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Critères admission N3


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Dans mon club, c'est 10 "profondes" (plus de 35 m) et 20 ploufs en autonomie ; pas à l'unité près bien évidemment. Pas de nombre de plongée mini mais quand tu cumules ce qu'il a fallu pour les N1/N2 et les 30 ci-dessus, ça donne en gros une cinquantaine de plongées. Après, c'est une semaine de stage "formation/contrôle continu", donc une dizaine de ploufs en plus pour sortir avec la cacarte.

 

Le tout sous l'oeil des GP/E2/MFi, avec donc une vision assez large de l'aisance du candidat et de ses capacités à faire un "bon" N3.

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Objectif : la réussite, en fosse, des exo qui seront repratiqués en mer ; réussite qui tient compte de la manière, et pas seulement du résultat ; idem pour les exo de la partie théorique.

 

Subjectif : l'attitude/aisance en plongée, la façon de se comporter sur le bateau, avant/après, la "résilience au stress" (s'agit pas de pousser dans les retranchements mais de "titiller" un peu).

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On est à peu de chose près sur les même critères que Motardplongeur dans mon club. Sauf qu'après c'est la formation sur l'année avec entrainement piscine + fosse ou carrière une fois par mois et enfin une semaine de stage mer à la fin.

Par contre je ne l'ai pas retrouvé mais sauf erreur, il existe exactement la même discussion sur le forum un peu plus ancienne.

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@Ulmo133 : c'est (presque) pareil "chez moi", formation sur 2 ans (et non pas 1 année), avec piscine, fosse et "stage final", un peu (pas mal) sur le modèle du N4. RIFAP passé en piscine et "confirmé" en mer (2 ou 3 exo en conditions mer).

 

Une fois encore, c'est du continu ; et en général, on sait assez facilement en regardant les personnes à la piscine qui l'aura "facilement" ou pas, voire "va ramer sévère", voire "très peu de chance/à moins d'un miracle" ; le but étant de ne pas envoyer des plongeurs(euses) au casse-pipe.

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Tout à fait d'accord avec vous pour ne pas envoyer nos adhérents à l'échec.

Après il y a la question d'avoir un minimum de critères "objectifs" pour dire Ok tu peux te présenter à la formation.

La question est : on gère la frustation à l'entrée ou la sortie de la formation ?

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"les deux" !

 

A l'entrée, pour ceux dont on se dit que ça va être (très) dur, c'est de les prévenir et de les mettre "devant leurs responsabilités" ("faut que tu bosses", "des lacunes à combler", etc). Au moins, les choses sont claires et ça laisse le loisir à la personne de rebondir.

 

A la sortie, parce qu'aucun niveau ne peut se donner, mais bien s'accorder face à une prestation "du bon niveau".

 

Je ne pense pas que la plongée soit différente d'un tas d'autres sports ou disciplines ; pour franchir des "échelons" (étoile, flèche, que sais-je encore), il y a l'entraînement, la pratique et parfois/souvent des exams.

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Comme pour le Dry Suit Diver aux Maldives, je pense qu'il faut enquêter sérieusement sur celui qui vient à Montpellier pour passer un N3.

Montrez-lui vos aéroglisseurs ... expliquez lui que la bascule arrière a été interdite (montrez lui vos cervelets tonsurés) ...

 

[fin de plaisanterie]

La limite basse, sous laquelle on refuse tout le monde, ne devrait pas être égale à la limite haute, au-delà de laquelle on n'envisage pas sérieusement de refuser un stagiaire.

Entre les deux, il y a le libre arbitre de la structure : l'examen des plongées, de la pratique récente, le comportement en plongée test.

 

Ne pas trop annoncer la couleur permet de lire des carnets honnêtes.

En association, on voit parfois des groupes assez disparates démarrer l'année ... et puis ceux qui manquent de bouteille plongent plus (25 plongées, c'est vite fait). Parfois ça se finit avec un PA40 la première année (RIFAP quand même passé, sorties club suivies, cours et pratique en piscine suivis). Je peux t'assurer que personne n'a "peur" de faire son N3 en deux ans.

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La limite basse, sous laquelle on refuse tout le monde, ne devrait pas être égale à la limite haute, au-delà de laquelle on n'envisage pas sérieusement de refuser un stagiaire.

Entre les deux, il y a le libre arbitre de la structure : l'examen des plongées, de la pratique récente, le comportement en plongée test.

[YOUTUBE]MqzMPG5iEtM[/YOUTUBE]

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Suis aussi ok, N3 en 2 ans, c'est un poil long ; maintenant, ça permet d'avoir le temps de rater quelques séances d'entraînement et en fosse, ou d'avoir une année en pointillés (genre en déplacement pro les jours de piscine, exemple vécu). J'ai fait, pas un drame même si un peu ch...nt quand même ! Par contre, j'ai calé mon N4 en un an car bon, quand on aime on ne compte pas, mais quand même, point trop n'en faut !

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