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Perte de palanquée en Martinique - fin heureuse


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Il y a 1 heure, Matt a dit :

Pas évident de définir la conduite à tenir dans ce genre de cas entre s’économiser et miser sur les secours ou tenter un retour à la nage en essayant de contourner le courant...

Si je peux..

 

A Mayotte, jusqu'en 2010, il n y avait pas d hélicoptère.

En cas de dérive, c était appel à l aide aux plaisanciers qui écoutaient la vhf, qui en avaient une, qui était allumée et s ils voulaient bien entendre,

Et appel à la tour de contrôle s il y avait des ulm en l air...

 

Comprendre qu il fallait accepter le risque.

 

 

 

Michel, du lambis, lui, avait une autre approche.

Durée de la plongée 60 minutes. A la 55 ème tous les parachutes devaient être à la surface....

Que tu sois en train de remonter vers 20 m ou plus haut, parachute !

A la 60 ème, tout le monde a la surface... Si c est la 61 ème, ce n est pas grave.

Le bateau, avec un marin , récupérait les palanquées là où elles étaient.

 

La raison du timing serré, c est d avoir du monde sur l eau pour participer aux recherches au cas où...

A 17h45, c'est la nuit aviation. Les requins et prédateurs sont en chasse... Et un plongeur est un en cas.

 

 

L autre méthode, c est de traîner une bouée en surface, qui n empêche pas d envoyer le parachute.

 

Ce qui implique d avoir plus d un para par palanquée.

 

 

Depuis, j ai une vhf nautilus life Line.

Modifié par christophe 38
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il y a 44 minutes, christophe 38 a dit :

L autre méthode, c est de traîner une bouée en surface, qui n empêche pas d envoyer le parachute.

 

Ce qui implique d avoir plus d un para par palanquée.

 

 

Depuis, j ai une vhf nautilus life Line.

 

C'était ma situation il y a 2 semaines à Zanzibar... ou presque parce que le guide n'avait pas pour une fois sa bouée de surface ...     par contre j'avais un gros doute concernant le life line....  mais bon nous n'avons pas eu besoin :)

 

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Il y a 2 heures, christophe 38 a dit :

Si je peux..

 

A Mayotte, jusqu'en 2010, il n y avait pas d hélicoptère.

En cas de dérive, c était appel à l aide aux plaisanciers qui écoutaient la vhf, qui en avaient une, qui était allumée et s ils voulaient bien entendre,

Et appel à la tour de contrôle s il y avait des ulm en l air...

 

Comprendre qu il fallait accepter le risque.

 

 

 

Michel, du lambis, lui, avait une autre approche.

Durée de la plongée 60 minutes. A la 55 ème tous les parachutes devaient être à la surface....

Que tu sois en train de remonter vers 20 m ou plus haut, parachute !

A la 60 ème, tout le monde a la surface... Si c est la 61 ème, ce n est pas grave.

Le bateau, avec un marin , récupérait les palanquées là où elles étaient.

 

La raison du timing serré, c est d avoir du monde sur l eau pour participer aux recherches au cas où...

A 17h45, c'est la nuit aviation. Les requins et prédateurs sont en chasse... Et un plongeur est un en cas.

 

 

L autre méthode, c est de traîner une bouée en surface, qui n empêche pas d envoyer le parachute.

 

Ce qui implique d avoir plus d un para par palanquée.

 

 

Depuis, j ai une vhf nautilus life Line.

La question subliminale, c est à quelle heure prévient on les secours du manque d une palanquée ?

H+5? H+10 ? + ? Sachant que, à l heure prévue, cela fait déjà au moins 5 minutes que TOUS les parachutes doivent être envoyés...

Sachant que l appel n apportera pas sur zone immédiatement des moyens pour retrouver les manquants...

Et sachant aussi que l appel peut s annuler, palanquée retrouvée...

 

 

Voir le sujet que j avais écris il y a 2-3 ans sur une dérive à l Iris.

En gros, mise à l eau des palanquées à 0730. A 0930 appel du DP en sécurité surface ( c est comme ça qu on dit)...

1300 découverte par l hélico en fin de potentiel carburant et mauvaise météo aéronautique.

La cause ? Cisaillement : dérive surface due au vent dans un sens

Et courant dans l autre sens...

Et bien sûr pas de bouée traînée à 12 nautiques des côtes...

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Il y a 2 heures, JMarcB a dit :

Pour ceux qui lisent l'anglais: un thread sur scubaboard, déterré récemment, dont l'OP est un pilote d'hélicoptère ayant mené des recherches en mer.

je me suis permis ...

 

j'ai un traducteur automatique..

 

Citation
En tant que pilote d'hélicoptère de la marine, j'ai suivi une formation et une expérience en recherche et sauvetage. Aucune de mes expériences n'a été de trouver des plongeurs en retard, mais ils ont été de trouver des personnes perdues dans les océans.

Il y a de fortes chances (espérons-le) qu'aucun d'entre nous ne soit abandonné par un bateau ou emporté par les courants, mais au cas où vous vous retrouveriez dans cette situation difficile, voici quelques éléments pour vous aider.

Voici MES OPINIONS (avis de non-responsabilité) sur le TYPE d'équipement qui convient le mieux pour signaler un avion/bateau de sauvetage (c.-à-d. Garde côtière/Marine). Ceci est basé sur mon expérience réelle de recherche et de sauvetage. Je laisserai les plongeurs expérimentés ici indiquer quel équipement spécifique ils aiment.

Rien de bouleversant ici, mais cela peut servir à faire savoir aux nouveaux plongeurs ce qui fonctionne bien.

Tout ce qui est listé ici est bon mais leur efficacité est plus que doublée si les chercheurs savent que vous avez l'équipement. Laisser une liste des équipements de signalisation sur le bateau/à une personne responsable avec votre plan de plongée augmentera grandement vos chances d'être retrouvé.

Miroir de signalisation #1.
AVANTAGES : bon marché. Ne manque jamais de piles. Très lumineux par une journée ensoleillée. Peut encore être vu par temps couvert mais pas aussi lumineux. ATTIRERA l'attention d'un pilote/bateau
CONTRE : Inutile la nuit (rien à redire). Il faut voir l'embarcation de sauvetage pour réfléchir la lumière vers eux. (Les CD ne sont pas aussi bons qu'un miroir)

#2 SMB (ou gros objet aux couleurs vives) La taille compte !
AVANTAGES : bon marché. facile à utiliser. Facile à voir! Aide les pilotes à vous voir dans les creux des vagues.
Les inconvénients. Plus c'est gros, mieux c'est... ça peut être volumineux.

#3 Marqueur Sea DYE
AVANTAGES : bon marché. Marqueur passif. Si vous êtes fatigué/inapte, vous n'avez pas grand-chose à faire pour vous déployer.
INCONVÉNIENTS : Les eaux agitées/fortes/agitées ont tendance à se dissiper rapidement. Inutile la nuit
Si vous le trempez pour faire un "Dye Slick", puis rangez-le jusqu'à ce que le slick disparaisse et répétez - cela durera plus longtemps

#4 Marqueur/fusée de fumée.
POUR : Tout le monde enquête sur la fumée. Vu de grandes distances.
INCONVÉNIENTS : Ceux qui respectent l'eau sont chers. Temps de combustion court. Pyrotechnique.

#5 Lumière/ Lumière stroboscopique
AVANTAGES : Le stroboscope dans la journée est OK Excellent la nuit. Les avions en vision nocturne verront à plus de 30 milles. Ceux-ci éclairent le ciel en vision nocturne.
INCONVÉNIENTS : bon éclairage la nuit, mais le sauveteur doit regarder directement dans la journée pour s'en apercevoir. Les piles sont épuisées.

#6 Bâton lumineux.
AVANTAGES : 12 dernières heures. Sera vu par vision nocturne.
INCONVÉNIENTS : plus difficile à voir à l'œil nu la nuit

#7 Klaxon/sifflet pneumatique
AVANTAGES : attirera l'attention sans que personne ne vous regarde/près de vous.
CONTRE : Portée limitée. 1 mile pour Air Horn / beaucoup moins pour le sifflet. Inutile pour les avions.

Émetteur/radio de localisation d'urgence ELT #8
AVANTAGES : vous donnera un signal !
INCONVÉNIENTS : Coût prohibitif. Volumineux. Fausses alarmes de la part de ceux qui ne connaissent pas à 100% leur fonctionnement.

Dans mon kit d'urgence, j'ai un miroir, un marqueur Sea Dye, un SMB, un sifflet (fourni avec BCD) et un stroboscope. Je pense que ceux-ci me donnent la meilleure répartition pour toutes les conditions et minimisent également le volume.

N'hésitez pas à ajouter tout ce que j'ai pu manquer et vos réflexions sur un équipement spécifique.

OnStar

 

 

Citation

J'ai été "perdu" plusieurs fois et la Garde côtière a dû me chercher. Une chose à considérer, ces grandes PME sont TRÈS difficiles et fatigantes à tenir verticalement pendant plus de 15 à 20 minutes, surtout si c'est difficile. Une option à considérer est d'attacher/clipser/attacher la ceinture de lest (après l'avoir retirée du plongeur) au bas du SMB pour lui permettre de se tenir verticalement dans l'eau "toute seule". Ensuite, il vous suffit de rester attaché au SMB, de ne pas le supporter et de ne PAS essayer de maintenir le bas de celui-ci vers le bas.

 

 

Citation

La plupart des stations USCG ont environ 4 hélicoptères, dont 2 sont prêts à voler à tout moment. Ils ont 2 équipages prêts et 1 en attente pour piloter ces hélicoptères. La journée de l'équipage (le temps autorisé à être au travail) est de 12 heures mais peut être prolongée avec la permission du commandant (rare) Ils reçoivent en moyenne 5+ appels par nuit (juste pendant la nuit) font le calcul et cela signifie qu'ils doivent prioriser l'ordre dans lequel ils vont. Ces appels peuvent aller d'un bateau en retard à un pêcheur souffrant de problèmes cardiaques, à des plongeurs perdus, etc.

S'il y a une base navale / un navire dans la zone, ils leur transmettront l'excédent si possible. La plupart des bases navales (avec avions) ont au moins un hélicoptère en attente à cet effet. Tout ce qui se trouve à proximité des terres ou des eaux intérieures peut être transmis au département du shérif et aux patrouilleurs de l'USCG.

Voici maintenant les vraies informations. Comment priorisent-ils ? Voici les infos que j'ai :
Ils donnent la priorité aux chances de survie, alors ils regardent :

Localisation : la position est-elle connue ? dans l'eau - ou sur un bateau ?

Environnement : Eau Temp. Temps dans l'eau.

Équipement : L'USCG sait-il s'il dispose d'un équipement de signalisation ? Équipement de protection de l'environnement ?

D'après mes conversations avec plusieurs pilotes de l'USCG. Les personnes seules ou doubles dans l'eau sans équipement de signalisation CONNU obtiennent généralement la priorité la plus basse en raison des faibles chances d'être trouvées.

Qu'est-ce que cela signifie? Si vous êtes laissé par un bateau avec tout l'équipement de signalisation du monde mais que l'USCG ne sait pas que vous l'avez, et qu'un passager d'un paquebot de croisière a des douleurs à la poitrine, s'il n'y a pas assez d'actifs pour faire les deux…..le le gars qui a mal à la poitrine a la priorité.

ALORS, que pouvez-vous faire pour vous faire une priorité plus élevée ?
1. Emportez de l'équipement qui, selon l'USCG, augmente vos chances d'être repéré : j'ai énuméré les avantages et les inconvénients de chacun d'entre eux sur la première page.
- Jour dans l'ordre : Miroir de signal, Grand SMB ou Carré de signal (c.-à-d. Couverture spatiale ou RescueStreamer® - Dispositif de signalisation de détresse d'urgence pour la sécurité aquatique) Fumée, Fusées éclairantes, Sea Dye, localisateur personnel électronique. (listé en dernier en raison du nombre élevé de fausses alarmes)
- Nuit dans l'ordre : lumière stroboscopique, lampe de poche haute puissance, fusées éclairantes (fumée nocturne - produit une flamme brillante avec la fumée), lampe de poche régulière, bâton lumineux, toute autre source de lumière, localisateur personnel électronique. (listé en dernier en raison du nombre élevé de fausses alarmes)
2. Dressez une liste de l'équipement de signalisation dont vous disposez, de l'équipement de protection de l'environnement que vous utilisez et de la manière dont vous comptez l'utiliser en cas d'urgence ou de perte.
3. Laissez cette liste à plusieurs personnes avec votre plan de plongée. Y compris des instructions sur ce qu'il faut faire si vous êtes en retard. Incluez les numéros de téléphone de la police et de l'USCG afin qu'ils n'aient pas à les rechercher.
4. Ayez une autre copie de cette liste plastifiée et attachée au sac que vous emportez sur toutes les chartes et signalez-la au Dive Master si vous manquez.

Le temps est votre plus grand ennemi à côté des températures froides. Plus vous restez longtemps dans l'eau sans localisation, moins l'USCG ou la marine seront en mesure de vous trouver. Assurez-vous donc que la personne à qui vous confiez votre plan de plongée est responsable et suivra les instructions que vous lui donnerez au moment opportun.

Je pense avoir touché tous les points principaux. Des questions? Commentaires? Préoccupations ?

 

Citation
J'ai monté un mousqueton sur mon Zeagle SMB et j'ai pensé que je pouvais accrocher le SMB gonflé à l'un des anneaux en D de ma ceinture. Si je l'enclenche sur "l'anneau du scooter", il devrait maintenir le SMB debout dans l'eau, assez solidement connecté à moi et peut-être m'aider également à flotter face vers le haut. Besoin de trouver un bon moyen de monter un stroboscope sur le SMB. Cela devrait augmenter considérablement la visibilité.

Henrik

(je suis juste en train de mettre en exergue que les deux intervenants au dessus nous proposent des solutions pour laisser le parachute en position verticale tant qu'on le veut (et sans fatiguer)

 

Citation

De jour comme de nuit, le mouvement est génial. Cela devient très fatiguant lors d'une recherche et d'un sauvetage. Dans l'hélicoptère, nous (la Marine) avons généralement 4 personnes et nous sommes tous responsables d'un secteur différent autour de l'avion. Après avoir passé quelques heures à chercher, vous êtes épuisé d'avoir à vous concentrer si fort à chercher l'aiguille proverbiale dans une botte de foin. Mon plus long vol continu pour un SAR a duré 13,1 heures et je ne voulais pas abandonner. Outre le temps passé à piloter l'avion et à scruter l'océan sans fin, le bilan émotionnel de savoir que quelqu'un peut mourir si vous ne le trouvez pas vous écrase. Après quelques heures, nous sommes tellement fatigués que nous savons que nous perdons en efficacité, mais nous sommes peut-être le seul atout disponible pour mener la recherche, alors nous continuons.

Le mouvement est un autre moyen d'augmenter l'efficacité des signaux. Même si vous n'avez pas de dispositif de signalisation, jeter de l'eau en l'air peut être efficace.

J'aime l'idée du bâton lumineux sur une chaîne. Je ne sais pas combien de temps vous pourriez le faire tourner mais si vous le faisiez quand vous entendiez un hélicoptère/bateau, cela fonctionnerait. Je ne m'embêterais pas avec les IR cependant. Ils ne sont utilisés que lorsque vous voulez que les gars sur NVG vous voient, mais personne d'autre. Je pense que dans ce cae nous voulons que tout le monde puisse nous voir.

OnStar

 

 

Citation
Navy OnStar, vous savez ce que les canotiers appellent les équipages d'hélicoptères de la Navy ? L'objet de recherche !

Blague à part bonne humeur, bon sujet à aborder. J'ai pensé que je partagerais quelques réflexions d'un capitaine de canot de sauvetage à moteur - plus tôt l'objet de recherche est localisé, plus il est probable que je serai amarré à temps pour le petit-déjeuner, donc c'est avec une arrière-pensée.

Strobes - comme l'a mentionné Navy OnStar, ce sont vos meilleurs amis la nuit. Les règles de navigation intérieure considèrent qu'un "feu blanc à haute intensité clignotant à intervalles réguliers de 50 à 70 éclats par minute" est un signal de détresse - mais une SRU (unité de recherche et de sauvetage, telle que l'hélicoptère de NavyOnStar ou mon canot de sauvetage à moteur) considère qu'il est probable être l'objet de recherche (ce serait le gars flottant dans l'eau dans laquelle il ne veut pas flotter), le verra et le vérifiera. Sur les NVG ou tout autre appareil de vision nocturne, ces stroboscopes sont comme se faire frapper au visage avec une boule de neige. (Marine, vous vous souvenez des SDU-5/E ?)

EPIRBS - 121,5 MHz est en effet la fréquence de "garde" de l'aviation civile, la version tweetie du canal 16 du monde maritime. Certaines EPIRBS plus anciennes ne transmettaient que sur 121,5, mais ces EPIRBS de "classe B" ont non seulement été supprimées, mais sont désormais illégales (oui, oui, je sais, pas la peine de le dire, je suis d'accord). MAIS, vérifiez ceci - le plus récent EPIRBS, qui transmet un signal composite via 406,025 MHz à un satellite, vers la Terre, résout la position approximative, et cetera, et cetera, transmet AUSSI un signal de faible puissance sur 121,5 MHz. En effet, la plupart des radiogoniomètres peuvent DF un signal 121,5, ce qui signifie qu'une fois que nous nous rapprochons, soit de la solution composite de l'EPIRB, soit de la planification de recherche à l'ancienne (99% des cas), si nous captons un signal 121,5 sur le DF, nous pouvons le diriger droit vers vous. Un bon barreur ou pilote recherchera un 121,5 pour effectuer n'importe quelle recherche.

PME - Vous savez à quel point il est difficile de repérer une personne dans l'eau ? Vous parlez de quelque chose de la taille d'un demi-cantaloup à la surface. Pas aussi facile que certains pourraient le penser. Une grosse chose orange sortant de l'eau serait tellement plus facile à repérer, surtout si elle bouge. Le mouvement attire l'attention de l'œil humain-cerveau-travail-ensemble-trucs WAAAAY plus facilement qu'une simple incongruité dans le paysage aquatique sans fin.

Je n'ai jamais vu un plongeur portant une VHF portable, mais si mon objet de recherche venait vers moi sur le canal 16 pendant que je parcourais un schéma à sa recherche, je tomberais de ma chaise. Et ils seraient sur mon bateau en très peu de temps, et je serais de retour à temps pour le petit déjeuner. Tout le monde serait gagnant. Mon Dieu, ce serait facile.

-Mike
(Nouveau dans le domaine de la plongée, près d'une décennie dans le domaine SAR)

 

 

j'ai arreté la traduction à la fin de la page 4 du fil

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et, d’expérience, j'ai éliminé le miroir (enfin, je n'y crois pas, n'y crois plus ) ;

 

pour que le miroir "fonctionne", il faut du soleil (pas toujours le cas et on ne choisit pas sa météo pour la dérive)

et, en plus, le miroir de secours a un trou central ; ce trou sert à viser le support qui nous recherche et à l'éblouir en bougeant le miroir... Mais, pour l'éblouir, il ne faut pas que le soleil soit dans notre dos, par rapport au bateau de recherche.

 

Le sifflet ? un peu pareil : la portée est faible, certes, superieure à la voix, mais, au delà de 200-300 m, pas sur qu'on entende le sifflet... que dire contre le vent ? encore moins de portée !

 

alors, quoi ? pas trop pour le cyalume : on sait qu'il fonctionne quand on l'a craqué et, si le notre ne marche pas (périmé, déjà craqué accidentellement dans la poche), bin, c'est mort.

 

La VHF enfermée dans un tube étanche ou la nautilus lifeline, si on s'est assuré de l'état des batteries avant...

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il y a 13 minutes, christophe 38 a dit :

Le sifflet ? un peu pareil : la portée est faible, certes, superieure à la voix, mais, au delà de 200-300 m, pas sur qu'on entende le sifflet... que dire contre le vent ? encore moins de portée !

 

Constaté il y a 2 semaines... dans la vrai vie :D

 

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Merci @christophe 38 pour la traduction et merci aux auteurs des posts initiaux.

Moi qui plonge "très court vêtu" en mer chaude, ça m'interroge sur l'hypothermie. Cela dit, même en 5mm en eau à 26°, je me demande au bout de combien de temps on passe en hypothermie ?

 

Secundo, Pour moi la règlementation du "1 parachute de plongée par palanquée" est un hérésie totale. En palanquée autonome,  (au moins) un parachute par plongeur devrait être une règle de base.

 

Mais encore une fois, 1000 merci pour ce post, que j'ai copié et garde précieusement en copie dans un fichier sur mon ordi.

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