Search the Community
Showing results for tags 'nitrox'.
-
Bonjour, Dans le cas d'une utilisation Nitrox chaque bloc doit être identifié selon le gaz contenu. Le ruban orange autocollant apposé sur le culot est souvent utilisé à cette fin, mais nous recherchons une alternative plus pratique (décollage/collage à chaque fois un peu pénible). J'ai déjà vu des étiquettes plastiques fixées au col par exemple. Auriez-vous des idées ? Comment faites vous chez vous ? Merci beaucoup !
-
Bonjour a tous Comme déjà indiqué dans mon fil sur la modification de mon compresseur, la prochaine étape est l'ajout du gonflage Nitrox à ma station de gonflage. J'ai depuis le temps fait le tour du WEB j'ai des idées mais rien d'arrêté au jour d'aujourd'hui. Si ce n'est une partie du matos que j'ai déjà acheté. 1) un manodétendeur O2 avec une électrovanne chez @dangue et divers petits "accessoires" 2) un débimetre max 15 L/min du genre pour le réglage fin et visuel de l'arrivée en O2. D'après mes calculs avec le débit de mon compresseur je devrais pouvoir lire le débit d'O2 de façon précise jusqu'à un Nitrox 35 ou 36% en sortie de compresseur… je ne veux pas monter plus haut de toute façon je veux clairement rester loin des 40% afin de rester éloigné de la zone dangereuse. Si je veux des Nitrox riches en O2 c'est pas pression partielle mais ceci est une autre affaire. 3) J'ai un analyseur nitrox avec cellule R17. Le point 2 et 3 doivent correspondre a mes calculs, si la différence est trop grand c'est qu'il y aura un problème et qu'il faudra stopper le gonflage. Je pense a une cellule O2 qui ne montrait plus correctement dans les taux élevés d'O2. Le débimétre est une sécurité en plus pour moi en plus de la facilité de réglage une fois fait les premiers essais. Les sticks j'en ai vue de toute les tailles de toutes les formes sur le net... et vous qu'avez vous? Quel est votre avis et retour d'expérience. Je compte après la première installation me construire un système de sécurité active qui stoppera 1) l'arrivée d'O2 si le taux approche une valeur limite a définir comme par exemple 35 % si je veux gonfler du 32 % c'est nickel. 2) Si jamais le taux passe a 38 ou 39 % actionner l'arrêt auto du compresseur. Dans les 2 cas une alarme se déclenchera. Il y a pas mal de tutoriaux sur la base d'Arduino, je prendrais ceux-ci comme exemple mais je compte bien y apporter ma touche perso.. Messieurs je suis preneur de vos conseils, idées et retex. Bien entendu je partagerai le projet ici sur plongeur.com . . . . . si j'arrive au bout . . . . . vivant
-
Bonjour à tous (En écrivant je me rends compte que je suis en train de pondre un pavé... si vous voulez aller directement à la question c'est en paragraphe 5 ) Cela fait un moment que je n'avais pas posté sur le forum, du coup, je vais présenter un peu plus afin de mettre en relief la question que je me pose. J'ai une centaine de plongées au compteur et "jeune" plongeur N3 (dans le sens où je ne le suis que depuis l'été dernier) ; je n'ai donc pas eu l'occasion de plonger beaucoup dans ces nouvelles prérogatives (et à ces occasions jamais très profond ; jamais dépassé les 35 mètres passé le stage final. Je pense de toute façon que mes occasions de pratique étaient pour le moment trop disparates pour gagner une accoutumance à la profondeur. Breeeeeef...). Durant ma formation associative N2 puis N3, sans remettre en cause la qualité indéniable du contenu et de la pédagogie de mes moniteurs, je restais sur ma faim sur la question de la planification notamment au regard de l'autonomie en air. Certes nous avons fait des exercices sur les tables ainsi que les calculs pratiques à la sauce Mariotte pour la conso à telle profondeur. Mais dans la pratique, jusqu'au stage final, les principes qui nous étaient donnés me semblaient "light" ; en caricaturant : "Depuis X mètres tu remontes en général quand ton binôme ou toi atteint Y bars ; tu auras normalement assez pour faire tes paliers. Sauf si le DP te donne une consigne plus précise, dans ce cas tu la suis.". Bref, cela me semblait un peu trop pifométrique, pas assez argumenté (alors que tout le reste l'était) et surtout pas du tout personnalisé en fonction du profil de plongeur et de sa conso. D'où deux questions qui me sont venues à l'esprit assez vite en pratique : Comment personnaliser le plan de la plongée connaissant ma consommation équivalent surface (calculée sur PC à l'aide de l'historique de profils déchargés depuis l'ordi, des pressions notées sur mon carnet de plongée ainsi que le volume de la bouteille) et celle de mon binôme ? La crainte : mon mano m'indique 110 bars, je suis à 40 m, j'ai tant de palier à faire. Euh... je dois remonter tout de suite ou j'ai encore du temps devant moi ? Bref, j'ai pris conscience que j'avais encore à apprendre si je voulais vraiment maîtriser mes plongées. J'ai regretté de ne pas avoir posé ce genre de questions durant mon stage final, j'avoue que dans le "feu de l'action" je n'y avais juste pas vraiment pensé... Il fallait donc dorénavant que je cherche les renseignements par moi-même afin de sécuriser ma pratique. C'est alors en parcourant ce forum que je suis tombé sur le thread de @bardass qui propose une méthode pour planifier une plongée basée sur la DTR et la connaissance de la conso personnelle : https://www.plongeur.com/forums/topic/59799-méthode-de-planification-de-plongée-loisir-à-lair Je voulais donc en profiter pour te remercier au passage Laurent, pour cette méthodo qui m'a remis les idées au clair et que j'applique maintenant à toutes mes plongées. Méthodo que j'ai pu passer au crible de mon sens critique et que j'accepte de part ses arguments objectifs (il me semble en effet important de d'abord se convaincre de la solidité d'un enseignement, d'une méthodologie, avant de l'appliquer soi-même, mais cela n'engage que moi ). Maintenant, j'ai passé mon Nitrox confirmé. La méthode de @bardass fonctionne déjà à l'air et au Nx fond, mais comment l'adapter quand on embarque une pony de gaz supplémentaire, Nx ou O2 ? En y réfléchissant j'ai envie de répondre ceci, mais j'aimerais bien avoir votre avis : Je pars du principe que j'ai assez de gaz déco pour assurer mes paliers (bien sûr, il faut s'en assurer en pratique , pony pleine par exemple) ; CONDITION DE PRESSION : On décolle du fond lorsque mon binôme ou moi atteint la pression donnée par le calcul sans paliers (DTR = Pabs : 4 mn à 30 mètres, 5 mn depuis 40, 6 mn depuis 50...). Sauf si bien sûr on décide d'une condition plus contraignante lors du briefing (suite consigne DP par exemple) ; OU CONDITION DE PALIER : On décolle dès que l'ordi commence à afficher un palier (d'une minute) à une profondeur inférieure ou égale au MOD de la déco. Par exemple, 1' de palier à 6m alors que la déco est à l'O2 (MOD 6 m si on se cale à 1,6 bar de pp max en décompression). Arguments pour cet "embryon" de méthodo : De cette manière, nous nous assurons d'avoir au moins la pression de réserve lorsque nous arrivons aux paliers et que nous "switchons" de gaz, avec une petite marge vu que je considère le trajet jusqu'à la surface alors qu'on change au palier. En cas de pépin (perte de déco par exemple), nous sommes proches de la surface avec au moins 50 bars de gaz fond chacun pour demander une éventuelle assistance depuis la surface ou faire nos paliers en mode dégradé, si c'est possible. Dans tous les cas, on a de la marge pour anticiper. La dernière condition sur la profondeur du palier (je ne pense pas qu'elle se produise beaucoup en plongée loisir pour des couples temps/profondeur raisonnables) permet de s'assurer qu'on fera dans le pire des cas 1 minute de palier avec le gaz fond, et comme la condition de pression est respectée par ailleurs, il nous restera bien la pression de réserve voulue au moment du "switch". Est-ce que ces principes de départ vous paraissent raisonnables ou est-ce que d'après vous il faudrait modifier certaines choses ? Ou alors, tout ça vous semble hors de propos car par expérience vous avez d'autres manières de faire fiables et éprouvées ? "La seule chose que je sais, c'est que je ne sais rien." : Je n'ai pas encore d'expérience pour l'utilisation de la déco depuis ma formation. Je n'ai donc pas la prétention d'arriver avec mes grands sabots à proposer la-méthode-à-laquelle-personne-n-aurait-pensé-jusque-là. Mais d'un autre côté, dans la continuité de ce que j'ai pu dire au début, il me paraît nécessaire de me poser ce genre de questions justement pour pouvoir planifier et gérer le briefing correctement dès la première plongée (même si pour cette reprise elle bien sûr sera peu profonde, et avec un binôme de confiance). Merci de m'avoir lu jusqu'ici en tout cas !
- 86 replies
-
- décompression
- planification
-
(and 1 more)
Tagged with: