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Plongeur.com - Le site de la plongée sous marine

aka74

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Tout ce qui a été posté par aka74

  1. On ne doit pas parler de la même assurance, je n’ai nulle mention de ces restrictions sur la Silver A dessein, j’ai bien précisé « à l’air » dans ma demande. Je ne suis pas juriste, mais quand tu demandes des précisions sur un contrat et qu’on te répond à l’écrit, ça a valeur de preuve il me semble. Sinon, surpris aussi par la réponse laconique, J’ai repris les éléments de pressions partielles pour plus de précision, j’attends de voir sa réponse
  2. J’ai néanmoins demandé plus de précision… j’attends la réponse
  3. J’ai eu une réponse, je donne les détails ci dessous. j’ai posé la question en français et en anglais (comme j’ai pu), j’ai reçu la réponse en français. les xxxx remplacent les informations qui m’identifient (nom, prénom, mail, tél, ID Dan) réponse « on ne peut plus claire » Message envoyé via l’app DAN, avec le récépissé par e-mail suivant De: [email protected] Date: 6 janvier 2024 à 17:10:32 UTC+1 À: [email protected] Cc: xxxxxxxxxxxxxxxx Objet: Insurance and general info Name: xxxxxxxx DAN ID: xxxxxxxxx PHONE: xxxxxxxxxx Your message: Bonjour, quelle est la limite de profondeur avec une bouteille air avec l'assurance DAN silver? Peut-on descendre en dessous de 40 metres? Je vous remercie Cordialement —————————————————- Good morning, what is the depth limit with an air tank with DAN silver insurance? Can we go below 40 meters? Thanks Best regards Réponse de DAN Europe Belinda, la Customer Service Representative de DAN, m’a répondu ceci: Merci pour votre question. Comme indiqué dans les conditions de votre police Sport Silver, la profondeur maximale est de 130 mètres. J'espère avoir dissipé vos doutes. Bien cordialement Belinda
  4. Le taux d'écriture sur un buffer (ou mémoire tampon) sera toujours supérieure au taux d'écriture sur un support de stockage. C'est la raison d'être d'un buffer, sinon on écrirait directement sur un support de stockage. D'après les possibilité du TG6, on peut même estimer la vitesse du buffer: supérieure à 180Mo/s (le buffer est capable d'enregistrer 10 photos de 12Mxp en RAW par seconde... je renvoie à l'explication précédente) Ce qu'on lit sur les fiches techniques se sont les délais d'obturateur suivant la capacité de mémoire tampon (vide et pleine). On parle en seconde, pas en Mo... il faut donc faire un petit calcul (en multipliant le nombre de cliché possible sur le buffer par le volume en Mo d'un cliché.) D'après les données techniques fournies par le constructeur, en RAW séquentiel sur le TG6, l'appareil peut descendre à une vitesse de 0,05s par cliché (mémoire tampon vide), soit une capacité de 18* clichés max par seconde soit 324Mo/s (18 x 18Mo par cliché) Donc théoriquement, la vitesse du buffer pourrait être supérieure à 324Mo/s (même si il semble qu'elle soit bridée à 180Mo/s puisqu'ils limitent le mode rafale à 10 clichés par seconde et non 18... à moins qu'on ne puisse faire un mode rafale RAW+Jpeg, là l'appareil ne serait pas bridé) Evidement, ce sont des valeurs théoriques, mais on reste dans un rapport de facteur 20 à 30 plus rapide qu'une carte classe 10 (qui est de 10Mo/s) * la limite de 18 clichés est indiquée dans la notice (et non 20 d'après le calcul 1s/0,05s ... Olympus ne donne pas la raison)
  5. Erreur de manip avec le post si-dessus Pour être tranquille, il faut prendre une carte aux limites de ton appareil: En photo pour le TG6 - 12Mxp en raw soit 18Mo min - mode rafale 10i/s soit un taux de transfert min théorique de 180 Mo/s (en photo, des latences de quelques secondes ne sont pas forcément problématiques) en video Full HD en 120 I/s aucune idée de ce que ça représente en Mo/s sur l’olympus (ça dépends de l’encodage utilisé)…à voir (30 à 50mo/s à mon avis si c’est du MP4) On partirait sur une V30 mini (la classe 10 serait juste pour la vidéo full hd 120 fps et en rafale raw il y aurait 15 à 20 s de latence). édit… plus d’info sur le choix des cartes en fonction des vitesses: https://www.kingston.com/fr/blog/personal-storage/memory-card-speed-classes
  6. Bonjour, Pour la poitrine, ou plutôt les bretelles, il existe ça (angle de réglage 180°): https://fr.aliexpress.com/item/4000103555877.html?spm=a2g0n.order_detail.order_detail_item.3.82b37d56LGRAfp&gatewayAdapt=glo2fra J’en ai un mais je ne l’ai jamais testé sur un gilet de plongée. Sinon au bout d’une perche, caméra tête en bas pour encore plus de stabilité, ça marche très bien aussi.
  7. Les champs et montant couverts hors plongées ne sont pas au niveau des assurances voyages. D’après toursumondiste, 40% des voyageurs longues durées ont utilisé au moins 1 fois leur assurance (et c’est amorti dès la 1ere utilisation)… ça peut être utile. Et pourtant je n’utilise plus Chapka en Europe ou en mer rouge depuis que je suis chez DAN… Pour un long voyage, personnellement, je la reprendrai.
  8. Bonjour, Pour les voyages longues durées, la référence est le site tourdumondiste. Il y a plusieurs dossiers comparatifs sur les assurances (retours de centaines de personnes ayant fait des tours du monde). ex.: https://www.tourdumondiste.com/comparatifs-assurances-voyage (En plus des retours, Tu peux indiquer des critères et comparer plusieurs assurances). Les assurances sont généralement assez frileuses sur les sports dit à risque (comme le vol libre ou la plongée) et mieux vaut des assurances spécifiques pour chaque sport. Perso, j’utilise DAN. Elle suffit pour des voyages courtes durées avec des prises en charges au delà de la plongée (sauf USA et certains pays aux tarifs de santés prohibitifs). Il y a d’autres assurances, mais celle-ci est connue partout. Pour des voyages de plus de 3 mois, mieux vaut prendre, en plus de DAN, une assurance voyage supplémentaire.
  9. Passeport plongée de la FFESM (celui qu’on tamponne), section « connaissances, savoir faire et savoir être plongeur autonome 20m », compétences chapitre 4… je cite: « Réfléchir sur les éléments variables de la plongée : courant, turbidité, site, conso, effort.. » On peut être passer à côté de ce point, ça arrive. Mais soutenir qu’il ne s’agit pas de jauger une plongée… soyons sérieux. Et ce que j’écrivais au sujet des lacunes de l’auteur au niveau N1, était aussi tiré de ce fascicule (point par point). Pour ma part, les compétences attendues dans ce passeport est le niveau d’exigence que je me suis fixé, je ne vais pas épiloguer plus que ça.
  10. J’en suis a plus de 25 plongées dans les calanques (îles du Frioul) et je ne m’en lasse pas tant il y a de vie et une géographie sympa. C’est la que nos points de vue diverges. Je pense que lorsqu’on vise l’autonomie c est qu’on est près à jauger une plongée: niveau d’engagement que demande la plongée (est-ce à mon niveau…rien que les courants par ex.), engagement dans lequel on y va (a la cool, un peu sportif…), état de forme, etc. Parce qu’il n’y aura pas un moniteur pour te dire que. Mais c’est mon point de vue
  11. Je ne m’en prenais pas à l’auteur, il y a méprise… Je reprenais point par point tous les « manques » listés par l’auteur lui-même sur plusieurs interventions. Car je suis persuadé que toutes ces faiblesses, qui normalement devraient être maîtrisées en début de N2, ont aussi participé à cette mauvaise expérience… heureusement sans conséquences. Le moniteur ne peut être seul fautif. J’avais nombre des faiblesses citées à l’issue de mon N1 (j’ai même demandé conseil ici pour travailler certaines)… Mais j’ai attendu de maîtriser toute la liste faite avant d’attaquer mon N2. Pour certains, 15 plongées peuvent suffire, pour d’autres il en faudra 30 ou 40 pour maîtriser le bases mais surtout pour vivre certaines expériences compliquées dans une relative sécurité (faible profondeur/accompagné). Encore faut il être apte à se jauger objectivement pour ne pas brûler les étapes et maîtriser les bases… et la c’était clairement pas le cas. Et ce n’est pas en 10 plongées de formation que ces lacunes seront comblées. Et vue l’impatience de l’auteur (deja blasé après 15 plongées en N1) il voudra rapidement plonger en autonomie… c’est un peu inquiétant de mon point de vue. Mais ce point de vue n’est pas partagé… soit. Nous sommes pas obliger de partager le même avis. Au moins ces retours m’auront appris à vraiment me méfier des gens gens avec qui je serai amené à plonger en autonomie car je vois (avec étonnement) beaucoup de complaisance (exprimée parfois avec véhémence) quant au niveau attendu.
  12. Je suis totalement d’accord avec ça. Même si il faut être un grand garçon (ou une grande fille) et savoir aussi se responsabiliser. Mais, l’auteur avoue avoir percé car il ne maitrise pas du tout sa flottabilité dans la zone des 3m (il parle de 1m, mais on est dans le même acabit). Quand tu sais que tu vas devoir lancer des parachutes, c’est quand même bien de maîtriser sa flottabilité dans ces zones la.
  13. Tu ne m’as pas lu car je n’ai jamais abordé aucun de ces points (et pour l’ordi, il y avait un truc entre parenthèses) par contre, je te renvoie au points à maîtriser en N1 et maîtriser sa remontée en fait partie (je parlais de cela)
  14. Vous m’avez mal lu car je n’ai parlé que dès pré requis de N1 je n’ai jamais abordé ces points là … et pour l’ordi, il y a une petite précision dans la parenthèse
  15. Très bien alors. Mais avez vous lu les interventions où il dit ne pas maîtriser les vitesses de remontée ou ne pas maîtriser sa flottabilité ? Ca démontre que 15 plongées n’était pas suffisantes. Et si vous pensez qu’il n’est pas nécessaire de maîtriser sa flottabilité et sa vitesse de remonter pour débuter un N2, nous ne serons donc définitivement pas d’accord.
  16. Oui, et quand je ne l’ai pas été j’ai arrêté pour reprendre les bases (c’est mon côté un peu perfectionniste). Je ne critique absolument pas le fait qu’une progression peut être chaotique… et il faut savoir faire preuve de bienveillance. Je critique le fait de ne pas maîtriser les bases du niveau précédent… et la aucune complaisance à avoir.
  17. Si jamais je fais un malaise sous l’eau, si j’ai une panne d’air en raison d’un problème technique, …. de qui m’a survie va dépendre? Après tu as raison @caolila je suis un peu dur. Mais remettre la faute toujours sur les autres ne permet pas de s’améliorer. Quant a dire que 16 plongées c’est suffisant… ben non. j’ai repris toutes les lacunes citées par l’auteur lui même… ce n’était largement pas suffisant. comment peut on préparer un N2 sans maîtriser sa remontée ou sa flottabilité ? Ça choque personne? Faire autant d’erreurs ( bases en N1) en 2 plongées … je veux bien que personne ne soit parfait, mais quand même il y a des limites.
  18. Bonjour, J’ai essayé de tout lire et j’ai aussi un point de vue… tiens donc il y a faute du moniteur à plusieurs moments, c’est indéniable. Pour autant, il faut aussi se remettre en question en tant qu’élève. Et là aussi, il y a pas mal de manquements… et des sérieux. Si on n’est pas capable de se dire « je ne suis pas prêt/ je ne suis pas assez expérimenté pour ça” ou tout simplement dire “non” quand on ne le sent pas trop… c’est qu’on manque d’expérience. Et indéniablement, c’est ce que tu aurais du te dire avant de faire le N2… te dire, « je n’ai pas assez d’expérience « Il ne faut pas oublier qu’en fin de N2 c’est l’autonomie à 20m et il n’est pas simplement question de ta vie mais aussi celle de tes futurs buddies… car ils remettent leur vie entre tes mains. Et la, j’ai du mal à croire, aux vues des lacunes, qu’elles seront rattrapées à la fin de ta formation. Un paquet de chose devrait être maîtriser avant de se dire que son N1 est limitant: - Seulement 16 plongées en milieu naturel avant de commencer un N2: peu d’expérience de galère comme l’essoufflement, ou au moins un début. L’avantage d’avoir de l’exp en N1 est de connaître des galères à faible profondeur et d’en avoir déjà gérées quelques unes. - Non maitrise de la vitesse de remontée (inacceptable en l’état ) - Non maitrise de la flottabilité (inacceptable en l’état) - Oubli de lest, donc pas les réflexes de vérification avant plongée (et peut être de connaissance de son lest en fonction de l’eau, de la combi et de la bouteille) - Non maitrise des signes de base (le palier en faisant partie, celui de sécu a 3/6m se faisant même en N1) - Manque de maitrise de son matos car découverte d’un palier obligatoire sur l’ordi (mais est-ce problématique en l’état?… c’est pas mal d’avoir un ordi des le N1, pour le maîtriser une fois en N2) - Apprendre comment doit être configurer son équipement, position de l’octopus, en formation N2 (ça devrait être largement maîtrisé) - Et en plus une tendance au stress en période d’examen (encore une raison de plus pour être en maitrise parfaite car c’est le manque de maitrise/contrôle qui provoque le stress) C’est bien aussi de prendre son temps après chaque niveau pour être a l’aise et maîtriser toutes les bases. Car toutes ces erreurs on les a faite en N1 et c’est normal. Mais en autonomie (sans pro qui t’encadre) les conséquences peuvent vite virer au drame. Jeter la pierre sur le moniteur, pourquoi pas, mais elle mérite un bon ricochet sur toi quand même
  19. Je n’ai pas encore testé mais il y a les clips optiques Chez grand optical (mais il y a d’autres enseignes) c’est Demetz. il y a aussi les « rapid eyes » une sorte de paires de lunettes souples qui se tient dans le masque. A l’origine on en trouve pour les masques de ski, j’en ai vu pour les masques de plongée (chez grand optical - par Demetz aussi) Ces systèmes sont à moins de 80€
  20. Outre la blague de plongeur profond … il y a peu de chance d’être en panne d’air dans un profil no-deco. Le but est aussi d’arriver au point fixé (un mouillage en pleine eau par ex.) avant d’avoir sifflé son bloc sans avoir à nager en surface loin du point de sortie prévu (ce qui peut être dangereux).
  21. La gestion de la conso n’est pas un point à maîtriser pour obtenir son N2 normalement? (C’est une vraie question, pas une question réthorique) Dans le centre ou j’ai passé mon N2, on a fait la mesure de conso a 20m et le calcul en L/min. Lors des planifs je devais aussi indiquer les profondeurs de retours en fonction de la conso. je pensais que c’était obligatoire (en tout cas, ce n’est pas très compliqué dans la zone des 20m et ça rassure de maîtriser un peu ce point).
  22. C’est juste pour montrer que la base peut être réduite au minimum. Apres, chacun son but dans l’allègement… le mien est de pouvoir mettre dans un sac à dos de 15kg max du matériel de trekking, du matériel de plongée et un parapente pour un long séjour itinérant sur un continent. Si son but est de partir une semaine ou deux au même endroit, tu allèges juste pour pas galérer de chez toi à ton lieu de villégiature (donc moins de contrainte d’allégement)
  23. Pour un séjour plongée, je pars avec ça: https://lighterpack.com/r/q1r9ji Je loue tout ce qui est stab, combi, détendeur et palmes mais je n’ai pas besoin de plus. Tous les soirs je lave mon boxer porté sous la combi et tous les 2 jours je lave un tee-shit et un short maillot Pour les tee-shirts, pas besoin de mérinos (vu les T°)… du tee-shirts technique c’est top (la marque française Vertical est top de ce côté là)
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Bonjour,

 

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