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Plonger après le COVID


alain.max27

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il y a 5 minutes, CMDC a dit :

Mon 'Toff, lis(bien) mes posts précédents

du 8 mai sur la préfecture maritime de méditerranée

C'est ce qui trouble la 2F et qui lui fait envoyer des mails à tous ....

j'etais allé le chercher, celui là : https://www.google.com/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=1&ved=2ahUKEwjlyN63u7HpAhWzAGMBHYScDwEQFjAAegQIAxAB&url=https%3A%2F%2Fwww.premar-mediterranee.gouv.fr%2Fuploads%2Fmediterranee%2Farretes%2F7f34369f7b72f9d468ccbdb335fc4daf.pdf&usg=AOvVaw1KIW_qnHDb2bbpj_z04uYs

 

simplement, dans la lecture du texte, il n'est pas prévu, experessément, la plongée..

qu'elle se déroule dans les 300 m ou au delà (et la zone des 300 est de la responsabilité du maire)

 

donc, faut encore attendre

 

Demande à Patrick ou à Philippe leur lecture... je serai surpris qu'elle diverge

 

et la 2f est dans son role de lobbying (année electorale, en plus) en envoyant les bras pour qu'on ne l'oublie pas et qu'elle demande à ses adherents de faire pression sur les politiques pour faire évoluer le sujet..

 

mais, si la voile, si le motonautisme sont interdit, je ne vois pas comment le fait de sortir en bateau, meme pour plonger, serait autorisé

Modifié par christophe 38
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il y a une heure, christophe 38 a dit :

Demande à Patrick ou à Philippe leur lecture... je serai surpris qu'elle diverge

 

Citation

 j'ai eu la confirmation du maire en réunion publique ce soir.
La gendarmerie maritime m'a indiqué qu'il n'y a pas de soucis en cas de contrôle.
Je devrais avoir aussi la confirmation par mail des affaires maritimes.... demain.

La cacophonie administrative a été noyée dans l’œuf .

L'arrêt de la préfecture maritime a prévalu 

On peut plonger

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Il y a 23 heures, autrichon gris a dit :

Je patauge avec une question dans la tête depuis des jours amis médecins plongeurs du forum:

 

Il semble selon la presse que jusqu'à 50% des personnes qui ont chopé le virus soient porteurs asymptomatiques. Soit.

 

Ceci m'interpelle à plus d'un titre.

1/Si on est asymptomatique (tant mieux pour soi) je comprends qu'on peut le transmettre, mais comme on ne tousse pas ni n'éternue, c'est quoi par la sueur ? Ou en embrassant quelqu'un sans doute ou lui serrant la main après s'être frotté le nez ? Mais depuis le confinement on ne fait plus ni l'un ni l'autre...

 

2/Est ce que l'organisme lutte quand même contre le virus si on a pas de symptômes ? Si oui combien de temps ?

2A/ l'organisme lutte et gagne, par définition j'ai pas eu de symptomes je ne le sais pas, et je ne sais combien de temps ça a duré, ni combien de temps j'ai pu le transmettre aux autres

2B/l'organisme ne lutte pas (le virus à pas l'air de le déranger) je suis contagieux à vie ?

 

Quelle angoisse... 🥵

 

un élément de réponse à ta question 1.  :

 

Les microgouttelettes de salive générées par la parole peuvent rester suspendues dans l’air d’un espace fermé pendant plus de dix minutes, selon une expérience publiée ce mercredi dans la revue PNAS et qui souligne le rôle probable des microgouttelettes dans la pandémie de Covid-19.

Le poids des microgouttelettes

 

La propagation du nouveau coronavirus Sars-Cov-2 par la toux et l’éternuement est bien connue, mais lorsque l’on parle, on projette également des microgouttelettes invisibles de salive qui peuvent contenir des particules virales. Plus elles sont petites, plus elles restent longtemps en suspension dans l’air, tandis que les plus lourdes, par l’effet de la gravité, vont retomber plus vite au sol.

La transmission par l’air expiré est bien étudiée pour des virus comme celui de la rougeole, qui est l’un des plus contagieux connus et est capable de se loger dans des gouttelettes microscopiques, mais les chercheurs tentent encore de quantifier ce mode de contamination pour le Sars-Cov-2.

12 minutes dans l’air

 

Des chercheurs de l’Institut national du diabète et des maladies digestives et rénales ont fait parler une personne dans une boîte fermée, à l’intérieur de laquelle un laser était projeté. Chaque gouttelette émise traversait le laser de façon visible, ce qui permettait de quantifier leur nombre au fil du temps.

Dans l’expérience, la personne répétait, avec une voix forte, "Stay healthy" (portez-vous bien) pendant 25 secondes.

Les gouttelettes sont restées dans l’air en moyenne 12 minutes.

En prenant en compte la concentration connue du coronavirus dans la salive, les scientifiques estiment qu’une parole forte peut générer l’équivalent par minute de plus de 1000 gouttelettes contaminées capables de rester en suspension dans l’air pendant 8 minutes ou plus, dans un espace fermé.

"Cette visualisation directe démontre que la parole normale génère des gouttelettes dans l’air qui peuvent rester en suspension pendant des dizaines de minutes ou plus, et sont éminemment capables de transmettre une maladie dans un espace confiné", concluent les chercheurs.

Parler moins fort ?

 

Dans des travaux publiés en avril dans la revue NEJM, la même équipe avait observé que parler moins fort engendrait relativement moins de gouttelettes.

Confirmer le niveau de contagiosité de Sars-Cov-2 par la parole, et pas seulement par des postillons ou des gouttelettes de salive tombées sur des interrupteurs, des rampes ou des poignées de portes, aidera à justifier scientifiquement le port du masque, désormais recommandé dans de nombreux pays -- et à expliquer la forte contagiosité du virus.

 

En ce qui concerne tes questions 2 et subsidiaires,  je crois qu'aucun scientifique sérieux ne se risquera à donner une réponse définitive dans l'état actuel des connaissances du covid-19, hélas, donc faudra bien aller voir un psy pour soigner ton angoisse 😉

 

Modifié par PierreD
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Moi avec cette saloperie, je me pose une question con, car je ne suis pas médecin (donc ma compréhension des phénomène de la respiration et des échanges sanguins sont très limités), et je suis plongeur, donc ya quelques truc qu'on m'as appris (genre les échanges gazeux dans les poumons c'est vachement important dans notre activité).

 

Si j'ai bien suivi, Covid attaque sérieusement les poumons et on peux observer des patient assez atteints a ce niveau la. Certain (et même un majorité) des personnes le contractant, sont asymptomatiques (ou tellement peu qu'ils ne s'en aperçoivent pas ...). Je me dis que même si on est asymptomatique, il ya des dégâts dans les poumons, donc on vas avoir des plongeur, asymptomatiques qui vont se lancer dans des plongée "pepere" , mais qui vont sans le savoir passer les limites (limites qui ont été très réduite par les dégâts causé par la maladie ...).

 

Vas t'on se retrouver avec une hécatombe (traditionnelle avec la reprise ...) d'accident et de morts dans notre communautés ? Fraudas t'il se faire dépister (sérologie ...) pour savoir si on as été confronté, et donc peut être faire des examens médicaux complémentaires ?

 

Peu d'infos las dessus, alors que nous devrions faire preuve de prudence ....

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il y a 25 minutes, PierreD a dit :

 

 

 

En ce qui concerne tes questions 2 et subsidiaires,  je crois qu'aucun scientifique sérieux ne se risquera à donner une réponse définitive dans l'état actuel des connaissances du covid-19, hélas, donc faudra bien aller voir un psy pour soigner ton angoisse 😉

 

 

J'ai un excellent psy: la plongée ! 

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Il y a 17 heures, CMDC a dit :

La cacophonie administrative a été noyée dans l’œuf .

L'arrêt de la préfecture maritime a prévalu 

On peut plonger

 

Malheureusement, il semble que non.

Retour en arrière toute ... en attente des accords maire / préfet au cas par cas

Les Affmar en ont marre, ..., eux aussi

Modifié par Amore
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Alors heureux ?

 

«L’hypoxie heureuse», le nouveau et mystérieux symptôme de la COVID-19

 
AFP
 
Journal de Montréal

Lundi, 4 mai 2020 10:57

 

Perte d'odorat et de goût, douleurs nerveuses, confusion, crises convulsives accidents vasculaires cérébraux (AVC), enfants relativement épargnés : les symptômes et observations cliniques du nouveau coronavirus ne cessent de surprendre les experts du monde médical.

 

L’une des dernières «surprises» est la constatation par des médecins d’un certain état de «bien-être relatif» chez des patients en désaturation en oxygène, rapporte la revue scientifique Science.

En effet des patients avec des niveaux extraordinairement bas d'oxygène dans le sang, appelés l'hypoxie, s’amusent sur leurs téléphones, arrivent à discuter avec les médecins et se décrivent comme étant plutôt «confortables».

Les médecins-cliniciens les ont même qualifiés : les «hypoxiques heureux».

«Il y a un décalage entre ce que nous voyons sur le moniteur et ce de quoi a l’air le patient devant nous», explique Reuben Strayer, médecin urgentiste au Maimonides Medical Center de New York.

S'exprimant depuis son domicile alors qu'il se remettait lui-même de la COVID-19, le Dr Strayer dit qu'il a été frappé pour la première fois par le phénomène en mars alors que des patients se précipitaient dans sa salle d'urgence.

Même chose au Royaume-Uni où le Dr Jonathan Bannard-Smith, spécialiste des soins intensifs au Manchester Royal Infirmary, a constaté que certains patients ignorent que leur saturation en oxygène est très faible.

Une saturation normale en oxygène est d'au moins 95%. Chez certains patients atteints par la COVID-19, elle peut être de 70, 60, 50 et même moins, et ceux-ci ne semblaient pas en souffrir.

«Nous ne verrions généralement pas ce phénomène avec la grippe ou la pneumonie communautaire», a-t-il déclaré. «C'est un exemple de physiologie très anormale qui se déroule sous nos yeux.»

Un autre médecin atteint par la COVID-19 se dit convaincu d’avoir expérimenté cette hypoxie heureuse, alors qu’il était malade chez lui.

Après avoir eu de la toux et de la fièvre, le Dr Mike Charlesworth est passé 48 heures au lit, au cours desquelles il n’avait aucun signe d’hypoxie.

«J'envoyais des messages très étranges sur mon téléphone. J'étais essentiellement délirant. Avec le recul, j'aurais probablement dû venir à l'hôpital. Je suis à peu près sûr que mes niveaux d'oxygène étaient bas», a-t-il ajouté.

«Ma femme me disait que mes lèvres étaient foncées. J'étais probablement hypoxique et mon cerveau ne fonctionnait probablement pas très bien», ajoute-t-il.

Les patients atteints de coronavirus parlent de ce nouveau symptôme étrange comme d’un «pétillement».

 

Coagulation excessive?

Des théories sur les causes de «l'hypoxie heureuse» émergent, car de nombreux médecins reconnaissent la coagulation comme une caractéristique majeure de la COVID-19 sévère.

Une légère coagulation pourrait commencer tôt dans les poumons, peut-être à la suite d'une réaction inflammatoire dans leurs vaisseaux sanguins fins, ce qui pourrait déclencher une cascade de protéines qui incite le sang à coaguler.

Le Dr Strayer trouve également raisonnable d'imaginer que l'hypoxie peut être causée lorsque «de petits vaisseaux sanguins du poumon sont couverts de caillots».

Son hôpital et d'autres commencent à tester de nombreux patients atteints de coronavirus pour détecter les marqueurs de la coagulation excessive et à traiter ceux qui le montrent avec des anticoagulants.

Toutefois des études devront être conduites afin de déterminer si ce traitement pourrait apporter des bénéfices concluant à grande échelle.

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Il y a 3 heures, Amore a dit :

 

Malheureusement, il semble que non.

Retour en arrière toute ... en attente des accords maire / préfet au cas par cas

Les Affmar en ont marre, ..., eux aussi

Il n'empêche que ce soir sur le site web des de la préfecture maritime, il n'y a toujours pas de changement concernant le décret du 8 mai

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Probable ...

Mais c'est une difficulté rencontrée sur plusieurs littoraux où les gens cherchent des solutions pour "sauter / catapulter" du port à au delà de la bouée des 300m ...

Les échos sur les réseaux sociaux ainsi que dans les médias commencent à en faire état.

 

Pour autant, une opinion juridique pourrait être contradictoire ; comme celle de P. Dunac ci-dessous

 

L’article 9.II et ses interprétations
La confusion semble provenir d'une erreur d’interprétation de l'article 9.II qui fixe l'interdiction des activités nautiques et de plaisance au départ les plages, lacs et plans d'eau. En effet, certains lecteurs prétendent y voir une portée générale de l'interdiction des activités nautiques et de plaisance, sans considération de ce que cette interdiction est limitée, au sens de l'article 9.II, aux activités qui s'exercent au départ des plages, lacs et plans d'eau.
La préfecture Maritime de l'Atlantique tout comme celle de la Manche et de la mer du Nord semblent d'ailleurs soutenir, sur ce fondement erroné, que l'accès à la mer à partir des ports devrait être réglementée par les préfets départementaux sur demande des maires, au cas par cas.
De même, il semble que certaines autorités (DDCS, Gendarmerie nautique) aient cru devoir tirer de cet article une compétence singulière des maires et préfets départementaux susceptible de contrecarrer la compétence exclusive du préfet Maritime en matière de navigation.
Or, cet accès à partir des ports relève de la compétence de la préfecture Maritime.


Discussion
L’article 9.II dispose : « L'accès aux plages, aux plans d'eau et aux lacs est interdit. Les activités nautiques et de plaisance sont interdites. Le préfet de département peut toutefois, sur proposition du maire, ou, à Saint-Martin et à Saint-Barthélemy, du président de la collectivité, autoriser l'accès aux plages, aux plans d'eau et aux lacs et les activités nautiques et de plaisance si sont mis en place les modalités et les contrôles de nature à garantir le respect des dispositions de l'article 1er et de l'article 7. »
Cet article s’applique aux activités pratiquées sur les plages, plans d’eau et lacs et ne concerne nullement l’accès à la mer à partir des ports.
Au demeurant l’arrêté 062/2020 de la préfecture maritime de la Méditerranée du 8 mai 2020 autorise la navigation à partir du 11 mai 2020 et rappelle les pouvoirs habituels des maires :
L’article L2213-23 du code général des collectivités territoriales rappelle les pouvoirs de police du maire en ce qui concerne les « baignades et les activités nautiques à partir du rivage avec des engins de plage et des engins non immatriculés. » Cette police s'exerce en mer dans la bande des 300 mètres.
L’article L5331-8 du code des transports qui indique « L'autorité investie du pouvoir de police portuaire exerce la police du plan d'eau qui comprend notamment l'organisation des entrées, sorties et mouvements des navires, bateaux ou autres engins flottants.
Elle exerce la police des marchandises dangereuses.
Elle contribue au recueil, à la transmission et à la diffusion de l'information nautique. »
Cet article ne confère aucune compétence nouvelle au maire ou au préfet départemental par rapport à la règlementation existante et appliquée indépendamment de la situation de crise sanitaire actuelle.
Jusqu’alors, l’interdiction de navigation en mer Méditerréanée avait pour seul fondement l’arrêté n° 054/2020 du 24 avril 2020 du préfet Maritime, désormais abrogé et remplacé par l’arrêté 062/2020 qui autorise, du 11 mai au 1er juin, sous conditions qu’il précise, la navigation.


Conclusion
En conséquence nous sommes aujourd’hui, sauf les restrictions apportées par cet arrêté en Méditerranée (ex. 10 passagers maximum), dans la situation juridique qui existait avant la crise sanitaire.
Dès lors, les maires et préfets n’ont pas compétence pour autoriser ou interdire la navigation en mer et l’accès à la mer à partir des ports.

 

Comme pour les EPI, qui a le temps pour une bataille judiciaire pour montrer son bon droit à aller se trmper les fesses dans l'eau ?

Modifié par Amore
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Communiqué de la FFS sur la reprise de la plongée spéléo. Courbe de sécurité... 

Reprise des activités : conditions acceptées par le ministère des Sports (validité : 11 mai - 2 juin 2020)
La spéléologie est autorisée dans les cavités de classe 3 maximum (*) et limitées à quelques dizaines de mètres de dénivelé cumulé et quelques centaines de mètres de développement. Les cavités pratiquées ne devront pas présenter d'étroitures et devront permettre la circulation des sauveteurs et d'une civière sans intervention supplémentaire (désobstruction, ...) en cas de secours.
Le canyonisme pourra être pratiqué dans tous les canyons dont la cotation ne dépasse pas V3 pour le caractère vertical (*).
Les plongées spéléologiques s'effectueront dans les courbes de sécurité et pour des durées maximales d'une heure.
Le bureau fédéral.

 

Vous êtes pas sortis de l'auberge en mer :)

 

 

 

 

  • Haha 1
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Voici un article qui fait le point sur les données connues actuellement sur l'immunité et la protection après le COVID-19:

https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2020/04/29/coronavirus-et-immunite-des-premieres-pistes-et-beaucoup-d-inconnues_6038160_4355770.html

 

Je le trouve bien fait.

 

Les données actuelles sont limitées et ne concernent qui plus est que la partie "facile" à tester de la réponse immunitaire que sont les anticorps.

Ce qu'on appelle l'immunité cellulaire -les globules blancs- reste largement inexplorée pour l'instant. Ainsi des personnes qui développent peu d'anticorps peuvent être immunisées quand même, et vice-versa.

 

Seules des études épidémiologiques au long cours (plusieurs années) donneront des réponses fiables sur la protection immunitaire.

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Il y a 3 heures, LGF a dit :

Les données actuelles sont limitées et ne concernent qui plus est que la partie "facile" à tester de la réponse immunitaire que sont les anticorps.

Ce qu'on appelle l'immunité cellulaire -les globules blancs- reste largement inexplorée pour l'instant. Ainsi des personnes qui développent peu d'anticorps peuvent être immunisées quand même, et vice-versa.

Pour être plus exact :

- Certains globules blancs (les plasmocytes, une catégorie de lymphocytes) produisent des anticorps et les relarguent : c’est la réponse immunitaire à médiation humorale
- D’autres globules blancs (granulocytes, macrophages, autres lymphocytes, etc.) agissent directement sans larguer d’anticorps : c’est la réponse immunitaire à médiation cellulaire.


Ce qui se dose plus facilement c’est effectivement ce qui est relargué dans le plasma et donc les Anticorps.

 

Pour le reste j’ai pas encore lu l’article 😅

Modifié par DocTroll
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La Fedas a envoyé ses consignes pour la reprise de la plongée du côté espagnol...

Je vous mets le fichier ici (en espagnol).

 

Protocolo COVID 19 FEDAS sello DGMM.pdf

 

En gros ils différencient la plongée à son propre compte avec son propre matos et  juste son binôme... La conclusion c'est : aucun problème.

 

Pour la plongée en club, ya des consignes comme port du masque en tissu en continu quand on est pas dans l'eau, rincage matos au jets d'eau + bain de desinfectant,etc...

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Il y a 23 heures, stef75 a dit :

Communiqué de la FFS sur la reprise de la plongée spéléo. Courbe de sécurité... 

Reprise des activités : conditions acceptées par le ministère des Sports (validité : 11 mai - 2 juin 2020)
La spéléologie est autorisée dans les cavités de classe 3 maximum (*) et limitées à quelques dizaines de mètres de dénivelé cumulé et quelques centaines de mètres de développement. Les cavités pratiquées ne devront pas présenter d'étroitures et devront permettre la circulation des sauveteurs et d'une civière sans intervention supplémentaire (désobstruction, ...) en cas de secours.
Le canyonisme pourra être pratiqué dans tous les canyons dont la cotation ne dépasse pas V3 pour le caractère vertical (*).
Les plongées spéléologiques s'effectueront dans les courbes de sécurité et pour des durées maximales d'une heure.
Le bureau fédéral.

 

Vous êtes pas sortis de l'auberge en mer :)

 

 

 

 

Tu sens la réponse qui a été écrite pour faire plaisir au ministère. Pour le reste c’est reparti comme en 40 ....

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