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Plongeur.com - Le site de la plongée sous marine

Question sur le GF LOW


Kimsora

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il y a 22 minutes, Alain Foret a dit :

À mon moins que ce soit un effet de compensation de valeurs.

Bühlmann indique bien prendre toujours 2 m (0,2 bar) de plus que la profondeur fond.

Complément :

Dans les directives du modèle de Bühlmann, il n'y pas a pas de conversion de profondeur en fonction  de la masse volumique de l'eau. Il y a, en revanche, la marge de 0,2 bar (2 m) supplémentaire. Dans l'exemple, le passage par la masse volumique ou par les 0,2 m arrive au même résultat.

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Il y a 5 heures, Alain Foret a dit :

 

La conversion pression/profondeur n'a qu'un but : fournir une information lisible par le plongeur.

 

Peut-être, mais comme tu le disais plus tôt, pour comparer il faut savoir de quoi on parle. Le sujet était  en gros « pour une plongée de 30 minutes à 30 m, quels sont les paliers ». 30 m, c'est une profondeur, pour entrer dans le modèle il faut une pression, pour faire la conversion il faut impérativement connaître la densité de l'eau.

 

Dit autrement : une plongée « sous 30 m d'air » ne donnerait aucun palier. Une plongée sous 30 m de mercure, en dehors des autres problèmes qu'elle poserait, donnerait plusieurs jours de remontée.

 

 

Il y a 3 heures, Alain Foret a dit :

Dans les directives du modèle de Bühlmann, il n'y pas a pas de conversion de profondeur en fonction  de la masse volumique de l'eau. Il y a, en revanche, la marge de 0,2 bar (2 m) supplémentaire.

 

La conversion de la profondeur en pression ne peut se faire qu'avec la masse volumique. Si elle n'apparaît habituellement pas dans les calculs, c'est parce que la plupart du temps on considère qu'elle vaut 1, dans l'unité qui va bien (donc la multiplication se simplifie). En l'occurrence, c'est le cas si on considère que 2 m correspondent à une pression de 0.2 bars. C'est correct en eau douce, pas tout-à-fait en mer où on serait plus proche de 0.206 bars.

 

Ça n'a aucune importance pour le plongeur, parce que comme tu le dis il n'a qu'à se contenter de suivre les instructions calculées en bars et affichées en mètres, et peu importe s'il est réellement à 3 m de la surface ou un tout petit peu en dessous tant que la pression ambiante est la bonne.

 

Ça peut éventuellement avoir un petit effet observable si, pour la même plongée, on utilise plusieurs outils qui ne font pas la même hypothèse. Par exemple, si je connais la profondeur en mètres précise d'une épave, que je planifie en considérant que 0.2 bars <=> 2 m, et que je fais ensuite cette plongée en mer. Mon ordinateur m'affichera alors par exemple une profondeur légèrement plus importante que prévu au fond (et le temps de palier sera un peu plus élevé si je suis le même profil).

 

Mais bon, autant c'est bien de l'avoir en tête quand on veut programmer un planificateur, autant pour les « connaissances opérationnelles » du plongeur moyen on repassera.

Modifié par Typhon
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il y a 22 minutes, Typhon a dit :

 

Peut-être, mais comme tu le disais plus tôt, pour comparer il faut savoir de quoi on parle. Le sujet était  en gros « pour une plongée de 30 minutes à 30 m, quels sont les paliers ». 30 m, c'est une profondeur, pour entrer dans le modèle il faut une pression, pour faire la conversion il faut impérativement connaître la densité de l'eau.

 

Dit autrement : une plongée « sous 30 m d'air » ne donnerait aucun palier. Une plongée sous 30 m de mercure, en dehors des autres problèmes qu'elle poserait, donnerait plusieurs heures de remontée.

 

 

 

La conversion de la profondeur en pression ne peut se faire qu'avec la masse volumique. Si elle n'apparaît habituellement pas dans les calculs, c'est parce que la plupart du temps on considère qu'elle vaut 1, dans l'unité qui va bien (donc la multiplication se simplifie). En l'occurrence, c'est le cas si on considère que 2 m correspondent à une pression de 0.2 bars. C'est correct en eau douce, pas tout-à-fait en mer où on serait plus proche de 0.206 bars.

 

Ça n'a aucune importance pour le plongeur, parce que comme tu le dis il n'a qu'à se contenter de suivre les instructions calculées en bars et affichées en mètres, et peu importe s'il est réellement à 3 m de la surface ou un tout petit peu en dessous tant que la pression ambiante est la bonne.

 

Ça peut éventuellement avoir un petit effet observable si, pour la même plongée, on utilise plusieurs outils qui ne font pas la même hypothèse. Par exemple, si je connais la profondeur en mètres précise d'une épave, que je planifie en considérant que 0.2 bars <=> 2 m, et que je fais ensuite cette plongée en mer. Mon ordinateur m'affichera alors par exemple une profondeur légèrement plus importante que prévu au fond (et le temps de palier sera un peu plus élevé si je suis le même profil).

 

Mais bon, autant c'est bien de l'avoir en tête quand on veut programmer un planificateur, autant pour les « connaissances opérationnelles » du plongeur moyen on repassera.

Bonjour Typhon,

 

Pour les tables de Bühlmann, quand il indique 30 m, il calcule avec 32 m (publication d'origine).

Et pour 32 m, il prend 0,95 (P.ATM) + 3,2 = 4,15 bars.

 

Il indique également pour les plongées à l'air que la TN2 de départ est 0,75 (0,95 x 0,79) et non 0,79.

 

Il indique également qu'il faut prendre en compte l'air alvéolaire (vapeur d'eau + CO2 : 0,063 bar).

 

J'ai pris cela en compte dans le Simulateur Plongée Plaisir car sans cela, on ne retrouve pas les paliers indiqués dans ses tables imprimées.

 

Rien de bien méchant 🙂

 

/** Donc si un algorithme se revendiquant de Bühlmann fait autrement,

/** autant que ce soit indiqué en commentaires.

 

Sources :

- A. A. Bühlmann, Decompression, Decompression Sickness, Springer-Verlag, 1984

- Mark Powell, Deco for Divers, Aquapress, 2021 

 

Les paramètres d'un modèle ne se résument pas au seul choix des demi-vie, M0 et D (ou coef. a et b), il y a aussi les autres paramètres.

 

 

Bien cordialement,

Alain Foret

Modifié par Alain Foret
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Je ne m'énerve pas, désolé si ça a été pris comme ça.

 

Je pense qu'il y a eu une confusion sur plusieurs termes qu'il aurait suffit de définir pour se mettre d'accord.

 

Première étape : Bühlmann donne un modèle de la saturation des gaz dans le corps qui, comme tu l'as dit plus haut, dépend de la pression ambiante (et pas de la profondeur -- c'est d'ailleurs une des différences principales avec les modèles de Workmann antérieurs, qui est en partie liée au fait que Bühlmann s'intéresse à la plongée en altitude, avec une conversion moins évidente).

 

Ce modèle est essentiellement une mise en équation mathématique de l'entrée et de la sortie de l'azote dans l'organisme. Ces équations font intervenir la pression ambiante, ainsi qu'un certain nombre de coefficients qui permettent à la fin de savoir si, oui ou non, un profil de plongée (fond + remontée) est acceptable ou pas. En résolvant ces équations, on peut alors calculer une remontée qui permet de sortir, selon la prévision du modèle, en sécurité.

 

Il n'est pour l'instant par question ni de densité de l'eau, ni de marge de sécurité : ni l'une ni l'autre ne changent la façon dont l'azote circule dans l'organisme à une certaine pression ambiante.

 

Deuxième étape : pour les plongeurs, il est nettement plus commode de parler de profondeur que de pression ambiante. Pour que la présentation leur parle, il faut donc convertir la profondeur en pression et inversement, afin de partir des données d'entrée (« j'ai plongé à 30 mètres »), d'en calculer quelque chose (en terme de pression ambiante, puisque c'est comme ça que le modèle est fait), puis d'en ressortir une information pertinente pour l'utilisateur (« arrête toi à 6 m », et pas « à 1.6 bars »).

 

Pour pouvoir faire cette conversion, il est indispensable de connaître la masse volumique de l'eau dans laquelle on plonge. Pour autant, il ne s'agit pas d'une donnée fondamentale du modèle, mais simplement d'un paramètre, au même titre que la profondeur ou le temps fond réalisés. Tu en conviendras sûrement, l'inverse n'aurait aucun sens, puisque c'est un nombre qui change partout sur terre -- contrairement par exemple à la pression alvéolaire de CO2 qui ne dépend pas de si je plonge en Méditerranée ou sous terre dans le Lot.

 

Troisième étape : Bühlmann utilise son modèle pour calculer des tables de plongée. Contrairement à l'ordinateur, ces tables ne s'adaptent pas à la plongée « réelle » : pour être tranquille (on dit parfois « aller dans le sens de la sécurité »), il décide d'ajouter une petite marge à la profondeur prévue. Il décide arbitrairement que cette marge sera de « 2 m, ou 0.2 bars ».

 

Ainsi, lorsque sa table présente les paliers à réaliser pour « 30 m / 30 minutes », elle les a en réalité calculé pour « 32 m / 30 minutes ».

 

Et c'est là qu'intervient d'une certaine façon un choix de densité : dire « mes 2 m correspondent à 0.2 bars », stricto sensu, revient implicitement à considérer une plongée en eau douce. Mais ça n'a pas une grande importance : finalement, qu'il s'agisse de 2 m, de 0.2 bars, ou d'un tout petit peu plus ou moins, ça ne va pas changer le principe, qui est « j'ajoute une petite marge pour être sûr d'avoir des paliers suffisants ». En revanche, si les tables sont effectivement marquées en profondeur et calculées « en eau douce », alors il faut au choix utiliser un indicateur de profondeur basé sur la pression ambiante et lui aussi calibré pour l'eau douce (et la profondeur réelle sera légèrement moins importante en mer), soit faire les adaptations nécessaires.

 

Quatrième étape : les plongeurs de 2022 écrivent leur propre planificateur/calculateur de décompression, de façon plus ou moins poussée.

 

Les équations de Bühlmann sont publiques, relativement simples à programmer, et les procédures associées ont fait leurs preuves. Sans surprise, c'est donc sans doute le modèle implémenté par la majorité des programmeurs, avec quelques variations le cas échéant.

 

Est-ce que pour autant ils se sentent obligés de suivre les mêmes choix que ceux qu'il a eu à faire pour générer ses tables ? À mon sens, non, parce que l'objectif n'est pas le même ! McLean programme un ordinateur de plongée, il n'a pas besoin de prendre une « marge de sécurité de 2 m au cas où » parce qu'il dispose en temps réel de la profondeur (ou pression ambiante) exacte atteinte. De même, lorsque j'utilise un planificateur (que ce soit mon propre prototype ou un logiciel plus complet), c'est dans l'optique de connaître un plan de décompression pour une profondeur précise -- et si je veux prévoir un dépassement, je demande un calcul avec le même dépassement.

 

Mon objectif n'est donc pas (contrairement au tien, si je comprends bien, mais je me trompe peut-être) de recalculer à l'identique les tables de Bülhmann, mais d'utiliser son modèle pour planifier une plongée. À ce titre, il est effectivement logique que nous n'observions pas les mêmes résultats que toi, puisque tu intègres par exemple cette marge de sécurité qui n'a pas de sens dans mon cas.

 

Il se trouve que pour arriver exactement au même temps total de plongée que toi, en plus de cette marge de sécurité, j'ai dû modifier légèrement la pression en surface et la densité de l'eau. C'était mon commentaire quelques messages plus haut. Pour autant, je n'arrive pas non plus exactement aux mêmes paliers (je crois avoir une minute d'écart entre 3 et 6 m) -- une partie donc s'explique peut-être simplement par d'autres détails (notamment, certains coefficients intermédiaires sont légèrement différents après quelques chiffres significatifs, et je n'ai pas vérifié si nous utilisions le même compartiment court ou pas).

 

Il me semble qu'à la fin on est sur la même longueur d'onde...

Modifié par Typhon
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Il y a 1 heure, Typhon a dit :

Et c'est là qu'intervient d'une certaine façon un choix de densité : dire « mes 2 m correspondent à 0.2 bars », stricto sensu, revient implicitement à considérer une plongée en eau douce.

Tant qu'on est dans les virgules, je rajoute mon grain de sel.

Δp = ρ×g×Δz

avec g = 9,81 N/kg (et pas 10N/kg comme on simplifie souvent)

il a considéré de l'eau salée (masse volumique moyenne ρmer=1025kg/m³ d'après wikipédia)

Δp = 1025×9,8×2 = 20110 Pa = 0,201 bar

et pas de l'eau douce

Δp = 1000×9,8×2 = 19620 Pa = 0,196 bar

 

Par contre, je ne comprends pas le choix de P₀ = 0,95 bar.

  • Merci 1
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Le 06/07/2022 à 11:02, Alain Foret a dit :

b) Pour remonter, on vérifie que Tgn ne dépasse pas Mp.

 

Imaginons, sur un seul compartiment pour simplifier :

M0 = 2,96

M3 = 3,49

M6 = 4,03

 

Comme notre TN2 est de 3,19 bar, on viole la remontée si on remonte à la surface car TN2 dépasse M0.

En revanche, aucune violation à 3 m car M3 = 3,49.

Voilà pour une calcul de M-Values à 100% (sans GF).

 

c) Même calcul que b) mais avec un GF unique pour toute la désaturation

Les GF ne résultent pas d'une étude scientifique.

Ce sont une simple astuce mathématique.

Ils ne font donc pas partie du modèle.

Ils consistent juste à prendre un pourcentage de la M-Value donnée par la modèle (voir b) pour rendre la désaturation plus sévère.

 

Exemple GF = 80%.

 

On obtient alors (attention, il ne suffit pas de multiplier le GF par 80%, la formule est plus complexe mais à ce stade, admettez le résultat, le vrai calcul n'apporte aucun élément de compréhension) :

 

M3gf = 3,05

M6gf = 3,54

 

Par rétro ingénierie (c'est le bon mot pour ne pas dire tâtonnement), il me semble que la formule plus complexe (dont justement je ne veux pas juste admettre le résultat, mais bien comprendre d'où ça sort…) que tu utilises est de la forme

M3gf = 1,3 + (3,49 - 1,3)*0,8

1,3 c'est la pression totale à 3m, 3,49 c'est la tension max admissible en gaz neutre et 0,8 le GF.

En tout cas ça me donne les mêmes résultats pour M3gf et M6gf que ceux que tu donnes.

 

Si c'est bien ça, pourquoi on mélange des pressions totales et des tensions partielles (qui se ramènent à des pressions partielles) ?

 

Si c'est pas ça, ben, je veux bien une explication aussi… 😉 

 

Merci.

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il y a 47 minutes, RaniK a dit :

Tant qu'on est dans les virgules, je rajoute mon grain de sel.

Δp = ρ×g×Δz

avec g = 9,81 N/kg (et pas 10N/kg comme on simplifie souvent)

il a considéré de l'eau salée (masse volumique moyenne ρmer=1025kg/m³ d'après wikipédia)

Δp = 1025×9,8×2 = 20110 Pa = 0,201 bar

et pas de l'eau douce

Δp = 1000×9,8×2 = 19620 Pa = 0,196 bar

 

Par contre, je ne comprends pas le choix de P₀ = 0,95 bar.

Bonsoir,

 

Vous vous évadez totalement du sujet.

 

Bühlmann considère 0,2 (2 m) de plus.

C'est écrit dans son livre que vous invite à découvrir.

 

Pour ce qui est de l'eau de mer avec une masse volumique différente de l'eau douce, je pense qu'en 2022 nous sommes un certain nombre de personnes à être au courant.

 

Cordialement,

Alain Foret

il y a 26 minutes, RaniK a dit :

 

Par rétro ingénierie (c'est le bon mot pour ne pas dire tâtonnement), il me semble que la formule plus complexe (dont justement je ne veux pas juste admettre le résultat, mais bien comprendre d'où ça sort…) que tu utilises est de la forme

M3gf = 1,3 + (3,49 - 1,3)*0,8

1,3 c'est la pression totale à 3m, 3,49 c'est la tension max admissible en gaz neutre et 0,8 le GF.

En tout cas ça me donne les mêmes résultats pour M3gf et M6gf que ceux que tu donnes.

 

Si c'est bien ça, pourquoi on mélange des pressions totales et des tensions partielles (qui se ramènent à des pressions partielles) ?

 

Si c'est pas ça, ben, je veux bien une explication aussi… 😉 

 

Merci.

Mp = M0 + D x p.

Workman, 1965.

Voir plus haut, toutes les formules sont citées.

 

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il y a 5 minutes, Alain Foret a dit :

Bonsoir,

 

Vous vous évadez totalement du sujet.

 

Bühlmann considère 0,2 (2 m) de plus.

C'est écrit dans son livre que vous invite à découvrir.

 

Pour ce qui est de l'eau de mer avec une masse volumique différente de l'eau douce, je pense qu'en 2022 nous sommes un certain nombre de personnes à être au courant.

 

Cordialement,

Alain Foret

Je ne faisais que répondre à @Typhon que non, 2m implique 0,2 bar, ne revenait pas à considérer qu'on était dans de l'eau douce.

C'est tout, rien de plus.

 

Il y a une tension (sic) dans ce fil que je n'arrive pas à comprendre…

 

On pourrait peut être tous commencer par ne pas considérer que les autres sont des demeurés / incompétents / emmerdeurs / donneurs de leçon / … Je suis désolé si j'ai pu moi même donner cette impression mais ce n'était pas du tout mon intention. J'aimerais juste sincèrement éclaircir certains points qui restent obscures pour moi…

 

Cordialement (en espérant que nos échanges puissent réellement l'être…)

  • Merci 1
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Je connais un laboratoire de recherche de Jussieu (Dont un ancien intervenant de ce forum est professeur émérite) qui travaille depuis des années sur le comportement des micro-bulles dans les solutions saturées, et qui vous donnera mal au crâne, si il vous communique ses formules de calcul de saturation. 😅

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Perso je suis du genre a vouloir comprendre,,, mais quand la marche est trop haute je préfère laisser tomber.

 

La plongée est un loisir pour moi...   alors je ne vais quand même pas commencer a décortiquer les algos des ordis de plongée  fait par des gars qui passent des jours et des jours et encore plus  dessus...c 'est leur job

 

Bon après quand je vois la "merde" que certain collègue (moi aussi certainement parfois) développent...   j'avoue que l'idée de "vérifier" les calcul n'est pas si saugrenue que cela... mais c'est du loisir  et si on n'arrive plus a faire un minimum confiance et bien on ne fait plus rien... 

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il y a 47 minutes, caolila a dit :

Perso je suis du genre a vouloir comprendre,,, mais quand la marche est trop haute je préfère laisser tomber.

 

C'est gentil de m'expliquer (à demi mot) que je suis trop c** pour comprendre. 😉

(Note : je ne m'en offusque pas du tout, la tournure est beaucoup plus bienveillante que ce que j'ai reçu jusque là).

 

Je ne vais pas poser mes coui**** diplômes sur la table pour savoir qui à les plus gros(ses), mais je pense pouvoir m'attaquer à cette marche ci.

 

@berny La physico-chimie des milieux (et donc les différents modèles fins de sat/désat) n'est clairement pas ma spécialité en physique (loin de là) et me donnera sans aucun doute très mal à la tête. Mais là n'est pas la question.

 

Je veux simplement savoir comment sont définis ces f***ing GF. Comme le disait @Alain Foret ce n'est qu'une "astuce" mathématique pour décaler une droite (enfin c'est ce que j'ai retenu de son discours). Bref, a priori, il y a juste une histoire de pourcentage et d'interpolation linéaire (un élève de seconde est capable de faire ça). Encore faut-il définir précisément les points de référence et de quelle(s) quantité(s) on prend le pourcentage. C'est tout ce que je demande (Je commence doucement à avoir des réponses à mes questions).

 

 

il y a 47 minutes, caolila a dit :

Bon après quand je vois la "merde" que certain collègue (moi aussi certainement parfois) développent...   j'avoue que l'idée de "vérifier" les calcul n'est pas si saugrenue que cela... mais c'est du loisir  et si on n'arrive plus a faire un minimum confiance et bien on ne fait plus rien... 

Ce n'est pas un problème de confiance. Je ne doute pas que plein de gens savent ce qu'ils font, je voudrais juste qu'ils m'expliquent.

 

Bien cordialement

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il y a 22 minutes, RaniK a dit :

C'est gentil de m'expliquer (à demi mot) que je suis trop c** pour comprendre. 😉

(Note : je ne m'en offusque pas du tout, la tournure est beaucoup plus bienveillante que ce que j'ai reçu jusque là).

non non non... je n'ai pas dis cela.... je parlais de MOI désolé si tu l'as mal pris

 

 

Et quand je dis la marche trop haute je pense aussi au temps qu'il faut y consacrer. Parce que même si tu(je) n'es pas trop con il faut du temps pour faire le tour du sujet...  et que comme c'est du loisir (la plongée) ben il est peut etre superflus de chercher a tout comprendre....

 

 

 

il y a 22 minutes, RaniK a dit :

Je ne vais pas poser mes coui**** diplômes sur la table pour savoir qui à les plus gros(ses), mais je pense pouvoir m'attaquer à cette marche ci.

 

Ouh la la par contre je crois que la discussion va déjà pas mal dans ce sens... ;)  

 

Perso je m'en tape de tes diplômes... j'en ai aussi mais pas les mêmes,  mais ici je pense que nous sommes pas mal a avoir autre chose entre les oreilles qu'un petit pois .

Beaucoup ici ont aussi (beaucoup) d'expérience... et cela il ne faut le sous-estimer.

 

Combien de jeunes sont arrivés au taf avec des super-diplômes  ben ils n'étaient pas tous bons très loin de là.

 

il y a 22 minutes, RaniK a dit :

Ce n'est pas un problème de confiance. Je ne doute pas que plein de gens savent ce qu'ils font, je voudrais juste qu'ils m'expliquent.

 

Ah ça c'est une curiosité saine... j'apprécie je suis pareils.... mais comme c'est du loisir, du temps... et que mon temps libre n'est pas infini je fais d'autres choix que de décortiquer les algos de GF ;)

 

:biere:

 

PS: P... que la préparations des voyages plongées prends beaucoup de temps et je ne parle même as de l'écriture des CR et le traitement des photos :)

 

Modifié par caolila
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il y a 23 minutes, caolila a dit :

 désolé si tu l'as mal pris

Comme je te le disais je ne l'ai pas du tout mal pris. Au contraire, ça m'a fait sourire.

 

il y a 23 minutes, caolila a dit :

mais ici je pense que nous sommes pas mal a avoir autre chose entre les oreilles qu'un petit pois .

Beaucoup ici ont aussi (beaucoup) d'expérience... et cela il ne faut le sous-estimer.

C'est justement ce qui me fait rester sur p.com et c'est bien pour ça que je pose mes questions ici et pas ailleurs.

 

il y a 23 minutes, caolila a dit :

Perso je m'en tape de tes diplômes...

Confidence pour confidence, moi aussi je m'en tape royalement de mes diplômes (et c'est pour ça que je n'en dis rien), mais il y en a certains qui ne comprennent que ça…

 

il y a 23 minutes, caolila a dit :

Ouh la la par contre je crois que la discussion va déjà pas mal dans ce sens... ;)  

On est d'accord là dessus (et je crois aussi sur plein d'autres choses)

 

:biere: aussi

Modifié par RaniK
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Amusant le ping-pong avec des bulles de Deco

 

Dans le respect des uns et des autres, je remercie particulièrement Laurent @bardass et Alain @Alain Foret qui font des interventions sourcées et argumentées.

 

Il est effectivement urgent d'attendre le travail complet et après publication avant de s'en emparer hâtivement pour n'utiliser que des bribes et s'en servir de démonstration.

 

Il clair aujourd'hui que trop de plongeurs s'attachent aux outils disponibles et pas assez sur leur moi intérieur. En cela j'inclue leur 1er ordinateur (celui qu'ils sont censés avoir entre les 2 oreilles) mais également leur état de forme et les facteurs favorisant que cela implique.

Hors aucun algorithme ne prend en compte cela.

 

Pour mémoire, dixit le dernier éditorial de subaqua, la population des plongeur a vieilli de 10 ans en 20 ans pour se situer dans la tranche des 41-50 ans. Pour les cadres, c'est 50 ans et plus.

 

L'utilisation de GF serait peut-être une des solutions pour permettre cette personnalisation, mais elle n'est pas la seule. La profondeur, la durée, la température, le nombre de plongées par jour, par semaine (stage et/ou vacances), les gaz respirés, les facteurs pénalisant, l'hygiène de vie, voir le renoncement, comptent au nombres des outils à disposition des plongeurs.

 

J'étais encore choqué dimanche dernier croisant 3 plongeurs qui venaient déposer leur bloc sur un bateau et en redescendre la cigarette au bec.

 

On voit bien, que la maîtrise des GF est loin d'être partagée par tous les possesseurs des ordinateurs de plongée (même des Galileo et autres Peregrine). Il serait certainement plus facile pour eux d'intégrer les conseils de prévention propres à l'activité, si ces conseils étaient déjà plus rappelés et notamment au premier chef, hydratez-vous et pisser dans votre combinaison n'est pas un crime, comme je l'ai encore entendu cette semaine. Car qu'en vous interdisez aux plongeurs de le faire, ils ne boivent pas assez et se mettent donc en danger.

 

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il y a 10 minutes, PlongeurSDF a dit :

si ces conseils étaient déjà plus rappelés et notamment au premier chef, hydratez-vous et pisser dans votre combinaison n'est pas un crime

Ce n'est peut etre pas un crime mais perso j'évite quand je plonge dans mon coin.... :D

 

 

J'suis en étanche

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