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Béluga, Orque perdus dans la Seine ; pourquoi attendre ?


emmanuelC

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Quelques jours à peine après avoir déjà euthanasié une orque perdue dans la Seine, voilà que c'est au tour d'un béluga repéré il y a bientôt une semaine.

C'est surement pas simple, mais comment ce fait-il qu'on laisse des animaux sauvages, faits pour vivre dans de l'eau salée, dépérir dans de l'eau douce pendant des jours en imaginant qu'il va retrouver par miracle son chemin vers la mer ??? 

 

Comme l'orque, le béluga a été euthanasié ce matin.

Bien assis devant mon écran, je trouve ça nul d'avoir attendu si longtemps pour en arriver là...

 

https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/08/10/le-beluga-repere-dans-la-seine-a-ete-euthanasie-lors-de-son-transport-vers-ouistreham_6137680_3244.html

 

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il y a 12 minutes, emmanuelC a dit :

Quelques jours à peine après avoir déjà euthanasié une orque perdue dans la Seine, voilà que c'est au tour d'un béluga repéré il y a bientôt une semaine.

C'est surement pas simple, mais comment ce fait-il qu'on laisse des animaux sauvages, faits pour vivre dans de l'eau salée, dépérir dans de l'eau douce pendant des jours en imaginant qu'il va retrouver par miracle son chemin vers la mer ???

 

Il y a sûrement de meilleurs combats où placer nos bons sentiments.

Dans l'immense majorité des cas, les cétacés échoués ou "égarés" ne sont pas perdus, ils sont en train de mourir pour une raison naturelle ou liée à l'homme.

A ce stade il est quasiment tout le temps trop tard pour les sauver, hélas.

 

il y a 7 minutes, pmk a dit :

Donc selon toi, au lieu d'essayer de les sauver, il faut les euthanasier immédiatement, sans rien tenter ?

 

Même si c'est dur à entendre (et très désagréable à faire), parfois c'est la meilleure solution pour ne pas les laisser souffrir inutilement et agoniser pendant des jours.

Après je n'ai pas les éléments précis sur le cas de cet individu en particulier.

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Oui, forcement affaibli après être resté au moins 1 semaine dans l'eau douce, sans doute sans sa nourriture habituelle. L'issue n'est pas très étonnante. Donc pourquoi avoir attendu si longtemps ?

 

Vu les désordres déjà à l'oeuvre et qui vont sans doute se développer, il va falloir créer un mode opératoire à l'instar de ceux qui existent en Amérique, semble t'il plus habitués à ces phénomènes.

 

Sea Shepherd, partie prenante de l'opération apporte quelques infos complémentaires. Assez consensuelles me semble t'il...

https://seashepherd.fr/beluga-dans-la-seine/

 

https://seashepherd.fr/beluga-dans-la-seine/

 

@pmkDonc selon toi, au lieu d'essayer de les sauver, il faut les euthanasier immédiatement, sans rien tenter ?

Non, plutôt les choper à la sène et les remettre dans l'eau salée.

@LGF Il y a sûrement de meilleurs combats où placer nos bons sentiments.

Oui, comme les réfugiés qui meurent en mer par exemple. Mais pourquoi pas celui-là non plus ?

Modifié par emmanuelC
réponses à @lgf et @pmk
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il y a une heure, emmanuelC a dit :

pmkDonc selon toi, au lieu d'essayer de les sauver, il faut les euthanasier immédiatement, sans rien tenter ?

 

Non, plutôt les choper à la sène et les remettre dans l'eau salée.

Parce que naturellement, on a ume solution toute prête, avec le matériel adéquat et de la bonne taille et le personnel pour réaliser l'intervention directement...

il y a une heure, emmanuelC a dit :

@LGF Il y a sûrement de meilleurs combats où placer nos bons sentiments.

 

Oui, comme les réfugiés qui meurent en mer par exemple. Mais pourquoi pas celui-là non plus ?

Quel rapport ?

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il y a une heure, emmanuelC a dit :

Oui, forcement affaibli après être resté au moins 1 semaine dans l'eau douce, sans doute sans sa nourriture habituelle. L'issue n'est pas très étonnante. Donc pourquoi avoir attendu si longtemps ?

 

Vu les désordres déjà à l'oeuvre et qui vont sans doute se développer, il va falloir créer un mode opératoire à l'instar de ceux qui existent en Amérique, semble t'il plus habitués à ces phénomènes.

 

Sea Shepherd, partie prenante de l'opération apporte quelques infos complémentaires. Assez consensuelles me semble t'il...

https://seashepherd.fr/beluga-dans-la-seine/

 

https://seashepherd.fr/beluga-dans-la-seine/

 

@pmkDonc selon toi, au lieu d'essayer de les sauver, il faut les euthanasier immédiatement, sans rien tenter ?

Non, plutôt les choper à la sène et les remettre dans l'eau salée.

@LGF Il y a sûrement de meilleurs combats où placer nos bons sentiments.

Oui, comme les réfugiés qui meurent en mer par exemple. Mais pourquoi pas celui-là non plus ?

concernant le beluga, il me semble qu'il refusait de s'alimenter (comprendre qu'on lui proposait ses poissons, sa nourriture, donc, il s'affaiblissait et avait perdu 30% de son poids)

 

 

 

 

 

concernant les réfugiés qui meurent en mer, je suis bien placé, avec, environ 1 000 morts par an entre les Comores et Mayotte

 

et, donc, toi, tu proposes quoi ?

qu'on envoie des paquebots pour les transporter en sécurité en Europe ?

faire comme au large de la Lybie, envoyer des navires humanitaires qui les attirent en mer afin de les secourir et les ramener dans l'UE ?

sérieusement ???

tres sérieusement ??

 

apres tout, pourquoi pas... et le curseur du "stop", tu en as un ? tu le fixes où ?

quels sont tes criteres d'acceptation pour l'integration dans notre societé ? (occidentale) ...

 

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Sujet triste bien évidement, ces pauvres bêtes ont effectivement eu un bien triste sort. Cependant, je comprend la question de base (que je me permet de reformuler à ma manière) : pourquoi attendre 1 semaine avant de tenter une opération de remise en milieu naturel ?

 

Je n'ai pas la réponse, je ne peut que supposer qu'il faut des autorisations, des moyens humains et matériels et l'accord d'un comité scientifique quant aux méthodes à employer ?

 

Paix à cette vie marine que nous détruisons et finirons par anéantir avec nos activités "humaines modernes".

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Il y a 7 heures, JSF a dit :

Sujet triste bien évidement, ces pauvres bêtes ont effectivement eu un bien triste sort. Cependant, je comprend la question de base (que je me permet de reformuler à ma manière) : pourquoi attendre 1 semaine avant de tenter une opération de remise en milieu naturel ?

 

Je n'ai pas la réponse, je ne peut que supposer qu'il faut des autorisations, des moyens humains et matériels et l'accord d'un comité scientifique quant aux méthodes à employer ?

 

Paix à cette vie marine que nous détruisons et finirons par anéantir avec nos activités "humaines modernes".

Pourquoi attendre une semaine ?

 

 

je n'ai pas la réponse...

 

mais, j'ai quelques idées :

l'espoir que l'animal inverse sa course et redescende vers la mer ?

avoir le temps de lui faire des analyses ?

tenter de le nourrir en lui présentant de sa nourriture (pas des poissons d'eau douce) ?

se rapprocher de gens qui savent, qui peuvent avoir des idées ? (sea shepherd et/ou un aquarium (Marine Land))

trouver le matériel (filet, grue, camion) determiner la stratégie, trouver la zone où l'amener apres son retrait de la Seine...

 

image.thumb.png.c6ccd8bd4b4bf37edfa0382dcc150b8d.png

 

 

la presse du jour :

Mort du béluga lors de la tentative de sauvetage : le récit des dernières heures du cétacé

Malgré les moyens déployés, le béluga qui s’était égaré dans la Seine il y a près de dix jours n’a pu être sauvé. Il est mort lors de son transfert vers Ouistreham (Calvados), où il devait être soigné. Le cétacé va être autopsié.

Par Bertrand Fizel, correspondant à Caen (Calvados) 

Le 10 août 2022 à 17h24

C’était l’opération de la dernière chance. Le béluga, égaré depuis dix jours dans la Seine, à 70 km de Paris, est mort ce mercredi matin, lors de son transport en camion depuis une écluse de l’Eure jusqu’à Ouistreham (Calvados) où il devait être placé dans un bassin d’eau de mer pour y être soigné, avant d’être relâché au large, dans son milieu naturel. Malheureusement, malgré tous les moyens mis en œuvre, l’affaiblissement du cétacé s’est aggravé lors de son transfert.

« Les vétérinaires ont constaté une dégradation de son état général et de ses activités respiratoires en particulier. Sa souffrance étant évidente, nous avons décidé qu’il n’était pas pertinent de le relâcher et qu’il fallait procéder à son euthanasie », explique Florence Ollivet-Courtois, l’une des vétérinaires du Service départemental d’Incendie et de secours (Sdis) en charge de l’opération. D’importants moyens avaient pourtant été mis en œuvre pour tenter de sauver cet animal habitué aux eaux très froides de l’océan Arctique.

VIDÉO. Le béluga qui s’était égaré dans la Seine est mort euthanasié

Dans la nuit de mardi à mercredi, il a fallu en effet pas moins de 6 heures, entre 22 heures et 4 heures du matin, pour le sortir de l’écluse où il se trouvait, après un périple inexpliqué de 160 km depuis l’embouchure du fleuve. Les 24 plongeurs et sauveteurs mobilisés ont eu beaucoup de difficultés à l’attirer dans les filets destinés à l’extraire de l’eau. « La levée a été particulièrement éprouvante pour tout le monde parce que l’animal a été surpris et on l’a alors vu bouger. C’était assez impressionnant », a commenté Isabelle Dorliat-Pouzet, secrétaire générale de la préfecture de l’Eure et sous-préfète d’Évreux.

« Nous sommes effondrés de cette issue tragique, même si nous la savions probable »

Le mammifère marin a alors été déposé sur une barge, où il a été pris en charge par une dizaine de vétérinaires qui ont signalé d’emblée sa « maigreur anormale ». Supposant qu’il ne s’était sans doute plus nourri depuis plusieurs jours, ils évoquaient déjà un « pronostic vital défavorable ». Malgré tout, les services de l’État ont décidé de tenter le transport vers la haute mer. En vain donc, puisque quelques heures plus tard, le cétacé, qu’on avait pourtant tenté de nourrir et auquel il avait été administré des vitamines et des antibiotiques, devait donc être euthanasié, pendant ce même transfert. « Nous sommes effondrés de cette issue tragique, même si nous la savions probable, compte tenu de l’état de faiblesse de l’animal », a réagi l’organisation de défense des océans Sea Shepherd.

 

La situation très critique de ce béluga a suscité une immense vague d’émotion dans de nombreux pays étrangers. Des milliers de messages ont circulé sur les réseaux sociaux. Sur place, des riverains, comme Françoise, 58 ans, sont aussi bouleversés. « L’endroit où il a été aperçu la première fois m’est très familier. Et je ne saurais pas dire pourquoi, mais je me suis mise à espérer qu’il s’en sorte. Chaque jour, je suivais ce qui se passait. Alors, c’est triste aujourd’hui d’apprendre sa mort, mais c’était manifestement impossible de l’éviter. »

Il avait fallu pas moins de 6 heures pour extraire le béluga de l'écluse où il se trouvait depuis plusieurs jours.
Il avait fallu pas moins de 6 heures pour extraire le béluga de l'écluse où il se trouvait depuis plusieurs jours. AFP/Jean-François Monier

Des réactions qui ne sont pas sans rappeler celles qui avaient suivi la mort d’une orque dans des conditions étrangement similaires le 30 mai. Cet animal avait lui aussi été retrouvé dans la Seine affaibli, avant de mourir quelques jours plus tard, sans que rien n’ait pu être entrepris. « C’est une incroyable coïncidence. Rien d’autre. Aucun élément scientifique ne nous permet de faire le rapprochement entre ces deux situations dramatiques. Il faudra attendre ce que révèle l’autopsie du béluga mort hier. Mais il est très possible que les causes du décès du béluga n’aient absolument rien à voir avec celles de l’orque », explique Gérard Mauger, fondateur du Groupe d’études des cétacés du Cotentin (Gecc).

Cette autopsie sera réalisée dans les jours qui viennent par le laboratoire départemental d’analyses du Calvados. « Nous saurons alors précisément ce qui a provoqué la mort de ce béluga et donc pour quelles raisons peut-être il s’est égaré dans la Seine », indique Florence Ollivet-Courtois. Le cétacé avait en tout cas peu de chances de survie dans le fleuve, si loi n de son milieu naturel. Des conditions jugées « peu favorables », nous indiquait ce week-end Pelagis, « notamment du fait des températures très élevées et de l’eau douce ». Selon cet observatoire spécialiste des mammifères marins, il s’agit du second béluga vu dans un fleuve de l’Hexagone. Le premier avait été piégé dans les filets d’un pêcheur, dans l’estuaire de la Loire, en 1948.

 

 

 

 

 

 

 

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Il y a 18 heures, emmanuelC a dit :

cut

@LGF Il y a sûrement de meilleurs combats où placer nos bons sentiments.

Oui, comme les réfugiés qui meurent en mer par exemple. Mais pourquoi pas celui-là non plus ?

c'est un veritable sujet de societé (je ne vais pas me lancer dans de la politique, je vais m'arreter aux faits).

 

en 1900, le globe avait 1.5 milliards d'habitants.

au printemps 2023, nous devrions atteindre les 8 milliards. https://www.worldometers.info/world-population/

la Chine et l'Inde sont pratiquement au meme score (1.4 milliard d'habitants).

l'Afrique, en 1960, au sortir de la colonisation, était à 250 millions d'habitants ; elle devrait atteindre 1.5 milliard avant 2030 https://www.worldometers.info/world-population/africa-population/

 

et, rien n'indique que ces chiffres s'arreteront là....

 

mes clignotants ...................... clignotent parfois, comme en Norvege ou en Allemagne

Nous, occidentaux, accueillons des gens qui ont eu leur vie brisée dans leur pays d'origine.

Certains sont choqués par nos conditions de vie (les filles qui vont à l'école, qui sortent non voilées, sans referent male, qui sont habillées en jupe, nos musiques, nos valeurs de liberté, d'égalité (hommes-femmes) ; ces personnes peuvent peter les plombs, refuser de s'integrer, de s'assimiler...

 

je pense que je vais t'interpeller :

à Mayotte, l'INSEE estime que nous sommes 270 000 habitants.

Mayotte, c'est la France et pour certains, c'est l'Europe.

 

dans les faits, nous serions autour de 600-650 000 habitants.

Nous avons 10 000 naissances par an, une trentaine par jour (une salle de classe à construire et à mettre un instit, tous les jours).

 

Nous avons une dérogation au CESEDA qui fait qu'un enfant né à Mayotte n'est pas automatiquement français (depuis 2018, il faut que sa mère soit ici depuis plus de 3 mois avec des papiers et qu'elle accouche pour que l'enfant puisse demander la nationalité (il l'aura, s'il la demande) ; Avant (2018), il fallait que le père, ou la mère, ou un frere ou une soeur, avec papiers (en regle) depose le dossier de l'enfant entre ses 13 et 18 ans, et qu'il justifie de 5 ans sur Mayotte pour avoir la nationalité fr.

Nous avons 80% d'analphabetes ; nous avons plus de 70% de personnes qui ne parlent pas le français (chez les habitants, légaux ou pas)

Quelles sont leurs chances d'employabilité ? Tu paierais au SMIC une personne qui ne sait ni lire ni écrire, qui ne peut pas suivre une consigne, lire un mode d'emploi ?

 

Quel est le rapport dans tout cela ?

l'immense majorité sont des refugiés économiques (les refugiés politiques vont voir les gendarmes dès leur arrivée sur l'ile, pour etre conduits au centre de rétention, non pas pour rentrer dans leur pays, mais pour déposer un dossier à l'OFPRA.

La présence de ce nombre d'habitants, exploités, logés dans des favellas, à qui l'on vend de l'electricité, de l'eau, de la tole ondulé fait monter des tensions (entre Africains (Chrétiens) et locaux) ; la peur des maladies fait aussi monter les tensions

 

Faut il préciser que les services publics, écoles, hopitaux, sont dimensionnés pour 200 000 personnes et pas 3 fois plus ?

vous connaissez les coupures d'eau ? nous, ça fait 6 ans qu'on passe 6 mois par an, avec de l'eau quelques heures par jour.

 

 

derniere question ; aux elections, présidentielle comme législatives, qui est arrivée en tete ?? MLP

étonnant ?

 

donc, le curseur du stop, on le place où ?

 

 

là, notre voisin, les Comores, ont voulu et ont eu leur indépendance. Ils sont incapables et infoutu d'assumer.

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https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/08/11/le-sauvetage-rate-du-beluga-dans-la-seine-suscite-les-interrogations-et-les-critiques_6137754_3244.html

Article intéressant sur les interrogations que posent ce sauvetage. Apparemment, le Quebec fait régulièrement face à ce type de problème et a une approche assez claire sur les conditions de sauvetage : uniquement si directement lié à une action de l'homme ou s'il y a un enjeu de préservation de l'espèce. 

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