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Regles N3


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et, pour Tchum, descendre à 46 le lendemain de l'obtention n'est pas forcement une mauvaise chose mais, aujourd'hui, avec le recul, ne gererais tu pas tes accroissements de profondeur, ta progression autrement ?)

 

Héhé, enfin quelqu'un qui "prononce" correctement :bravo:

On voit direct où tu habites :biere:

 

Bref, non je ne gérerais pas autrement (dangereux irresponsable, c'était de l'ironie !).

46m au lieu de 40m la veille, j'y vois au contraire une progression logique, en sécu avec des binômes plus expérimentés que moi.

Quelques temps plus tard, je suis allé un peu au delà de 50m.

60, je n'ai pas encore eu l'occasion d'y aller... hé oui !

 

De toute façon, chacun fait comme il veut, certains utilisent leur cerveau et se font de l'expérience petit à petit. Pour d'autres, c'est direct la nomination aux Darwin awards ou la roulette russe, c'est selon...

 

Pour le coup je suis assez d'accord avec la dernière intervention d'Humuhumu.

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Héhé, enfin quelqu'un qui "prononce" correctement :bravo:

On voit direct où tu habites :biere:

 

Bref, non je ne gérerais pas autrement (dangereux irresponsable, c'était de l'ironie !).

46m au lieu de 40m la veille, j'y vois au contraire une progression logique, en sécu avec des binômes plus expérimentés que moi.

Quelques temps plus tard, je suis allé un peu au delà de 50m.

60, je n'ai pas encore eu l'occasion d'y aller... hé oui !

 

De toute façon, chacun fait comme il veut, certains utilisent leur cerveau et se font de l'expérience petit à petit. Pour d'autres, c'est direct la nomination aux Darwin awards ou la roulette russe, c'est selon...

 

Pour le coup je suis assez d'accord avec la dernière intervention d'Humuhumu.

 

 

re

 

je ne veux pas jouer l'ancien combattant.

J'ai appris la plongée au lac (du Bourget)

hors strucutre, l'hiver, avec une poignée de vieux plongeurs (connus de Berny), nous nous immergions toute l'année.

Lorsque j'ai obtenu mon N2, j'avais 44 ou 48 plongées dont plus d'une dizaine dans la zone des 40.

J’étais à chaque fois bien encadré et bien brieffé.

Par exemple, comme mode opératoire, nous devions brancher la stab ou la PA sur le second détendeur (je te parle là en 1990, c'est à dire que les copains avaient déjà analysé le risque givrage et trouvé une parade ou une amélioration).

Nous avions, bien sur, double sortie et deux détendeurs complets.

Nous fonctionnions en binômes (jamais de palanquée de 3 )

le plus faible des deux était "coincé" coté tombant de sorte que s'il avait un problème, il ne glisse pas.

La distance maxi entre nous, c’était la longueur du bras : il fallait pouvoir attraper de suite le binôme.

Nos nous déplacions cote à cote pour se surveiller mutuellement.

 

Après mon N2, Jean (AGLI***) pour ceux qui connaissent, m'a dit : "vas y progressivement : demain 42, la suivante, aussi, l'autre d'après encore pareil, puis tu essayeras 45 avec la même méthode".

Il considérait que l'on pouvait être "bon" sur la première avec le premier dépassement mais que ce n’était pas un blanc seing pour aller plus bas : on plonge avec sa tête et on peut être fatigué le lendemain, plus facilement narcosé et faire un bad trip ...

Bref, j'ai mis un peu de temps avant de me faire des 60 et encore plus des 60 en autonomie, où je gérai le parcours, la conso, les centres d’intérêts, la déco etc.. (j'ai eu mon N3 alors que j'avais 180 plongées)..

 

Des exercices de sauvetage que j'ai réalisé au lac, j'ai retenu un truc :

je gonfle le binôme et il me "remonte".

Surtout, je ne fais pas l'inverse : en effet, si pour une raison X je le lâche (crampe, par exemple), lui coule dans l'eau noire et moi, je suis propulsé vers la surface. Le temps que je me purge pour m’arrêter, j'aurai perdu de vue le copain. Rien ne me dit que je pourrai redescendre (les sinus..) et le retrouver.

Si je ne suis pas bon, il est mort.

 

Donc, je préfère me faire tirer : si je lâche, il remontera et sera à la surface ; moi, je pourrai me débrouiller.

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Il considérait que l'on pouvait être "bon" sur la première avec le premier dépassement mais que ce n’était pas un blanc seing pour aller plus bas : on plonge avec sa tête et on peut être fatigué le lendemain, plus facilement narcosé et faire un bad trip ...

 

 

:+1::)

 

Voila

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re

 

je ne veux pas jouer l'ancien combattant.

J'ai appris la plongée au lac (du Bourget)

hors strucutre, l'hiver, avec une poignée de vieux plongeurs (connus de Berny), nous nous immergions toute l'année.

Lorsque j'ai obtenu mon N2, j'avais 44 ou 48 plongées dont plus d'une dizaine dans la zone des 40.

J’étais à chaque fois bien encadré et bien brieffé.

Par exemple, comme mode opératoire, nous devions brancher la stab ou la PA sur le second détendeur (je te parle là en 1990, c'est à dire que les copains avaient déjà analysé le risque givrage et trouvé une parade ou une amélioration).

Nous avions, bien sur, double sortie et deux détendeurs complets.

Nous fonctionnions en binômes (jamais de palanquée de 3 )

le plus faible des deux était "coincé" coté tombant de sorte que s'il avait un problème, il ne glisse pas.

La distance maxi entre nous, c’était la longueur du bras : il fallait pouvoir attraper de suite le binôme.

Nos nous déplacions cote à cote pour se surveiller mutuellement.

 

Après mon N2, Jean (AGLI***) pour ceux qui connaissent, m'a dit : "vas y progressivement : demain 42, la suivante, aussi, l'autre d'après encore pareil, puis tu essayeras 45 avec la même méthode".

Il considérait que l'on pouvait être "bon" sur la première avec le premier dépassement mais que ce n’était pas un blanc seing pour aller plus bas : on plonge avec sa tête et on peut être fatigué le lendemain, plus facilement narcosé et faire un bad trip ...

Bref, j'ai mis un peu de temps avant de me faire des 60 et encore plus des 60 en autonomie, où je gérai le parcours, la conso, les centres d’intérêts, la déco etc.. (j'ai eu mon N3 alors que j'avais 180 plongées)..

 

Des exercices de sauvetage que j'ai réalisé au lac, j'ai retenu un truc :

je gonfle le binôme et il me "remonte".

Surtout, je ne fais pas l'inverse : en effet, si pour une raison X je le lâche (crampe, par exemple), lui coule dans l'eau noire et moi, je suis propulsé vers la surface. Le temps que je me purge pour m’arrêter, j'aurai perdu de vue le copain. Rien ne me dit que je pourrai redescendre (les sinus..) et le retrouver.

Si je ne suis pas bon, il est mort.

 

Donc, je préfère me faire tirer : si je lâche, il remontera et sera à la surface ; moi, je pourrai me débrouiller.

 

C'est marrant : On dirait du Padi (ou de l’école américaine).

Quelques bons principes...et de la progressivité prudente et réaliste.

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Bonjour Gérard

 

 

Par contre, à Mayotte, j'ai eu (au moins) un binome qui voulait faire des 60 avec moi (mais pas comme leader avec d'autres).

C'etait ce que j'ai appelé (comme j'ai dit à Michel, du Lambis) un N3 passe en S.

Il etait bon (quand tout allait bien ??) et je faisais en sorte que ça aille bien (et quand ça commençait à puer (trop fort courant, visi de m**de à cause de pluie), je restreignais moi meme le programme.

Mais, ce qui m'a marqué, c'est que ce copain voulait y aller sans cesse ; moi, je doute (sans forcement sans cesse mais je doute, voire je me fais des films (qui m'aident pour le ouatiffe)) mais lui ne faisait jamais de what if.

 

Absence d'humilité qui mene à l’absence de prudence ??

 

Sinon, du PADI à 60 ou 65 à l'air, Gérard ????

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le plus faible des deux était "coincé" coté tombant de sorte que s'il avait un problème, il ne glisse pas.

La distance maxi entre nous, c’était la longueur du bras : il fallait pouvoir attraper de suite le binôme.

Nos nous déplacions cote à cote pour se surveiller mutuellement.

 

 

je gonfle le binôme et il me "remonte".

Surtout, je ne fais pas l'inverse : en effet, si pour une raison X je le lâche (crampe, par exemple), lui coule dans l'eau noire et moi, je suis propulsé vers la surface. Le temps que je me purge pour m’arrêter, j'aurai perdu de vue le copain. Rien ne me dit que je pourrai redescendre (les sinus..) et le retrouver.

Si je ne suis pas bon, il est mort.

 

Donc, je préfère me faire tirer : si je lâche, il remontera et sera à la surface ; moi, je pourrai me débrouiller.

 

Salut,

 

Ces 2 points sont enseignés de la même façon aux GP. Pour le gonflage il faut quand même partir du principe que le GP est équilibré, il n'y a que l'encadré qui est potentiellement "lourd", on le constate facilement lorsqu'on le prend en charge en le "jaugeant" avec son bras. Ce que tu nous développes, c'est du bon sens et c'est très juste...

 

Amicalement

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Salut,

 

il faut quand même partir du principe que le GP est équilibré,

 

exact, j'arrive équilibré avant de gonfler le binome, j'aurais ainsi juste à nous dégonfler au fur et à mesure de la remontée.

 

Pour ce qui est de la formation N3 N4, malgré le coté puriste fédérale de mon instructeur.....il n'était pas non plus d'accord avec tout.

un exemple : il formait donc à récupérer un mec qui coulait à 50....60. il se battait d'ailleurs contre certaines contracdictions citées à juste titre par christophe.

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Re bonjour Bertrand

 

 

ces principes étaient développés en 90 au GSRL .

 

Les vieux (plongeurs) avaient compris les mécanismes du givrage, par exemple, les deux sources d'air distinctes, l'air sec, le DS sur le détendeur qui ne sert pas..

 

j'ai bien aimé la progression de front et je la retrouve peu parmi mes binômes.

Nous partageons les mêmes choses, nous voyons les memes choses ensemble (tandis que l'un devant l'autre, celui devant ne voit pas l'autre s’arrêter, celui devant voit la bestiole mais le temps de prévenir le second, le poisson est déjà parti.. et en matière de sécurité, on a toujours le binôme dans le champs de vision (ou pas loin du champ), à longueur de bras (donc immédiat pour la réaction)

une sécurité et un plaisir mutuel ;)

 

sinon, je vois qu'au club, les traditions ne se perdent pas http://gsrl.free.fr/club.php?rub=presse

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Guest Micko77666
Des exercices de sauvetage que j'ai réalisé au lac, j'ai retenu un truc :

je gonfle le binôme et il me "remonte".

Surtout, je ne fais pas l'inverse : en effet, si pour une raison X je le lâche (crampe, par exemple), lui coule dans l'eau noire et moi, je suis propulsé vers la surface. Le temps que je me purge pour m’arrêter, j'aurai perdu de vue le copain. Rien ne me dit que je pourrai redescendre (les sinus..) et le retrouver.

Si je ne suis pas bon, il est mort.

 

 

Merci pour ce partage Christophe, je passe cette année le N3, et c'est vraiment le genre de conseil et partage que j'adore :).

 

Sinon moi perso, même quand j'aurai mon N3, je vous cache pas qu'allez à 60m, je vais attendre un bon bout de temps quand même :)

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Merci pour ce partage Christophe, je passe cette année le N3, et c'est vraiment le genre de conseil et partage que j'adore :).

 

Sinon moi perso, même quand j'aurai mon N3, je vous cache pas qu'allez à 60m, je vais attendre un bon bout de temps quand même :)

 

 

avec plaisir :chinois:

 

Pour chuter, il faut y aller progressivement (pour s'accoutumer à la narcose, bien que l'on soit toujours un peu pompette)

il faut se connaitre (soi meme), avoir confiance dans le binome, se briefer avant et ne pas en sortir (plan the dive and dive the plan pour ne pas "wreck the plan") (perso, j'ai horreur des improvisations durant les profondes, surtout celles qui font aller plus bas, plus longtemps etc.. (qui ne vont pas dans le sens de la sécu).

Planifie avant (j'aime bien mémoriser un couple de données comme la pression mini et la durée totale de remontée (au premier de ces deux parametres atteints par l'un ou par l'autre, fin de la plongée, on remonte) ; par exemple et en gros :

110 bars et 20 minutes de DTR..

(c'est aussi là qu'il est interessant de se caler pour la durée des paliers avec le copain : si ton épave à 60 est en pleine eau, tu devras forcement faire des paliers ; après, combien... c'est à vous de voir). Il faut toujours prévoir du gaz : un coup de stress, un probleme (lire "une sur consommation") si tu n'as pas assez de gaz, ça peut devenir problematique.

Et, puisque je suis un plongeur autonome, je me débrouille pour ne pas demander de l'aide à la surface (sinon, c'est que j'ai mal planifié)..

 

bref, plein d'astuces pour eviter les soucis ;)

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avec plaisir :chinois:

 

Pour chuter, il faut y aller progressivement (pour s'accoutumer à la narcose, bien que l'on soit toujours un peu pompette)

il faut se connaitre (soi meme), avoir confiance dans le binome, se briefer avant et ne pas en sortir (plan the dive and dive the plan pour ne pas "wreck the plan") (perso, j'ai horreur des improvisations durant les profondes, surtout celles qui font aller plus bas, plus longtemps etc.. (qui ne vont pas dans le sens de la sécu).

Planifie avant (j'aime bien mémoriser un couple de données comme la pression mini et la durée totale de remontée (au premier de ces deux parametres atteints par l'un ou par l'autre, fin de la plongée, on remonte) ; par exemple et en gros :

110 bars et 20 minutes de DTR..

(c'est aussi là qu'il est interessant de se caler pour la durée des paliers avec le copain : si ton épave à 60 est en pleine eau, tu devras forcement faire des paliers ; après, combien... c'est à vous de voir). Il faut toujours prévoir du gaz : un coup de stress, un probleme (lire "une sur consommation") si tu n'as pas assez de gaz, ça peut devenir problematique.

Et, puisque je suis un plongeur autonome, je me débrouille pour ne pas demander de l'aide à la surface (sinon, c'est que j'ai mal planifié)..

 

bref, plein d'astuces pour eviter les soucis ;)

 

deux paramètres, c'est bien et c'est suffisant

 

mais encore faut-il que le plongeur autonome sache combien de bar vont lui coûter ces 20mn de DTR sans avoir à faire de calculs savants ?

combien de plongeurs autonomes (N3-N4-MFx) savent combien de bar coûte en moyenne une minute au palier ?

combien de plongeurs autonomes savent combien de bar coûte en moyenne une minute de remontée ?

quels sont les plongeurs autonomes qui ont reçu un minimum de bases pour calculer deux ratios simples de consommation ?

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deux paramètres, c'est bien et c'est suffisant

 

mais encore faut-il que le plongeur autonome sache combien de bar vont lui coûter ces 20mn de DTR sans avoir à faire de calculs savants ?

combien de plongeurs autonomes (N3-N4-MFx) savent combien de bar coûte en moyenne une minute au palier ?

combien de plongeurs autonomes savent combien de bar coûte en moyenne une minute de remontée ?

quels sont les plongeurs autonomes qui ont reçu un minimum de bases pour calculer deux ratios simples de consommation ?

 

 

Tu vas me dire si je me trompe :

pour la remontée, je vais prendre une profondeur moyenne de 20m (pour le calcul de la conso) ; c'est une moyenne haute et je préfère qu'il me reste du gaz en sortant, plutôt que de cintrer le bloc.

Pour la remontée (et les paliers), je table sur une conso égale à celle du fond (dans mon cas, 20l/min).. donc à 3 bars de pression, ça me donne 60 l *20 minutes, donc 1200 litres (en plus de la conso au fond, ce qui me donnerait, dans un 15 litres, 80 bars rien que pour le fond et la remontée...

si je décolle avec 110, je sors avec 30.. pas assez :confus:

si je le fais avec un bi 10, cela correspond à 60 bars ; décollage du fond avec 110, sortie avec 50 bars... c'est chaud mais limite :malade: (faut pas que le binome (qui a le meme volume) perde tout son gaz lors de la derniere minute au fond, sinon, on est trop court... donc, départ fond avec 120 bars :bosse:

 

edit : je suis volontairement rigoureux : au palier, je suis à 12-15 l/min mais s'il y a eu un probleme, j'aurai pulverisé ma conso normale... :confus:

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Prenons un cas d'école :

plongée à 50m avec un 15l air.

Le DP veut 50b sur le bateau.

la consommation est de 20l/mn

 

Les plongeurs déterminent deux paramètres pour décoller : 100b restant dans le 15l ou DTR de 15mn.

Est-ce pertinent côté consommation ?

Avec deux ratios, on s'en sort :

Ratio 1 : quelle est la quantité d'air que je consomme à la remontée. En moyenne, 5bar par minute

Ratio 2 : quelle est la quantité d'air que je consomme sur mes paliers. En moyenne, 2bar par minute

 

Si ma DTR est de 15mn, alors ma remontée de 50m va durer 6mn (10m/mn + remontée lente en surface) et mes paliers 9mn au total (peu importe la profondeur, on verra ça plus tard)

Soit :

Conso remontée : 30bar (6mn x 5bar)

Conso paliers : 18bar (9mn x 2b)

Conso total 48b.

Avec la marge demandée par le DP, je peux attaquer ma remontée dès 100bar

Les paramètres choisis par les plongeurs sont cohérents avec la consommation

CQFD

 

Juste avec deux ratios de consommation pour un type de bloc et la décomposition de la DTR, il est assez facile de vérifier que les deux paramètres choisis pour décoller tiennent la route.

Après l'expérience joue pour affiner, via une consommation personnelle ajustée ...

 

PS : si vous voulez des explications pour déterminer les deux ratios, je le ferai plus tard ;)

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