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Plongeur.com - Le site de la plongée sous marine

Youdivemecrazy

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  1. Oui, le nitrox 32 est obligatoire. Bloc S80 ou du 15L (toujours alu) pour $80 si ma mémoire est bonne. DIN avec évidemment les inserts si tu es en étrier, que de la simple sortie.
  2. Pour le budget on est sur du 7600€ par personne (en partant à 2, cabine double, chambre d'hôtel partagé), vol, hôtel, transferts, croisière, taxe d'entrée au parc. Derrière il faut rajouter les pourboires ainsi que les repas (hors ceux du bateau qui sont bien évidement compris). Tu dois pouvoir faire baisser un peu l’addition en ne partant pas sur les premières semaines d’Août. Moi je n’avais pas trop le choix dans la date. En effet dès que t'es dans l'eau, tu oublies complètement les petits problèmes de confort. Mais je comprends que ça puisse en bloquer certain, il faut en être conscient. Pour le moment un seul bateau autorisé à la fois, donc peu de chance que ça se transforme en Elfinstone. Surtout que sur le coup tu ne viens pas à la journée. Mais un chouilla plus de confort ne serait pas de refus. Mais vu à quel point on est loin de tout on peut comprendre qu'ils aient préféré prendre un bateau avec une coque de 3cm d'épaisseur plutôt qu'un bateau avec des banquettes pour se reposer. D'ailleurs ils viennent de mettre en service le Vivax qui est le sistership du Ferox. Je filme avec une Paralenz, la toute première du nom avant même la dive+. Elle a presque 7 ans maintenant. Je ne fais aucune correction de couleur derrière. A part le montage c’est directement ce qui sort de la caméra. Les requins marteaux sont entre 20m et la surface. On n’est pas descendu au-delà de 35m et on a même rarement dépassé les 25m. La plupart des sites sont en pente douce et pas des tombant abruptes style Daedalus. Oui les murènes c’est incroyable. Elles sont des centaines posées là, même pas forcément caché dans des trous. Et le pire c’est que pour les filmer j’ai du détourné mon attention des requins des galapagos. Si tu prends 10s pour filmer quelque chose tu as loupé 2 ou 3 trucs qui se sont passés derrière ton dos. J’ai déjà fait des magnifiques plongées, mais se retrouver à ce point avec des choses à voir de tout le côté, avec l’obligation de faire des choix d’où tu pose ton regard c’est une première. A la fois magique et un peu frustrant. Faudra que j’y retourne.
  3. Je me rend compte que j'ai oublié quelque chose d'important : Pour la combinaison, prévoyez une 5mm. L'eau est à 28 en surface, mais à 21 au fond. La thermocline pique un peu. Vous pouvez avoir le dos à une temperature et le ventre 4 à 5° de moins.
  4. Bonjour à tous, Nous sommes allés avec ma conjointe à Malpelo début Août. Et comme on trouve assez peu de retour, laissez-moi vous narrer ce voyage. Tout commence 18 mois plus tôt au salon de la plongée (c'est à peu près le moment où il faut s'y prendre si vous voulez être sûr d'avoir une date précise). Ma binôme et moi sommes décidés à réaliser un voyage qui nous trotte dans la tête depuis maintenant plusieurs années : une croisière vers la lointaine Malpelo, une petite île à environ 500 km des côtes colombiennes. Pour ceux qui ne connaitraient pas, l'île et ses environs sont classés sous protection absolue depuis 2002. Très peu de personnes peuvent y venir et il n'y a environ que 450 plongeurs par an. Un seul bateau à la fois avec une douzaine de personnes (certains bateaux sont un peu plus gros). Nous prenons donc contact avec plusieurs agences de voyages en recherche de celle qui pourra nous organiser le voyage sur les dates de fermeture de ma boite. Ce sera Spot d'Évasion. Un premier devis est établi avec un plan de vol prévisionnel en attendant les ouvertures des billetteries des compagnies aériennes. Il est prévu de passer par Madrid, mais finalement les vols ne correspondront pas, on nous propose donc de prendre Air France et de faire un Paris-Bogota, une nuit à Bogota, puis Bogota Cali. Le retour sera une nuit à Cali puis Cali-Bogota et Bogota-Paris dans la foulée. Ce plan de vol entrainera un léger surcoût, mais bon vu le prix total du voyage... ça ne change pas grand-chose. Petit bond dans le futur, nous sommes enfin le 2 Août 2024 et il est temps de prendre notre avion. Le chef de cabine fait son blabla habituel, enchaine en nous parlant des repas à bord, soit poulet soit végétarien et fini en s'excusant d'avance si on n'a pas le repas que l'on souhaite... Aïe... Evidemment avec 50% de plateaux avec poulet et 50% de plat avec que pattes, le temps d'arriver jusqu'à nous il n'y a plus de choix. Et ce n'est pas comme s’il y avait beaucoup de pattes, en termes de quantité on est vraiment sur un plat normal juste sans la viande. Petit coup de gueule donc contre Air France qui fait des économies sur les plateaux repas sous un faux prétexte écologique. Nous arrivons à Bogota, l'hôtel réservé par Spot d'Évasion se trouve à 5 min de l'aéroport et ils organisent un service de navette en continu, 2 par heure toute la journée. La chambre très bien grand lit, grande salle de bain, c'est presque dommage de n'y rester qu'une nuit (spoiler : surtout quand on connait les futures conditions dans lesquels on logera sur le bateau). Lever très tôt le lendemain matin pour un vol de moins d'une heure, mais qui partira avec presque deux heures de retard car il manquait deux membres d'équipage. Quelqu'un nous attend pour nous amener...quelque part. On apprendra par WhatsApp de la part de la responsable sur place que le rendez-vous est à l'hôtel continental de Cali. Arrivé sur place elle nous dit que les plongeurs vont arriver au fur et à mesure et que notre car pour Buenaventura partira dans deux heures. Elle nous dit de profiter des restaurant de l'hôtel en attendant. Ce que l'on fait. Sauf que voilà, ce que l'on ne sait pas c'est que le car s'arrêtera après 40min de route pendant une heure dans un restaurant... Après un long périple dans les montagnes on arrive enfin au port de Buenaventura et on va pouvoir embarquer via les semi-rigides sur notre bateau. On commence par les consignes de sécurités ainsi que le tour du bateau. Le Ferox est un ancien mouilleur de mines avec la certification glace de 32m de long et de 8m de maître-bau. Il n'est pas pensé pour la plongée ni pour le confort et ça se sent. Si une couche de bois a été rajouté sur le pont, tout est très métallique. Il n'y a pas de salon et les repas se prendront dehors. Il y a deux cabines pour deux personnes de taille correcte, les autres cabines sont pour une seule personne et les plus petites dépasse à peine la taille d'un placard. Nous avons cependant tous douche, WC et climatisation privatifs. Les prises sont européennes (mais toutes équipées d'adaptateur US pour ceux qui en auraient besoin). Après le tour du bateau la seule personne qui parle à peu près anglais débarque nous laissant avec un équipage 100% hispanophone. Pas moyen de se débrouiller "watter", "fork", "breakfirst", ni même "yes" ou "no" ne sont connus de l'équipage. Nous avons le droit à un super diner, un très beau morceau de viande très tendre et très bien cuisiné. Les repas seront toujours bien mais avec une vrais hétérogénéité quand à la quantité. Des fruits coupés sont en permanence à disposition. Le repas terminer nous prenons la mer. 31H de navigation nous attendent. Nous allons nous coucher... sans connaitre l'heure du petit-déjeuner le lendemain. Lendemain matin je me lève assez tôt (décalage horaire oblige) et vois deux ardoises. La première, a les horaires de la journée (seul le petit déjeuné et l'heure où l'on préparera l'équipement sont indiqués pour le moment). L'autre et sensé être le menu du prochain repas, mais il ne sera mis à jour que deux fois dans le séjour. Peu de personnes seront présentes au petit déjeuné, je pense que certains dormaient encore. D'autres (beaucoup d'autres) n'étaient pas en état de manger. Notre bateau est très petit, peu stable et nous avons le vent et le courant de face. Ça bouge. Ça bouge beaucoup. Ça bouge vraiment beaucoup. Prévoyez le mercalm, même si vous n'êtes pas sujet au mal des transports. Lors de la mise en place de notre équipement on nous demande combien de plomb on veut. Bien sûr on demande un nombre de kilos, bien sûr on nous les donne en pounds. Ça me semble évidemment bien léger, j'essaie de demander confirmation, on me répondra "si, si kilo". On sera donc plusieurs à avoir besoin de rajouter du poids pour pouvoir descendre à la première plongée. Déjeuner, diner et nous allons nous coucher...encore une fois sans idée du programme du lendemain. A quelle heure sera le petit-déjeuner ? Quand sera la première plongée ? On découvrira le lendemain. Nous arrivons enfin à destination, 2 DM nous rejoignent, ils étaient déjà sur place. Un d'entre eux se débrouille en anglais, ouf. Le bateau bouge un peu moins, les gens sont un peu moins pâles. Les conditions resteront quand même rudes. Toutes les nuits on sera réveillés par de la houle suffisante pour nous faire tomber du lit si on ne s'accroche pas. Nous aurons 6 jours de plongées à 3 plongées par jour. Nous serons deux groupes de 6 qui ne plongeront pas sur les mêmes sites au même moment. Cependant le fort courant nous limitera dans le choix des sites possibles, on n'en fera que 8 différents. 3 sont plus à l'abris que les autres on les fera donc très souvent. Heureusement dans ces trois il y a Nevera, la station de nettoyage qui attire les requins par dizaines et dizaines. On aura aussi l'occasion de faire d'Artagnan un site avec un très fort courant, mais avec des bancs de carangues énormes. Tous les sites sont de toute façon magiques. C'est parti pour une liste non exhaustive de la faune rencontrée sur place : - Requins : requins des galapagos, requins marteaux halicorne, requins corail, requins soyeux, requins bordés et à trois reprises un requin tigre. Nous y étions à la bonne période pour croiser des requins baleines, ils ne se montreront malheureusement pas. - Raies : nombreuses raies aigles, raie mobula et raie manta. - Autres espèces remarquable : 3 marlins, des murs entiers de murènes, tortue, de nombreux mérou, vivaneaux, carangues,... La faune est nombreuse et pas du tout farouche. Il n'est pas rare de toucher un mérou sans le faire exprès tellement ils nous collent, certains jouent même avec les bulles. Les murènes peuvent passer sur les palmes des plongeurs. J'ai eu des perroquets qui m'ont collé pendant toute une plongée. Malgré tout cela, la quantité de requin est tellement énorme qu'on en oublie de regarder le récif. On ne prête pas la moindre attention à ce qui dans 95% des cas serait la plus belle scène de la plongée. Dès la première plongée la difficile navigation est oubliée. Ça valait le coup. Après la dernière plongée on peut faire sécher notre matériel et on reprend la mer. Le retour sera plus facile, nous somme dans le bon sens et on a pris l'habitude du mouvement. On va se coucher, une nouvelle fois sans connaitre l'heure du petit déjeuner le lendemain. Une journée de navigation nous attend, on la passera à derusher les vidéos et mettre à l'abris le matériel de plongée dès qu'il pleut et à le ressortir dès que la pluie s'arrête. Dernière nuit sur le bateau, toujours sur le bateau et cette fois miracle on nous donne une heure pour le petit déjeuné. Le lendemain on mange, on débarque, le car nous ramène à Cali. On passera la nuit dans un hôtel-boutique. La chambre est correcte, mais n'a pas du tout de fenêtre. On restera dehors un maximum. On se couchera tôt sans pouvoir profiter des fameuses nuits de Cali tellement on est épuisé. Le lendemain on prendra nos deux avions, cette fois on aura le droit au poulet et on arrivera le jours d'après à Paris. Pour résumer, le gros point noir de notre séjour c'est l'organisation et le manque de communication sur place. Le très gros point positif se sont les plongées de rêves. Je ne peux que vous conseiller d'aller tremper une palme à Malpelo si vous en avez l'occasion. Il faut savoir cependant que les conditions sont difficiles, le confort spartiate et il y a 6 jours de voyage pour 6 jour sur place. Cela ne m'empêche pas de déjà rêver d'y retourner un jour. Pour ceux que ça intéresse vous pouvez trouver ici une petite sélection de mes meilleurs moments sous l’eau :
  5. En effet tu dois avoir raison, donc j'ai dis une semi-connerie. Du coup @Nelfe le plus simple c'est de demander au revendeur Apeks chez qui tu as acheter la stab de prendre contacte avec le fabricant pour obtenir le nécessaire. A priori pas de problème car ils livrent certaines stab avec le fenstop en série.
  6. Salut, Au risque de dire une connerie... T'as vérifié qu'il n'y a pas déjà le fenstop intégré ? J'ai eu l'occasion de plonger avec une Wing Apeks D30 et il y avait bien le fenstop. Et si j'en crois le site du fabricant c'est standard. Wing Apeks WTX D PSD
  7. La phase découverte est assez rapide. Tu peux en voir au début de ma vidéo. Tout dépend de ce qu'ils découvrent. si c'est un seuil de porte en marbre, ils découvrent tout et ça prend deux secondes. Pour une mosaïque toute blanche, pas la peine de découvrir plus qu'un tout petit bout. Pour celles plus élaborer, ils découvrent une grosse partie, sur le coup ça prend un peu plus de temps, mais il y a partout des murs, des escaliers ou des colonnes à regarder le temps qu'ils le fassent et tu peux déjà profiter de ce qui a déjà été découvert. Quand tu es en plusieurs groupe ce n'est pas le même guide qui fait tout. Par exemple le premier découvre et celui d'après recouvre. Ou bien on ne fait pas tout à fait le tour dans le même ordre et on arrive parfois sur des mosaïques déjà découvertes. Globalement je ne suis pas forcément patient et je n'ai jamais eu l'impression que c'était un peu long. Les photos qu'ils affichent sont prenables je pense. Il faut juste trainer à l'arrière du groupe pour ne pas avoir plein de rétrodiffusion sur ton flash. Dans le magazine Plongez! que j'avais vu ils avaient par contre pris particulièrement le temps de découvrir des grosses zones et d'avoir des conditions idéales. Les colonnes et les statues quand à elle n'ont pas besoin d'être découvertes, seuls les sols sont recouverts. Sur les 4 plongées j'en avais 2 avec un gros soleil et les deux dernières sous la pluie le dernier jours. Dans ma vidéo les images sous la pluie sont celles des mosaïques colorées et des colonnes vers la fin. Je ne rajoute aucune lumière et ne fais pas de post-traitement (mais j'ai une correction automatique de couleurs). Les plongées duraient environ 40 à 45 minutes sans jamais avoir besoin de palmer fort. Je n'ai jamais eu de photographe avec moi donc ça se déroulait assez rapidement. Je pense que si tu aimes faire de la photo et prendre un peu de temps pour te caler il n'y a pas de problème pour trainer un peu plus. La plupart des trucs intéressant se trouvent au sol, c'est ce qui est le mieux protégé. Il reste beaucoup de mur, mais comme dans beaucoup de ruines antiques c'est surtout la base que tu vois. Les plus grosses colonnes sont au sol, mais quelques bouts sont encore droit.
  8. Bonjour à tous, Petit compte rendu de mon séjour plongée à Baïa dans la banlieue de Naples au milieu des ruines, des vestiges et des statues antiques de l’ancienne cité balnéaire. J’avais découvert l’endroit dans les pages d’un des tout premier Plongez! il y a de ça 6 ans et depuis avec ma binôme nous attendions une occasion d’y aller tremper nos palmes. L’occasion s’est présentée cette année avec quelques jours de vacances autour du 8 Mai. On repère un club de plongée, des hôtels, des vols, mais avec la barrière de la langue et pour plus de simplicité on préférerait que quelqu’un s’occupe de tout nous réserver. Ça tombe bien, c’est le moment du salon de la plongée. On rencontre plusieurs voyagistes, mais la plupart ne veulent pas s’occuper de nous. Puis on arrive sur le stand d’Awateha où l’on rencontre Lara, d’origine italienne, qui a déjà entendu parler de l’endroit et qui accepte de nous organiser notre voyage. Elle revient vers nous très rapidement après le salon avec une première proposition, on lui fait faire quelques changements qu’elle prend en compte immédiatement et nous voila avec nos vacances de réservées. Arrive enfin le jour du départ, un vol Transavia nous emmène d’Orly jusqu’à Naples, le transfert est organisé pour nous amener à l’hôtel La Tripergola, ce qui prendra moins de 20 minutes. On arrive, on largue nos bagages et on se met à la recherche d’un endroit pour manger. Il y a pléthore de restaurants dans le coin, partez sur la droite en sortant pour les trouver : le centre ville est à moins de 3 minutes à pied. Pour l’anecdote, on y était juste après que le Napoli ait remporté le calcio, il y avait donc beaucoup de décorations pour célébrer. Après notre repas on retourne à l’hôtel pour notre première nuit, on a rendez-vous au club de plongée le lendemain à 8H30. L’hôtel (3 étoiles) en lui même est assez classique et le petit déjeuner n’est pas mauvais. Notre chambre par contre est assez particulière… Là dessus, nous ne somme pas d’accord avec ma binôme. Elle, elle dit que l’on était dans la pire chambre de l’hôtel, moi je suis pas d’accord, je pense que l’on était dans la pire chambre de la ville. Si la chambre en elle même était ce à quoi on pouvait s’attendre et que la salle de bain était relativement spacieuse, la vue depuis la fenêtre était imprenable, puisque l’on se trouvait sous l’escalier de service coincé contre le mur. En plus du fait que l’on ne pouvait pas du tout voir le ciel, le volet ne s’ouvrait pas complètement, nous laissant dans l’obscurité même en plein milieu de la journée. On a pu voir rapidement d’autres chambres qui avaient l’air beaucoup mieux. Même les WC du restaurant au dessus de nous étaient très lumineux. L’hôtel est sûrement très bien, demandez juste à ne pas être dans la chambre (enfin dans le placard à balais) 105. Le lendemain et pour 3 jours on se rend au centre de plongée Centro Sub Campi Flegrei. Au programme 2 plongées dans les îles et 4 sur le site archéologique. Il n’y a rien à redire sur le centre de plongée. On a été très bien accueilli, des grands casiers avec cadenas sont à disposition pour laisser nos affaires, plusieurs étendoirs pour faire sécher les affaires et plusieurs moniteurs ont un anglais plus que correct. Tout les moniteurs ont une formation en archéologie sous marine et les plongées dans le parc sont précédées par un briefing nous permettant de tout savoir sur ce que l’on va voir et sur l’histoire du site. Le club est équipé de deux semi-rigides de 8 et 9 m de long. Je ne m’étendrais pas trop sur les plongées dans les îles qui ne nous ont pas parus extraordinaires. 20 à 30 minutes de navigation et la principale curiosité que l’on a pu voir était une grotte avec une statue de la vierge et une de Maradona. A part ça, des petites murènes, un poulpe et quelques poissons. Apparemment il y a aussi une épave avec de gros banc de poissons, mais on n’aura pas fait cette plongée . La vraie attraction de notre séjour était donc la citée submergée de Baïa qui s’est retrouvée engloutie suite à un glissement de terrain dû à l’activité volcanique. Elle servait de lieu de villégiature au gotha de l’empire Romain (riche marchands, sénateurs, empereur,…). Une dizaine de sites d’immersion est possible. Nous auront pu faire Nifeo di Claudio avec ses statues, Villa protiro avec ses magnifiques mosaïques noire et blanche, Terme Dellacus et les mosaïques en couleur de l’empereur, dont une nouvelle a été découverte deux semaines avant notre arrivée et enfin Portus Julius, l’ancien port militaire et ses belles colonnes. Comptez 2 à 10 minutes de navigation maximum pour des immersions entre 3 et 5m. Niveau tarif la plongée est à 40€ avec un encadrement, mais le prix baisse rapidement, le forfait de 2 plongées est à 70€. Il faudra de plus s’acquitter de 5€ par plongée dans le parc. Les guides vous découvrent les mosaïques, puis les recouvrent de nouveau pour les protéger. Il faut traîner un peu en arrière pour laisser les particules retomber si l’on souhaite faire des belles photos ou vidéos, à fortiori si il y a dans la palanquée un plongeur qui ne maîtrise pas bien sa flottabilité et qui remue le sol. Par contre les poissons ne sont pas peureux et se jettent sur un espoir de repas à moindre frais dès que le guide commence à soulever le sable. Côté température en ce début Mai, on avait 19° en surface, 18° à 5m et 15° à 35m. Peu de vent et un beau soleil sauf le dernier jours, nous n'avons pas eu froid. Pour information france 5 a diffusé un reportage sur Baïa cette semaine (sûrment toujours visible en replay). Pour quelques images de nos plongées vous pouvez voir ce montage que j’ai réalisé.
  9. Il suffit de vérifier que ton assureur n'a pas exclu la plongée de sa couverture. Il faut voir le paragraphe sur les exclusion de ton contrat ou leur demander. Je concoure. Il faut bien comprendre activités qui ont une commission à la fédé, même si c'est au Mexique dans un centre PADI.
  10. Comme l'a dit @Matt les stands du bas ne voyaient personnes. Les gens se contentaient de traverser le RDC et tout se passait à l'étage. En gros il y avait les outres mer en bas (de mémoire il n'y avait rien d'autre ou pas grand chose) et tout ceux que je connais qui y tenaient un stand m'ont dit qu'il avaient vu beaucoup moins de monde que d'habitude. Il faut dire que ça faisait très vide et triste ça ne donnait pas envi de s'y attarder.
  11. Du coup un seul étage cette année. En même temps le coup des 2 étages il y a deux ans ça avait été un petit ratage.
  12. @whodivePas du tout infondé. @PlongeurSDF Et pas un tacle généralisé. Je suis moi-même moniteur Par contre je ne fais plus les N1 entre autre (mais pas que) parce que j'en avais marre de devoir me battre tout les ans à l'approche de "l'examen théorique" avec l'intégralité des autres moniteurs. Tout les ans ils veulent mettre la question "quels documents dois-je présenter pour plonger". Tout les ans la réponse attendue c'est "CACI + licence + carte de niveau". Et tout les ans je dois leur réexpliquer en vain que la licence n'est pas obligatoire, seul la RC et que si c'est pratique de présenter une carte de niveau on ne peut pas dire que c'est obligatoire. Et toit les ans je dois repasser derrière pour expliquer aux élèves qu'il y avais des questions pourris dans le test.
  13. Bonjour, C'est le problème avec les formations fédérale, les moniteurs ne savent pas expliquer le fonctionnement de la licence. Pour faire simple la licence n'est vraiment obligatoire que pour passer un niveau FFESSM. Pas pour plonger. Encore moins dans un club commercial et encore moins à l'étranger. Donc non, dans ton cas tu n'as aucunement besoin de reprendre une licence.
  14. En vérité au début j'ai eu le même problème que toi. Mais comme j'étais persuadé que si le PSC1 donnait des allègements, j'ai continué à chercher. Autant je suis plutôt satisfait de la clarté globale des nouveaux MFT, autant celui du RIFAP il est imbuvable.
  15. Mais du coup, l'étude d’impact sur l'environnement elle dit quoi ?
  16. C'est le CODEP qui fait passez l'examen, mais pendant l'année la formation c'est un MF1 ou MF2 du club. @tom0tom la plupart des clubs font des sessions quand il y a suffisamment d'intéressés, ce n'est pas toujours indiqué sur la page web. Le mieux est de contacter les clubs autours de chez toi pour leur demander. Tu habite Paris même ? Quel arrondissement ?
  17. Bonjour @Tao61. Si tu as le moindre problème contacte le SAV, ils répondent très rapidement et sont très efficaces.
  18. Paralenz. Elles descend à 300m sans avoir besoin de rajouter un caisson.
  19. A part te dire que je connais des gens qui y vont souvent que ce soit dans le cadre officiel de mon club (qui n'est pas celui de Viry) ou en dehors, je n'ai pas trop de source pour appuyer mes dires.
  20. Comme c'est amusant, quelqu'un qui pense que le salon pourra avoir lieu ! Te donner un chiffre exacte non, mais la réponse à la question "Est-ce que cela vaut le coup d'attendre ?" est oui. En générale tu as des prix ras les pâquerettes, du genre de ceux que tu fini par trouver sur internet après 3 jours de recherche et de comparaison. Sauf que tu pourras voir, essayer, toucher, discuter et t'éviter les frais de port.
  21. Oui j'ai aussi eu des demandes par MP... J'ai péché et j'expie Après les amis venez profité du lac de Viry, de ses 6m de profondeur et de sa grande variété d'algue, vous verrez on est bien. Il y a souvent des plongeurs, mais en général plutôt en formation ou en préparation N4.
  22. @iove tu as du loupé ma réponse. la problème c'est que tu me demandes c'était une boutade pour @caolila. Tu peux plonger dans les lacs de Viry et de Grigny par exemple, mais je ne suis pas sur que tu trouves ça intéressant. Le seul endroit intéressant que je connaisse c'est Beaumont et là en effet pas de HS. (Et encore intéressant... faut pas non plus habiter trop loin).
  23. Tu fais exprès d'utiliser le sophisme de l’épouvantail rhétorique. J'y ai déjà répondu une fois, j'arrête là. Tu dois être capable de relire tout seul ce qui a déjà été écrit. Oui et je suis personnellement contre. Tu peux le croire, mais ce n'est pas vrai. si un jour on a l'occasion de discuter de la manière dont sont formés les plongeurs en club associatif tu me dira surement que je suis anti fédé, voir pire que je suis pro PADI ! A priori pas avec un MF1 de la fédé car il ne pourra pas être rémunéré et pas au sein d'un club fédéral qui en principe n'a pas le droit de délivrer un niveau qui ne soit pas FFESSM. En fait tu ne me répond pas sur le bon sujet. Je ne discute pas le fait qu'il y ait un CDS, que la plongée soit très encadré ou qu'il y ait des obligations de diplômes ridicules en France. Je discute le fait que tout cela soit à l'avantage exclusif de la fédé. Si tu est OWSI qui veut délivrer des brevets en France soit tu le fait gratuitement pour tes potes et dans ce cas pas besoin d'être E3 vu que tu fais de la plongée hors structure, soit tu veux être payé et dans ce cas tu vas faire un DE, tu ne passe pas par la case fédé et ensuite tu délivres tes diplômes sans jamais faire prendre de licence à un de tes élèves et sans que la fédé ne te gène en quoi que ce soit et ne touche un centime. Est-ce normal que l'OWSI ne soit pas reconnu ? Ç a se discute. Est-ce que c'est à l'avantage exclusif de la FFESSM ? J'ai du mal à voir en quoi. Si tu penses vraiment cette phrase tu as une grande méconnaissance tu contenu des formations. Il me semblait que PADI délivrait des certification en France. SSI aussi, SDI/TDI, IANTD et compagnie aussi. Si toi ou la SNMP veut créer votre propre cursus et le commercialiser personne ne vous en empêchera. La seul obligation pèse sur le moniteur qui devra être E*, mais ça ne concerne que le moniteur, une infime fraction des plongeurs en France et si tu veux en vivre ça ne concerne aucunement la fédé (je me répète un peu, mais il faudrait quand même répondre à ce point). Aïe, tu tapes à côté. Qui dirige le ministère ? Le ministre. Du coup je te renvoie à la constitution, par exemple l'article 49 https://www.legifrance.gouv.fr/loda/article_lc/LEGIARTI000019241062/ Si je le sais car le juge n'est pas tout puissant il doit respecter la loi et tu te trompes dans le fonctionnement. Et le code du sport est très claire sur les aptitudes que le plongeur doit justifier auprès du DP pour être PA20 En cas de poursuite, ce sera au procureur de prouver que le DP ne devait pas considérer qu'un Rescue Diver maitrisait ces aptitudes. Je lui souhaite bien du courage pour prouver qu'une formation PA20 fédérale en fait plus que le Rescue sur ces sujets.
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