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Blocs composites 300b


kiloas

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Salut,

Apparemment il existe plusieurs options:

Carbone/alu

Carbone/acier

Carbone/Kevlar/alu

D'autres?

 

Quels sont les avantages et inconvénients pour chaque type de bouteille.

A part les carbonedive qui se trouve assez facilement, des pistes pour trouver des fournisseurs pour les autres marques?

 

Merci.

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Pour les ARI, Interspiro, Ce sont des enveloppe (liner) en PET(étanchéité), recouverte de carbone (résistance), puis de résine pour (protéger le carbone). Le grand point faible est la liaison entre le PVC et les ogive pour la robinetterie. De plus elles n'aiment pas du tout les vidages rapide.

Le col doit être en M25x2. Plusieurs sorte de robinet Dans l'axe de la bouteilles, perpendiculaire, avec cliquet (anti-fermeture)

Certaine ont une durée de vie limitées (15 ans) d'autre illimitées.

Pour les ARI, à ma connaissance 4, 6.8 et 9 litres.

à nico 32 qu'est ce que l'estampillage plongée?

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Ben par exemple les ARI que tu décris ne sont généralement pas marqués plongée sur le bloc (par contre j'ai un modèle similaire DRAGER qui lui est marqué plongée).

Après comme c'est des BO que je rempli moi même et vide quasi jamais je m'en tamponne le bloc tampon.

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Ben par exemple les ARI que tu décris ne sont généralement pas marqués plongée sur le bloc (...)

Sur certains, il est même clairement écrit "ne pas utiliser en plongée".

 

Pour revenir à la question initiale, je ne peux que comparer entre les carbondive et les blocs composites (type ARI).

Le carbondive est fait pour la plongée, pas l'autre...

Les deux sont à 300 bar

Le carbondive est plus lourd. Exemple: à100bar, un 10l carbondive équipé de son détendeur est en flottabilité neutre (moins de 100bar il flottera, plus, il coulera). un 6.8l composite flottera même à 300bar, il est donc nécessaire de le lester (entre 2 et 3kg).

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un 6.8l composite flottera même à 300bar, il est donc nécessaire de le lester (entre 2 et 3kg).

 

2-3 KG faut pas exagérer.

Moi je les enroule de feuille de plomb, je fait 2 tours ça doit pas dépasser 2kg à mon avis et ils coulent légèrement même avec 40 % d'He.

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2-3 KG faut pas exagérer.

Moi je les enroule de feuille de plomb, je fait 2 tours ça doit pas dépasser 2kg à mon avis et ils coulent légèrement même avec 40 % d'He.

Je n’exagère pas et je confirme mes propos. Pour avoir vérifié plusieurs fois, je confirme donc qu'avec 2kg il a une flottabilité légèrement positive à 300bar avec 50% d'He. Avec 2.5Kg c'est très légèrement négatif.

Nous n'avons peut-être pas les mêmes blocs voilà tout.

 

EDIT : en mer méditerranée. En eau douce évidemment, c'est un peu différent...

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normalement les ARI sont avec des liner alu, les liner plastique sont interdit depuis un accident mortel ou un gonflage très rapide a mis le feu a l'interieur du bloc et a fait une surpression qui a arraché l'ogive du bloc ainsi que la tête du pompier qui etait au dessus.

presque 8000 bouteilles ont été interdite du jour au lendemain avec nouvelle commande chez dreger de bloc avec liner alu.

bien entendu, ces bloc n'etait pas prévu pour des mélanges très oxygénés et des gonflage par des blocs tampons sans limiteurs de débit, d'ou cet accident.

etienne

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Salut,

 

Pour ma part j'utilise des Worthington "CarbonDive" (autrichiens, même si le nom ne permet pas de le deviner).

 

Avantages: capacité supérieure (même en considérant Van Der Waals) et poids/encombrement très réduits. Les 12 litres avec 30 à 50% d'He nécessitent 1 kg de plomb "au cul" en mer, pour ne pas "lever du cul" (ça fait becuoup de cul, je sais) et que le bloc ne me gêne pas sous l'aisselle.

Inconvénient: le premier est l'absence de droit à l'inspection visuelle (mais ça je m'en fout), je ré-éprouve donc tous les 2 ans et comme je laisse gonflé, personne ne peut m'emmerder. Le deuxième inconvénient: ça pique au niveau tarif...

 

Les Interspiro (Dräger revend de l'Interspiro, à mon avis) existent bien pour la plongée ("Divator"). Leur principal inconvénient est leur poids/volume: ce sont des bouchons et vient ensuite leur fragilité, problème qui peut trouver sa solution avec la feuille de plomb nécessaire à leur lestage. Le film thermorétractable est à mon sens (de TIV) à proscrire, le bloc devient impossible à examiner visuellement, car on ne sait pas ce qui se passe sous le film et le technicien qui va faire la ré-épreuve, il va tiquer...

 

Amicalement

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En Suisse il ne sont pas interdit.

Tu dois faire allusion à un accident dans le sud. Région de Marseille peut être? Où suite à une expo ou démo je ne sais plus trop bien. Un ARI bi-bouteille s'est retrouvé avec une bouteille pleine et l'autre vide.

Un pompier, sans doute suite à une mauvaise mise en service, a ouvert le bloc plein, qui s'est pour moitié vidé dans l'autre bloc qui était vide. Augmentation de pression de 0 à 150 bars dans une durée très courte, sacrée augmentation de température...je ne suis plus trop sur de ça mais en plus il semble qu'un "morceau" ou limaille de la robinetterie soit venu se collé incandescent contre le liner= explosion et décès du pompiers.

Il y a eu par la suite (très proche) dans une halle de l'aéroport de Genève une bouteille qui a explosé. En fait elle est tombée, le robinet s'est cassé, elle n'était pas équipée de limiteur de débit, ce qui a entraîné sa projection dans la halle et son état final "explosé".

Pendant l’analyse les bouteilles "liner pet" ont été mise de coté. Nous avions repris nos 6.8l. Aux conclusions, elles (les 9l ont été remise en service, accompagné de la modification des robinets par un trou calibré pour limiter le débit en cas de rupture du robinet. A ma connaissance sans soucis, jusqu'à présent.

Des soucis lors de l'utilisation avec des coussins de levage, conjugué avec le vidage complet, ont fait que le liner bouge, laissant le la place entre ce dernier et l'enroulement de carbone, qui au regonflage, créer des "fuites" au niveau du col de la bouteilles.

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