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Peregrine ou perdix ?


Mathis07

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    Bonsoir, 

    la question que je pose parait idiote cependant je vous explique ma situation : je suis actuellement plongeur N2 en route vers le N3 avec bientôt sont nitrox confirmée (1 an). Je souhaite évoluer pour plus tard vers la plongée technique avec des mélanges trimix et dans la profondeur. 
    Le peregrine ne permet pas le trimix sauf que pour l’instant j’en utilise pas, je l’utiliserai dans un futur proche de 5 ans mais actuellement il m’est inutile. Donc la question se pose, mieux vaut prendre un peregrine adapté à mon niveau que j’utiliserai pleinement (sans la sonde d’ailleurs parce que vue le prix de la gestion d’air je m’en passerai) ou prendre le perdix, que j’utiliserai vraiment pas à sont maximum pendant un moment mais qui me permet de ne pas changer d’ordi tout le temps ? En gros es que le perdix ne va pas avoir de défaillance si j’utilise que très peu de ça capacité et es que les capteurs et l’informatique tiennent une 10/ 15 ans. 

    Je plonge 30/40 fois minimum par an en milieu naturel. 

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    Bonsoir. 

    J’ai acheté un perdix ai depuis un an et ai pu comparer un peu avec le peregrine des copains. 


    Tout d’abord, la gestion de l’air avec la sonde, que j’utilise, n’est évidemment pas indispensable, mais très pratique. L’info est directement lisible devant les yeux et on peut suivre l’évolution de sa conso.

     

    Le compas intégré au perdix et absent du peregrine est très bon. Précis, réactif et affichable de plusieurs façons. Il a sans aucun regrets avantageusement remplacé mon compas mécanique Suunto.

     

    Le trimix, comme tu le rappelles, est évidemment géré par le perdix. 
    Petit détail qui peut avoir son importance, les GF sont modifiables pendant la plongée uniquement sur le perdix.

     

    Le perdix permet d’autres modes orientés tek très customisables et donc  un affichage adapté à chacun et à chaque plongée.

     

    Les deux écrans sont assez similaires en taille et lisibilité.

     

    J’utilise une petite batterie li-ion rechargeable pour le perdix, mais à peu près n’importe quoi va dedans ! Piles, accu… Cependant, le peregrine a une batterie intégrée. Bien, mais quand elle est morte ou fatiguée…retour usine si je ne me trompe pas.

     

    Je suis vraiment ravi du perdix et ne regrette pas de l’avoir choisi, d’autant plus que comme toi je souhaite passer au trimix.

    Pourquoi le peregrine si, d’une part tu souhaites faire du trimix, même dans plusieurs années, et d’autre part tu as le budget. Je suppose d’ailleurs, sans polémique aucune, que si tu envisages le trimix, tu n’es pas trop serré niveau budget, mais c’est juste une supposition qui me permet de te donner mon avis.

     

    Je reste effaré du prix déraisonnable pour un tel objet, comme pour celui des phares, mais j’ai énormément de plaisir à l’utiliser et sais pouvoir le conserver de longues années si je le souhaite.

     

    Les copains possédant un peregrine, n’envisageant pas le trimix, pas orientés tek et au budget plus raisonnable, en sont cependant très content.

     

    Donc mon conseil va au final sans hésitation au perdix dans ton cas. 

    Edited by Falcopop
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    Je suis Niveau 3 et possesseur d'un PEREGRINE que je trouve absolument TOP.

     

    Pourquoi pas le PERDRIX ou le TERIC?

    J'ai un compas SUUNTO qui fait très bien le taf' pour l'orientation (d'ailleurs j'en ai rarement besoin), donc je n'ai pas l'utilité d'un compas numérique

    Mon PERDRIX m'a couté un peu plus de 450 euros....le PERDRIX en coûte plus du double......

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    Salut 

    N3 , j’avais encore un Aladin de 1ère génération qui m’a bien servi et avec mon âge , la vue qui n’ a plus 20 ans , j’avais difficile à voir les indications.

    Apres avoir vu mon binôme qui possède un ordinateur écran couleur et je savais voir les informations c’était décidé il me fallait un appareil couleur, après plusieurs recherches, il ne me fallait pas une usine à gaz donc ordinateur simple et efficace, je ne plonge qu’à l’air et je suis tombé sur le Peregrine pas mal du tout, réglage simple et le top il prévient par vibrations les informations paliers .

    De plus écran éclairé ça m’a changé de mon Aladin .

    Appareil de très bonne qualité et pour moi c’est génial .

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    Possesseur du Teric, je peux juste dire qu’il ne faut pas sous-estimer l’intérêt de la sonde de pression. 
    On voit de plus en plus de personnes considérer ça comme leur source principale et unique. 
    Et je ne serai pas surpris que dans un an, tu te poses la question de l’achat d’une sonde. 
     

    En tout cas, l’essayer c’est l’adopter 😊
    Et je me pose la question de supprimer mon manomètre mécanique. 
     

    Donc je vote Perdix 😉

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    Il y a 2 heures, Kimsora a dit :

    Pourquoi pas le PERDRIX ou le TERIC?

    Effectivement si tu ne souhaites pas faire de plongées trimix, ça ne se justifie pas forcément.

     

    Mais notre ami l'envisage, alors...

     

    @Falcopop : Même si tu n'envisages pas le trimix dans l'immédiat, rien ne t'empêche de plongée à l'air "comme au trimix". Cela te fera un bon entraînement pour plus tard (un p'tit peu de profondeur en  moins).

    Partir sur des plongées profondes en préparant un runtime (bien plus succinct, c'est certain), en embarquant deux gaz de déco' et en gérant tout ça de manière sérieuse (plan the dive, dive the plan).

    Comme cela la formation trimix n'est plus qu'une formalité (hors le coût).

    • J'aime 2
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    il y a 21 minutes, Jimbo a dit :

    En tout cas, l’essayer c’est l’adopter 😊
    Et je me pose la question de supprimer mon manomètre mécanique. 
     

     

    tout a fait, j'ai depuis quelques mois a présent remplacé le gros mano-mecanique par un mano bouton.

    Pourquoi simplement histoire de pouvoir avoir l'indication de la pression a l'ouverture du robinet... moi ou tout autre personne... ok c'est du pifometre mais tu vois si l'aiguille monte a 200 juste un peu au dessus ou en dessous et si c'est juste 100 les choses sont claires.

     

    Ma femme c'est pareil... et elle le vit très bien ça fait aussi un truc en moins qui se balade et qu'il faut ranger...

     

    Les sondes ont évolué et les maladies de jeunesse ne sont plus..

     

    Après sonde ou mano les 2 peuvent avoir un souci...   le résultat sera le même 

    • J'aime 1
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    Il y a 2 heures, Jimbo a dit :

    Possesseur du Teric, je peux juste dire qu’il ne faut pas sous-estimer l’intérêt de la sonde de pression. 
    On voit de plus en plus de personnes considérer ça comme leur source principale et unique. 
    Et je ne serai pas surpris que dans un an, tu te poses la question de l’achat d’une sonde. 
     

    En tout cas, l’essayer c’est l’adopter 😊
    Et je me pose la question de supprimer mon manomètre mécanique. 
     

    Donc je vote Perdix 😉

    salut

     

     

    chacun son choix...

    quand tu plonges en palanquée, que tu sois autonome ou guide, que penses tu des copains qui cachent leur mano en le plaçant contre eux ou dans une poche ?

    la sonde, c'est pareil ! l'info "n'appartient" qu à celui qui a l'ordi.

     

     

    j'en ai eu, j'en ai plus.

     

    chacun ses modeles ; je suis, depuis (put'1) 10 trimix hypo

    et avant j'ai été normo..

     

    quel rapport ? pas forcement que le nombre de sondes (quoique)

    mais, mes ainés, ceux que j'ai voulu suivre, ceux qui m'ont servi d'exemple n'avaient pas de sonde. En effet, tu peux te dire que je suis un perroquet que je repete ce que les "grands" ont dit ou ont fait.

    mais, parmi les raisons,

    le cout

    la pile,

    la fragilité,

    le fait que l'info pression soit compliquée à communiquer et qu'il faille la demander.

     

    bref, regarde dans les configurations complexes, chez les plongeurs profonds ce qui est majoritaire et demande toi pourquoi .

    • J'aime 1
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    Salut @christophe 38

     

    Je suis plus ou moins d'accord avec toi.

     

    mais perso je ne reviendrais plus sur l'utilisation des sondes. J'ai sur chacun de mes détendeurs (1er et.) une sonde ET un mano bouton.

     

    La pression est donc lisible si besoin.  dailleurs le mano bouton de mon principal est visible tèrs facilement par quelqu'un qui me "survole" 

    Ce n'est pas du tout pour cacher l'info que je suis passé aux sondes

    Si jamais en plongée le binôme veut les infos complètes de mes gaz je lui montre mon ordi il verra un résumé de tous mes gaz avec % et pression... clair net et précis pas 3 manos a chercher et regarder/montrer

     

    exemple sans pression puisque matos non gréé  il y a même la zone d'utilisation ;)

    image.thumb.png.ab93b11344aaaecad567edcd15700209.png

     

     

    Bon après c'est vrai que cela a un cout... 

     

    J'ai eu la chance que suite a une commande j'ai été livré 2 fois (pour le prix de 1x ) bref environ 1 mois après la première livraison j'ai reçu une seconde avec une seconde sonde... j'ai fermé ma gueule ..p... que c'était dure :D

     

    Lors de l'achat de mon G2 j'ai pris l'option avec sonde dans le pack la sonde ne coute presque rien contrairement a un achat séparé....  

     

    Actuellement j'ai 2 sondes en rabes je peux donc ajouter encore 2 blocs :) 

     

    Autre avantage, il affiche toujours la pression du gaz que tu utilises..... donc aucun risque de se planter de mano en vérifiant sa pression. 

     

    bon mais chacun ce qu'il veut pour l'utilisation ou non des sondes/manos...

     

      

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    il y a une heure, christophe 38 a dit :

    quand tu plonges en palanquée, que tu sois autonome ou guide, que penses tu des copains qui cachent leur mano en le plaçant contre eux ou dans une poche ?

    la sonde, c'est pareil ! l'info "n'appartient" qu à celui qui a l'ordi.


    Je ne suis que niveau 2, mais on m’a appris que pour avoir la pression de ses copains, on la demande. 
     

    Sinon un article que j’avais trouvé intéressant https://www.shearwater.com/community/extreme-and-not-so-extreme-multistage-sidemount-cave-diving-with-ai/

     

    Qui me fait dire qu’une sonde n’est pas pire qu’un mano. Voire peut être le contraire. 
     

    Maintenant comme tu disais ça reste subjectif et l’important est d’être a

    l’aise avec ses choix. 

     

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    Je partage l'avis de val74700 concernant la gestion des gaz. Le perdix permet de bien se familiariser avec la manipulation des différents gaz, qui reste toutefois simple et bien pensée. L'utilisation en nitrox sera  un excellent début. Mais franchement, c'est simple.

     

    Pour la sonde, honnêtement c'est très pratique. Mais pour une plongée engagée, n'avons nous pas de la redondance de partout ?

    Donc pour une plongée un peu engagée, un mano mécanique (ou électronique) en backup n'est peut-être pas inutile. Pour une plongée peu engagée, si on a une panne éventuelle (qui en a déjà eu ?) d'un mano unique, on sait à peu près où on en est entre notre dernière lecture et la panne, et on remonte tranquillement.

    Pour ce qui est de l'électronique contre mécanique, l'électronique est tout de même très fiable aujourd'hui, voire plus que la mécanique. Pour faire un parallèle, les derniers avions de ligne n'ont plus AUCUN système mécanique en secours. Plus d'électricité et/ou de calculateurs et l'avion va au tas. Pourtant, AUCUN avion n'est allé au tapis en raison de panne de calculateur...

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    Traduction d'une parti du lien de Jimbo

     

    Citation

    1. Perte de la batterie de l’émetteur: si la batterie de votre émetteur devait manquer de puissance, vous ne seriez plus en mesure de lire la ou les pressions de votre réservoir. Les batteries CR2 utilisées dans les émetteurs de Shearwater durent des centaines de plongées. Je passe près de quatre heures sous l’eau presque tous les jours, et je remplace mes batteries environ une fois tous les six mois, avant qu’un remplacement ne soit nécessaire. Quoi qu’il en soit, une batterie faible ne serait pas une surprise, car les émetteurs envoient un avertissement « low batt » à l’ordinateur, puis continuent à fonctionner pendant plusieurs autres plongées. Vous avez le temps d’éteindre les piles, et ne pas le faire est une simple paresse.

    2. Perte de batterie d’ordinateur: De même, manquer de batterie d’ordinateur pendant une plongée rendrait impossible la surveillance de la pression de votre réservoir. J’ai le même commentaire que ci-dessus, cependant, qui est de s’assurer que la batterie de votre ordinateur est complètement chargée avant de plonger. J’utilise également deux ordinateurs IA, donc si je perdais des piles sur un ordinateur, je serais toujours en mesure de surveiller la pression en utilisant mon autre.

    3. Défaillance du joint torique: Tout comme avec une fiche de port haute pression, il y a un joint torique statique à la connexion entre l’émetteur et le premier étage du régulateur. Il est extrêmement peu probable que cela échoue à condition que l’émetteur soit correctement serré sur le régulateur. Comme pour tous les joints toriques, je remplaçais celui-ci lorsque j’entretenais les premières étapes et je l’oubliais ensuite. Cela dit, j’ai soufflé ce joint torique une fois. C’est arrivé quand j’ai pressurisé le réservoir avant de plonger, et c’était parce que je n’avais pas vraiment serré l’émetteur dans le premier étage correctement. La même chose peut se produire avec n’importe quel tuyau ou bouchon de port qui n’est pas correctement serré dans la première étape.

    4. L’OPV: Il y a une soupape de surpression sur tous les émetteurs, et il est possible de la souffler. Cela se produirait, encore une fois, lorsque vous pressurisez le réservoir à la surface. Je connais quelques défaillances de VPO qui se sont produites, et elles se sont toutes produites de façon spectaculaire et évidente lorsque le plongeur faisait pression sur ses réservoirs avant la plongée. Vous ne vous mettez pas à l’eau avec un VPO défaillant.

    5. Perte de communications: Les émetteurs plus anciens, comme indiqué précédemment, perdaient parfois des communications avec leurs ordinateurs de plongée associés. Cela se produisait lorsque d’autres émetteurs à proximité interféraient avec le signal (soit d’un autre membre de l’équipe, soit d’un autre réservoir latéral), ou, fait intéressant, lorsque la technologie Bluetooth était utilisée à proximité. Les haut-parleurs Bluetooth utilisés sur les sites de plongée servaient à assommer mes communications. Jusqu’à présent, ce n’est pas un problème avec les SWIFT Shearwater. Comme les émetteurs écoutent d’autres signaux / émetteurs et communiquent lorsque le canal est clair, les SWIFT ne perdent tout simplement pas de communications. Pas une seule personne que je connais avec des SIFF (y compris moi-même) n’a même un seul incident de communication perdue avec des SWIFT.

    Maintenant, ce qui est intéressant à propos des défaillances d’émetteurs, c’est qu’à l’exception des deux défaillances qui se produiraient lors de la mise en place de l’engrenage (et qui seraient traitées à ce moment-là), les défaillances associées à l’utilisation dans l’eau des émetteurs sont informatives. En aucun cas, ces pannes n’épuisent la quantité de gaz dans vos réservoirs. À condition que vous ayez géré correctement votre gaz, vous avez toujours deux fois plus de gaz que vous devez sortir de la grotte à tout moment de la plongée (généralement plus). Bien que vous ne puissiez plus surveiller votre pression, cela ne vous met pas réellement en danger. Faites demi-tour et partez, et changez de régulateur périodiquement. Le gaz est toujours là. Il ne fuit pas. Comparez cela aux problèmes associés aux défaillances des manomètres.

    Je plonge tous les jours, et bien que j’essaie d’entretenir mon équipement correctement, il y aura toujours des échecs inattendus et statistiquement improbables si vous plongez assez souvent. J’ai eu chacun des échecs énumérés ci-dessous:

     

    image.thumb.png.431a481ab2d3e3660b8feaeba3dc96a8.png

     

     

     

    1. L’aiguille du manomètre se coince : Il est possible que l’aiguille d’un manomètre analogique se coince. Cela m’est arrivé une fois quand mon réservoir droit était à 2400 psi. Heureusement, j’ai remarqué que l’aiguille ne tombait pas et j’ai résolu le problème. J’ai fermé la vanne du réservoir et purgé le régulateur pour le dépressuriser. L’aiguille est restée à 2400 psi. Je garde cette jauge dans ma boîte d’exemple « échecs d’engrenage » que je montre aux étudiants. Cette jauge est assise à 2400 psi depuis environ cinq ans maintenant. Pour moi, c’est l’une des défaillances les plus dangereuses que je puisse imaginer, car si un plongeur n’est pas en phase avec sa consommation de gaz, il serait possible pour le plongeur d’utiliser plus de gaz que prévu et de mettre en danger la vie du plongeur utilisant l’équipement ou de ses copains en cas d’urgence. Au moins, un émetteur me dit quand il y a un problème.


    Photo gracieuseté de Natalie Gibb | Sous la jungle.

    2. Défaillance du tuyau haute pression: Avec une utilisation suffisante, tout tuyau haute pression tombera en panne. Ils le font généralement avec avertissement, et les plongeurs attentifs observeront une bulle ou une distorsion sous la gaine du tuyau en caoutchouc et changeront le tuyau. Cependant, j’ai eu un tuyau haute pression qui a explosé sous l’eau sans avertissement. À ce stade, votre approvisionnement en gaz s’épuise lentement mais activement, ce qui n’est pas un bon sentiment.


    Photo gracieuseté de Natalie Gibb | Sous la jungle.

    3. Défaillance du joint torique: Les manomètres ont trois joints toriques: le joint torique entre le tuyau et le premier étage, et les deux minuscules joints toriques à bobine haute pression entre le tuyau et la jauge. Tout cela a échoué sur moi, sous l’eau, sans avertissement. À mon avis, le fait que les joints toriques à bobine haute pression soient sur un pivot et se déplacent les rend plus susceptibles de tomber en panne qu’un joint torique statique. De même, la pression exercée sur le tuyau haute pression lorsque le plongeur le manipule pendant une plongée affectera invariablement le tuyau lui-même et le joint torique de connexion entre le tuyau et le premier étage du régulateur (si le tuyau n’est pas suffisamment serré dans le premier étage). Dans l’un ou l’autre de ces scénarios, le gaz fuit maintenant de votre réservoir latéral et épuise votre alimentation en gaz.

    4. Verre / plastique brisé: La face des SPG est exposée à l’impact, et j’ai eu des jauges de verre brisées (lors d’une plongée, encore une fois sans avertissement). J’ai eu des jauges en plastique qui se fissurent. Dans certains cas, la défaillance a provoqué une fuite et, dans certains cas, le gaz de sécurité a été retenu pour la sortie.


    Photo gracieuseté de Natalie Gibb | Sous la jungle.

    5. Jauges inexactes: Les SPG, avec le temps, semblent être sujets à l’inexactitude. L’étalonnage se déclenche et la jauge ne se lit pas correctement. Comme je vérifie toutes les pressions du réservoir avec un manomètre indépendant avant de fixer mes régulateurs, j’ai généralement été en mesure de déterminer quand une jauge analogique sort de l’étalonnage, mais un plongeur devrait être assez prudent avec ses procédures de configuration pour détecter ce genre de problème. Bien qu’il soit théoriquement possible qu’un émetteur ait le même problème, je n’ai pas encore rencontré d’erreur d’étalonnage dans un manomètre électronique, de sorte qu’il est au moins moins susceptible de se produire qu’avec un manomètre analogique.

     

     

     

    De toute évidence, il existe des défaillances potentielles avec n’importe quelle méthode de surveillance de la pression de votre réservoir. Pour moi, la différence est la façon dont la méthode que vous avez choisie échoue et l’impact que cela a sur votre approvisionnement en gaz. Je préférerais sortir d’une grotte avec la certitude que mon approvisionnement en gaz ne s’échappe pas de mon réservoir (même si je ne peux pas le lire), et confiant dans le fait que j’ai assez de gaz pour sortir, plutôt que de pouvoir surveiller mon approvisionnement en gaz en baisse alors qu’il s’échappe lentement de mon assemblage SPG.

     

     

    A chacun de choisir 

     

    Citation

    De toute évidence, il existe des défaillances potentielles avec n’importe quelle méthode de surveillance de la pression de votre réservoir.

     

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    Il y a 2 heures, Jimbo a dit :


    Je ne suis que niveau 2, mais on m’a appris que pour avoir la pression de ses copains, on la demande. 
     

    Sinon un article que j’avais trouvé intéressant https://www.shearwater.com/community/extreme-and-not-so-extreme-multistage-sidemount-cave-diving-with-ai/

     

    Qui me fait dire qu’une sonde n’est pas pire qu’un mano. Voire peut être le contraire. 
     

    Maintenant comme tu disais ça reste subjectif et l’important est d’être a

    l’aise avec ses choix. 

     

    re,

     

    en ce qui me concerne, je regarde, aussi, les manos des collegues, sans forcement leur demander leur pression (quand le mano est visible).

     

    Comme tu le dis, l'important, c'est d'etre à l'aise avec ses choix... et le choix de tes formateurs (qui veulent voir un équipement type et pas un autre).

    L'argumentation (la tienne), quand tu es face à ces formateurs (j'ai une pensée pour mes formateurs trimix, qui ne sont pas de la meme région, du meme centre et qui ne se connaissent que de réputation), est que tu fais ce qu'il veut, sinon, tu fais demi tour et tu remontes dans ta voiture...

     

     

     

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    Il y a 5 heures, Jimbo a dit :


    Je ne suis que niveau 2, mais on m’a appris que pour avoir la pression de ses copains, on la demande. 
     

    Sinon un article que j’avais trouvé intéressant https://www.shearwater.com/community/extreme-and-not-so-extreme-multistage-sidemount-cave-diving-with-ai/

     

    Qui me fait dire qu’une sonde n’est pas pire qu’un mano. Voire peut être le contraire. 
     

    Maintenant comme tu disais ça reste subjectif et l’important est d’être a

    l’aise avec ses choix. 

     

    je me permets de revenir (encore, oui, je sais) sur ta réponse...

     

    je plonge "un peu" et vu mon grand age (et mon nombre de plongées), souvent, bien qu'autonome, on me confie la gestion de palanquées (auto encadrées, oui, je sais, mais, tout le monde n'a pas la même facilité à gérer, profondeur, temps, gaz, et paliers éventuels)

    Donc, il m'arrive souvent d'avoir la tête, le lead.

    En gros, arrivé au fond, j'aime bien avoir l'info pression, histoire de voir qui a le plus consommé à la descente... et, généralement, au bout de 10-15 minutes, j'en fais de même.

    avec un mano, c'est simple : il suffit de se placer de manière à pouvoir le lire (et, si ce n'est pas le cas, au premier check, de le retourner, de le placer pour le rendre visible).

     

    demander la pression, certes, c'est possible...

    sur des plongées profondes, il faut intégrer la narcose chez les participants (moi aussi) ; en gros, le temps de réaction n'est pas négligeable ; de plus, au lieu de montrer le mano, certains pensent bien faire en montrant des chiffres sur les doigts. narcose....

    bref, plus rapide de lire la position d'une aiguille sur un cadran, par rapport à 100 ou 120 bars (par exemple), afin, toujours, de se caler sur celui à qui il en reste le moins.

     

    Je ne dis pas que ta méthode ne te convient pas ; je te suggère une idée : lors d'une plongée à 40 avec ton encadrant (que tu auras prévenu avant), je t'invite à aller voir les ordis des copains de ta palanquée, plusieurs fois au cours de l'immersion, comme tu ferais, si tu étais en charge du groupe et que tu devais checker des pressions sur l'ordi (parce que les copains seraient équipés de sondes).

    Tu vas vite te rendre compte que c'est long, fastidieux et qu'il va falloir que tu "apprennes" où se trouve l'info sur les écrans pour être efficient.

     

    Tu as raison, tu es moderne.

     

    J'ai appris avec des copains français, vers 2004 qui étaient GUE ; il n'y en avait vraiment pas beaucoup, à l'époque (de mémoire, moins de 5 frenchies) : leur config était standardisée : https://www.gue.com/diver-training#equipment

     

    de même, j'ai eu des copains spéléo en ouvert et les sondes ne faisaient pas partie de l'équipement. (Bardass, la Philoche, en ouvert, comment sont équipés les souteux ? manos ou sondes ? manos normaux ou mini manos sur les blocs ou sur les relais ?)

     

    alors, c'est vrai, j'ai évolué ; dans ma jeunesse, j'ai eu une voiture qui pouvait se démarrer à la manivelle (une GS), et maintenant, comme tout le monde, j'ai des injections électroniques, même en zout...

    mais, autant, il y a des progrès qui m'ont convaincu ; mais, sur d'autres sujets je n'arrive pas (re-)sauter le pas (puisque j'ai eu, vers 1993-1995 des ordi à gestion d'air) ;

     

    tout est une question d'avantage/inconvénient.

     

    belles bulles

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    il y a 28 minutes, christophe 38 a dit :

    Bardass, la Philoche, en ouvert, comment sont équipés les souteux ? manos ou sondes ? manos normaux ou mini manos sur les blocs ou sur les relais ?

     

    Je n'ai pas l'expérience des deux vieux singes renards, loin de là, mais jusqu'ici je n'ai vu que des manos (et des vrais manos sur les relais, parce que tu as besoin d'informations plus précises que juste "plein / pas tout à fait plein / vide").

     

    Pour autant, voilà un article qui défend l'utilisation de sondes en plongée sidemount (éventuellement multi-blocs) + scooter, et l'argument se tient : https://www.shearwater.com/community/extreme-and-not-so-extreme-multistage-sidemount-cave-diving-with-ai/

     

    À titre personnel, c'est l'un ou l'autre : en config loisir, ça ne me choque pas que la plupart des plongeurs s'équipent avec les deux (c'est rarement la partie la moins rationalisée de l'équipement), mais en sidemount en particulier je n'utiliserai des sondes que quand j'aurai suffisamment confiance pour pouvoir remplacer mes manos et pas encore rajouter quelque chose à ma config (et, accessoirement, quand je voudrai sauter le pas financièrement -- mine de rien ça chiffre vite).

    Edited by Typhon
    • Merci 1
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      • 3
        Bonjour à tous, Je viens de changer mon ordinateur Quad Mares par un Shearwater Perdix 2ti. Est-ce qu’il serait possible de récupérer le carnet de plongées du Mares dans l’application Shearwater cloud ? Je pense que les champs sont soit différents, soit manquants dans le Mares mais peut-être en passant par une appli tierce c’est peut-être réalisable… Quelqu’un d’entre vous aurait une piste ? Merci
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        Bonjour,    J'ai dans l'idée de changer mon Nemo 2 par un Shearwater Perigrine.   Question: je fonce ou je garde mon Nemo 2?   Merci. 
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        Bonjour     j'ai ramené de métropole le nouveau shearwater perdix 2. Je viens vers vous pour savoir comment renommer les plongées sur le carnet (pour prendre la suite du précédent.   Ce que j'ai fait, c'est que je suis allé sur le carnet, dans le Perdix 2, et j'ai renommé la premiere de la serie, en prenant la suite de la derniere, sur l'ancien. OK, ça c'est fait.   Mais, là, je viens d'enquiller 3 plongées, qui s'appellent 1, 2 et 3 ; elles n'ont pas
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        Bonsoir tout le monde, J'étudie l'acquisition éventuelle d'un Perdix 2, peut-être avec une sonde. Certains sites/magasins proposent une sonde Aqualung, et non la sonde Shearwater, pour un prix inférieur (à la louche 100 euros de moins).  Je comprends en ayant fureté sur le net que 1- les deux sondes sont produites dans la même usine, l'Aqualung étant compatible Shearwater et que 2- pendant un certain temps, les sondes Shearwater n'étaient pas CE (elles semblent l'être désormais), il n'
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        Salut,    Shearwater viens d'annoncer deux nouveaux ordi :  - Le Perdix 2 ( nouvel ecran + fonction vibreur )  - Le Petrel 3 ( Ecran 2.6 pouve , gestion de 4 sondes de pression , fonction vibreur )   https://www.shearwater.com/announcements/new-updates-perdix-2-petrel-3-dive-computers/   Au passage , le Peregrine a eu une augmentation de tarif ( 545 € au lieu de 480 € )   Netgear
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    Bonjour,

     

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