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CR croisière Biodiversity (Maumere - Sorong) sur Mermaid1


orangina38

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Le contexte:

Nous apprécions beaucoup l'Indonésie. Pour son climat, la qualité et la richesse de ses eaux ainsi que pour la gentillesse de ses habitants. Nous voulions y faire une croisière "longue". Très satisfait par le passé, de la prestation de la flotte Mermaid, nous avons décidé d'opter pour la Biodiversity (16 jours/15 nuits). Avec 1100 miles nautiques à parcourir et 50 plongées au programme autant dire qu'il vaut mieux être un "mordu" de l'immersion...

 

Afin de ne pas être "trop court" en temps et aussi avoir un minimum de temps de récupération, nous avons décidé de prendre une nuit d'hôtel entre l'arrivée et l'embarquement. La croisière a été bookée via Valérie (toujours très pro) de l'agence Dazzle Dive.

 

Les vols:

Les premiers ont été effectués par Emirates. Départ de Lyon, puis escale à Dubaï pour environ 3H avant d'arriver à Jakarta. Chose assez inhabituelle, les 2 avions ont été des Boeings. Et autant le 2e semblait très récent, autant le premier semblait avoir déjà bien vécu. D'ailleurs, le système multimédia embarqué était nettement plus récent et plus fourni sur le 2e que sur le premier. A ce sujet, je m'étonne toujours du peu d'œuvres Françaises proposées alors que l'on part depuis la France. Quel est l'intérêt de proposer des films en Russes ou Chinois sur de telles lignes? Mystère pour moi… Prises 220v disponibles sur le 2e vol, pas sur le premier.

A Jakarta, la partie la plus pénible du voyage nous attendait car après être arrivé en fin d'après-midi, il nous fallait passer pratiquement toute la nuit à patienter pour un départ au petit matin (nous n'avons donc eu aucun intérêt à prendre une chambre d'hôtel). Il y a toutefois quelques endroits pour s'allonger et ainsi patienter au mieux en attendant l'heure du prochain check-in.

Chose curieuse pour un aéroport international, plus aucun vol n'arrive, ni ne décolle, depuis le milieu de nuit jusqu'au petit matin. Tout ferme donc à l'intérieur. Depuis les comptoirs d'enregistrements jusqu'à la moindre petite échoppe vendant de la nourriture. L'aéroport est comme mort pendant quelques heures avant de reprendre vie vers 03H00.

Les 2 vols suivants (Jakarta -> Denpasar / Denpasar -> Maumere) ont été effectués avec Srywijaya air. Il faut savoir que nous avons eu plusieurs modifications d'horaires (voire même de jours!) pour ces vols durant les jours précédents le voyage. La compagnie ne faisant guère cas des impératifs de ses clients. Ne montez donc pas un planning trop serré, vous pourriez aller au devant de gros ennuis (comme ce fut le cas pour 2 de nos amis plongeurs Allemands qui ont ainsi du reprendre 2 billets KLM de retour suite à un retard de près de 2H entre Makasar et Jakarta)…

Point positif: en montrant votre licence de plongeur, la compagnie vous offre un supplément de 10kgs de bagages possible en soute. C'est toujours bon à prendre pour ceux qui, comme nous, trimballent pléthore de matériel autonome ainsi que photo/vidéo.

Nous sommes arrivés après environ 40H de voyage (de porte à porte). Ça se mérite une biodiversity….

 

Le transfert:

Organisé par l'hôtel, il n'a prêté à aucune critique (monospace climatisé). A noter que si vous réservez par une des plates-formes de voyage (booking et autres…) cette prestation vous sera normalement facturée (même si elle est modique: - de 10€). Question de marge oblige… 20 minutes plus tard nous arrivions à l'hôtel.

 

L'hôtel:

Le "Sea world beach ressort and dive center" est situé directement en bord de mer. Il est constitué de petits chalets espacés dans la végétation et au standing correspondant à la somme engagée initialement. Ils sont spacieux, propres et la literie est de qualité. Ils possèdent climatisation, réfrigérateur, salle de bain séparée. A noter que vous pouvez plonger directement avec l'hôtel depuis le reef ou avec départ en bateau. Nous n'avons pas testé…

Le restaurant est situé en front de mer mais si la météo le permet, les tables sont dressées directement sur le sable. Sympa et dépaysant.

La nourriture a été de très bonne qualité et les tarifs ont été très corrects. Nous recommandons sans retenue. Le transfert du lendemain était assuré par la flotte Mermaid. Monospace climatisé également pour ce trajet.

 

Le bateau:

Le Mermaid I est un bateau en acier de 28m. Il est très confortable et peut emmener 15 plongeurs en plus des 19 membres d'équipage (vous avez bien lu 19!). Chaque cabine comporte:

- armoire.

- réfrigérateur.

- une petite cellule séparée avec Lavabo/douche + WC.

- l'air conditionné.

- quelques prises au standard 220v (disponible 24/24).

- déssalinisateur.

La literie est de très bonne qualité. Pour des raisons de budgets, nous avons opté pour une des 2 cabines… "budget".

Celles-ci sont placées en cale au niveau des cuisines, des logements de l'équipage et des dives-masters. Les conditions ne sont donc pas si spartiates que l'on pourrait le penser. Et en plus, cela peut s'avérer un excellent choix stratégique. J'explique:

- Etant situées sur le pont inférieur, elles ne disposent pas de hublot (ceci dit, vous avez le loisir de profiter de la mer pendant toute la journée, cela n'a donc pas été un problème pour nous). Par contre, vous ne serez pas réveillés par les premières lueurs du jour! Et ça, c'est une chose très importante pour moi car j'y suis très sensible…

- En cas de mer formée, les mouvements du bateau sont de plus en plus amplifiés au fur et à mesure que l'on monte en hauteur dans la structure. Logique. Les cabines autorisant le meilleur confort de couchage en cas de houle sont donc clairement celles situées en cale!

- Un autre point logique lui aussi: les cabines "budgets" étant placées en bas, elles ne sont pas soumises aux rayons du soleil. Elles chauffent donc moins et la clim (générale et non réglable) y sera d'autant plus efficace.

- Etant donné qu'il faut descendre un escalier pour y avoir accès, personne ne passe "par inadvertance" devant votre cabine: l'intimité est donc totalement préservée. Maintenant, c'est à vous de voir si votre budget vous laisse quelques "largesses"…

Sinon, sur la plateforme d'équipement, une multitude de grands bacs de rinçage en plastique et remplis d'eau douce sont exclusivement dédiés aux appareils photo/vidéo.

Une grande table (avec souffleur d'air) permet également d'y changer ses batteries et d'y laisser son matériel.

Le nitrox 32 est proposé à bord pour 230$ / séjour. Ce qui s'avère un excellent investissement compte tenu programme "chargé" et du rythme des plongées (3 à 4 tous les jours).

 

La nourriture:

Comme sur certains autres bateaux, ici non plus vous ne risquez pas de perdre du poids!

Les repas sont toujours servis sous forme de buffet.

Le petit déjeuner est composé d'œufs cuisinés à la demande et accompagné du mélange de votre choix (jambon, champignons, fromage,etc…). Saucisses, œufs pochés, bacon grillé, galette de pomme de terre, fruits, viennoiseries, pain, beurre, Nutella, confiture, chocolat, café, thé, etc sont à disposition.

A chaque repas, il est proposé une soupe, au moins 2 plats principaux (souvent 3), plusieurs accompagnements (légumes cuits, végétaux crus, riz blanc, riz brun….). Un dessert est toujours proposé en plus des fruits tranchés quotidiens.

Un "snack" (fruits, gâteaux, etc…) est servi en milieu d'AM.

Les sodas et jus préparés sont à discrétion. Bières et vins sont payants. Sachant qu'un plongeur qui se met à boire de l'alcool devient un snorkeleur pour le restant de la journée (clairement annoncé lors du briefing de bienvenu)!

Toutes les allergies ou régimes peuvent trouver une solution à bord, il suffit de prévenir le staff qui adapte un menu individuel en conséquence.

Concernant l'organisation des repas, je me dois ici de parler d'un point "particulier" inconnu pour nous jusqu'à maintenant. Cette croisière est longue en durée et en trajet. Le tarif s'en ressent d'autant, puisqu'au moment où j'écris ces lignes le tarif pour une cabine "budget" est d'environ 4600$ par personne. On dépasse les 5000$ pour une cabine sur le pont.

Autant dire qu'une certaine sélection par l'argent s'opère d'elle-même. La catégorie sociale s'y rattachant faisant de même (vous savez, celle qui possède une carte Mastercard "Black" qui permet d'acheter une Porsche par mois en débit instantané…). Si bien qu'au bout de 2 jours, un des "convives" m'a demandé quel type d'éducation je pouvais bien avoir eu pour oser venir souper sans T shirt!

On ne parle pas ici d'un malotru sale et "puant". Mais d'un "simple" plongeur (moi) qui a passé plus de 4H dans l'eau, qui a passé pas loin d'une demi-heure sous la douche en temps cumulé et qui se trouve être fraîchement douché et parfumé…

Il n'a fallu que 2 jours supplémentaires pour que le "tour leader" vienne me suggérer de porter T shirt ou chemise (faisant suite, à n'en pas douter, au plus profond agacement du dit précédent convive devant ma "résistance"…). Ce à quoi, je lui ai répondu que j'étais en vacances, qu'il faisait 30°c, que je n'avais ni l'envie, ni surtout le besoin de porter un T shirt. Et que de plus, je n'avais aucune considération ni admiration sociale à apporter à qui que ce soit. Il a donc été convenu (sur ma proposition), que je prendrais mes repas à l'extérieur. Ce qui a été fait pour le reste du séjour.

C'est certain… porter (comme cela s'est fait quotidiennement) un maillot de bain et un marcel pour souper, ça le fait. Porter un bermuda sans T shirt, c'est "shocking"!

Si j'avais eu à souper dans un restaurant en ville, me serais-je habillé avec un haut? Assurément. Et si la situation avait été sur une île déserte avec une quinzaine de copains plongeurs? Certainement non! Or c'est bien du 2e cas dont notre situation se rapprochait le plus…

Tout est ensuite question de liberté et l'adage "la liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres" n'a jamais été aussi vrai. Car quel mal créais-je chez ce "convive"? Aucun, si ce n'est la présence d'un intrus dans "son monde". Puisque lui, sa palanquée "homologue", et moi mangions dans les côtés opposés de la salle de restauration. Mon seul tort n'était donc pas d'être à sa table ou à sa vue mais de ne pas partager ses propres "valeurs"…

Ceci dit, pour avoir assisté de la part de ce "joyeux groupe" à quelques attitudes dignes de "#balancetonporc" envers la gente féminine, il semble que les valeurs de "ce monde là" soit un peu à géométrie variable.

Pour conclure avec cet épisode malheureux (que nous n'avons jamais rencontré ailleurs, que ce soit à Malpélo, Cocos ou ailleurs), sache le donc, toi ami plongeur qui lit ces quelques lignes, si tu n'as pas un minimum commun avec la "high society", tu ne seras peut-être pas le bienvenu pour venir plonger parmi les quelques bourgeois qui viennent s'encanailler dans le monde subaquatique et qui fréquentent les croisières les plus onéreuses!

Car il ne s'agit pas là de plongeurs friqués mis bien d'une catégorie sociale élevée pratiquant la plongée. Nuance... L'esprit "plongeur aventurier" a donc été relégué loin derrière celui de la (leur) soit disant bienséance. C'est dit mais c'est triste…

 

L'organisation des plongées:

Tout est parfaitement rodé!

2 petits semis rigides (40Cv) permettent d'emmener chaque palanquée (4 plongeurs maxi + 1 dive master) rapidement sur les différents sites qui sont toujours proches.

Le marin et le dive master ne sont jamais avares en coups de mains et vous aident à vous équiper.

A noter que tous les dives masters possèdent une Nautilus Lifeline en dotation (également en vente sur le bateau). La région pouvant être soumise à de forts courants, il n'est donc pas inutile de toujours finir son immersion près de l'un d'eux.

La mise à l'eau se fait traditionnellement par bascule arrière et une échelle escamotable assure une remontée facile.

Le bloc peut être enlevé dans l'eau, ce qui limite d'autant les efforts de fin de plongée.

Une fois celle-ci terminée, tout le matériel (sauf masque et ordinateur) est pris en charge. L'équipage s'occupe de la manutention pour le remettre en place à votre emplacement ou dans votre casier attitré sur la plate forme d'équipement.

La température de l'eau en surface est de 29°c (voire 30°c). Ce qui est évidemment trop…

Par contre, sous la thermocline (30/35m) ou avec les courants, la température peut parfois tomber de plusieurs degrés (en plus d'une visi amoindrie = 10m maxi): cagoule + "sous couche" ou combi de 5mm mini conseillés (pour les plus frileux).

Un briefing est dispensé avant chaque immersion et les règes restent toujours les mêmes:

- 70 min max pour les plongées de jour.

- 60 min max pour les plongées de nuit.

- pas de déco.

- remontée avec 20 bars mini dans le bloc (!!).

- on suit (ou pas) le guide.

- remontée au parachute si on se trouve dans une zone naviguée.

Il faut avouer que l'on peut faire difficilement plus souple !!!

Il nous est arrivé de déborder quelque peu car nous avions réservé des 15l (c'est gratuit lors du booking). Autant dire que nous n'avons jamais été stressés par la consommation, quelque soit la durée ou la profondeur où nos quêtes nous ont menées. Personne ne nous a jamais rien dit…

La plupart des plongées se déroule autour d'îles ou d'îlots. La topographie est souvent la même: une pente douce suivie d'un mur. La déco sécu est donc souvent très facile à faire. Le montant des taxes de droit à la plongée est d'environ: 200$ / séjour.

 

La qualité des plongées:

Elle est très variable. Si certains site relèvent du très bon (mais pas de l'exceptionnel) d'autres manquent cruellement d'attrait. Comme souvent, la plupart des plongées nécessite un minimum de courant pour que celles-ci apportent leur lot de pélagique et soient réellement intéressantes. Il n'est par contre, logiquement, pas prévu de palmer contre le courant (sauf raison particulière).

Au milieu du parcours, nous avons vu à de rares occasions des requins marteaux isolés qui passaient. Ceci dit, un certain nombre de poissons "habituels" manquaient à l'appel. Les murènes, poissons clowns, rascasses volantes, mérous (entre autre) se font rares (même pas un exemplaire pour chaque plongée!). Quand aux requins (même les pointes blanches pourtant si faciles à croiser habituellement) sont carrément absents! C'est à se demander s'ils n'ont pas tous fini dans un bol de soupe Chinoise…

Par contre, le corail est omniprésent, d'une grande qualité et d'une grande diversité. Idem pour les éponges barriques. Ce qui, avec les Anthias, Papillons et autres poissons multicolores offre des ambiances et couleurs magnifiques.

Nous aurions du voir aussi des baleines durant notre route, nous ne les avons pas vues. En fait, nous pensons être partis un peu trop tard dans la saison et que le mois d'Octobre aurait du être le dernier carat. Mais la "biodiversity" n'a pas lieu souvent, alors nous n'avons pas eu le choix pour la période.

Ceci dit, lors de l'une de nos plongées, nous avons trouvé 9 requins nourrices répartis dans 3 grottes différentes à 3 profondeurs différentes (~38m, ~30m, ~22m). C'était de l'inédit pour l'équipage!

Plusieurs jours plus tard, nous sommes tombés sur un Dugong dans 5m d'eau. Cela fait 4 ans qu'ils font cette destination et jamais ils n'en avaient vu sur ce site. 48H plus tard et des heures de navigation plus loin, c'était au tour d'une mère Dugong et son petit de faire une apparition. Comme quoi, la mer garde toujours ses prérogatives et son lot de surprises…

 

En conclusion:

Nous sommes revenus assez partagés. La prestation du bateau a été d'un très bon niveau, mais nous n'étions pas là (que) pour ça.

Certaines espèces (pourtant communes habituellement) ont cruellement manqué à l'appel en début de séjour. Si la densité de petits poissons était bien présente, les plus gros ou les plus communs sont restés introuvables la plupart du temps. La mer ne se manage pas mais existe-t-il encore des endroits sur terre où les rencontres avec "l'exceptionnel" sont encore garanties? Pas sûr compte tenu de la vitesse à laquelle l'être humain s'évertue à épuiser la ressource…

En tout cas, une chose est certaine: si un jour, vous devez faire cette croisière (qui s'opère dans les 2 sens Maumere -> Sorong ou Sorong -> Maumere), nous vous conseillons de la faire depuis Maumere. La raison en est simple: les rencontres et donc l'excitation durant les plongées vont croissants au cours du séjour et finissent en beauté dans la région des Rajat Ampat. Si vous commencez par les raies Manta océaniques, les squales et que vous finissez par les poissons clowns, vous risquez d'être déçus…

 

 

Les "plus":

- prestations globales du bateau.

- qualité ++ de la nourriture.

- organisation plus que "confortable" des plongées.

- durée totale du séjour.

 

Les "moins":

- le temps de voyage pour s'y rendre.

- coût global.

- la mer garde ses droits (c'est heureux pour elle, pas pour nous! ).

 

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Super CR merci !

en effet vu l'investissement et le temps de trajet on peut comprendre un peu de déception.

 

En fait, peut-être est-on trop "difficiles" et on attend de trop. Car nous avons eu un peu le même sentiment après Malpélo et Cocos...

On peut plus facilement laisser filer une déception après une croisière BDE à 1500€ qu'une autre à 4000€ et plus.

Cela doit être humain et normal d'attendre beaucoup quand on investi beaucoup. Mais le résultat de l'équation n'est malheureusement souvent pas linéaire... :grimace:

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ça me conforte sur le fait de ne pas faire de croisières ! Trop cher et trop aléatoire !

 

Rigolo ce que tu dis. Car nous pensons exactement tout le contraire! Nous évitons autant que faire se peut les séjours hôtels depuis le bord. Les raisons en sont simples et logiques.

Durant une croisière:

- Tu as accès à des sites impossibles à faire depuis le bord car trop loin. Ça, c'est une donnée imparable! Les lieux à fort potentiel de pélagiques ne sont accessibles qu'en formule croisière. Que ce soit Socorro, Caño, Cocos et bien d'autres, si tu ne fais pas de croisière, jamais tu n'iras...

- Si le tour leader est bon (et en général, ils le sont), il s'organise avec les autres bateaux pour ne pas être plusieurs à plonger sur un même site au même moment. Ainsi, ce n'est pas la foire d'empoigne sous l'eau. Situation maintes fois vécues en Egypte, aux Maldives ou ailleurs...

- Étant positionnés très tôt sur les sites (on dort parfois au mouillage dessus!), on est très souvent les premiers à plonger sur la première du matin. N'importe quel plongeur sait que c'est à ce moment que les rencontres les plus intéressantes peuvent avoir lieu. Sur une "grand sud" aux Maldives, nous avons passé 1 semaine complète sans voir un seul autre bateau de plongeurs: rencontres exceptionnelles au programme...

- Il n'y a pas de matériel à manipuler, ni à promener. Le bloc passe du speed boat au bateau sans que l'on ait à le porter, ni à le manipuler.

- La navigation est bien plus confortable: très peu pour nous les 2H de semi-rigide pour se rendre sur un site!

- Les intervalles se font dans les meilleures conditions qui soient: un lit, un sun deck ou un réfectoire sont quand même bien plus agréables pour passer une heure ou 2 deux plutôt qu'une coque de noix ballottée par les vagues en permanence.

- C'est pratiquement la seule solution possible pour maintenir un rythme soutenu (3 plongées minimum, voire 4 et parfois 5 !). A titre perso, quand on se déplace loin et que l'on dépense beaucoup, on veut pouvoir cumuler les opportunités. Alors les journées à 2 plongées/jour: ce n'est clairement pas pour nous !

- Les bateaux de plongée ont bien changés depuis 30 ans et on peut maintenant avoir une qualité de restauration (et/ou même les cocktails!) dignes des meilleurs restaurant "de la ville".

- Et puis, il y a cette sensation d'être seuls au monde alors que seule cette étendue d'eau vous entoure. Et ça... ça n'a pas de prix (mis à part celui de la croisière bien sûr).

 

En résumé, il ne faut pas se faire d'illusion, sur le parcours que j'ai décrit, seul peut-être une vingtaine de plongées aurait été possible depuis le bord. Inutile de dire que dans ces conditions, tu en aurais vu encore moins que nous. L'île au serpents ou le dugong auraient (par ex.) été hors de portée d'un simple speed boat... :(

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même si j'aurais voulu en lire plus sur les différentes plongées

 

tu n'attendais tout de même pas que je fasse un CR pour chaque lieu de plongée avec les photos correspondantes ??? :D:D:D:D:froglol::eek::eek:

Nooooon, mais un peu plus de détail sur le trajet réalisé, sur les meilleurs endroits de la croisière, les espèces les plus rares que vous avez croisées, les conditions de plongée, les risques, les anecdotes rigolotes... Bref, un peu plus de contenu sur l'activité qui nous passionne tous plutôt que sur le bobo plongeur qui vous à snobé. ​​​​​​​

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même si j'aurais voulu en lire plus sur les différentes plongées

 

tu n'attendais tout de même pas que je fasse un CR pour chaque lieu de plongée avec les photos correspondantes ??? :D:D:D:D:froglol::eek::eek:

- Le trajet a volontairement été placé sur le premier cliché. Quoi dire de plus intéressant sans alourdir un CR déjà bien fourni (à mon humble avis)?

- Les meilleurs endroits (selon moi mais après tout dépend ce que l'on aime voir) se situent sur la fin de croisière dans les Rajat Ampat (comme annoncé). C'est là où nous avons vu le plus de diversité et surtout où nous avons commencé à cumuler gros, petit et pélagique.

- Les conditions de plongées ? quoi dire de plus que ce que j'ai déjà dit, sincèrement je ne vois pas...

- Les risques ?... lors des plongées tu veux dire? Il n'y en a pas de particuliers mis à part se faire embarquer lors d'un courant fort et se retrouver isolé du groupe. D'où l'intérêt de rester près d'un dive master (qui possèdent tous une Lifeline) en fin de plongée. Mais ça aussi, je l'ai déjà dit... ;-)

- Les anecdotes rigolotes ? ben... pas certain qu'il y en ait vraiment eu. Du moins, pas qui soient de nature suffisamment intéressante pour être narrées...

D'ailleurs la seule anecdote que j'ai rapportée, n'est pas rigolote (du tout) mais c'est la seule que j'ai jugée digne d'un "certain" intérêt.

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Concernant l'organisation des repas, je me dois ici de parler d'un point "particulier" inconnu pour nous jusqu'à maintenant. Cette croisière est longue en durée et en trajet. Le tarif s'en ressent d'autant, puisqu'au moment où j'écris ces lignes le tarif pour une cabine "budget" est d'environ 4600$ par personne. On dépasse les 5000$ pour une cabine sur le pont.

Autant dire qu'une certaine sélection par l'argent s'opère d'elle-même. La catégorie sociale s'y rattachant faisant de même (vous savez, celle qui possède une carte Mastercard "Black" qui permet d'acheter une Porsche par mois en débit instantané…). Si bien qu'au bout de 2 jours, un des "convives" m'a demandé quel type d'éducation je pouvais bien avoir eu pour oser venir souper sans T shirt!

On ne parle pas ici d'un malotru sale et "puant". Mais d'un "simple" plongeur (moi) qui a passé plus de 4H dans l'eau, qui a passé pas loin d'une demi-heure sous la douche en temps cumulé et qui se trouve être fraîchement douché et parfumé…

Il n'a fallu que 2 jours supplémentaires pour que le "tour leader" vienne me suggérer de porter T shirt ou chemise (faisant suite, à n'en pas douter, au plus profond agacement du dit précédent convive devant ma "résistance"…). Ce à quoi, je lui ai répondu que j'étais en vacances, qu'il faisait 30°c, que je n'avais ni l'envie, ni surtout le besoin de porter un T shirt. Et que de plus, je n'avais aucune considération ni admiration sociale à apporter à qui que ce soit. Il a donc été convenu (sur ma proposition), que je prendrais mes repas à l'extérieur. Ce qui a été fait pour le reste du séjour.

C'est certain… porter (comme cela s'est fait quotidiennement) un maillot de bain et un marcel pour souper, ça le fait. Porter un bermuda sans T shirt, c'est "shocking"!

Si j'avais eu à souper dans un restaurant en ville, me serais-je habillé avec un haut? Assurément. Et si la situation avait été sur une île déserte avec une quinzaine de copains plongeurs? Certainement non! Or c'est bien du 2e cas dont notre situation se rapprochait le plus…

Tout est ensuite question de liberté et l'adage "la liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres" n'a jamais été aussi vrai. Car quel mal créais-je chez ce "convive"? Aucun, si ce n'est la présence d'un intrus dans "son monde". Puisque lui, sa palanquée "homologue", et moi mangions dans les côtés opposés de la salle de restauration. Mon seul tort n'était donc pas d'être à sa table ou à sa vue mais de ne pas partager ses propres "valeurs"…

Ceci dit, pour avoir assisté de la part de ce "joyeux groupe" à quelques attitudes dignes de "#balancetonporc" envers la gente féminine, il semble que les valeurs de "ce monde là" soit un peu à géométrie variable.

 

Personnellement, il ne m'aurait pas fallu deux jours pour venir te dire de t'habiller un minimum.

 

C'est une question de correction, et je ne vois pas de rapport avec la catégorie sociale.

Il ne me viendrait pas à l'idée d'étaler ma bidoche autour de la table, et j'attends de chacun qu'il en fasse autant.

Une question de culture sans doute, mais dans notre société, à table on ne se met pas à poil, on ne pète pas, on ne rote pas.

 

 

Pour conclure avec cet épisode malheureux (que nous n'avons jamais rencontré ailleurs, que ce soit à Malpélo, Cocos ou ailleurs), sache le donc, toi ami plongeur qui lit ces quelques lignes, si tu n'as pas un minimum commun avec la "high society", tu ne seras peut-être pas le bienvenu pour venir plonger parmi les quelques bourgeois qui viennent s'encanailler dans le monde subaquatique et qui fréquentent les croisières les plus onéreuses!

Car il ne s'agit pas là de plongeurs friqués mis bien d'une catégorie sociale élevée pratiquant la plongée. Nuance... L'esprit "plongeur aventurier" a donc été relégué loin derrière celui de la (leur) soit disant bienséance. C'est dit mais c'est triste…

 

L'esprit "plongeur aventurier" !! :roule:

Sur un bateau de croisière à 4600 $, tu te fous vraiment du monde !

 

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Rigolo ce que tu dis. Car nous pensons exactement tout le contraire! Nous évitons autant que faire se peut les séjours hôtels depuis le bord. Les raisons en sont simples et logiques.

Durant une croisière:

- Tu as accès à des sites impossibles à faire depuis le bord car trop loin. Ça, c'est une donnée imparable! Les lieux à fort potentiel de pélagiques ne sont accessibles qu'en formule croisière. Que ce soit Socorro, Caño, Cocos et bien d'autres, si tu ne fais pas de croisière, jamais tu n'iras...

- Si le tour leader est bon (et en général, ils le sont), il s'organise avec les autres bateaux pour ne pas être plusieurs à plonger sur un même site au même moment. Ainsi, ce n'est pas la foire d'empoigne sous l'eau. Situation maintes fois vécues en Egypte, aux Maldives ou ailleurs...

- Étant positionnés très tôt sur les sites (on dort parfois au mouillage dessus!), on est très souvent les premiers à plonger sur la première du matin. N'importe quel plongeur sait que c'est à ce moment que les rencontres les plus intéressantes peuvent avoir lieu. Sur une "grand sud" aux Maldives, nous avons passé 1 semaine complète sans voir un seul autre bateau de plongeurs: rencontres exceptionnelles au programme...

- Il n'y a pas de matériel à manipuler, ni à promener. Le bloc passe du speed boat au bateau sans que l'on ait à le porter, ni à le manipuler.

- La navigation est bien plus confortable: très peu pour nous les 2H de semi-rigide pour se rendre sur un site!

- Les intervalles se font dans les meilleures conditions qui soient: un lit, un sun deck ou un réfectoire sont quand même bien plus agréables pour passer une heure ou 2 deux plutôt qu'une coque de noix ballottée par les vagues en permanence.

- C'est pratiquement la seule solution possible pour maintenir un rythme soutenu (3 plongées minimum, voire 4 et parfois 5 !). A titre perso, quand on se déplace loin et que l'on dépense beaucoup, on veut pouvoir cumuler les opportunités. Alors les journées à 2 plongées/jour: ce n'est clairement pas pour nous !

- Les bateaux de plongée ont bien changés depuis 30 ans et on peut maintenant avoir une qualité de restauration (et/ou même les cocktails!) dignes des meilleurs restaurant "de la ville".

- Et puis, il y a cette sensation d'être seuls au monde alors que seule cette étendue d'eau vous entoure. Et ça... ça n'a pas de prix (mis à part celui de la croisière bien sûr).

 

En résumé, il ne faut pas se faire d'illusion, sur le parcours que j'ai décrit, seul peut-être une vingtaine de plongées aurait été possible depuis le bord. Inutile de dire que dans ces conditions, tu en aurais vu encore moins que nous. L'île au serpents ou le dugong auraient (par ex.) été hors de portée d'un simple speed boat... :(

 

Comme quoi il en faut pour tous les goûts !!! J'ai fait Soccoro l'année dernière et j'ai trouvé ça super super cher pour la qualité des plongée !!!

 

Bon, c'est vrai que je n'ai pas les mêmes contraintes puisque quand je pars (par exemple en mars/avril 2018) je pars pour deux mois, (là ce sera aux Philippines) je loue un scoot et je pars me balader d'île en île en découvrant des coins où quasi personne ne va et que tu ne peux pas faire en croisière ! Deux plongées/jours plus une plongée de nuit de temps en temps sont largement suffisantes pour mes vieux os (ou alors il faut le nitrox et il n'y en a pas partout !).

 

Bref, content que tu ais trouvé ce qui te convient et heureux de ce qui marche pour moi !

 

Bonnes bulles...

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Concernant l'organisation des repas, je me dois ici de parler d'un point "particulier" inconnu pour nous jusqu'à maintenant. Cette croisière est longue en durée et en trajet. Le tarif s'en ressent d'autant, puisqu'au moment où j'écris ces lignes le tarif pour une cabine "budget" est d'environ 4600$ par personne. On dépasse les 5000$ pour une cabine sur le pont.

Autant dire qu'une certaine sélection par l'argent s'opère d'elle-même. La catégorie sociale s'y rattachant faisant de même (vous savez, celle qui possède une carte Mastercard "Black" qui permet d'acheter une Porsche par mois en débit instantané…). Si bien qu'au bout de 2 jours, un des "convives" m'a demandé quel type d'éducation je pouvais bien avoir eu pour oser venir souper sans T shirt!

On ne parle pas ici d'un malotru sale et "puant". Mais d'un "simple" plongeur (moi) qui a passé plus de 4H dans l'eau, qui a passé pas loin d'une demi-heure sous la douche en temps cumulé et qui se trouve être fraîchement douché et parfumé…

Il n'a fallu que 2 jours supplémentaires pour que le "tour leader" vienne me suggérer de porter T shirt ou chemise (faisant suite, à n'en pas douter, au plus profond agacement du dit précédent convive devant ma "résistance"…). Ce à quoi, je lui ai répondu que j'étais en vacances, qu'il faisait 30°c, que je n'avais ni l'envie, ni surtout le besoin de porter un T shirt. Et que de plus, je n'avais aucune considération ni admiration sociale à apporter à qui que ce soit. Il a donc été convenu (sur ma proposition), que je prendrais mes repas à l'extérieur. Ce qui a été fait pour le reste du séjour.

C'est certain… porter (comme cela s'est fait quotidiennement) un maillot de bain et un marcel pour souper, ça le fait. Porter un bermuda sans T shirt, c'est "shocking"!

Si j'avais eu à souper dans un restaurant en ville, me serais-je habillé avec un haut? Assurément. Et si la situation avait été sur une île déserte avec une quinzaine de copains plongeurs? Certainement non! Or c'est bien du 2e cas dont notre situation se rapprochait le plus…

Tout est ensuite question de liberté et l'adage "la liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres" n'a jamais été aussi vrai. Car quel mal créais-je chez ce "convive"? Aucun, si ce n'est la présence d'un intrus dans "son monde". Puisque lui, sa palanquée "homologue", et moi mangions dans les côtés opposés de la salle de restauration. Mon seul tort n'était donc pas d'être à sa table ou à sa vue mais de ne pas partager ses propres "valeurs"…

Ceci dit, pour avoir assisté de la part de ce "joyeux groupe" à quelques attitudes dignes de "#balancetonporc" envers la gente féminine, il semble que les valeurs de "ce monde là" soit un peu à géométrie variable.

 

Personnellement, il ne m'aurait pas fallu deux jours pour venir te dire de t'habiller un minimum.

 

C'est une question de correction, et je ne vois pas de rapport avec la catégorie sociale.

Il ne me viendrait pas à l'idée d'étaler ma bidoche autour de la table, et j'attends de chacun qu'il en fasse autant.

Une question de culture sans doute, mais dans notre société, à table on ne se met pas à poil, on ne pète pas, on ne rote pas.

 

 

Pour conclure avec cet épisode malheureux (que nous n'avons jamais rencontré ailleurs, que ce soit à Malpélo, Cocos ou ailleurs), sache le donc, toi ami plongeur qui lit ces quelques lignes, si tu n'as pas un minimum commun avec la "high society", tu ne seras peut-être pas le bienvenu pour venir plonger parmi les quelques bourgeois qui viennent s'encanailler dans le monde subaquatique et qui fréquentent les croisières les plus onéreuses!

Car il ne s'agit pas là de plongeurs friqués mis bien d'une catégorie sociale élevée pratiquant la plongée. Nuance... L'esprit "plongeur aventurier" a donc été relégué loin derrière celui de la (leur) soit disant bienséance. C'est dit mais c'est triste…

 

L'esprit "plongeur aventurier" !! :roule:

Sur un bateau de croisière à 4600 $, tu te fous vraiment du monde !

Sur le fond, je suis assez d'accord avec toi, j'aurais probablement été du côté du "chieur" qui a demandé à Orangina de s'habiller.

 

Sur la forme, ton message est super agressif et je ne suis pas sûr que ça apporte quoi que ce soit.

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Chouette CR qui me permet de patientez jusqu a notre croisiere en juin a Komodo !

 

Pour un budget moindre ou egal pense tu qu une croisiere uniquement dans les raja ampat vaut elle peut etre plus le coup ?

 

Pour l histoire du tshirt , en prenant du recul peut etre que l autre plongeur a fait un CR de son coté evoquant un plongeur qui mange torse nu sur une croisiere a 5000 dollars qui sait !

 

Pour ma part ca ne m aurais pas derangé sachant qu on se croise toute la journee en maillot et que ca reste normalement ambiance plongee !

 

 

Enfin bref chacun a sa culture son milieu social son histoire et sa propre vision des choses !

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Comme quoi il en faut pour tous les goûts !!! J'ai fait Soccoro l'année dernière et j'ai trouvé ça super super cher pour la qualité des plongée !!!

 

Bon, c'est vrai que je n'ai pas les mêmes contraintes puisque quand je pars (par exemple en mars/avril 2018) je pars pour deux mois, (là ce sera aux Philippines) je loue un scoot et je pars me balader d'île en île en découvrant des coins où quasi personne ne va et que tu ne peux pas faire en croisière ! Deux plongées/jours plus une plongée de nuit de temps en temps sont largement suffisantes pour mes vieux os (ou alors il faut le nitrox et il n'y en a pas partout !).

 

Bref, content que tu ais trouvé ce qui te convient et heureux de ce qui marche pour moi !

 

Bonnes bulles...

 

Salut Chris,

 

Le principal est bien que chacun trouve de l'intérêt dans ce qu'il fait. Et je comprends tout à fait ton point de vue et tes choix!

Tu as raison, toutes les "grosses" croisières éloignées sont excessivement chères. Mais elles permettent aussi, parfois, (car là non plus, il n'y a pas d'obligations) de faire des rencontres exceptionnelles.

Comme nous a dit capitaine Beto à Cocos: "It depends how you're lucky!". Nous avons une amie qui est partie pour Cocos il y a quelques semaines seulement (nous y étions au mois de Mai) et ben... elle n'a pas eu du tout (mais alors pas du tout !) la même qualité de plongées que nous !!!!

Gros banc de Marteaux, plusieurs tigres curieux, une visi de fou... bref, il avait raison le bougre: "It depends how you're lucky!"...

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