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Soiree alcool veille d'une plongée a 14h


Tigrou64

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  • 2 semaines après...
  • 4 semaines après...

Salut.

 

Je profite de cette discussion pour poser une question.

On m'a toujours dit que alcool et plongée ne faisaient pas bon ménage. Moi, discipliné, j'ai toujours appliqué la prudence à la lettre: pas d'alcool en journée quand je plonge, et le soir un verre ou 2, pas plus.

 

Néanmoins je me pose la question de savoir quels sont les risques effectifs, si on plonge après une grosse soirée ?

Evidemment je ne parle pas des cas où on se réveille la tête dans le plâtre, à moitié endormi et avec de sacrés restes de la veille... là ça me semble évident, même hors de tout cadre plongistique. C'est un coup à faire une connerie, pas veiller sur son binôme, etc. Hors de question d'aller plonger (ou randonner, ou autre) dans une situation comme cella-là.

 

Mais dans un cas un peu plus raisonnable, où a un bien bu la veille, on s'est couché un peu pété ; mais au réveil ça va, un peu fatigué mais rien de méchant (moins pire qu'une nuit dans le bus pour ceux qui ont le privilège de faire des sorties clubs de ce genre :p ).

Les risques d'ADD sont décuplés ? Et si oui pourquoi ? J'avoue ne pas comprendre le mécanisme physique qu'il y a derrière...

 

a+

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Les risques d'ADD sont décuplés ? Et si oui pourquoi ? J'avoue ne pas comprendre le mécanisme physique qu'il y a derrière...

Décuplé, je ne sais pas, je n'ai pas de chiffres en tête à ce sujet (je ne sais même pas si on a réellement des données).

Par contre, pour le mécanisme, c'est très simple : déshydratation !

L'acool ça déshydrate.

Et la déshydratation, c'est pas bon pour la décompression. :malade:

 

 

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Observation personnelle : je vois peu de plongeurs boire de l'eau avant plongée ou après

 

Et bien pour ma part, l'information est passée, j'en vois de plus en plus et dans mon entourage en sortie club (ou pas) c'est une pratique que l'on enseigne et qui est devenu systématique .

C'était loin d'étre un reflexe pour moi, mais comme encadrant pour donner l'exemple et ayant intégré les infos sur les derniéres recommandations et mécanisme sur la decompression, je m'y suis mis ... et à present cela fait parti du rituel avant et après.

 

Amicalement

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Observation personnelle : je vois peu de plongeurs boire de l'eau avant plongée ou après

Encore des plongeurs tristes.... des dir gue ??

pas de se e, pas d’alcool, on soulève même pas une bouteille d’eau car c’est un effort après la plongée??

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Observation personnelle : je vois peu de plongeurs boire de l'eau avant plongée ou après

 

Perso, je ne pars jamais plonger dans ma bouteille d'eau et generalement isostar ou assimilée, ou biere:rolleyes:

Bon la biere, c'est pour après la plongee, il fait chaud dans le sud:tromaran:

 

A+

 

:biere:

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Salut.

C'est un coup à faire une connerie, pas veiller sur son binôme, etc. Hors de question d'aller plonger (ou randonner, ou autre) dans une situation comme cella-là.

 

Mais dans un cas un peu plus raisonnable, où a un bien bu la veille, on s'est couché un peu pété ; mais au réveil ça va, un peu fatigué mais rien de méchant (moins pire qu'une nuit dans le bus pour ceux qui ont le privilège de faire des sorties clubs de ce genre :p ).

Les risques d'ADD sont décuplés ? Et si oui pourquoi ? J'avoue ne pas comprendre le mécanisme physique qu'il y a derrière...

 

Plus que la déshydratation (qui pose de vrais problèmes), je vois d'autres soucis à plonger avec une bonne gueule de bois...

 

* état de mal-être, mal de mer qui peut perdurer après la plongée et peut accentuer une attitude de repli sur soi et de déni d'un accident de plongée (désaturation)

* état de stress (physique, psychologique) : cela m'incite une attention particulière notamment lorsque sur un stage des plongeurs doivent sortir de leur zone de confort ou de pratique habituelle

 

Bref, le problème de l'alcool, c'est que c'est vécu de manière schizophrénique.

 

C'est très bien accepté voir valorisé dans le cadre des clubs/séjours/stages mais pas socialement... pour de bonnes raisons...

 

Je ne parle même pas de l'alcoolisme chronique qui était un cas de contre-indications...

 

Bref, on marche un peu sur la tête avec ça.

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