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Témoignages Narcose - Magazine Sphères


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    début modéré car réponse à du contenu modéré

     

    La connaissance et le ressenti de la narcose permet d'adapter sa plongée pour quand on ressent les premiers effets de la narcose modifier notre plongée vers un profil moins risqué et comme beaucoup de choses dans la vie, ce n'est pas en fermant les yeux qu'on ne risque rien...

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    La narcose !!

     

    Vaste débat, j'ai encore entendu il n'y a pas si longtemps un moniteur affirmé qu'à 54 m toute sa planquée était narcosé sauf lui :)

    Alors là, je rigole !!

     

    Comme dit plus haut à partir de 30m, la narcose  peut survenir à tout moment. à 40, c'est installé et à 50, on y est bien, je te laisse imaginer quand tu va titiller au delà de 60,70,80 m, t'es tout simplement défoncé.

     

    Personnellement, ça se traduit en premier par une vision en tunnel et plus je vais descendre, plus ça va se rétrécir, Est-ce dû au fait que j'essaie d'augmenter ma concentration sur l'essentiel, peut-être.

    Le deuxième symptôme, les pistons de mes détendeurs que j'entends "sonner"  à  chaque respiration. Là quand j'entends ça, je sais que je suis "mur" et plus je vais descendre, plus je vais les entendre ainsi  que les grains de sable qui roulent, un peu comme du gravier que tu brasses.

    Et le 3eme  qui ne me trompe pas, c'est le fait de consulter mes instruments plusieurs fois de suite car je n'enregistre pas ce que je vois.

     

    De ce que j'ai pu constater à l'époque ou je plongeais profond à l'air, c'est qu'il y a une certaine accoutumance et que les effets semblent moins violents au fur et à  mesure que tu enchaines les profondes. Mais pas de miracle, sur des profondeurs de 80m, t'as intérêt à être en forme et connaitre ton équipement pour une bonne et simple raison, c'est que tu es tout seul, même quand tu plonges à 2 ou plusieurs. La règle avec mon binôme de l'époque était simple, passé 60m, c'est chacun pour soi. Il est en effet déjà très difficile de gérer une plongée normale sur ces profondeurs, encore plus difficile de gérer un pepin, alors gérer le pepin d'une autre personne, c'est quasi impossible. De toutes façons, tu fonctionnes au ralenti et tout tes gestes nécessitent une concentration optimale qui peut vite devenir obsessionnelle. je me souviens d'une plongée au delà de 80m pour aller "taper" du corail ou si mon binôme ne m'avait pas secoué par l'épaule, pour me dire on remonte, je pense que j'y serai encore. J'étais tellement concentré sur cette put… de branche que je n'arrivais pas à détacher avec mon marteau, que j'en ai oublié de regarder et ma montre et mes manos.🥶 Ce jour là, cela aurait pu très mal se finir !!

     

    Mais j'ai également le souvenir de plongée ou justement je n'ai plus de souvenirs de la plongée mais juste une sensation de grand bien être, un peu comme la satisfaction du travail bien fait. Un point également que j'ai souvent ressenti lors de la remontée, c'est cette sensation d'avoir terminé ta plongée quand tu repasses les 40m dans l'autre sens, j'avais cette impression d'avoir terminé le plus dur alors qu'il te reste quand même encore quelques bricoles à  régler comme attaquer tes paliers, changer tes blocs et rester un bon bout de temps accrocher à la barre de palier.

     

    Et dernier truc imparable, déjà évoqué, le fameux calcul au fond. J'ai découvert ça quand je préparais mon N4, le moniteur qui nous entrainait avait un truc imparable pour les grandes gueules et futur apprenti moniteur que nous étions.

     

    Descente dans le bleu sur un  fond de 40, on se posait sur le fond (oui, à l'époque, c'est ce qui se faisait), puis il  nous appelait un par un et nous remettait à chacun une ardoise avec les 4 opérations, addition, soustraction, multiplication et division tous ça avec 3 chiffres. Puis au top, on commençait le calcul. Le premier qui  avait terminé donnait le départ de la remonté?

    Devinez qui  le donnait le départ ?

     

    Bah, dans quasiment 100% des cas, l'instructeur.

     

    Une fois en surface, il nous faisait effectuer le même exercice avec chacun la même ardoise et là miracle, on faisait ça en quelques instant.

     

    J'ai  depuis repris cette méthode car pour moi, elle démontre bien au "non narcosé" que le danger est potentiellement bien là et que non, personne n''est pas narcosé.

     

    Je passerais sous silence les hallucinations de certains ou certaines de mes collègues comme :

     

    54m - "Je te dis que j'ai entendu la cloche du train et qu'il est passé au dessus de l'épave"

    62m - "Je te dis que les poissons respiraient, j'ai vu leurs bulles au dessus de leurs têtes"

    43m - "Je savais pas qu'il y avait un chantier archéo au fond" , alors que l'on avait juste croisé un banc de surmulet en train de gratter le sable.

     

    A+

     

    🍻🥃🍻🥃🍻🥃🍻🥃🍻🥃🍻🥃🍻🥃🍻🥃🍻🥃🍻🥃🍻🥃🍻🥃

     

     

     

     

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    • Matt locked this topic

    Aller HOP, je ferme le temps de faire le ménage.

     

    Merci à tous de rester sur le sujet de l'auteur : le partage d'expérience autour de la narcose.

    Si on commence à juger ce que les autres racontent, on détruit le concept puisqu'on empêche le partage. Il est évident que certaines expériences partagées ici comportent une part de danger, je ne pense pas que ce soit la peine de juger les gens pour autant.

     

    Merci à tous de garder une certaines ouverture d'esprit, un forum est fait pour échanger, ce qui implique l'écoute et le respect des autres. Sans cela vous n'avez pas votre place ici.

     

    Edit : voila c'est rouvert.

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    • Matt unlocked this topic
    il y a 55 minutes, Bloop a dit :

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    La connaissance et le ressenti de la narcose permet d'adapter sa plongée pour quand on ressent les premiers effets de la narcose modifier notre plongée vers un profil moins risqué et comme beaucoup de choses dans la vie, ce n'est pas en fermant les yeux qu'on ne risque rien...

     

    Comme dirait l'autre, la plus grande ruse de la narcose, c'est de faire croire qu'elle n'existe pas. Quand tu commences à en ressentir les effets, c'est qu'elle t'affecte depuis déjà bien longtemps. Autrement dit, attendre d'en "ressentir" les premiers effet pour évoluer vers un profil moins risqué, en plus d'être souvent un peu hypocrite (soyons sérieux, est-ce que vraiment tu vas interrompre ta plongée sur le Donator parce que tu as regardé ton mano deux fois ou est-ce que tu vas juste "faire attention" ?), c'est justement "fermer les yeux" : tant que je ne vois rien, il ne se passe rien...

     

    La narcose est perverse avant tout parce qu'elle est discrète. Une fois qu'elle se manifeste de façon claire (par l'effet tunnel, en regardant deux fois son mano, ...), elle devient beaucoup plus facile à gérer (pourvu qu'on ait la volonté de le faire et pas de l'ignorer) : il suffit de remonter. En ce sens, l'apport de l'expérience, ce n'est pas de "s'accoutumer" à la narcose ou "d'arriver à la gérer" (celui qui le prétend ment à sa palanquée et à lui-même), mais au contraire de s'en rendre compte beaucoup plus tôt (à 35 m à l'air, quelqu'un "d'expérimenté en narcose" doit être capable de se rendre compte qu'il réagit différemment).

    Edited by Typhon
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    Salut Typhon

     

    Mais comme tu l'as dit toi-même, il y a des plongées ou  tu sais pertinemment que tu n'y couperas pas. Tu es donc bien obligé de plus ou moins "gérer", et cette gestion passe par le fait que tu sais à quel moment tu n'es plus dans TES clous à toi et pas ceux des autres, non ?

     

    A+

     

    🍻

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    Pour se rendre compte des effets de la narcose, lorsque j'ai passé mon Advanced Open Water, on m'a chronométré en surface puis sous l'eau pour effectuer le décompte de 9 à 1 en pointant du doigt sur une grille comme celle-ci. 

    images.png.5b3804df93188a3b138ad0d89b1cf744.png

    Ça m'a marqué la différence de temps qu'il m'a fallu dans les deux conditions. Les résultats m'ont été annoncés sur le bateau au retour, et il me semblait avoir mis un temps similaire lorsqu'on était à 30m. Pas vraiment... 😅

     

    Autre anecdote. Quand j'ai passé ma certification Deep/Profonde, on a fait deux plongées à 32m, puis 2 plongées à 40m, avec mon (jeune) instructeur. 

    Lors d'une de ces plongées à 40m, j'ai fais des exercices de calculs un peu similaires (multiplication et addition assez simple) avec chronométrage en surface et sous l'eau. Mais le plus curieux fut que mon instructeur a "perdu" son phare durant cette plongée (enfin, le phare du club) et il ne s'en est rendu compte qu'en remontant sur le bateau. 

    Peut-être que ce jour-là, je n'étais pas le seul a avoir un "coup dans l'nez"... 😋

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    il y a 8 minutes, Jeff__06 a dit :

    Mais comme tu l'as dit toi-même, il y a des plongées ou  tu sais pertinemment que tu n'y couperas pas. Tu es donc bien obligé de plus ou moins "gérer", et cette gestion passe par le fait que tu sais à quel moment tu n'es plus dans TES clous à toi et pas ceux des autres, non ?

     

    Pour certains, "gérer", ça veut simplement dire "mettre de l'hélium en dessous de 30 m" -- autrement dit, dès la profondeur où on sait qu'on n'y coupera pas. Je ne crois personnellement pas que ce soit le seul choix raisonnable, mais c'en est un, et probablement le moins risqué. Après c'est à chacun de choisir où il met la barre, en fonction du risque accepté (qui ne doit pas être faussé par une minimisation de ce risque à la "j'attends que les effets se manifestent"), de la logistique et des coûts, et des autres paramètres de la plongée (typiquement, sous plafond, on veut encore moins être affecté, même/surtout sans s'en rendre compte).

     

    Ensuite, "savoir quand tu n'es plus dans tes clous", je pense que c'est se voiler la face, justement parce que pour s'en rendre compte il faut les avoir dépassés depuis longtemps.

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    Et comme j'ai 2 minutes j'y vais de deux expériences perso marquantes, tout en sachant que comme tout le monde, quand je dépasse les 40m, je suis narcosé. En temps normal ça va d'une sensation de type "je me sens trop bien pour être honnête" (un peu comme les deux bières de @shapeshifter) à un coté un peu plus oppréssant, au fait de regarder mon ordi toutes les 5 secondes.

     

    Comme d'autres ici, et je suis peut être naïf, je pense que le fait d'avoir conscience de mon état narcosé est déjà un signe positif, et j'essaie de compenser par une sur-attention. Maintenant il ne faut pas se mentir, on reste loin d’être à 100%.

     

    1ere expérience : Préparation du N4, première vraie descente dans le bleu, je pars la tête en bas, arrivé à 35m, je redresse, je stabilise, tout va bien. Sauf que j'ai l'impression d'être dans un tourniquet à pleine vitesse... ça tourne sans arrêt.

    Je rationalise : si ça tournait vraiment le moniteur en face de moi serait en train de palmer comme un taré pour rester face à moi, il ne bouge pas.

    On doit enchainer sur une assistance, je fais un signe OK qui doit être moyennement convaincant, je me dis "après tout l'assistance, c'est le vertical qui compte, que ça tourne ça change pas grand chose" et je m’apprête à partir dans mon assistance tourniquet.

    A ce moment la, j’aperçois le fond, en un quart de seconde le cerveau se recale et ça s’arrête de tourner. L'assistance sera sans l'option tourniquet. Je dois dire qu'à ce jour je me demande encore ce que ça aurait donné.

    Le moniteur me dira qu'en fait pendant la descente j'ai tourné comme un malade sans m'en rendre compte... plus d'une vingtaine de tours...

     

    2ème expérience : Plongée à 40m de l’examen du N4. Le planning est classique : on fait la descente dans le bleu, on se stabilise à 40m, vidage de masque, LRE puis situation se terminant sur une assistance.

    Mon examinateur du jour n'est autre Jo Vrijens, le président de la commission technique nationale.

    On descend et déroule le programme, jusqu’à ce qu'il me fasse un signe "panne d'air". Je m'approche, lui file mon secours, lui fait le signe "fin de plongée" et m’apprête à remonter. La il me fait à nouveau le signe "fin de plongée" en retour, je me dit "ok, il confirme, on remonte".

    Je commence à remonter et il me refait "fin de plongée", je me dis "oui oui c'est bon on remonte ca va"...

    Il commence à s'agiter, je me dit "OK, il fait le narcosé en répétant tout le temps le même signe, et il s'agite donc il doit me faire une fausse panique par dessus, c'est un peu viril mais on va gérer".

    Il s'agite de plus en plus, ca devient de plus en plus physique, je persiste dans mon analyse, jusqu'au moment ou il me fout carrément coup de poing dans le masque.

    La je réalise que j'ai du merdé, mais je comprends toujours pas tout.

    Au débrief : en fait quand il répète mon signe "fin de plongée", il reprend son rôle d’examinateur et me dit "fin d'exercice" pour passer à un autre exercice, sauf j'imprime pas. Derrière il veut pas que je le remonte donc il me repousse, la j'insiste, et c'est la bataille...

    Bon ben j'ai pas eu mon N4 ce coup la...

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    Il y a 2 heures, shapeshifter a dit :

     

    Plonger à plus de 30m à l'air est comparable à prendre le volant après deux bières.

     

    Il y a certainement les gens plus-ou-moins sensibles, il y a certainement des gens qui imaginent être en sécurité si ils "font attention", il y a certainement des gens qui pensent "avoir l'habitude" et il y a certainement des gens qui pensent (théories persos à l'appui) qu'en tant que plongeur expérimenté "être vacciné contre"

     

    La réalité est qu'à partir de 30m personne n'est totalement clair, tout comme à partir deux bières <<modéré>>.

     

    spacer.png

     

    Moi je compte en nombre de Martinis :D 

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    il y a 16 minutes, Matt a dit :

    Comme d'autres ici, et je suis peut être naïf, je pense que le fait d'avoir conscience de mon état narcosé est déjà un signe positif, et j'essaie de compenser par une sur-attention. Maintenant il ne faut pas se mentir, on reste loin d’être à 100%.

     

    En avoir conscience, c'est incontestablement positif, parce qu'on a déjà écarté le risque d'un effet invisible bien que présent. Au moins tu penses à compenser. L'effet pervers, c'est d'attendre d'en avoir conscience pour compenser -- parce qu'on pourrait dire que c'est "ne pas en avoir conscience" qui est un signe négatif, en fait.

     

    il y a 16 minutes, Matt a dit :

    Au débrief : en fait quand il répète mon signe "fin de plongée", il reprend son rôle d’examinateur et me dit "fin d'exercice" pour passer à un autre exercice, sauf j'imprime pas. Derrière il veut pas que je le remonte donc il me repousse, la j'insiste, et c'est la bataille...

    Bon ben j'ai pas eu mon N4 ce coup la...

     

    En dehors de la narcose, il y a quand même deux leçons à tirer de ça : d'une part, le signe "fin d'exercice" qui est le même que "fin de plongée", c'était pas une super idée pour la clarté de la communication (mais maintenant bon courage pour changer ça), d'autre part, l'examen N4 est vraiment mal foutu puisqu'il pénalise la seule réaction raisonnable dans une plongée réelle sous prétexte que l'examinateur, ce jour-là, aurait voulu rester encore un peu sous l'eau...

    Edited by Typhon
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    il y a 2 minutes, Typhon a dit :

     

    En avoir conscience, c'est incontestablement positif, parce qu'on a déjà écarté le risque d'un effet invisible bien que présent. Au moins tu penses à compenser. L'effet pervers, c'est d'attendre d'en avoir conscience pour compenser -- parce qu'on pourrait dire que c'est "ne pas en avoir conscience" qui est un signe négatif, en fait.

     

     

    En dehors de la narcose, il y a quand même deux leçons à tirer de ça : d'une part, le signe "fin d'exercice" qui est le même que "fin de plongée", c'était pas une super idée pour la clarté de la communication (mais maintenant bon courage pour changer ça), d'autre part, l'examen N4 est vraiment mal foutu puisqu'il pénalise la seule réaction raisonnable dans une plongée réelle sous prétexte que l'examinateur, ce jour-là, aurait voulu rester encore un peu sous l'eau...

     

    Il y a des écoles ou fin de plongée, et fin d'exercices sont 2 signes différents... Saquer un N4 pour ça..

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    il y a 11 minutes, Harold_S a dit :

     

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    Moi je compte en nombre de Martinis :D 

    EUh!!

     

    66-79 tu serai plutôt sur 10 martinis, voir la bouteille !

    Oui je sais j'ai une grosse tolérance au Martini 🤣

     

    A+

     

    🍻

    il y a 30 minutes, Typhon a dit :

     

    Pour certains, "gérer", ça veut simplement dire "mettre de l'hélium en dessous de 30 m" -- autrement dit, dès la profondeur où on sait qu'on n'y coupera pas. Je ne crois personnellement pas que ce soit le seul choix raisonnable, mais c'en est un, et probablement le moins risqué. Après c'est à chacun de choisir où il met la barre, en fonction du risque accepté (qui ne doit pas être faussé par une minimisation de ce risque à la "j'attends que les effets se manifestent"), de la logistique et des coûts, et des autres paramètres de la plongée (typiquement, sous plafond, on veut encore moins être affecté, même/surtout sans s'en rendre compte).

     

    Ensuite, "savoir quand tu n'es plus dans tes clous", je pense que c'est se voiler la face, justement parce que pour s'en rendre compte il faut les avoir dépassés depuis longtemps.

    @TyphonJe crois qu'on ne se comprends pas sur ce point.

    Pour moi, ne plus être dans les clous veut dire que je commence à ressentir l'effet, pas que je suis dans l'effet. 

    Sortir des clous est sortir de la normalité, donc c'est à ce moment et en fonction de la profondeur que tu as atteint que tu sais si tu continues ou pas.

     

    Je ne sais pas si je suis très clair dans mes explications ?

     

    A+

     

    🍻

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    il y a 3 minutes, Jeff__06 a dit :

    EUh!!

     

    66-79 tu serai plutôt sur 10 martinis, voir la bouteille !

    Oui je sais j'ai une grosse tolérance au Martini 🤣

     

    A+

     

    🍻

     

    À 10 martinis, je serais en PLS 👋 🤣

    Après tout dépend de la taille du verre :D 

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    A moi de m'y coller...

     

    Bon j'ai rien de vraiment flagrant si ce n'est la conscience de tourner "au ralenti"...

    Par contre j'ai du concret avec ma conso… lorsque je dépasse, comme il y a quelques jours en Martinique les 40, voire les 50... ma conso diminue... c'est indéniable... normal je tourne au ralenti ;) 

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    il y a 16 minutes, Typhon a dit :

    En dehors de la narcose, il y a quand même deux leçons à tirer de ça : d'une part, le signe "fin d'exercice" qui est le même que "fin de plongée", c'était pas une super idée pour la clarté de la communication (mais maintenant bon courage pour changer ça), d'autre part, l'examen N4 est vraiment mal foutu puisqu'il pénalise la seule réaction raisonnable dans une plongée réelle sous prétexte que l'examinateur, ce jour-là, aurait voulu rester encore un peu sous l'eau...

     

    il y a 13 minutes, Lagos a dit :

    Saquer un N4 pour ça..

     

    En fait, et si vous voyez la carrure de Jo vous comprendrez, a un moment c'est devenu quand même assez physique, et il m'a dit que dans la bataille ça avait tiré sur son tuyau de détendeur et qu'il avait pris de l'eau.

    Il a considéré que je l'avais mis en danger => éliminatoire. Curieusement pas grand monde dans le jury ne va à l'encontre du président de la CTN :).

     

    Sur le fond on est d'accord que tout ça se résume à un problème de communication, mais même hors examen ça peut vite conduire à des situations périlleuses. Je reste convaincu que sans narcose j'aurais imprimé beaucoup plus vite.

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