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Plongeur.com - Le site de la plongée sous marine

Du nouveau sur le TIV


alain.max27

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les requalif des blocs sont des opérations hyper rentables pour les centres de requalif

 

:+1:

 

Nous payons 70 € pour une requalif simple, toutes les opérations que tu décrits et la rédaction (automatique du rapport d'expertise)

et plus de 85 € pour la requalif complète cad avec une peinture jaune.

ça fait cher en effet, nous déposons les blocs chez un marchand d'article de plongée qui les envoient dans un centre agréé par le ministère qui va bien.

 

Dans un centre en région parisienne, nous avions souvent des robinets rebutés ???

Alors qu'ils étaient bons à l'IV. Depuis le changement de prestataire, nos robinets sont bons.

On en conclut ce que l'on veux.

:grimace:

 

c'est un bon business

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mouai...

 

à l'origine c'est déjà le plongeur lui même qui décide de passer au niveau suivant, personne ne le force.

du N1 au N2 il y a juste l'autonomie, la profondeur ne change pas.

Ce niveau est obtenu après formation et en satisfaisant les objectifs fixés pour ce niveau.

 

Comment défini tu le fait d'avoir totalement exploré ton domaine d'évolution ?

Désolé d’être en HS ….

Mais je réponds à une question.

 

Tu as raison de me faire préciser cette notion.

 

Lorsque je parle de « domaine d’évolution » je fais implicitement référence à la notion « d’espace aquatique » introduit en 1987 par J.P. Malamas dans son livre « Apprendre à plonger, un jeu d’enfant » publié chez Vigot.

Dans cet ouvrage, Malamas introduisait plusieurs espaces aquatiques, « proche, médian et lointain» qui n’étaient pas définis uniquement par la profondeur mais également par la durée de la plongée et par les contraintes de l’environnement.

Ces termes avaient été repris par le Ministère des Sports dans l’arrêté de 1991, en les dévoyant d’ailleurs, puisque ceux-ci avaient été malencontreusement asservis à des profondeurs.

 

Il faut avouer, lorsqu’on relit cet ouvrage précurseur, que l’on ressent bien qu’il a 30 ans.

Les techniques se sont enrichies, le matériel a changé, la perception des dangers a évolué, les tables GERS 65 sont obsolètes, mais les idées de base restent intemporelles.

 

Vous qui plongez un peu partout dans le monde et dans toutes les conditions, vous savez pertinemment que la profondeur n’est pas le seul paramètre qui définit la plongée.

Alors pourquoi vouloir assujettir nos brevets à cette grandeur inadaptée ?

 

Selon que vous pratiquez en mer chaude et claire, en carrière en hiver, en mer à marée en Bretagne, sous plafond, une profondeur de dix mètres par exemple ne correspond pas aux mêmes ressentis, aux mêmes risques, aux mêmes techniques, mais aussi aux mêmes environnements. Et selon que vous y restez dix minutes en vous gelant, une demi-heure en maillot de bain, vous n’aurez pas non plus les mêmes impressions en termes de bien-être et bien entendu les mêmes contraintes en consommation d’air.

A cela, il faut ajouter la manière dont vous avez accédé au lieu de plongée, cela peut être une belle croisière, ou au contraire un trajet bousculé avec mal de mer.

Psychologiquement, on ne part pas dans le même état.

Le trajet fait partie de la plongée.

 

On prend ainsi conscience que la formation des plongeurs qui nous est proposée par « l’Ecole Française de Plongée », à l’aune d’un seul paramètre n’a pas de sens, d’autant plus qu’elle se donne généralement comme « objectif pédagogique » la réussite à un brevet défini par le MFT.

Dans cette situation, l’examen qui devrait permettre d’évaluer le niveau du plongeur est le plus souvent devenu le contenu de la formation.

Le plongeur français ne se forme pas, il prépare un niveau !!!

 

Malamas en introduisant la notion d’espace aquatique a tenté d’apporter une répondre à cette problématique. Bien qu’elle ne se soit pas imposée, j’avoue que je suis toujours séduit par l’idée.

Impossible de développer toutes ces pistes dans l’espace restreint du forum, surtout que nous sommes en Hors Sujet flagrant.

 

Je vous conseille donc de lire ou relire ce livre.

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... surtout que nous sommes en Hors Sujet flagrant.

...

Crois-tu mon bon Nano ?

Car Tu es Incomparable Verbalement ... et voila comme on y recolle au ... titre du sujet :D

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Désolé d’être en HS ….

Mais je réponds à une question.

 

Tu as raison de me faire préciser cette notion.

 

Lorsque je parle de « domaine d’évolution » je fais implicitement référence à la notion « d’espace aquatique » introduit en 1987 par J.P. Malamas dans son livre « Apprendre à plonger, un jeu d’enfant » publié chez Vigot.

Dans cet ouvrage, Malamas introduisait plusieurs espaces aquatiques, « proche, médian et lointain» qui n’étaient pas définis uniquement par la profondeur mais également par la durée de la plongée et par les contraintes de l’environnement.

Ces termes avaient été repris par le Ministère des Sports dans l’arrêté de 1991, en les dévoyant d’ailleurs, puisque ceux-ci avaient été malencontreusement asservis à des profondeurs.

 

Il faut avouer, lorsqu’on relit cet ouvrage précurseur, que l’on ressent bien qu’il a 40 ans.

Les techniques se sont enrichies, le matériel a changé, la perception des dangers a évolué, les tables GERS 65 sont obsolètes, mais les idées de base restent intemporelles.

 

Vous qui plongez un peu partout dans le monde et dans toutes les conditions, vous savez pertinemment que la profondeur n’est pas le seul paramètre qui définit la plongée.

Alors pourquoi vouloir assujettir nos brevets à cette grandeur inadaptée ?

 

Selon que vous pratiquez en mer chaude et claire, en carrière en hiver, en mer à marée en Bretagne, sous plafond, une profondeur de dix mètres par exemple ne correspond pas aux mêmes ressentis, aux mêmes risques, aux mêmes techniques, mais aussi aux mêmes environnements. Et selon que vous y restez dix minutes en vous gelant, une demi-heure en maillot de bain, vous n’aurez pas non plus les mêmes impressions en termes de bien-être et bien entendu les mêmes contraintes en consommation d’air.

A cela, il faut ajouter la manière dont vous avez accédé au lieu de plongée, cela peut être une belle croisière, ou au contraire un trajet bousculé avec mal de mer.

Psychologiquement, on ne part pas dans le même état.

Le trajet fait partie de la plongée.

 

On prend ainsi conscience que la formation des plongeurs qui nous est proposée par « l’Ecole Française de Plongée », à l’aune d’un seul paramètre n’a pas de sens, d’autant plus qu’elle se donne généralement comme « objectif pédagogique » la réussite à un brevet défini par le MFT.

Dans cette situation, l’examen qui devrait permettre d’évaluer le niveau du plongeur est le plus souvent devenu le contenu de la formation.

Le plongeur français ne se forme pas, il prépare un niveau !!!

 

Malamas en introduisant la notion d’espace aquatique a tenté d’apporter une répondre à cette problématique. Bien qu’elle ne se soit pas imposée, j’avoue que je suis toujours séduit par l’idée.

Impossible de développer toutes ces pistes dans l’espace restreint du forum, surtout que nous sommes en Hors Sujet flagrant.

 

Je vous conseille donc de lire ou relire ce livre.

 

C'est le système PADI que tu décris. Un brevet pour chaque choses.

 

A la fede c'est pas vraiment l'idée, bien qu'on aperçoit un début comme avec le brevet combinaison étanche.

On donne des bases pour évoluer en toutes sécurité dans des espaces d'évolutions mesurés en profondeur et le plongeur se forme en acquérant de l'expérience, lors de voyages, en recevant des conseils, avec des échanges plongeurs et moniteurs...

 

Pourquoi avoir choisi la profondeur comme échelle ?

Peut être parce qu'elle est invariable.

Que le plus grand danger est la saturation et la narcose.

 

Doit on créer des brevets pour mesurer l'expérience ?

Le carnet de plongée n'est il pas fait pour ?

 

 

Si je prends volontairement le mft N3 j'y trouve des choses intéressantes comme:

 

"Evaluer les caractéristiques du site et les conditions de plongée."

 

"Prévoir les différentes phases de la plongée : procédures d’immersion, descente et remontée, et prévoir les variantes utiles"

 

"Se préparer à prévenir les risques avant l’immersion."

 

"Identifier les situations susceptibles de générer des situations anormales"

 

"Compétence 4 : CHOISIR UN SITE DE PLONGEE"

 

Bien que ce niveau donne accès à la profondeur, le plongeur est formé à évoluer dans un milieu naturel.

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Je paye 45 euros en individuel.

Il y a 2 ans, j' avais payé 33 euros au même endroit en tarif groupe ( + de 10 blocs )

Sans transport, on les pose et les récupère chez le rééprouveur

Ce tarif me semble, en effet, plus cohérent au regard de la prestation.

Par contre je vois que tu déposes directement au centre de réépreuve et donc hors transport. Ceci dit cela nous fait encore 25 euros d'écart.

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Ce tarif me semble, en effet, plus cohérent au regard de la prestation.

Par contre je vois que tu déposes directement au centre de réépreuve et donc hors transport. Ceci dit cela nous fait encore 25 euros d'écart.

 

 

et quand tu peux supprimer un intermédiaire, tu supprimes sa commission et le transport qu'il te facture (pas au prix coutant)..

 

sinon, je ne dirai pas que c'est de l'escroquerie, mais une rente, puisque le passage est obligé, dans les centres de requalif et que, selon les régions, il n'y en pas pas pléthore (pour faire jouer la concurrence).

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C'est le système PADI que tu décris. Un brevet pour chaque choses.

 

A la fede c'est pas vraiment l'idée, bien qu'on aperçoit un début comme avec le brevet combinaison étanche.

On donne des bases pour évoluer en toutes sécurité dans des espaces d'évolutions mesurés en profondeur et le plongeur se forme en acquérant de l'expérience, lors de voyages, en recevant des conseils, avec des échanges plongeurs et moniteurs...

 

Pourquoi avoir choisi la profondeur comme échelle ?

Peut être parce qu'elle est invariable.

Que le plus grand danger est la saturation et la narcose.

 

Doit on créer des brevets pour mesurer l'expérience ?

Le carnet de plongée n'est il pas fait pour ?

 

 

Si je prends volontairement le mft N3 j'y trouve des choses intéressantes comme:

 

"Evaluer les caractéristiques du site et les conditions de plongée."

 

"Prévoir les différentes phases de la plongée : procédures d’immersion, descente et remontée, et prévoir les variantes utiles"

 

"Se préparer à prévenir les risques avant l’immersion."

 

"Identifier les situations susceptibles de générer des situations anormales"

 

"Compétence 4 : CHOISIR UN SITE DE PLONGEE"

 

Bien que ce niveau donne accès à la profondeur, le plongeur est formé à évoluer dans un milieu naturel.

parce que le fait d'avoir un brevet pour aller à chaque 10m accompagné ou en autonome c'est CMAS ??

:froglol:

 

et hop un peu d'huile sur le flamme4.gif

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Pour répondre à ta question sur ce que je reproche à « l’Ecole Française de plongée », c’est le fait que la progression du plongeur n’est envisagée que verticalement.

Après le niveau 1 on passe le niveau 2, puis le 3 avec, à chaque étape, la possibilité d’aller plus profond (voir MFT).

 

Est-ce cela la plongée ?

Ou bien est-ce une activité dont l’objectif est de se fondre en toute discrétion dans le milieu sous-marin dans le respect des espèces qui y vivent, pour le plaisir d’observer, de photographier, de vivre sans la contrainte de poids, de pouvoir se déplacer dans l’espace, etc. ?

 

Je suis pour une « progression horizontale » de la plongée qui veut que l’on ne passe à un espace plus profond que si on a totalement exploré celui dans lequel on évolue.

 

Ok pour ta réponse sur le portage. Disons que l'idée de faire porter un bloc pour plonger en mer ne me serait pas venu à l'idée. Déformation du fait de ma pratique. Je l'admets volontiers.

 

Sur l'horizontalité/verticalité de l'enseignement. Je suis d'accord en partie. Demander de l'expérience pour les passages de brevets, diversifier l'enseignement avec des ateliers spécifiques (photo, vidéo, bio), favoriser le contrôle continu et donc aussi l'expérience ? Oui. Il me semble que c'est complètement possible dans le cadre pédagogique défini par la 2F. Que ce ne soit pas la pratique généralisée, ok aussi, on est d'accord.

 

A mon sens le code du sport permet de s'émanciper complètement de la logique "historique" basée sur des niveaux. Et d'être beaucoup plus en phase avec une population de plongeurs qui change et pour laquelle aller à 60m ne veut tout simplement plus rien dire.

 

Dans ma pratique, en associatif, je vois les choses aller dans ce sens. Mais c'est peut être un biais de confirmation.

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On donne des bases pour évoluer en toutes sécurité dans des espaces d'évolutions mesurés en profondeur et le plongeur se forme en acquérant de l'expérience, lors de voyages, en recevant des conseils, avec des échanges plongeurs et moniteurs...

 

De mon point de vue, un moniteur est là pour te former, pas pour t'apprendre à plonger.

 

Et il vaut mieux un moniteur bon pédagogue qu'un moniteur warrior qui risque de te faire tirer un trait sur le monde sous-marin.

 

Pour apprendre à plonger, c'est l'expérience : progressivité, conditions diverses et variées, plonger avec des binômes plus expérimentés.

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De mon point de vue, un moniteur est là pour te former, pas pour t'apprendre à plonger.

 

Et il vaut mieux un moniteur bon pédagogue qu'un moniteur warrior qui risque de te faire tirer un trait sur le monde sous-marin.

 

Pour apprendre à plonger, c'est l'expérience : progressivité, conditions diverses et variées, plonger avec des binômes plus expérimentés.

 

 

mais je suis bien d'accord :)

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