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Question parachute


Cécilette

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Quand tu seras sur une epave a 20m avec du courant. Attendre 7 m pour signaler sa remontée est dangereux.

 

ce genre de plongée représente même pas 10% de mes plongées et

ça ce fait régulièrement sur le donator ou le grec, aussi sur des dérivantes et ce n'est pas plus dangereux que de se signaler 2 min plus tôt

 

arrête un peu de pleurer va, c'est pas le parachute qui va faire progresser la plongée.

 

c'est ta façon de penser à vouloir tout rendre obligatoire qui est archaïque.

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J'ai fait le donator avec du jus , remontée en pleine eau avec 15mn de dtr ...et bien j'étais rassuré de lâche mon para des 40m ;)

Par contre ce qui m'embête plus s'est le côté " un para par palanquée " limite spool , pas spool s'est secondaire . Par contre 3 plongeurs se mettent à l'eau et 1 seul à de quoi se signaler , la ça me choque ...

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Par contre ce qui m'embête plus s'est le côté " un para par palanquée " limite spool , pas spool s'est secondaire . Par contre 3 plongeurs se mettent à l'eau et 1 seul à de quoi se signaler , la ça me choque ...
J'ai eu des binômes qui me disaient "T'as le tien, je prends pas le mien". A chaque fois je répondais "Si on se perd, moi j'ai le mien...". En général ils finissaient par me répondre "Finalement je le prends aussi.". Mais pas tous.

 

Le CDS impose un un parachute par palanquée mais il n'interdit pas d'en prendre plus.

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hello!!!

ça fait un moment que je ne suis pas intervenu et je vois que les sujets sont de plus en plus important!!!

 

avant c'était la positon au palier et maintenant celui qui a la plus longue ficelle!!! bientôt vous allez mesurer la longueur de votre bateau, avec son angle de pénétration dans l'eau!!!!!! :p

 

je vais tous vous mettre d'accord, d'abord un parachute c'est fait pour chuter d'un avion, alors que nous on utilise des bouée de paliers!!!!!!!!! :p :p :p !!!!!!!! lol

 

bonne soirée et bonne année!!!!!

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Carrément d'accord . Je découvre les joies de l'encadrement depuis peu mais déjà un n2 ma dit ; je le prends pas ça sert à rien t'en a un toi !!! On a donc abordé la conduite à tenir en cas de perte de palanquée et naturellement il la pris avec lui ;)

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hello!!!

ça fait un moment que je ne suis pas intervenu et je vois que les sujets sont de plus en plus important!!!

 

avant c'était la positon au palier et maintenant celui qui a la plus longue ficelle!!! bientôt vous allez mesurer la longueur de votre bateau, avec son angle de pénétration dans l'eau!!!!!! :p

 

je vais tous vous mettre d'accord, d'abord un parachute c'est fait pour chuter d'un avion, alors que nous on utilise des bouée de paliers!!!!!!!!! :p :p :p !!!!!!!! lol

 

bonne soirée et bonne année!!!!!

 

On commence par apprendre à s'en servir (utilité, intérêt,spool ou pas) et on fait la sémantique après.

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Il vaut mieux un parachute à plomb que pas de parachute du tout.

Il vaut mieux que les gens pas trop à l'aise "se loupent" à l'ouverture d'un parachute à plomb à 5 m.

 

Apprendre à déployer un parachute à spool est plus long et moins facultatif si on envisage des lancement profonds.

 

En prépa N3, apprendre le maniement du spool pourrait être une bonne idée, au moins pour les plongeurs qui ne connaissent que le fil à plomb. J'y inclus sa "fabrication", son rangement et son attache sur le plongeur avant le lancement : il y a des trucs à ne pas faire avec un spool, et qu'on voit malheureusement souvent.

 

C'est vrai que quand il y a de la place en dessous, personne pour se prendre le plomb sur l'occiput, et peu de courant, le parachute à plomb fait très bien l'affaire.

L'ouverture d'un fil à plomb, c'est zéro prise de tête ... la facilité crasse tant qu'il n'y a pas de nœuds dans la ficelle !

 

Mais c'est pas ouvrable en profondeur, et en fosse, ça abîme le fond carrelé des tubes de 5m et 10m.

 

Avec un spool, on arrive en surface avec la ficelle enroulée, le parachute gonflé et accrochable à un anneau de la stab (il n'encombre pas les mains). Avec un parachute à plomb, on arrive en surface en vrac, avec une pelote de fil et un plomb qui se balade encore en dessous, à je-ne-sais-pas-quelle profondeur.

 

Tout ce que je peux dire, c'est que ceux qui n'ont jamais ouvert CORRECTEMENT (ça a un sens dans ce contexte) l'autre type de parachute, n'ont aucune légitimité à participer à un débat comparatif : qu'ils restent sur leurs positions obscurantistes. Argumenter en disant "ce que je fais c'est bien et ça me suffit" ne permet en aucun cas de participer à une discussion qui va plus loin que l'auto-satisfaction.

 

J'ai jeté fin 2015 un para semi fermé pour lequel j'estime avoir tout essayé, type et profondeur de lâcher. Résultat systématique : un para qui se couche.

Les modèles fermés présentent souvent une terminaison trop brutale du volume d'air emprisonné du coté qui doit pénétrer l'eau. Il faut immerger plus d'air avant d'obtenir l'effet levier permettant de les ériger (i.e. l'eau, en maintenant l'air immergé à la verticale de la ficelle, soulève la partie non immergée, laquelle est raidie en "frite" grâce à la structure du tissu et à la tension de la poche, obtenue grâce au gonflage total, ou grâce à l'immersion).

 

Un parachute trop long/large, gonflé à bloc et qui finit en extrémité de cylindre parfait, est quasi impossible à immerger suffisamment pour qu'il se dresse (à moins d'avoir 3 kg de surlest).

 

Un parachute sous-gonflé va naturellement "conifier/fuseler" l'air immergé, mais il faudra tout de même tirer assez pour immerger assez d 'air pour que la tension interne du parachute lui permette de rester rigide (pression structurante).

 

La forme du volume d'air qu'on immerge, quand le parachute est ouvert ou sous-gonflé, est déterminée par la physique : on ne peut pas trop agir dessus. Ces parachutes sont donc limités en forme (on sait ce qui marche). On peut juste agir sur l'effet structurant de l'enveloppe (mais il faut quand même pouvoir l'enrouler).

 

Quand le parachute est fermé et bien gonflé, la pression structurante est "acquise" sans effort, elle ne dépend pas de la tension de la ficelle. Mais il faut quand même obtenir l'effet levier, pour mettre le parachute à la verticale.

Cet effet levier est d'autant plus facile à obtenir que le point de fixation de la ficelle à la partie rigide de la frite est "loin sous l'eau".

Si on accrochait le fil au bout d'une antenne télescopique (solidaire de la frite), le parachute pourrait même se mettre droit en "reposant simplement sur l'eau" (avec une tension très faible sur le fil). Mais on n'a pas d'antenne télescopique.

 

Le meilleur parachute aurait donc une enveloppe "très structurante" (en cas de sous-gonflage), pourquoi pas en l'armant, sur chaque face, d'une longue "charnière caoutchoutée" (conçue spécifiquement) dans le sens de la longueur : ouvertes à plat, les charnières s'enrouleraient facilement, mais elles seraient beaucoup plus rigides une fois le parachute gonflé. Le seuil de pression "structurante" pourrait alors être minimum.

De plus, en cas de gonflage complet, il y aurait une valve de surpression et l'air emmagasiné aurait une forme "très fuselée" du coté de la ficelle, minimisant le volume à immerger jusqu'à obtenir l'effet levier (l'air emprisonné dans un bec de canard a peu près cette forme effective, mais on doit pouvoir faire bien mieux).

 

Enfin, à partir d'un certain volume (8 litres pour un plongeur classique ?), il parait vain d'augmenter la taille de la chambre pour mieux être vu : il vaut mieux ajouter 4 ailettes à une structure gonflable plus fine, ou abandonner la chambre de forme cylindrique au profit d'une croix extrudée.

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J'ai fait le donator avec du jus , remontée en pleine eau avec 15mn de dtr ...et bien j'étais rassuré de lâche mon para des 40m ;)

Par contre ce qui m'embête plus s'est le côté " un para par palanquée " limite spool , pas spool s'est secondaire . Par contre 3 plongeurs se mettent à l'eau et 1 seul à de quoi se signaler , la ça me choque ...

 

 

tu peux aussi le prendre autrement :

avant le CDS de 2012, aucun parachute n'etait obligatoire.

Là, le CDS en impose un.. mais, c'est le minimum.

Rien ne t'empeche d'en avoir plus.

Il m'arrive de binomer des copains qui en ont 2, un orange et un rouge, comme moi.

et personne ne va nous engueuler, nous verbaliser parce que l'on en a autant :nerveux:

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Il vaut mieux un parachute à plomb que pas de parachute du tout.

Il vaut mieux que les gens pas trop à l'aise "se loupent" à l'ouverture d'un parachute à plomb à 5 m.

 

Apprendre à déployer un parachute à spool est plus long et moins facultatif si on envisage des lancement profonds.

 

En prépa N3, apprendre le maniement du spool pourrait être une bonne idée, au moins pour les plongeurs qui ne connaissent que le fil à plomb. J'y inclus sa "fabrication", son rangement et son attache sur le plongeur avant le lancement : il y a des trucs à ne pas faire avec un spool, et qu'on voit malheureusement souvent.

 

C'est vrai que quand il y a de la place en dessous, personne pour se prendre le plomb sur l'occiput, et peu de courant, le parachute à plomb fait très bien l'affaire.

L'ouverture d'un fil à plomb, c'est zéro prise de tête ... la facilité crasse tant qu'il n'y a pas de nœuds dans la ficelle !

 

Mais c'est pas ouvrable en profondeur, et en fosse, ça abîme le fond carrelé des tubes de 5m et 10m.

 

Avec un spool, on arrive en surface avec la ficelle enroulée, le parachute gonflé et accrochable à un anneau de la stab (il n'encombre pas les mains). Avec un parachute à plomb, on arrive en surface en vrac, avec une pelote de fil et un plomb qui se balade encore en dessous, à je-ne-sais-pas-quelle profondeur.

 

Tout ce que je peux dire, c'est que ceux qui n'ont jamais ouvert CORRECTEMENT (ça a un sens dans ce contexte) l'autre type de parachute, n'ont aucune légitimité à participer à un débat comparatif : qu'ils restent sur leurs positions obscurantistes. Argumenter en disant "ce que je fais c'est bien et ça me suffit" ne permet en aucun cas de participer à une discussion qui va plus loin que l'auto-satisfaction.

 

 

Les modèles fermés présentent souvent une terminaison trop brutale du volume d'air emprisonné du coté qui doit pénétrer l'eau. Il faut immerger plus d'air avant d'obtenir l'effet levier permettant de les ériger (i.e. l'eau, en maintenant l'air immergé à la verticale de la ficelle, soulève la partie non immergée, laquelle est raidie en "frite" grâce à la structure du tissu et à la tension de la poche, obtenue grâce au gonflage total, ou grâce à l'immersion).

 

Un parachute trop long/large, gonflé à bloc et qui finit en extrémité de cylindre parfait, est quasi impossible à immerger suffisamment pour qu'il se dresse (à moins d'avoir 3 kg de surlest).

 

Un parachute sous-gonflé va naturellement "conifier/fuseler" l'air immergé, mais il faudra tout de même tirer assez pour immerger assez d 'air pour que la tension interne du parachute lui permette de rester rigide (pression structurante).

 

La forme du volume d'air qu'on immerge, quand le parachute est ouvert ou sous-gonflé, est déterminée par la physique : on ne peut pas trop agir dessus. Ces parachutes sont donc limités en forme (on sait ce qui marche). On peut juste agir sur l'effet structurant de l'enveloppe (mais il faut quand même pouvoir l'enrouler).

 

Quand le parachute est fermé et bien gonflé, la pression structurante est "acquise" sans effort, elle ne dépend pas de la tension de la ficelle. Mais il faut quand même obtenir l'effet levier, pour mettre le parachute à la verticale.

Cet effet levier est d'autant plus facile à obtenir que le point de fixation de la ficelle à la partie rigide de la frite est "loin sous l'eau".

Si on accrochait le fil au bout d'une antenne télescopique (solidaire de la frite), le parachute pourrait même se mettre droit en "reposant simplement sur l'eau" (avec une tension très faible sur le fil). Mais on n'a pas d'antenne télescopique.

 

Le meilleur parachute aurait donc une enveloppe "très structurante" (en cas de sous-gonflage), pourquoi pas en l'armant, sur chaque face, d'une longue "charnière caoutchoutée" (conçue spécifiquement) dans le sens de la longueur : ouvertes à plat, les charnières s'enrouleraient facilement, mais elles seraient beaucoup plus rigides une fois le parachute gonflé. Le seuil de pression "structurante" pourrait alors être minimum.

De plus, en cas de gonflage complet, il y aurait une valve de surpression et l'air emmagasiné aurait une forme "très fuselée" du coté de la ficelle, minimisant le volume à immerger jusqu'à obtenir l'effet levier (l'air emprisonné dans un bec de canard a peu près cette forme effective, mais on doit pouvoir faire bien mieux).

 

Enfin, à partir d'un certain volume (8 litres pour un plongeur classique ?), il parait vain d'augmenter la taille de la chambre pour mieux être vu : il vaut mieux ajouter 4 ailettes à une structure gonflable plus fine, ou abandonner la chambre de forme cylindrique au profit d'une croix extrudée.

 

C'est beau...tu parles comme un livre... un livre qui dit des conneries, mais qui les dit joliment...comme ça, elles ont l'air plus vraies...

:D

L'ouverture d'un fil à plomb, c'est zéro prise de tête ... la facilité crasse tant qu'il n'y a pas de nœuds dans la ficelle !

Tu peux me démontrer ça posément ?

Tu penses vraiment que dérouler dans l'eau 7 ou 8 mètres de ficelle est plus simple que de laisser se dérouler un spool ?

 

Apprendre à déployer un parachute à spool est plus long et moins facultatif si on envisage des lancement profonds.

Traduit en français, cça veut dire quoi ?

Que le largage de parachute "aà fil qui pendouille " est pour le plongeur débutant un acte naturel alors que pour le spool il faudra contrarier sa nature ?

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Avec un parachute à plomb, on arrive en surface en vrac, avec une pelote de fil et un plomb qui se balade encore en dessous, à je-ne-sais-pas-quelle profondeur.

 

tu as bien parlé :bravo:

 

pour éviter une pelote on peut enrouler le fil tout en remontant autour de la main tout simplement.

 

:biere:

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si la préparation du parachute à été bien enseigné il n'y a pas de raison de s'emmêler avec fil et plomb ou de perdre son spool car mal fixé.

 

les debutants font toujours des erreurs, normal, ils débutent.

les expérimentés en font aussi...

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c'est vrai que si la plongée actuelle est bien enseignée, il n'y a pas de raison d'avoir:

  • la sous-cutale de sa Fenzy qui n'est pas correctement réglée
  • une fuite sur les Aquastop de son Mistral
  • sa réserve mécanique qui est restée en haut lors du gonflage
  • son Decobrain qui n'est pas chargé
  • les 7m de ficelle de son parachute qui sont emmelés

on se demande bien pourquoi :rolleyes:

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