ai glissé sur les rochers et je me suis fracturé les deux jambes, je souhaite contacter les secours". Une balise PLB ne me parait pas idéale car on ne peut pas communiquer avec les secours pour expliquer quel problème rencontré. Un Nautilus Lifeline idem. Par contre avec un Seareka on peut communiquer avec les secours. Et concernant ce Garmin InReach Mini, il me semble avoir lu qu'on peut communiquer avec les secours mais j'ai tout à coup un doute : est-ce possible avec ce petit appareil seul ou faut-il un smartphone relié en bluetooth avec cet appareil ? -
Ce n'est en effet pas conseillé de gonfler rapidement un bloc. Concernant le fait de "respirer de l'eau" (j'ai bien compris le second degré) , relis le scénario : la quantité d'air nécessaire pour faire surface est très proche de la quantité d'air dans un bloc : il y a de quoi hésiter à ré-ouvrir le manifold. Mais peut-être que la solution consiste tout bêtement à ré-ouvrir le manifold au moment où les deux blocs sont à pression quasi identique. Ça limite les éventuels risques. Je dirai même qu'idéalement, il faudrait qu'au moment où les deux blocs sont à pression identique on sache calculer si on va avoir assez d'un seul bloc pour faire surface en sécurité (paliers obligatoires + sécu), et ainsi déterminer si ça vaut la peine de prendre le (mini?) risque de ré-ouvrir le manifold. Nouvelle question : Sur mon ordinateur ça n'est pas le cas, mais existe-t-il des ordinateurs qui indiquent la quantité d'Air (en bars ou en litres) minimum qui va être nécessaire avant de faire surface (soit en ayant au préalable indiqué à l'ordinateur "20L/min" soit l'ordinateur qui se base sur la conso moyenne) ?
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Bonjour, Une récente discussion m'a mis le doute, je sollicite vos avis : Sur un bi avec manifold, y a t il un risque de transvaser de la haute pression au fond (durant la plongée) ? Scénario fictif pour expliquer le détail de ma question : - M. Dupond plonge en bi 12L 230b avec barre de liaison avec manifold. - Il embarque donc, à la louche, 5520 litres d'air. - Il descend à 60m. (c'est pas bien malin à l'Air, mais cet exemple de profondeur est utile à la démonstration) - Au bout de 16 minutes il a une fuite quelque part : il ferme aussitôt le manifold, et attaque la remontée lente, et en même temps il fait le point sur «Ça fuit où??» - il découvre que c'est son premier étage du détendeur principal qui fuit. - il passe sur son détendeur de secondaire et il ferme le robinet où il y a son détendeur principal : plus rien ne fuit. - il regarde ses deux manomètres : bloc principal = 30b (360L); bloc secondaire = 145b (1740L) - Pour regagner la surface en sécurité et avec palier de sécurité, la planification avant plongée lui indiquait que pour 16 minutes à 60m durant la remontée il va devoir consommer 1759 litres (73b sur 2x12L, ou 146b sur 1x12L) - le plongeur se trouve à ce moment-là à -50m, en remontée lente, et il hésite ... => A ce stade-là, quels sont les risques de ré-ouvrir le manifold (afin de pouvoir bénéficier de la totalité de l'air disponible dans l'ensemble des deux blocs) ? (le livre "Guide de la plongée Tek" de 2008, page 82, ne mentionne pas cette question ) (remarque : pour une telle fuite, ce doit être un joint côté moyenne pression qui a lâché. On s'interdit de ré-ouvrir le robinet du bloc principal car en 13 secondes il serait vide.) Autre possibilité : Attendre que le bloc secondaire soit à 30b (comme le bloc principal) et ouvrir le manifold à ce moment-là. Y a t il un risque ? Merci pour vos avis.
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Bonjour, Pour les plongées hors structure, est-ce que l'un d'entre vous a déjà réfléchi (adopté?) à un Garmin inReach® Mini dans un caisson étanche ? (Plutôt qu'une Nautilus Lifeline, ou une Ocean Signal PLB1, ou ce que propose Seareka .... J'ai conscience que tous ces produits ont des fonctionnalités différentes) L'objectif n'est pas «je n'ai pas retrouvé le bateau, j'ai dérivé, venez me cherchez» mais plutôt de déclencher les secours le plus rapidement possible en cas d'ADD (ou autre accident , par exemple : au moment de sortir de l'eau par les rochers, glissade et fracture). https://www.nautiluslifeline.com http://oceansignal.com/products/plb1/ https://seareka.com https://buy.garmin.com/fr-FR/FR/p/592606 En remerciant par avance les personnes qui répondront :-)
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Bonjour, Je n'ai aucune expérience concernant la fonction GTR de certains ordinateurs. Sur une plongée où on ne fait qu'observer avec ses yeux, on n'oubliera pas de regarder les mano et de changer de bloc quand c'est le moment : je n'y vois donc aucun intérêt à avoir un ordinateur qui gère spécifiquement la plongée en SM. Mais, en plongée photographie (par exemple), ça pourrait peut-être être utile ... J'ai vu que le Shearwater Perdix AI peut être relié à deux transmetteurs sans fil. J'ai vu que le Galileo G2 peut être relié à deux transmetteurs sans fil aussi et qu'il a un mode "sidemount" pour pouvoir à la fois visualiser la pression des deux blocs et à la fois prévenir pour le changement de bloc. Je ne sais pas si le Shearwarer Perdix AI possède un mode "sidemount", mais sur le site du fabriquant il y est dit que cet ordinateur ne sait pas gérer le GTR en tenant en compte des deux blocs (deux transmetteurs) et je ne sais pas si une mise à jour du logiciel a résolu ce problème. Et ni le support technique Scubapro ni la notice du Galileo G2 ne fait mention de la gestion ou non de la GTR en considérant les deux blocs en sidemount. (par exemple en "plongée photographie" ce genre de choses pourrait être utile ...) Avez-vous des infos sur ces sujets sur ces deux ordinateurs (ou pourquoi pas d'autres) ?
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Oula, mes excuses, je n'ai pas reçu de notifications (par mail) de réponses à ce fil. Je découvre qu'à l'instant. Je vais tenter de répondre à tous : @autrichon gris : "zéro" pour "zéro expérience en 'SM depuis un bateau' ". Merci pour tes retours d'expérience en "sm depuis un bateau". ... @kiloas : Ton argument /explication pour dissuader de mettre un plomb sur le bloc est très bien. Merci. ... @stef75 : - Tu as mal lu (et j'ai peut-être pas suffisamment insisté) : j'ai une relative expérience en SM en mer en plongée du bord uniquement (pas de formation ceci dit), avec deux S80, et beaucoup étudié le sujet. Je ne suis donc pas au stade "zéro" ..... mais j'ai encore énormément à apprendre. - "Pourquoi la plupart utilisent des S80 ?" : parce que c'est ce qu'on trouve le plus facilement dans les centres dans le monde (pas en France), et que c'est bien moins cher que les carbondive et que c'est moins problématique que les blocs acier par rapport au poids sous l'eau et alignement. - Oui je pense plutôt bien connaitre le changement de clips des S80 tout au long de la plongée pour un alignement optimal (enfin du moins j'essaye que ce soit optimal) - Pourquoi envisager des carbondive 6.8 ? Il y a plusieurs arguments : J'ai fait de nombreuses plongées du bord nécessitant de la marche (et parfois même nécessitant pas mal de dénivelé, avec parfois long escalier). En Bi-12 acier c'était franchement lourd. Avec 2 S80 c'est bien moins lourd mais ça nécessite double trajet : outre le fait de devoir laisser une partie du matériel loin sans surveillance, le double distance et double dénivelé après la plongée est un peu fastidieux. Bien sûr si le terrain est plat et praticable j'utilise le diable avec cadenas (reste le probleme de la clef mais ce n'est pas hyper grave), mais c'est une minorité des cas. Deux 6.8L carbon dive c'est quand même 16Kg de moins que deux S80 (mes hernies discales apprécieront beaucoup !). Deux 6.8L carbondive ça pèse légèrement moins qu'une S80 (on oublie le double trajet, un seul suffit). Deux 6.8L carbondive à 300b contiennent 860 litres de moins par rapport à deux S80 : c'est dommage pour les plongées hors structure (quoique si c'est avec quelqu'un qui a un mono 15L ça n'est pas un souci), mais pour les plongées en structure FR ça ne sera pas gênant (vu que la plupart a un mono 15L). Deux 12L carbondive seraient mieux pour un plus agréable temps de plongée hors structure (seul ou avec un binôme qui a au moins un bi12), mais c'est 9.3Kg plus lourd que les deux 6.8L (mais 6.6Kg plus légers que deux S80), ET ça nécessitera deux aller-retours (au lieu d'un avec deux 6.8L), et surtout la flottabilité d'un 12L carbondive vide (oui il faut prévoir que dans un mauvais scénario un bloc peut se vider complètement) est franchement positive (-1.4Kg parait-il) .... donc le choix se porte d'avantage vers deux 6.8L carbondive. Au-delà de ces aspects de poids, il y a l'usage futur : dans un premier temps je souhaite continuer en SM puis dans un 2e temps je souhaite me diriger vers l'achat d'un triton (CCR). Reste quand même l'histoire de trouver où gonfler 300b à l'air : je pense avoir trouvé mais il faut quand même avoir en tête ceci : Sur une plongée carrée à 40m, la différence entre deux 6.8L gonflées à 230b ou gonflées à 300b (270b réels) est de 2 minutes de temps fond. Sur une plongée carrée à 20m, la différence entre deux 6.8L gonflées à 230b ou gonflées à 300b (270b réels) est de 8 minutes de temps fond. (sur 60m c'est 1 minute de différence) ... @nics : Tu as très bien résumé la chose en une courte phrase : l'avantage c'est le poids hors de l'eau.
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Bonjour, Je ne possède pas de Galileo G2. Je souhaitais savoir si la sonde de cette ordinateur est compatible 300 bars : le support technique Scubapro m'a répondu "oui" (et il n'y a pas que la sonde qui supporte la pression 300b, il y a aussi l'ordinateur qui sait l'afficher. Ca parait évident mais c'est bien de le préciser) Par contre on sait que selon la formule/loi de Van der Waals, lorsqu'il y a 300 bars dans un bloc (lorsque ça affiche 300 bars au manomètre ou via la sonde), il y a en fait 270 bars. Cela va donc affecter le calcul de consommation et la fonction GTR (d'autant plus que cette dernière se base sur une moyenne de consommation). On peut donc dire que de 300 bars à 240 bars, même si ça n'est pas linéaire, la consommation est de 30 bars, soit 408 litres sur un bi 6.8L relié ... lesquels devraient être consommés en 4 minutes lors d'un début de plongée de surface à 60m (2 minutes pour descendre + 2 minutes au fond). Mais si l'ordinateur ne connait pas Van der Waals, il va se dire que pendant ce même laps de temps il y a eu un peu plus de 800 litres consommés, et il va prendre en compte que c'est une ventilation à 40L/min (équivalent surface) et donc déduire à un essoufflement et également cela va influencer pas mal de choses par rapport au GTR (si en plus l'ordinateur croit à un essoufflement et que le coeur est pas rapide, je ne sais pas comment il va interpréter la chose) Si c'était un bi 12 300b, pour une plongée à 60m, si l'ordinateur ne connait pas Van der Waals alors il croira à un essoufflement pendant la descente et aussi pendant es 7 premières minutes au fond La question est : Est-ce que le Galileo G2 sait prendre en compte cette loi de compressibilité des gaz jusqu'à 300b (qui porte le nom de Van der Waals ) ? Le support technique n'a pas su répondre à cette question et m'a communiqué la documentation PDF. Dans la documentation il n'y a rien à ce sujet. Merci à ceux qui répondront.