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Leopold Anasthase

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Tout ce qui a été posté par Leopold Anasthase

  1. Leopold Anasthase

    ça mérite, Music

    J'ai bien aimé les quatre-vingts premières seconces. Ensuite, ça devient de plus en plus noir je trouve. Je n'accroche pas aux autres titres proposés. Bon, sans être sûr de ne pas l'avoir déjà cité, , par Jean Ferrat. , texte pour moi tout à fait opaque, par Léo Ferré (il existe pas mal de reprises).
  2. On prend les mêmes et on recommence. J'avais plongé en Thaïlande en 2014. Lors d'une plongée de nuit dans Koh Bon bay, j'avais photographié un perroquet avec sur lui une crevette transparente. Cette année, au même endroit, et à la même heure, je vois une murène en train de se faire nettoyer par des crevettes. C'était pourtant l'heure de la chasse. Et entre autres, un perroquet bien caché pour la nuit. En « développant » la photo, je m'aperçois que sur le perroquet il y a non seulement deux crevettes semblables à celles d'il y a quatre ans, mais aussi deux isopodes (des parasites hématophages). Et que c'est la même espèce de perroquet. Un peu comme si on se retrouvait après quatre ans ;-) Le perroquet, c'est Scarus prasiognathos, perroquet à gorge verte. La crevette, c'est Urocaridella antonbruunii, et si quelqu'un a une idée pour l'isopode... C'est entre autres pour se protéger de ces parasites que les perroquets fabriquent une bulle. Mais pour l'observer, il faut plonger très tard, plutôt vers 22 h. Il y a une crevette au-dessus de la nageoire pectorale et une autre sur la nageoire dorsale. Et un isopode sur la dorsale, et un autre sur la nageoire inférieure.
  3. Il y a un point de départ, la mer et la plongée en apnée. L'auteure est apnéiste. La mer n'est jamais loin. Et le titre est évocateur, Le squale.
  4. Leopold Anasthase

    ça mérite, Music

    En rapport avec la vie subaquatique, . Comment, que dites-vous ? C'est spécial ? Ben oui, c'est du Manset !
  5. Ma première réponse, « Pfff... Des noms vernaculaires... On s'en moque... ». Après recherche, il y a des espèces qui ont les deux noms vernaculaires, mérou et loche. Entre autres, Epinephelus cyanopodus5, c'est un mérou bleu et une loche bleue. D'après Wikipedia, « Le mot « loche » vient du grec leucos, blanc. Ce nom est donné généralement à des poissons dont le corps est allongé et qui possèdent 6 à 10 barbillons1. Ce sont plutôt des poissons dont la morphologie est adaptée pour reposer sur le ventre, au fond de l'eau. ». D'après le dictionnaire, tous les mérous appartiennent aux Serranidés. Ça n'est pas le cas des loches.
  6. Bon, après recherche et demande d'aide, je reviens sur mon mérou... Avec le site Fishbase, on peut faire une recherche par pays. On retrouve 27 espèces d'Epinephelus observées en Thaïlande... Mais pas marginatus. Les deux plus approchantes semblent être Epinephelus erythrurus et Epinephelus coeruleopunctatus. Ce dernier ayant une tache blanche sur le début de la nageoire caudale, comme le mien, je vais adopter cette dénomination.
  7. Des nouvelles images. Une murène de Java (Gymnothorax javanicus), en pleine séance de nettoyage. Pourtant, c’était l’heure de la chasse (19 h). Sur la murène, une jolie crevette nettoyeuse de Bruun (Urocaridella antonbruunii, merci au forum Doris pour l’aide à l’identification). En fouillant dans mes anciennes photos, je me suis aperçu que j’avais fait une photo quatre ans plus tôt au même endroit et à la même heure de la même crevette, sur un perroquet qui s’était installé pour la nuit. Murène javanaise (Gymnothorax javanicus) Crevette nettoyeuse de Bruun (Urocaridella antonbruunii) Et pour changer des poissons-clowns, un autre occupant des anémones, le crabe-porcelaine (Neopetrolisthes maculatus). Sur cette photo, on voit bien le « filet » qui lui permet de piéger des particules en suspension dans l’eau (il s’agit d’un animal filtreur). Crabe-porcelaine (Neopetrolisthes maculatus)
  8. C’est encore pire que je ne pensais ! Bon, j’ai regardé mes photos, je ne pourrai pas compter les épines et les rayons. Je vais regarder toutes les photos et je choisirai. Ou bien je vais mettre Epinephelus spp. En tout cas merci pour vos remarques : à chaque fois j’en profite pour apprendre des choses.
  9. Ah ça me pose un problème... Je pensais à Epinephelus marginatus. Je l'ai vu en Méditerranée mais également en Atlantique Est (Madère, îles Canaries). J'étais surpris de le voir en mer d'Andaman, mais en lisant la fiche Doris (lien), il est signalé dans l'océan Indien, et dans l'Atlantique Ouest (Brésil). La photo d'Epinephelus coeruleopunctatus sur le site Doris ne me rappelle pas le mérou que j'ai photographié. Mais en cherchant sur d'autres sites, on trouve des photos beaucoup plus ressemblantes. Et fishbase le signale dans une large zone incluant l'Asie et le Pacifique Sud. Pour trancher, reste à trouver des photos où l'on puisse compter les épines, et les rayons des nageoires...
  10. Une photo pour mettre de l’ambiance. Encore et toujours à Richelieu Rock, tubastrée arborescente, alcyonaire épineux, demoiselles à trois taches, et glassfishes. Et sinon, si vous voulez reprendre un peu de macro, un mérou brun. Photo prise de jour, contrairement aux apparences, Christmas point. Ou alors, en moins encombrant, une grande crevette nettoyeuse (Stenopus hispidus) sur une grande éponge baril de rhum. C'était dans les dernières plongées, et en fouillant dans les failles, je suis tombé plusieurs fois sur des groupes de crevettes, entre autres les Stenopus, et les crevettes de Durban.
  11. Nous avons croisé plusieurs sortes de poissons-clown : poisson-clown mouffette (Amphiprion akallopisos), poisson-clown à trois bandes (Amphiprion ocellaris), poisson-clown de Clark (Amphiprion clarkii) et poisson-clown tomate (Amphiprion frenatus). Le poisson-clown, en photo, c’est facile et difficile. Facile parce qu’on le repère facilement, et qu’il n’est pas nécessaire de lui courir après : il est dans son anémone ou à proximité. Difficile parce qu’il bouge beaucoup. Il y a ceux qui sont plutôt agressifs et vous foncent dessus, c’est plus facile que ceux qui s’enfouissent dans l’anémone. Jusque là, je n’avais qu’une technique pour les photographier : multiplier les tentatives en espérant que parmi tous les clichés il y en ait un qui soit potable. J’ai ajouté une technique, choisir une belle anémone, et en particulier une anémone par rapport à laquelle on puisse se placer de façon à avoir un cadrage possible. Je vous livre ici quelques essais... Poisson-clown mouffette (Amphiprion akallopisos) Poisson-clown à trois bandes (Amphiprion ocellaris) Poisson-clown tomate (Amphiprion frenatus)
  12. J'en remets une couche... Je n'ai pas envie de trier, de faire logique, ou biologique, alors je vous mets des photos qui me plaisent, en espérant qu'elles vous plaisent. Une vieille à lignes violettes (Oxycheilinus digramma). By the way, mes identifications sont sujettes à caution. Si vous pensez que j'ai fait une boulette, n'hésitez pas à corriger. Nous sommes à Richelieu rock, c'est la deuxième plongée du deuxième jour, il est 11h30. Juste avant, nous avons vu un poisson-fantôme arlequin. Un truc que j'aime bien sur Richelieu rock, c'est l'espace. J'aime les recoins, j'aime passer dans des tunnels, j'aime les tombants. Eh bien là, l'impression générale, c'est l'espace. Il y a des îlots de vie, concentrés autour des patates, des failles, du sol. Et il y a de l'espace entre ces îlots. Donc on peut aller photographier un platax au milieu de nulle part, ou comme ici un poisson de la famille des labres. Et ensuite on peut se concentrer sur une faille, y chercher des crevettes, croiser une sèche, fouiller les anémones à la recherche de crabes porcelaine ou de clowns… Bref, il y a tout en magasin !
  13. Leopold Anasthase

    ça mérite, Music

    Je vous propose un petit voyage reposant. .
  14. Leopold Anasthase

    ça mérite, Music

    Un lien amusant : Radiooooo Vous entrez une année et un pays (sur une carte) et vous écoutez ce qui s'écoutait dans ce pays cette année-là.
  15. Bonjour, Je rajoute une photo. Plongée de nuit sur l’île de Koh Haa, le site s’appelle “Koh Haa lagoon”. Nous avons fait de belles plongées de nuit, peut-être un peu trop « communautaires ». En fait, ma plongée de nuit préférée, c’est avec un binôme, loin des autres, le nez dans les trous et les coraux, à chercher des petites bêtes, sans se soucier d’un trajet à parcourir. Sur cette plongée, en plus de la classique murène de Java en pleine eau, nous avons croisé un crabe-éponge. J’adore cette bestiole, un crabe avec une tête de crabe ordinaire recouvert d’une énorme éponge. Une éponge qui bouge, c’est inhabituel. Autre rencontre, en fouillant dans les grosses éponges baril de rhum, j’ai trouvé des nudibranches que je ne connaissais pas (la Caloria indica qu’a identifié Plouf), des crevettes Stenopus. Et caché dans un repli de l’éponge, un poisson-ballon à tâches noires (Arothron nigropunctatus). Un bébé, gros comme un petit poing, bien calé dans son refuge. J’ai un peu ramé pour me placer et surtout pour l’éclairer. Le voici.
  16. Leopold Anasthase

    ça mérite, Music

    Bonjour, Ces derniers temps, je mets un mot-clef dans iTune et j'écoute les chansons d'un auteur ou d'un chanteur ou les deux. J'ai entré « Goldman », et de fil en aiguille, je suis tombé sur au New Morning, avec la regrettée Carole Fredericks et Michael Jones. Eh bien j'ai trouvé ça très fort.
  17. Du rab... Chaque plongée était source de jolies rencontres. Il y avait les omniprésents, les plus rares, et les rencontres magiques. Par exemple, j’aime bien les poissons-ballons, et leur allure pataude avec leurs grosses nageoires pectorales. La nuit ou le matin tôt, on peut les approcher de très près, voire les toucher (mais il ne faut rien toucher). Poisson-ballon à tâches noires (Arothron nigropunctatus). Richelieu rock Autre classique des lieux, le poisson-ange empereur (Pomacanthus imperator). Un adulte, et un juvénile. Ça m’amuse toujours de penser qu’ils diffèrent tellement. Les juvéniles sont également très mobiles, pas faciles à faire entrer dans la boîte
  18. Je poste des photos supplémentaires... Un poisson-scorpion, probablement Scorpaenopsis oxycephala. Richelieu rock, ou Hin plo naam selon l’appellation locale. Comme on peut le voir encore, c’est riche, ça fourmille de glassfishees. Rencontre magique avec un requin-baleine (Rhincodon typus). Richelieu Rock À propos de cette photo, nous étions en plongée bouteille. Trouver un requin-baleine au cours d’une plongée bouteille, ça met tout de suite de l’ambiance. On entend les guides shaker leur shaker (le guide qui est devant le requin est celui d’un autre bateau), les ordinateurs biper parce que les plongeurs remontent trop vite (là, c’était raisonnable, nous étions à une dizaine de mètres, en train de shooter des clown-tomate), les plongeurs crier dans leur détendeur, agiter les bras, avoir une banane d’une oreille à l’autre… J’ai eu une pensée pour notre guide, en me disant « komenkivafèr pour regrouper ses plongeurs après le passage de l’autobus ? » ;-) Finalement, ça s’est bien passé. Les plus belles photos du requin sont dans mon disque dur perso, entre les oreilles. J’ai fait ce que j’ai pu : impossible de faire un plan large, le requin était à un mètre de moi. Il avait une rémora dans la bouche. Un baliste-titan (Balistoides viridescens, au milieu des glassfishes, Mu Koh Lanta Hin Muang (rocher violet) Les sites fourmillaient de glassfishees, et il fallait souvent les écarter pour prendre un sujet. Et comme je l’ai signalé, il y a en fait de nombreuses espèces dans ces fourmillements de petits poissons, qui ne sont pas tous des glassfishees, et les glassfishees ne sont pas tous de la même espèce. La suite une autre fois : on ne peut pas poster plus de trois (petites) images à la fois...
  19. Bonjour, Le sujet principal, je connais, un baliste-titan (Balistoides viridescens). La photo a été prise en Thaïlande, Mu Koh Lanta Hin Muang (rocher violet). Le problème, ce sont les glassfishees. En fait, je me suis aperçu qu'il s'agissait de plein d'espèces différentes, et pas toujours des Parapriacanthus ransonetti. Si vous avez une idée ?
  20. Merci ! J'ai encore deux ou trois bestioles sur lesquelles soit j'ai des doutes, soit je ne sais même dans quelle catégorie chercher. Je crois avoir fait les quatre Bunmee, ça s'améliore de bateau en bateau. Je n'ai jamais été déçu, ni par ce qu'il y avait dans l'eau, ni par le professionnalisme des organisateurs, directeurs de plongée, guides, capitaines, équipage. Et comme souvent, quand c'est bien organisé, l'ambiance est bonne. D'autres photos vont suivre.
  21. Toujours Richelieu Rock, première mise à l’eau, tout début de la première plongée. Un hippocampe à queue tigrée (Hippocampus comes). Quand ça commence comme ça, ça laisse présager de belles plongées. C’est d’ailleurs ce qui est advenu, des belles plongées. Ça n’a pas été le seul hippocampe de la croisière.
  22. Bon, ça n'a pas l'air si simple... Je ferai un essai prochainement et je vous dirai ce qu'il en est. Il n'est peut-être pas nécessaire de tout compenser. Il me semble qu'un tout petit peu d'air pourrait rendre le parachute un peu plus neutre, et donc ne pas perturber l'équilibre du plongeur une fois lancé.
  23. Effectivement suivant le modèle du parachute ça peut nécessiter beaucoup d’air. Bon alors mettre juste un peu d’air dans le parachute ?
  24. Une image supplémentaire... D'ailleurs, si vous aviez des idées pour l'identifier...
  25. Bonjour, En rangeant mon matériel, j’ai eu une idée à propos du parachute. Je ne l’ai pas testée, donc pour l’instant je ne sais pas si c’est une idée géniale ou si elle est aussi sotte que grenue... L’énoncé du problème : quand on envoie un parachute, on se retrouve délesté du poids du parachute. Du coup, la flottabilité du plongeur augmente. Si on est un peu juste en lest, on est obligé de souffler pour tenir le palier. La solution : bien roulé, le parachute est en flottabilité négative (encore une expression compliquée, qui veut dire qu’il coule). Mais si on y entre un peu d’air, il peut être en flottabilité neutre (ou en tout cas il peut être un peu mieux équilibré). Du coup, quand on le lance, on ne change pas l’équilibre du plongeur.
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Bonjour,

 

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