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Coronavirus Covid-19


caolila

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il y a 7 minutes, Scubacastor a dit :

Le passage sur contamination importante liée à des restaurants pendant leur fermeture qui étaient ouverts clandestinement relève à mes yeux d'une explication hautement hallucinante venant de quelqu'un haut placé dans la gestion de la crise sanitaire. 

 

 

Ce passage m'a également fait halluciner et du coup je doute pas mal de la qualité de l'étude.

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il y a une heure, whodive a dit :

Mais il y a été décelé plusieurs types de covid 19 dont certains moins graves que d autres. Et ça c est un fait scientifiquement prouvé 

 

J'ai connaissance de mutations scientifiquement démontré... par contre que ces mutations ait une influence sur la propagation ou la dangerosité cela n'est que rumeur/crainte il me semble. 

il y a 34 minutes, Scubacastor a dit :

Dans l'article homologue du Figaro, on apprend que 33% des contaminations se font dans le cercle familial et 29% au travail ce qui en dit long sur l'efficacité de l'application des gestes barrières et la mise en place du télétravail. On parle timidement de l'école pour dire qu'il y a possibilité de sous-estimation de la transmission par les enfants. 

 

 

Pour moi le 33% des contaminations dans le cercle familiale ... euh   cela me parait logique parce que très très souvent on ne vit pas seul... mais a 2 voir plus... donc si 1 personne se contamine a l'extérieur les chances sont très importante que tout le foyer y passe.

 

Ce qui est important c'est le comment ce virus arrive jusqu'au foyer.

 

29 % au travail (les restos d'entreprises sont inclus?) il reste quasi 40% a trouver  ;)

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Attendez avant de conclure a une étude foireuse, de la lire et la comprendre complètement et non pas en prendre les conclusions et grandes lignes qu'a pu en lire un journaliste aussi bon soit-il. J'y vois surtout des gros copié/collé, assez mal choisit, d'un rapport sur une étude (donc déjà on est dans le a peu prés ...) pour tenter d'expliquer les probables causes de contamination ... Ya des precautions prises et mal retranscrites (assez caractéristiques de rapport d’études, on emploi le conditionnel et on met ceinture et bretelles pour se protéger).

 

Et oui malheureusement pour les restaurateurs, cela vient appuyer ce que l'on savait déjà (d'autres études sont sortie suite à la première vague ....) ....

Apres c'est quand même clair, on se contamine dans les restaurants (alors que les mesures sont censée s'appliquer, de la fermeture a la distanciation ....), dans les repas de famille (où l'on se restaure aussi ....), et oui aussi a l’école (mais oh stupeur on se restaure aussi à la cantine ...).

 

Donc le gouvernement agit la ou il peut, chez les personnes, c'est même pas la peine d'y penser impossible, le lendemain l’Élysée brûles, on fermes les restaurant (malheureusement, ya de la case ... et c'est assez "facile" a faire), mai son maintient les écoles, car il faut que l’école reste ouverte tant que possible (retour d’expérience du premier confinement, et volontés politique de ne pas creuser encore plus le fossé entre élèves, les enfant restent notre avenir, et permettre aussi aux parent de travailler ...)

 

 

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il y a 5 minutes, zoreil41 a dit :

Et oui malheureusement pour les restaurateurs, cela vient appuyer ce que l'on savait déjà (d'autres études sont sortie suite à la première vague ....) ....

 

C'est vrai que la grosse étude parue dans Nature en utilisant la géolocalisation montre que les restaurants sont assez nettement les endroits les plus contaminants. Cette étude a été réalisée dans les grandes villes américaines et la-bas surtout à cette époque le port du masque et des mesures d'hygiène n'étaient pas vraiment appliqués. Du coup, oui les restaurants sont à priori des lieux où le virus est présent mais leurs impacts sur la transmission de la maladie ne sont pas si clairs que ça.

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désolé mais je m'auto quote pour partager un article du Parisien sur les vieux, ce qu'ils touchent et combien ça coute, d'etre un vieux :

Citation

du coté de la réforme des retraites, je ne suis pas certains que des vieux qui touchent 1000-1200 balles par mois, soient le trésor inattendu qui va remplumer la caisse des retraites ; si tu regardes l'endettement de la France, qui était à 94-95% du PIB l'an dernier, il est passé à 120% avec les aides, les soutiens étatiques... ce ne sont pas les "économies", l'argent récupéré grace aux vieux canés qui vont renflouer les caisses...

 donc, le parisien du 15-12, dans son dossier sur les vieux :

Citation

AUSSI ÉTONNANT que cela puisse paraître, c’est bel et bien une première. En partenariat avec « le Parisien » - « Aujourd’hui en France » et en association avec le site indépendant Retraite.com, le groupement de marques Silver Alliance lance aujourd’hui le premier baromètre sur le coût de la vie des seniors. Baptisé de manière incisive « Combien ça coûte d’être vieux en France ? », ce nouvel outil se veut pédagogique et surtout précis sur le prix de la vie à domicile d’un senior de
plus de 65 ans.

Trois profils de revenus et trois tranches d’âge
Car que sait-on au juste des retraités et de leurs dépenses ?
Pas grand-chose. D’innombrables études et enquêtes sont pourtant régulièrement publiées sur eux. On sait qu’ils étaient 16,4 millions fin 2018 (chiffres 2020 de la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques, DREES), que leur pension s’élève en moyenne à 1 382 € net par mois (mais 903 € pour le pensionné de base à taux plein), tous régimes confondus, toujours selon la DREES, et que l’âge moyen de départ à la retraite atteint 62 ans et un mois…
Les retraités français sont aussi parmi les mieux lotis au sein des pays de l’OCDE. Des don
nées, mises à jour au fil des ans,qui ne nous apprennent pas grand-chose en réalité sur leurs dépenses au quotidien.
« J’ai longtemps cherché, et je n’ai rien trouvé, beaucoup de travaux traitent du vieillissement mais sous l’angle de la santé surtout, jamais des dépenses quotidiennes », regrette Benjamin Zimmer, directeur délégué de Silver Alliance, « une alliance d’une vingtaine de marques seniors », revendique-t-il. D’où l’idée de ce docteur en sciences de collecter les données et tarifs des grandes entreprises du secteur afin de savoir précisément le prix de la vie à domicile d’un senior de plus de 65 ans. Finalement, cela donne un baromètre inédit autour de trois profils de revenus et de trois tranches d’âge (+ 65 ans, + 75 ans et + 85 ans) pour mieux coller à la réalité.
« Quand on sait que plus de 85 % des Français souhaitent rester vivre et bien vieillir chez eux, connaître les postes de dépenses à prévoir est essentiel », renchérit Ludovic Herschlikovitz, fondateur et directeur général de Retraite.com. « C’est tout l’objectif de ce baromètre, il s’agit d’offrir une photographie de ce que coûte au quotidien le fait d’être senior », ajoute-t-il. A quoi ça sert de connaître le montant moyen d’une pension de retraité en France si les disparités sont immenses selon les cas ? N’oubliez pas qu’une
emme a souvent une carrière hachée et touche une pension jusqu’à 40 % moins élevée que celle d’un homme », lance Benjamin Zimmer.
Un travail de fourmi « Avec un pouvoir d’achat parfois en berne à la retraite, définir tous les services nécessaires au bien-vieillir à domicile nous a semblé indispensable pour profiter pleinement de sa retraite », conclut Ludovic Herschlikovitz. Ce travail de fourmi pourrait s’avérer doublement utile. Dans le temps d’abord. « Ce baromètre, qui aspire à être annuel, doit nous permettre de suivre l’évolution des prix des produits et services dont ont besoin les seniors », insiste le fondateur de Retraite.com. Souvent considérés comme des privilégiés, les seniors de la génération baby-boomer ne sont pas à mettre dans le même panier. Le
gouvernement en a fait les frais lorsqu’il a tenté en 2018 de relever le taux de la CSG d’une partie d’entre eux et a dû renoncer. Utile aussi à l’heure où l’on reparle de la réforme des retraites et de la loi Grand Age et Autonomie.

 

Entre 584 € et 1 836 € par mois pour vieillir à domicile


COMBIEN ça coûte d’avoir 65, 75, 85 ans et plus dans notre pays ?

Depuis des mois, le groupement de marques seniors Silver Alliance et son associé, le site d’informations Retraite.com, collectent et analysent les tarifs de vingt cinq produits et services de base pour établir le coût du « bien vieillir » chez soi.
Poste par poste, ils ont étudié dans les moindres détails ce que vivre à domicile implique comme dépenses contraintes. Seules sont exclues les dépenses liées au logement (loyer, eau, électricité) et à l’alimentation. « Ces frais varient énormément d’une personne à l’autre, selon son habitation et sa domiciliation, autant de critères que nous ne pouvions comptabiliser

objectivement », précise Benjamin Zimmer, directeur délégué de Silver Alliance. Coût de la mutuelle, des soins dentaires, optiques, auditifs, l’aide à domicile, les aménagements nécessaires (achats de fauteuil, lit médicalisé jusqu’à l’adaptation de la salle de bains) jusqu’aux couches contre l’incontinence (dont le prix varie selon leur usage de jour ou de nuit)… Tout a été passé au crible. Au total, plus de 250 devis ont été réalisés en tenant compte, à chaque fois, des spécificités et de la durée de vie de chaque produit ou service étudié.
Des dépenses calées sur les grilles de tarifs « Nous avons intégré dans nos calculs la durée d’amortissement de chaque produit et de son besoin en fonction de chaque tranche d’âge », précise Ludovic Herschlikovitz, fondateur du site Retraite.com. Le coût d’un téléphone mobile est, par exemple, amorti sur trois ans, contre dix ans pour l’aménagement d’une salle de bains.
De même, le baromètre classe les dépenses en fonc
tion de trois tranches d’âge (de 65 à 75 ans, de 75 à 85 ans et + 85 ans) selon trois catégories de revenus (faibles, moyens et élevés) pour
mieux coller à la réalité de chacun. « A chaque âge, ses besoins », résume Benjamin
Zimmer, qui a tenu compte des retours d’expérience des professionnels et des grilles de tarifs appliquées par les principales marques du secteur. « Typiquement, l’aménagement de la salle de bains, la garde de nuit comme la téléassistance ne sont pas pris
en compte dans tous nos calculs, car on s’est aperçus en discutant avec les enseignes que le besoin se fait ressentir plus tard, plutôt chez les retraités de 85 ans et plus »,
ajoute le professionnel, docteure en sciences.
Ces précautions expliquent les disparités importantes selon les profils calculés au plus près des besoins du senior. Le retraité de 65 à 75 ans doit ainsi faire face à
5 8 4 € d e d é p e n s e s e n moyenne chaque mois, contre 740 € pour les 75 à 85 ans
et 1 836 € pour les plus de 85 ans.

 

 

« Vieillir à domicile a PARDELPHINE DENUIT

MAÏTÉ est une battante. Ancienne employée au service comptabilité de la mairie de Lormont, juste à côté de Bordeaux (Gironde), cette retraitée de 82 ans habite depuis huit ans dans la résidence autonomie Victor-Hugo.
« Cela n’a rien à voir avec un Ehpad, balaie-t-elle. J’y suis complètement indépendante, je vis seule dans un petit pavillon de 35 m
2 que je loue aux côtés d’une trentaine de retraités comme moi. »
Ce choix de vie, qu’elle revendique, lui coûte près de 500 € chaque mois, mais il lui permet de bénéficier d’animations et d’activités fournies par la résidence en plus de services comme la blanchisserie et la restauration. « Tout cela est bien pratique, mais je préfère me faire mes propres petits plats chez moi », précise cette femme de caractère.
Dynamique, Maïté Barsacq n’est pas du genre à se faire assister. Et sait ce qu’elle veut. « J’ai attendu plusieurs années avant de pouvoir y entrer, mais j’y suis arrivée ! » ajoutet-elle, plutôt fière.

Bien manger, c’est cher Fan de voyages, Maïté prend sa retraite dès 49 ans après avoir cumulé 22 annuités, comme le permettait un dispositif spécifique ouvert aux fonctionnaires mères de trois enfants ayant au moins quinze ans de carrière. « Le revers de la médaille, c’est que je perçois une retraite de seulement 1 300 € net (NDLR : l’équivalent à la retraite
moyenne perçue en France)
par mois mais, grâce à ce départ anticipé, j’ai pu visiter des pays d’Asie où la vie est moins chère qu’en France et surtout découvrir la Guadeloupe »,
son coup de cœur, où elle pose ses valises plusieurs années, raconte-t-elle dans un
sourire. Au fil des ans, ses racines bordelaises et l’envie de se rapprocher de ses enfants sur place la rattrapent. De retour à Bordeaux, en 2005, elle ne souhaite pas « peser » sur ses enfants ni sur leur propre vie et lorgne pendant plusieurs années la résidence Victor-Hugo. « En attendant, j’ai habité chez des amis, des proches », confie-t-elle.
Aujourd’hui, elle profite à plein de ce que lui apporte la vie tout en faisant très attention à ses dépenses. Car, une fois les diverses charges payées (électricité, transport, téléphonie et Internet…), il lui reste environ 500 € pour manger, s’habiller et sortir dès qu’elle le peut. « Cette somme, c’est un minimum pour vivre… Bien manger coûte cher et je préfère me passer de certains aliments mais me nourrir correctement », affirme-t-elle, cons
ciente qu’« il est plus facile de vivre avec 500 € en province qu’à Paris ». Surtout, Maïté a « conscience d’être privilégiée » en tant qu’issue de la génération des papys et mamies boomers. « J’ai eu beaucoup de chance, même si rien ne vient tout seul, temporise-telle. Cela ne m’empêche pas de me faire beaucoup de soucis pour les jeunes et évidemment pour mes enfants
et petits-enfants, dont la vie s’annonce bien plus difficile. »
L’un de ses petits-fils, qui travaille dans la restauration, est au chômage partiel depuis le premier confinement, tandis qu’un autre, musicien, peine à joindre les deux bouts en cette période de crise.

Crainte et amertume
« Je les aide et je mets de côté dès que je peux, mais ce n’est pas toujours évident, même pour moi, car il m’arrive d’être à découvert », note-telle, déçue de ne pas pouvoir en faire plus. « Je n’ai pas de bien et j’ai mal placé l’argent que j’avais épargné, je ne m’en suis jamais occupée et j’ai beaucoup perdu », reconnaît la retraitée avec un peu d’amertume.
Sa plus grande crainte ? « Ce serait de perdre mon autonomie, souffle-t-elle. J’y pense souvent et c’est compliqué, car je ne voudrais pas que mes enfants soient obligés de me gérer et que leur vie en pâtisse, mais je sais aussi que je n’aurai jamais assez d’argent pour me payer
un Ehpad », conclut-elle

 

bref, voici un peu à quoi sont confrontés nos vieux....

 

prochaine étape, soleil vert ? il nous reste un peu moins de 2 ans (2022...)

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il y a 9 minutes, brenique a dit :

La preuve que l'on ne croit pas à la contamination durant les repas : L'Elysée organise des repas à plus de 10 personnes...:rolleyes:

Oui et ils sont tous confinés , elle est belle la France.

Faite se qu'on vous dit ,nous on fait  la fête??????

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