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Coronavirus Covid-19


caolila

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il y a une heure, whodive a dit :

Déjà ce n'est pas le protocole Raoult car cette étude n'a pas associé l'antibiotque...

 

Apres en étude sérieuse j'ai aussi vu ça passer: https://www.msn.com/fr-be/actualite/coronavirus/covid-19-une-étude-chinoise-randomisée-donne-raison-au-professeur-raoult/ar-BB11Yj15?ocid=sf

Il serait interessant de lire des etudes des Grecs ou des Portoricains 2 pays qui ont adopté tres rapidement des le debut des symptômes le protocole a base de chloroquine avec les resultats que l'on ne peut qu'admirer vs les nôtres 

 

Maintenant faire le lien.....?

 

Pour le nombre de dc declarés hier on etait passé devant les Espagnols...on va voir ce soir...

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il y a 16 minutes, Nicolas Duguay a dit :

Non, pas plus.

 

je te cite concernant la mise en doute de l'étude américaine

 

Le 22/04/2020 à 15:34, Nicolas Duguay a dit :

C'est typique des théoriciens du complot, comme méthode de défense: Rejeter les conclusions des études de contrôle et de vérification sous prétexte qu'elles ne répètent pas - dans le moindre détail - la méthodologie ou le raisonnement bancale de l'étude initiale... 

 

il y a 15 minutes, brenique a dit :

Il serait interessant de lire des etudes des Grecs ou des Portoricains 2 pays qui ont adopté tres rapidement des le debut des symptômes le protocole a base de chloroquine avec les resultats que l'on ne peut qu'admirer vs les nôtres 

 

il semble y avoir une étude brésilienne favorable au protocole Raoult.

Mais bon si celle là est également jugé mauvaise

Il y a 17 heures, Nicolas Duguay a dit :

Bon. Un autre pelletée de terre sur le cadavre de la réputation du pauvre druide qui commence à être enterrée fort creux:

 

https://www.lapresse.ca/actualites/sciences/202005/14/01-5273604-covid-19-lhydroxychloroquine-nest-pas-efficace-selon-deux-etudes.php

 

 

 

Citation

None of the 15 patients who received a combination of hydroxychloroquine and azithromycin was transferred to intensive care and none died. 

 

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il y a 1 minute, whodive a dit :

 

je te cite concernant la mise en doute de l'étude américaine

 

 

 

Oui. Ça me semblait assez clair: on ne peut dire n'importe quoi, n'importe comment, hors d'un cadre normatif et basé sur rien d'objectivable et exiger que ce bruit de fond puisse être considéré comme valable en tant que base de discussion. 

Bref, on peut et on doit cracher sans ménagement sur les études bancales et les théories du complot et accorder tout le respect qu'elles méritent aux études sérieuses qui respectent les normes scientifiques. 

 

C'est plus clair comme ça? :)

il y a 31 minutes, LA LOUBINE a dit :

Tout à fait.

 

A part ça on dirait que les protocoles sont beaucoup plus importants que les morts....

 

 

 

La base en médecine, c'est "First, don't Harm"

 

Alors oui, le protocole est important et c'est grâce au protocole qu'au final, il va y avoir moins de morts. 

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Citation

Fifthly, because we included only patients admitted to hospital, we cannot reach a conclusion about the possible efficacy of hydroxychloroquine in preventing covid-19 or in preventing severe forms of the disease. Finally, our study was not designed to assess the efficacy of the association of hydroxychloroquine and azithromycin, and no conclusion about its efficacy can be reached. Further research is ongoing.

 

bon ben ils le disent eux même ! ils ne sont pas capable de réfuter le protocole Raoult car pas etudié

 

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il y a 9 minutes, Nicolas Duguay a dit :

C'est ce que tout le monde dit: il n'y a pas d'efficacité démontrée. C'est tout. C'est parce que c'est en anglais que vous ne comprenez pas ou quoi???

 

ben c'est pas ce qui est écrit. Il est écrit que ce protocole n'a pas été étudier. 

Donc comment peut on démontrer l'efficacité ou l'inefficacité ?

 

Ils font exprès de tout étudier sauf ce protocole c'est quand même dingue

Modifié par whodive
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il y a 12 minutes, Nicolas Duguay a dit :

 

Oui. Ça me semblait assez clair: on ne peut dire n'importe quoi, n'importe comment, hors d'un cadre normatif et basé sur rien d'objectivable et exiger que ce bruit de fond puisse être considéré comme valable en tant que base de discussion. 

Bref, on peut et on doit cracher sans ménagement sur les études bancales et les théories du complot et accorder tout le respect qu'elles méritent aux études sérieuses qui respectent les normes scientifiques. 

 

C'est plus clair comme ça? :)

 

La base en médecine, c'est "First, don't Harm"

 

Alors oui, le protocole est important et c'est grâce au protocole qu'au final, il va y avoir moins de morts. 

Ce n'est pas la question dans le cas présent; l'urgence a fait que des traitements ont été essayés.

 

Et pour notre marseillais, son traitement a des résultats comparativement à d'autres régions/départements.

 

Et son traitement est aussi employé en Afrique.

 

 

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Parce que les chercheurs ne croient pas en la magie et aiment isoler les variables: si deux molécules sont inefficaces contre le Covid-19, rien n'indique, objectivement, qu'elles vont soudainement devenir efficaces lorsqu'elles sont mises ensemble. 

Vulgairement parlant, on résumerait ainsi: deux mauvaises idées ne font pas une bonne idée lorsque mises bout à bout... 

il y a 1 minute, LA LOUBINE a dit :

 

Et son traitement est aussi employé en Afrique.

 

 

... en Afrique... C'est pas pour me rassurer sur le sérieux de l'affaire... :)

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il y a 10 minutes, whodive a dit :

 

Ils font exprès de tout étudier sauf ce protocole c'est quand même dingue

 

C'est pour pas coller la honte à Raoult 🤣

 

Il y a 1 heure, whodive a dit :

Dans l'article que tu sites j'ai trouvé ça

 

Les patients inclus furent hospitalisés entre le 4 et 28 février 2020. Tous avaient une PCR Covid-19 positive (test qui confirme l’infection). Tous avaient une pneumonie. Leur saturation en oxygène était dans les normes. Les patients trop sévères ont été exclus de l’étude.

 

  Donc ça veux dire que ça soigne bien mais uniquement ceux qui ne sont pas trop malade?

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Une idée des américains :

Inoculer le coronavirus à de jeunes volontaires, un moyen de trouver plus vite un vaccin ?

Par Sacha MARTINEZ

L’initiative est née aux États-Unis, il y a quelques semaines. Plus de 20 000 personnes se sont portées volontaires pour se faire inoculer le virus du Covid-19. Le but ? Aider les chercheurs à mettre au point un vaccin plus rapidement. Un pari risqué mais intéressant, d’après Bruno Pitard, directeur du Centre de recherche en cancérologie et immunologie Nantes-Angers.

L’idée semble folle. Pourtant, elle pourrait faire gagner des mois dans la recherche d’un traitement ou d’un vaccin contre le Covid-19. Il y a quelques semaines, est né un mouvement appelé 1DaySooner (1JourPlusTôt).

Le but de cette initiative ? Trouver des jeunes volontaires prêts à se faire inoculer le nouveau coronavirus responsable du Covid-19. Et déjà, plus de 20 000 personnes ont répondu à l’appel. L’idée est d’aider les scientifiques à trouver plus rapidement un vaccin.

« Cela peut réduire la durée pour créer un vaccin »

« Clairement, cela peut réduire la durée pour créer un vaccin », confirme Bruno Pitard, chercheur au CNRS spécialisé dans les stratégies vaccinales. Un constat également fait par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dans un communiqué du 6 mai : « Ces études pourraient non seulement accélérer le développement d’un vaccin contre le Covid-19, mais aussi augmenter les chances qu’il soit plus efficace. »

Pour le comprendre, il faut savoir comment sont testés les vaccins : « Tout se passe en trois phases », explique Bruno Pitard. La première consiste à vérifier que le vaccin n’est pas toxique et qu’il produit bien des anticorps. « Elle se fait sur 50 à 100 personnes saines », précise le chercheur.

La seconde phase se construit de la même manière que la première. Mais elle demande un plus grand nombre de patients. Mais c’est surtout pour la troisième phase que l’initiative américaine pourrait s’avérer essentielle : « Dans la phase 3, on teste l’efficacité du vaccin. Car ce n’est pas parce qu’il entraîne une production d’anticorps qu’il protège efficacement contre le virus » , insiste le scientifique.

Dans un schéma classique, cette troisième phase est menée sur des personnes déjà touchées par le Covid-19. Ou qui se trouvent dans un environnement à risques. « Par exemple dans les zones de cluster ou sur une population comme les soignants », illustre Bruno Pitard.

Un essai clinique qui soulève des questions éthiques

Seulement, avec le confinement et le renforcement des mesures barrières, la circulation du virus a largement ralenti. Une bonne nouvelle. Mais cela complique le travail des chercheurs.

« Pour tester un vaccin, il faut le faire sur une population où le virus circule. Et pas quand on sera arrivé à cette phase 3, peut-être que ces zones-là n’existeront plus », poursuit le chercheur du CNRS.

 

 
 
À droite, le professeur Bruno Pitard dans son laboratoire de l’Institut de recherche thérapeutique de Nantes. (Photo : Marc Roger / Ouest-France)

 

Dans ces conditions, créer le vaccin prendra forcément plus de temps. C’est là qu’intervient l’essai clinique sur les 20 000 volontaires. Seulement plusieurs problèmes se posent. Sur un plan éthique, d’abord : « Les risques encourus par les volontaires sont une raison importante de s’inquiéter de ce type d’essai », explique l’Américaine Seema Shah, experte en bioéthique, dans un rapport de l’OMS.

Ces risques peuvent cependant être maîtrisés, afin de s’astreindre à une méthodologie rigoureuse, d’après Bruno Pitard. « Oui, il n’existe pas de traitement. Mais si l’on choisit des candidats âgés de 18 à 45 ans, en bonne santé, on réduit très largement les risques. » En effet, d’après le rapport de l’OMS, seulement 0,03 % des patients âgés de 18 à 30 ans sont morts du Covid-19.

Mais l’âge ne fait pas tout. Pour réaliser ce type d’essai dans les meilleures conditions possible, le chercheur du CNRS estime qu’il faudrait que tous les patients soient suivis dans une clinique. « Cela permettrait de mettre les patients sous respirateur au moindre problème et de limiter le nombre de cas critiques. »

Un essai clinique impossible en Europe

Ce type d’essai clinique a déjà été utilisé dans l’histoire pour créer des vaccins. Notamment contre le choléra ou encore la dengue. Mais la loi a beaucoup évolué sur ces questions. La Convention d’Oviedo, un accord européen signé en 1997 pour prévenir les abus en biomédecine, stipule par exemple que « l’intérêt et le bien-être des êtres humains doivent prévaloir sur l’intérêt exclusif de la société ou de la science ».

Autrement dit, impossible de voir un tel essai aboutir en Europe. Les États-Unis, eux, réfléchissent encore à la question. Et Bruno Pitard de conclure : « Je ne sais pas si cela sera faisable, mais la démarche est intéressante. Et assez altruiste, en un sens. »

 
 
 
 

 

il y a 57 minutes, Nicolas Duguay a dit :

 

... en Afrique... C'est pas pour me rassurer sur le sérieux de l'affaire... :)

L'Afrique c'est grand... et ils doivent faire avec les moyens du bord.

 

Ils traitent aussi en Espagne et au Portugal disait @brenique   : un commentaire qui doit encore moins te rassurer.....

 

Bref, les résultats se mesurent sur la ligne d'arrivée, pas sur la ligne de départ.

 

On verra bien.

 

 

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