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Plongeur.com - Le site de la plongée sous marine

Yosto

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About Yosto

  • Birthday 05/25/1986

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  • Localisation
    Paris
  • Profession
    Au chaud et au sec dans mon bureau

La plongée

  • Féderation(s)
    FFESSM, GUE
  • Niveau en plongée
    N2, Nitrox, GUE Fundamentals
  • Professionnel de la plongée
    No

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  1. J'englobais toutes les chapelles tech... et je n'avais pas bien saisi le message. Effectivement je suis d'accord, et c'est peut-être par là qu'il faut passer avant d'être vraiment à l'aise et prendre du plaisir ? Je ne fais pas de spéléo, mais j'imagine que si je devais m'y mettre, j'aurais aussi tendance à vouloir être à fond sur le sécurité et les procédures pour me sentir à l'aise. Du coup, dans un premier temps, je serai sans doute très peu à l'aise car écrasé par toutes ces infos
  2. Je fréquente plein de GUE et autres depuis quelques années. Jamais vu personne s'entrainer à outrance, voir s'entrainer tout court. Ca doit tenir de la légende urbaine. On pourrait même plutôt dire que ceux qui s'entrainent sans jamais plonger, ce sont les clubs fédéraux qui font deux soirs de plongée par semaine en piscine à faire du vidage de masque et du PMT, avec une sortie annuelle de 5 jour en mer. Et même en admettant me moquer un peu, au fond, ils ont tout autant l'air de s'amuser. J'en ai connu quelques uns dans le passé, et s'ils font ça c'est que ça leur plait. Pas de poissons, mais une convivialité, un temps partagé sous l'eau... s'ils aiment, tant mieux. S'il existe des plongeurs tech qui passent leur temps à faire des drill, c'est que ça doit leur plaire aussi. Je ne vois pas la rapport entre suivre des procédures et prendre du plaisir. Faut pas caricaturer non plus, l'ensemble des procédures en suivant à la lettre les principes GUE & co c'est quelques minutes de plus sur l'ensemble de l'événement plongée (i.e une demi journée au mieux) par rapport à quelqu'un qui y va sans se poser de questions les mains dans le slip.
  3. Par curiosité, quel est l'intérêt de le faire fonctionner sous l'eau durant la plongée ? Dans mes procédures, parmi d'autres choses, je check les valves, je fais le s-drill, généralement en surface, ce qui me permet de vérifier que tout est déployable comme il faut, puis en surface, la tête dans l'eau, je teste les deux détendeurs. Mais ensuite, durant la plongée, je ne vérifie plus le détendeur de secours si je ne me retrouve pas à devoir l'utiliser.
  4. Je n'ai encore jamais fait de cave, mais les quelques retours que j'ai eu me laissent penser que si tu veux aborder ça proprement il vaut mieux être ultra solide sur tes bases avant si tu veux vraiment profiter du cours et apprendre sérieusement. Ceux qui ne l'étaient pas (je ne parle pas de N1 fédé qui sont allés en cours cave directement, pour peu que ce soit possible quelque part, mais plutôt de N2/N3 étant déjà passés par un GUE Fundamentals ou un TDI Intro to Tech, mais souvent avec peu de pratique / entrainement derrière) ont galéré et ont souvent passé une partie du cours cave à revoir les bases, ce qui est dommage. Je ne connais pas les cursus chez TDI, mais en ce qui concerne GUE, tout passe forcément par un Fundamentals en premier : 4 jours de formation intenses, dans les 600-800€ selon l'instructeur choisi, à quoi il faut ajouter différents frais, qui dépendent de toi et de l'instructeur : gonflage nitrox, location du matériel, déplacement, hébergement, etc. Le mieux pour savoir précisément est d'aller contacter un instructeur sur le site GUE, voir en mentionnant un cours planifié directement, et poser tes questions. N'hésite pas si tu as des questions précises dessus en tout cas.
  5. Ca me fait réaliser que j'ai eu le même souci en pré-plongée. Je fais très régulièrement des nettoyages de nez à l'eau de mer, et à l'occasion d'une plongée l'année dernière, en le faisant, j'ai eu comme une douleur à l'oreille, avec la sensation d'eau à l'intérieur. Le lendemain matin, plongée, l'oreille bloque complètement à 1m, impossible d'équilibrer quoi que ce soit. Ca a duré quelques jours. En reprenant ta situation, j'imagine que de la même manière, j'ai effectué le nettoyage du nez avec la tête trop inclinée, ce qui a laissé de l'eau pénétrer dans les trompes d'Eustache et remonter jusqu'à l'oreille moyenne. Sujet intéressant en tout cas, je n'en avais jamais entendu parler.
  6. Voilà. Je vais passer pour un intégriste, mais l’idée d’une configuration DIR, c’est de bien faire les choses dans un système fermé où tout se répond. Imaginer qu’on peut faire du DIR « à moitié », « parce que c’est un système théorique avant tout », ou en s’arrangeant avec les principes, c’est juste trouver des excuses pour ne pas changer des habitudes que l’on a. Il n’y a pas forcément de mal à faire autrement, on plonge très bien sans DIR. Mais si on veut du DIR, en creusant la question, on se rend vite compte qu’en fait le DIR est assez absolu. DIR c’est un système fermé complexe qui correspond à un niveau de standards précis qui dépassent largement l’équipement. À force de se dire que le DIR c’est trop rigide et qu’on peut faire du DIR à sa sauce, on en vient à créer un DIR qui ne veut plus rien dire (). Et c’est pour ça que le courant DIR « originel », si j’ose dire, ne parle plus du tout de DIR que ce soit en standard, en matériel ou dans en formation. Perso j’adhère, mais je comprend que ça ne plaise pas ou ne convienne pas à tout le monde (et il n’y a rien de grave à ça). Je salue néanmoins toujours l’envie de mieux faire les choses.
  7. Pareil, je lave ma sous-combinaison Avatar en machine, 30°C, essorage minimum (400 tours / minute), rinçage +, lessive classique (Ecover Zéro). Séchage sur cintre. Jamais eu de problème.
  8. Personnellement, j’ai des jet fins de chez Scubapro. J’ai beaucoup travaillé mon palmage, et je pense plutôt bien m’en sortir, mais quand je vois mes formateurs palmer, je me dis qu’il y a encore du boulot. Avant de racheter du matériel qui fonctionne, surtout avec des moyens limités, je commencerais par peut-être voir si tu peux améliorer significativement ta technique. Il y a beaucoup de contenu sur Internet, et surtout des cours tech axés là-dessus qui te feront largement plus progresser en efficacité que quoi que ce soit d’autre. À regarder : Frog kick, flutter kick, puis back kick et helicopter turn. Le palmage du nageur avec une planche ça fonctionne bien pour les nageurs.
  9. Le rayonnement UV de la lune est tellement faible que ça n’a probablement aucune incidence. Mais bon, j’imagine que le local qui protège du soleil est le même que celui protégeant de la lune @plongeursdf Merci pour les explications ! Je découvre qu’il ne faut pas manipuler le bouton de purge avec le détendeur immergé et sans pression… je dois faire ça deux fois sur trois J’ai contacté Halcyon pour voir, même son de cloche : c’est réservé aux distributeurs uniquement (la raison « officielle » étant que ça leur permet d’avoir une liste de qui est agréé / à jour de formation et donc s’assurer que les techniciens reçoivent bien les dernières infos et procédures).
  10. Merci ! Concernant l'étanche, je graisse quand j'y pense, toutes les 2-3 plongées je dirais même si c'est assez variable. Pourquoi laisser le 1e étage à l'extérieur au lieu de le laisser tremper avec un bouchon ? Le bouchon n'est pas assez étanche ? Merci, je ne connaissais pas la corrosion galvanique, je ferai plus attention à ça désormais car j'ai tendance à laisser trainer plein de choses métalliques mouillées en contact dans le sac. En parlait de révision, est-ce que quelqu'un sait si c'est possible de suivre une formation d'entretien auprès d'un constructeur sans être pro ? Je me formerais bien officiellement à l'entretien de mes détendeurs (Halcyon) notamment, parce que le coût pour faire vérifier l'ensemble régulièrement est assez prohibitif.
  11. Bonjour, J'ai acheté tout mon matériel il y a environ un an et demi, avec assez peu de plongées depuis (probablement moitié eau douce, moitié eau salée), et face à un ressort de purge de wing où j'ai retrouvé des grains de sels aujourd'hui je m'interroge sur l'entretien qu'il convient de faire. Comme la plupart des plongeurs, j'imagine, je rince plus ou moins bien mon matériel en fin de plongée, soit directement dans la structure si le dispositif de nettoyage m'inspire, sinon en rentrant chez moi le soir, dans la douche ou dans la baignoire. Parfois, lorsque je plonge peu, ou en eau douce, j'ai tendance à parfois trainer et faire un vrai rinçage moins fréquent (par exemple aujourd'hui j'ai plongé deux fois en eau douce vaseuse, et je pense que je ferai le nettoyage complet après-demain dans ma baignoire en rentrant chez moi). Concernant les révisions en atelier, je n'en ai encore jamais fait. Comment est-ce que vous procédez ? Faites-vous des nettoyages après chaque journée de plongée ? Est-ce qu'à une fréquence particulière vous faites un entretien plus poussé (utilisation de produit nettoyant, démontage de certaines pièces...) ? À quelle fréquence faites-vous des révisions chez un pro agréé, et qu'y faites vous réviser (détendeurs, wings?, étanche?... Je suis preneur de toute suggestion Merci
  12. Personnellement j'ai appris avec le quart de tour, mais je ne le fais plus. J'ouvre tranquillement, sans forcer, et je desserre légèrement la pression sur la vis une fois à la butée. La raison ? Je trouve le quart de tour peu clair, source d'erreurs, alors qu'ouvrir totalement me semble éviter les situations "presque fermées", à mon avis bien plus problématiques que les totalement fermées. Et je desserre un peu pour relâcher la pression sur la mécanique. Aussi, y aller doucement. Dans l'empressement et l'animation des bateaux je vois souvent des manipulations assez violentes des blocs dans les clubs. Sinon, ce dernier point me fait penser à ce qui est utilisé comme valve. Je n'y connais pour le coup pas grand chose en mécanique ni en métaux, mais j'étais tombé l'autre jour sur un site (étranger, d'un pays vers l'Est je crois) vendant des valves modernes censées être bien plus souplesse et à manipuler et bien plus solides que ce qu'on utilise habituellement. J'avais trouvé ça hors de prix, mais si quelqu'un connait le sujet ça m'intéresse quand même.
  13. Le D-ring sert à fixer les autres éléments. Il est attaché au harnais, lui-même le moyen d'attache de la plaque (et donc de la wing) sur ton corps. Les double enders (mousquetons double pompe), servent à attacher du matériel aux D-rings quand tu as besoin d'attacher / détacher les deux bouts : typiquement, un spool/SMB qui doit être fixé quelque part (généralement dans une poche), mais dont tu veux pouvoir retirer totalement le double ender au moment de t'en servir. Les bolt snaps (j'ai oublié le nom français), sont, à l'inverse du double ender, utilisé quand un seul des côtés doit être défait : par exemple un manomètre, que tu as besoin de pouvoir attacher / détacher du D-ring, mais sur lequel tu peux laisser le bolt snap attaché en permanence. Ils sont attachés aux équipements avec une cordelette (la même que le spool) et un noeud très serré. Après, quant à savoir combien de ces accessoires tu as besoin, comment les attacher, etc, chacun a sa configuration et il y a différentes écoles. La mienne est chez GUE, dont tu peux trouver les détails sur Internet assez facilement, mais j'imagine que chaque école a ses sources. Ce sont des accessoires qu'on retrouve principalement dans les formations typées "tech" (GUE, TDI...) mais leur utilisation peut être évidemment faite par tout le monde.
  14. +1 pour l’étanche tri laminée Avec mon Avatar + sous combi Avatar, je suis à 2-3 kg en mono 15L, rien en bi12. Et s’il fait chaud, en maillot / Lycra sous l’étanche, pas besoin de plombs avec un mono 12L. C’est à mon avis de loin la combinaison la plus adaptable. Par contre ça coûte 1500€ facilement et ça demande une petite formation et/ou une pratique régulière pour s’y faire. Je pense qu’en démarrant directement en étanche ça doit être plus simple grâce aux réflexes moins ancrés.
  15. Je ne fais rien, si ce n'est rincer vite fait mes oreilles dans la douche le soir, et pourtant je chope des otites régulièrement en plongée. Et pourtant, je n'utilise pas de coton tige et je ne fais rien de spécial à mes oreilles. J'imagine que je dois être particulièrement sensible. J'ai récemment fait un tour chez l'ORL pour mon certificat médical mais il n'y avait rien de particulier à signaler. Je préfèrerais ne rien ajouter à mon cérumen, mais malheureusement il n'a pas l'air aussi efficace qu'il le devrait et il me coûte cher en plongées Je vais essayer de mieux rincer dans un premier temps, tenter la poire, et prendre plus le temps de sécher, quitte à sortir le sèche-cheveux à froid le soir. Quant à l'huile d'amande douce, effectivement en vous lisant et en y repensant je ne suis pas certain d'apprécier la mélasse que ça va créer dans mes oreilles Enfin, en matière de gouttes, je verrai ça dans un second temps. On m'avait parlé de Bloxoto et Otosan en préventif, Aurigoutte en cas de début de problème (j'ai tenté une fois mais c'était déjà trop tard).
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Bonjour,

 

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