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Tuons-nous français!


alofi

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Pour qu'il puisse être qualifié de bien français, sans équivoque, un accident de plongée nécessiterait forcément :

 

- un petit réchauffement préventif avant la plongée en eau froide, une petite poire par exemple

 

- un équipement de fabrication française (ce qu'on fait de mieux en plongée), notamment une Fenzy avec petite bouteille et un vieux masque mono-verre en caoutchouc qui s'effrite mais qui est tellement mieux que ce qu'on fait de nos jours

 

- un petit problème de prostate qui nécessite une remontée particulièrement rapide pour se soulager

 

- des blocs gonflés au bon air pur de la maison dans le garage (pendant le cousin règle son moteur de bagnole), avec son propre compresseur, blocs pas requalifiés depuis 30 ans parce que de toute façon c'est pas la peine pour des blocs spiro, c'est de la bonne qualité française

 

- un bon détendeur mistral presque neuf (il a juste servi une fois il y a 30 ans), ah ben c'est vrai qu'il n'y a pas d'octopus dessus ni de manomètre (c'est pas grave il y a une réserve mécanique sur le bloc)

 

- une ceinture marseillaise avec sous-cutale en caoutchouc, qui maintient aussi tout ce qu'il faut pour être un homme, un vrai.

 

- pour calculer les paliers, un décompressimètre spiro bien sûr, c'est fiable, je l'ai fait vérifier l'an passé par un copain.

 

- un couteau bien rouillé tenu à la cheville par un vieux tuba noir ; il sert bien sûr essentiellement à couper le saucisson et le camembert ; il ne lui manque que le décapsuleur et le tire-bouchon pour qu'il soit parfait pour la dernière phase

 

- et pour boucler la boucle un petit réchauffement consolateur après la plongée loupée, par exemple une autre petite poire. :tromaran:

 

Allez, on va plonger ?

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Pour ceux qui n'ont pas la chance d'être obéses, cardiaco-dépressifs ou diabétique ET épileptique, ou encore tout simplement américain, je conseille vivement de plonger après une bonne grosse cuite (le mélange vin rouge, pastis, calva, guinness, tequila est particulièrement recommandé) assortie d'un sommeil réparateur vautré, sur le port, au milieu d'un tas de casiers à homard.

 

A la suite de quoi il faut bien choisir son binôme : je vous recommande un presque N1 en début de formation (ou mieux un Open Water récemment certifié en Thailande) qui sera certes un peu désorienté par votre attitude bizarre dans les vestiaires (si vous avez finalement réussi à trouver la porte), puis sur le bateau (vos deux ceintures de lest et votre démarche hésitante auront détruit deux caissons et les APN inclus à l'intérieur) et surtout lors de votre bascule latérale inconnue des instructeurs (même Teks), mais saura trouver au fond de lui les ressources nécessaires, lorsqu'une panne d'air se déclenchera dés la descente. Vous aurez évidement consciencieusement oublié d'ouvrir le robinet de votre bloc.

 

Mais celà n'est pas très important puisque le bloc en question n'aura de toute façon pas été gréé correctement. En conséquence de quoi ledit bloc arrivera au fond bien avant vous !

 

La remontée se fera, sans attendre, et en apnée, grâce à un poumon ballast particulièrement travaillé, magistralement alimenté par une bonne goulée d'air prise en arrachant le détendeur principal de votre binôme, décidément de plus en plus surpris par votre maîtrise technique (p... c'est ça la plongée !). Un frog kick particulièrement élégant et hystérique contribuera à une remontée parfaitement impressionnante, surtout dans les 10 derniers metres, ou vous prouverez que votre surnom de Diodon Rapide, n'est pas usurpé. Vous émergerez alors dans un grand jaillissement d'écume, de vomi et de miettes de poumons.

 

Les américains n'ont qu'à bien se tenir !

 

Vous êtes toujours le meilleur !

La preuve : une contre indication intercontinentale définitive assortie d'une peine de sécurité de 120 ans. De toute façon, votre mobilité générale a été un peu affectée par l'expérience.

 

Mais vous vous en foutez,... il vous reste la fosse !

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Pour ceux qui n'ont pas la chance d'être obéses, cardiaco-dépressifs ou diabétique ET épileptique, ou encore tout simplement américain, je conseille vivement de plonger après une bonne grosse cuite (le mélange vin rouge, pastis, calva, guinness, tequila est particulièrement recommandé) assortie d'un sommeil réparateur vautré, sur le port, au milieu d'un tas de casiers à homard.

Bon, moi j'aurai dit une Kronenbourg, pourquoi aller mêler les irlandais à tout ça? Sinon, Tb analyse, de bons conseils...

 

A la suite de quoi il faut bien choisir son binôme : je vous recommande un presque N1 en début de formation

Précision: en début de formation piscine

(ou mieux un Open Water récemment certifié en Thailande)

on peut prendre un Eau-Ouverte formé en Nouvelle Calédonie pour rester français?

qui sera certes un peu désorienté par votre attitude bizarre dans les vestiaires (si vous avez finalement réussi à trouver la porte), puis sur le bateau (vos deux ceintures de lest et votre démarche hésitante auront détruit deux caissons et les APN inclus à l'intérieur) et surtout lors de votre bascule latérale inconnue des instructeurs (même Teks), mais saura trouver au fond de lui les ressources nécessaires, lorsqu'une panne d'air se déclenchera dés la descente. Vous aurez évidement consciencieusement oublié d'ouvrir le robinet de votre bloc.
Que vous aviez par ailleurs vider pour y piser dedans la nuit dernière. On n'est jamais trop prudent: même en laissant le robinet fermé on peut tomber sur qq qui vous l'ouvre.

Mais celà n'est pas très important puisque le bloc en question n'aura de toute façon pas été gréé correctement. En conséquence de quoi ledit bloc arrivera au fond bien avant vous !

Ah, ben oui, s'il avait pris 20kg de plomb de plus, il serait arrivé devant!

 

La remontée se fera, sans attendre, et en apnée, grâce à un poumon ballast particulièrement travaillé, magistralement alimenté par une bonne goulée d'air prise en arrachant le détendeur principal de votre binôme, décidément de plus en plus surpris par votre maîtrise technique (p... c'est ça la plongée !). Un frog kick particulièrement élégant et hystérique contribuera à une remontée parfaitement impressionnante, surtout dans les 10 derniers metres, ou vous prouverez que votre surnom de Diodon Rapide, n'est pas usurpé. Vous émergerez alors dans un grand jaillissement d'écume, de vomi et de miettes de poumons.

Un mélange de blanc (écume) et de rouge (poumon) ou il ne manque qu'un peu de bleu...

Les américains n'ont qu'à bien se tenir !

 

Vous êtes toujours le meilleur !

Coccorico !
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