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Coronavirus Covid-19


caolila

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C'est avec ce genre de posture qu'on s'est retrouvé avec 20 ans de retard sur le télétravail : "ah ben oui mais alors mon entreprise doit me payer une partie de mon loyer, puis de mon chauffage, puis de la connexion internet...".

Résultat aucune entreprise n'en a fait alors que ça aurait été dans l'intérêt de certains employés de pouvoir le faire.

 

L'assurance de ta voiture ou de ton appart est obligatoire, pourtant on ne te la paie pas non ? Il me semble même qu'on n'a pas le droit de sortir a poil dans la rue, on devrait donc nous fournir des vêtements ? Non si les masques sont obligatoires on n'a pas a te les fournir. En revanche ça serait pas mal qu'il soit possible de s'en procurer.

 

Pour le téléphone, c'est toi qui voit si tu veux agir dans ton intérêt et celui des autres ou pas. Perso je suis beaucoup plus sensible a l'argument sur le flicage et la vie privée qu'à celui sur l'équipement en smartphone...

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il y a 7 minutes, whodive a dit :

et c'est en autorisant tout et n'importe quoi qu'on devient un bon petit mouton

 

j'ai rien contre payer les masques, mais pour des vrais homologues. 

faut arrêter de croire que vous allez sauver la terre en mettant n'importe quoi sur la gueule


On ne vous demande pas d'être un "bon petit mouton", juste d'être un citoyen et un adulte responsable.

Quant aux masques, les "vrais homologués", ils servent aux professionnels de la santé et aux intervenants devant "entrer" dans la bulle d'une personne potentiellement affectée; un simple bout de tissu - et les experts s'entendent là-dessus - est amplement suffisant pour protéger une personne qui garde ses distances et, surtout, va l'empêcher de répandre ses germes à tout vent.

Maintenant, si vous ne voulez pas sortir sans masque homologué, c'est assez simple: restez chez vous avec vos idées arrêtées. Y a des gens pas mal plus importants que vous dans la résolution de cette crise qui, eux, en ont vraiment besoin de ces masques.

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il y a 14 minutes, Nicolas Duguay a dit :

Quant aux masques, les "vrais homologués",(bla bla bla) un simple bout de tissu - et les experts s'entendent là-dessus - est amplement suffisant pour protéger une personne qui garde ses distances et, surtout, va l'empêcher de répandre ses germes à tout vent.

 

les experts s'enchainent et se contredisent 

un virus que t'observe au microscope, toi, t'arrive à le filtrer avec un tissu lambda ?

allons donc, ceci est une fausse bonne idée. 

faut se réveiller et sortir la tête de son cul, sans protection intégrale autant se balader à poil c'est pareil.

 

il y a 14 minutes, Nicolas Duguay a dit :

Y a des gens pas mal plus importants que vous dans la résolution de cette crise qui, eux, en ont vraiment besoin de ces masques.

 

Raison de plus pour ne pas en obliger le port

D'ailleurs étant donné qu'il n'y en aura jamais assez ceci n'arrivera pas.

 

Il n'y a que deux solutions à cette crise:

-vaccin

-immunité collective

 

Le reste c'est juste pour ne pas saturer les hôpitaux.

Donc sans ces deux solutions ça va inévitablement repartir.

 

il y a 33 minutes, Matt a dit :

C'est avec ce genre de posture qu'on s'est retrouvé avec 20 ans de retard sur le télétravail

 

ceci est juste de l'exploitation à domicile

d'ailleurs beaucoup font marche arrière sur ce soit disant rêve

Modifié par whodive
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lu, sur un autre forum

question :

Citation

Et en Afrique ça se passe comment ? Les cas ont l'ai relativement peu nombreux. Il y a une raison particulière à cela ? C'est dû aux caractéristiques du virus, à la bonne gestion par des pays africains habitués aux épidémies qui surviennent régulièrement (autorités comme population), plutôt une incapacité à estimer un nombre crédible de cas ?

réponse :

Citation

Si si ils maîtrisent haut la main ! L'épidémie est sur le point d'être circonscrite et elle n'existe plus d'ici quelques semaines. 

Sérieusement, déjà que en temps normal, la plupart de leurs hôpitaux sont rudimentaire, anarchiques et quand il y a un hôpital correcte, celui-ci est réservé à une infime minorité. 

Donc la plupart des dirigeants africains ont choisi d'adopter la stratégie du dos rond et d'inviter les malades à rester chez eux et prendre l'aspirine pour la fièvre et ... basta !

l'Égypte pratique cette stratégie.

Quand au pays d'Afrique noire, leur système de santé ne sera jamais saturé comme chez nous car tout simplement, il n'existe pas . Ne pas oublier que l'on vit dans le continent doté du système social TTD ultra perfectionné et ultra adaptable .

Système TTD : Tu Te Démerdes !

Et comme, le confinement est quasi impossible économiquement donc les autorités sont forcés d'appliquer la procédure de l'immunité collective. 

Le président du Bénin a reconnu publiquement qu'il lui était impossible de faire le confinement. C'est rare de voir autant de franchise chez un dirigeant.

Par contre  le Maroc a très bien géré, ils ont pris les bonne mesures très vite et sa population semble respecté le confinement. 

 

une illustration, le cas Mada :

https://www.clicanoo.re/AFP/Article/2020/03/23/Coronavirus-limpossible-confinement-de-la-capitale-malgache_602783

 

un autre point de vue, une note du quai d'orsay, l'effet pangolin  :

 

Citation

Objet : Note du CAPS - "L'effet pangolin" : la tempête qui vient en Afrique ?
Résumé
La crise du Covid-19 peut être le révélateur des limites de capacité des Etats, incapables de protéger leur population. En Afrique notamment, ce pourrait être « la crise de trop » qui déstabilise durablement, voire qui mette à bas des régimes fragiles (Sahel) ou en bout de course (Afrique centrale). Vu d’Afrique, le Covid-19 se présente sous la forme d’un chronogramme politique qui va amplifier les facteurs de crise des sociétés et des Etats. Face au discrédit des
élites politiques, il convient de trouver d’autres interlocuteurs africains pour affronter cette crise aux conséquences politiques.

1. La crise de trop sur les appareils d’Etats ?
L’onde de choc à venir du Covid-19 en Afrique pourrait être le coup de trop porté aux appareils d’Etat. Le taux de médicalisation est quasi-nul et les systèmes de santé nationaux peuvent être considérés comme saturés d’office. L’Etat va faire massivement la preuve de son incapacité à protéger ses populations. Cette crise pourrait être le dernier étage du procès
populaire contre l’Etat,
qui n’avait déjà pas su répondre aux crises économiques, politiques et sécuritaires.



Les déclencheurs de la crise politique pourraient prendre plusieurs formes : un nombre trop élevé de décès ; l’effet de comparaison défavorables à certains Etats – notamment francophones – fragiles ou dont les politiques publiques sont défaillantes (Sahel, Afrique centrale) au miroir d’autres Etats africains aux institutions plus solides qui incarnent l’autorité (à l’image du Rwanda ou du Sénégal) ; ou encore le « mort politique zéro » – c’est-à-dire la personnalité dont la mort cristalliserait la contestation, qu’il appartienne au système en place ou à l’opposition. Le risque d’infection d’un dirigeant âgé et souffrant d’autres pathologies pourrait avoir de lourdes conséquences et obligerait à se positionner clairement et rapidement sur la fin d’un système et sur une transition.
De manière plus structurelle, le Covid-19 a deux dimensions économiques spécifiques sur le continent. En Afrique de l’Ouest, les
mesures de confinement saperont
l’équilibre fragile de
l’informel
, économie de survie quotidienne essentielle au maintien
du contrat social. En Afrique centrale, le choc pourrait précipiter la
crise finale de la rente pétrolière au Cameroun, au Gabon et au Congo-Brazzaville (effondrement d’un prix du baril déjà en crise avec la demandé, aggravé par un ralentissement de la production, et risque d’accélération de la réflexion d’opérateurs pétroliers – Total au premier chef – de quitter ces pays), là aussi au cœur des équilibres sociaux. Dans les deux cas, cela pourrait constituer le facteur économique déclencheur des processus de transition politique.
2. Un virus politique
Les villes sont les potentiels épicentres de crises. Au bout de
quelques semaines – certainement assez rapidement – la question du
ravitaillement des quartiers va se poser sous trois formes : l’eau, la
nourriture et l’électricité. Des phénomènes de panique urbaine
pourraient apparaître : elles sont le terreau sur lequel se construisent

les manipulations des émotions populaires. Cette recette fait le
lit d’entreprises politiques
populistes. Ce sont les classes moyennes
en cours de déclassement qui seront les premières fragilisées, car
leur quotidien risque de s’effondrer.
La question de la sélection ne portera pas sur les personnes à sauver médicalement (faute de capacités d’accueil), mais sur les besoins de premières nécessités : quel quartier ravitailler ? quelles autorités locales crédibles peuvent être les relais d’organisation de la distribution ?
quels produits de première nécessité fournir dans une phase attendue de pénurie ? Dans ce contexte, des hausses de la délinquance sont attendues, mettant d’autant plus à l’épreuve l’autorité de l’Etat.
Le
discrédit qui frappe les paroles institutionnelles va en outre s’amplifier. L’information se recompose déjà par le bas, en marge des informations publiques via les réseaux sociaux. Le poids des réseaux sociaux va considérablement peser, a fortiori avec le confinement qui va couper littéralement les sociétés des institutions publiques. Faute de parole publique crédible, les thèses complotistes commencent déjà à fleurir et s’ajoutent aux simples fausses informations pour participer d’une perte de contrôle des opinions publiques. A cela s’ajoutent les dynamiques de rumeurs populaires, lesquelles sont tout autant susceptibles d’être instrumentalisées pour orienter des violences collectives.
3. « Infodemic » : serment d’Hippocrate versus serments d’hypocrites Le répertoire de la morale publique va être mobilisé face à la faillite des gouvernants. L’immanquable détournement de biens publics (à commencer par des masques) et de l’aide sanitaire internationale à venir (déjà dénoncée sous le terme « Covidbusiness ») peut facilement cristalliser l’ultime perte de crédit des dirigeants.
A ce stade, quatre catégories d’acteurs ont la capacité de mobiliser des foules, qui doivent donc d’ores et déjà constituer des interlocuteurs pour nos efforts de gestion de la crise en Afrique.
● Les premiers sont les
autorités religieuses. Si des institutions ont accepté d’accompagner les premières consignes (Eglise catholique, certaines confréries musulmanes), d’autres pourraient vouloir défier l’ordre public pour imposer le leur dans ce moment de faiblesse de l’Etat, des entrepreneurs politico-religieux musulmans au Sahel avec un agenda socio-politique aux Eglises du Réveil sur la Côte avec un agenda plus eschatologique. Ils ont fondé leur succès sur la canalisation politique des émotions populaires.
● Les deuxièmes sont
les diasporas : elles ont un devoir d’information civique. C’est d’Europe, depuis les relais d’information organisés par les diasporas, que sont considérées les informations fiables lues et diffusées sur le Covid à travers l’Afrique francophone.
● Les troisièmes sont
les artistes populaires : ils restent – à quelques exceptions près – des autorités morales crédibles et façonnent les opinions publiques.
● Les quatrièmes sont les
entrepreneurs économiques et les businessmen néo-libéraux. Riches et globalisés, ils se positionnent comme les philanthropes du continent : ils peuvent jouer un rôle s’ils décident d’engager leurs moyens ou de se poser en intermédiaires entre le système de gouvernance mondiale et l’Afrique, mais dans tous les cas, ils souligneront la faillite de l’Etat.
Face à l’incapacité de l’Etat à protéger ses populations et face aux ambitions politico-opportunistes de certains, il convient en outre de soutenir des paroles publiques
d’experts africains scientifiques et spécialistes de la santé. Il existe une communauté scientifique médicale africaine qui peut être mobilisée et soutenue. La crise du Covid-19 va repositionner la perception du bien public en dehors des mains des gouvernants, dans le discours mais surtout dans les rapports de force politique pour le contrôle de l’Etat, pendant et après la crise.
Anticiper le discrédit des autorités politiques signifie accompagner en urgence
l’émergence d’autres formes d’autorités africaines crédibles pour s’adresser aux peuples afin d’affronter les responsabilités de la crise politique qui va naître du choc provoqué par le Covid-19 en Afrique… et sans doute ailleurs.
 

 

 

autrement écrit, sortir de la crise..... peut etre localement, mais, coté international, il va falloir faire une croix sur les voyages à l'étranger, au moins tant qu'un médicament ou qu'un vaccin n'est pas découvert et administré... d'ici là, l'Afrique peut changer.

Modifié par christophe 38
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il y a 29 minutes, Matt a dit :

Pour le téléphone, c'est toi qui voit si tu veux agir dans ton intérêt et celui des autres ou pas. Perso je suis beaucoup plus sensible a l'argument sur le flicage et la vie privée qu'à celui sur l'équipement en smartphone...

 

En même temps, l'argument du "flicage" est essentiellement un problème théorique. Oui, il est théoriquement possible de détourner les données recueillies pour des raisons de santé publiques et s'en servir pour d'autres buts. En théorie. 

En pratique, les services de sécurité (renseignement, enquêtes policières et gendarmerie) sont déjà saturés de réelles menaces à suivre qu'ils ne vont certainement pas se mettre à s'intéresser aux allers et venues du Dupont moyen qui fait ses courses. Et croyez-moi, si un Dupont en particulier devient un "sujet d'intérêt", il va se retrouver assez vite sur le radar, avec ou sans son assentiment.

Sinon, la vie privée, à partir du moment où on l'a échangée contre un compte Facebook, je vois pas comment on peut se plaindre d'autorités qui veulent non pas nous vendre des babioles, mais juste nous protéger collectivement.

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il y a 9 minutes, Nicolas Duguay a dit :

Et croyez-moi, si un Dupont en particulier devient un "sujet d'intérêt", il va se retrouver assez vite sur le radar, avec ou sans son assentiment.

 

Oui et pourtant les dérives peuvent être très nombreuses, il pourrait être tentant pour un dirigeant de suivre les contacts de ses opposants politiques ou de ses amis politiques par ex...

 

Évidemment on peut toujours se dire "j'ai rien a cacher" mais ça pose quand même une question de modèle de société.

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il y a 1 minute, Matt a dit :

 

Oui et pourtant les dérives peuvent être très nombreuses, il pourrait être tentant pour un dirigeant de suivre les contacts de ses opposants politiques ou de ses amis politiques par ex...

 

 

Mais les capacités technologiques pour ce faire sont bien antérieures à l'actuelle crise.

La firme israélienne NSO, par exemple, commercialise actuellement (uniquement pour les gouvernements) un p'tit bijou de logiciel de tracking qui se base sur l'open source, les données de GPS et tout un tas de p'tits trucs aisément disponibles pour suivre à la trace quiconque a un portable, et ce, sans avoir besoin d'installer quoi que ce soit sur l'appareil de la cible. Ils ne font qu'identifier et suivre les p'tites pierres numériques qu'on sème tous derrière nous dès qu'on sort le nez de nos apparts...

Alors, si on pense que le Covid a changé et va changer quoi que ce soit sur ce front... 

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Il y a deux sujets dans cette discussion... 

 

La protection individuelle (on se protège soi même avec un FFP2 ou N95 outre atlantique) et la protection collective (chacun protège les autres). L'efficacité d'un masque DIY sera par définition relative à l'objectif :)

 

Question matériel, il y a plein de choses qui peuvent être utilisés et être plus ou moins efficaces dans le cadre d'une protection collective (sac d'aspirateur par ex.) : 

 

aac&sz=1160

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Il y a 2 heures, christophe 38 a dit :

Si si ils maîtrisent haut la main ! L'épidémie est sur le point d'être circonscrite et elle n'existe plus d'ici quelques semaines. 

Sérieusement, déjà que en temps normal, la plupart de leurs hôpitaux sont rudimentaire, anarchiques et quand il y a un hôpital correcte, celui-ci est réservé à une infime minorité.

Bah pourtant les grandes crises sanitaires ils ont de l'expérience avec Ebola par exemple.

Les réponses correspondent peut être pas a notre point de vue d'Européen (et encore ça se discute quand on voie la gestion de crise actuelle chez nous), mais ils savent faire.

Il y a 2 heures, Nicolas Duguay a dit :

Alors, si on pense que le Covid a changé et va changer quoi que ce soit sur ce front... 

Bah tu rajoutes une bonne pierre avec du bon ciment à l'édifice et ça c'est très mauvais 😡 .

La protection de nos données et le traçage numérique, on a tous les moyens d'agir, il faut s'en servir, après il sera trop tard.

On est qu'aux prémices de l'exploitation du bigdata et du tracking, si on pouvait en rester la ce serait bien.

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Il y a 3 heures, Nicolas Duguay a dit :

Intéressant papier dans une revue sérieuse qui pose de toutes aussi intéressantes questions. Vous en pensez quoi?

 

https://www.sciencemag.org/news/2020/04/france-s-president-fueling-hype-over-unproven-coronavirus-treatment

La conclusion résume tout et je suis 100% d’accord.

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L'article est une bonne synthèse. Mais en fait, les gens confinés n'en ont rien à br...ler de ces querelles. ils ont besoins de masques et de tests massifs, comme en Allemagne.

Pendant qu'on s'écharpe entre pour et contres Hydroxychloroquine, on ne parle pas de l'essentiel (Ah, la "CoCom"...).

 

Tout ce bordel vient des politiques d'austérité qui ont détruit et fermé des services entiers de l'Hôpital public au fil des années. Maintenant, les gens payent ces décisions à courte vue en devant rester chez eux encore pendant des semaines. Juste parce qu'il faut "lisser" la courbe pour ne pas submerger (plus) les services hospitaliers (qui font évidement un travail formidable avec des moyens très dégradés).

C'est pas en restant confinés qu'on atteindra l'immunité collective de 60 ou 70%...

Pendant ce temps, les libertés fondamentales régressent mine de rien...

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