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Plongeur.com - Le site de la plongée sous marine

lolorl

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  1. lolorl

    Plongez a Eilat, Israel

    Faux... Faux, cela fait plusieurs années que les douanes n'apposent plus de tampon sur les passeports pour éviter cette discrimination "au passeport". Donc aucun problème pour plonger à Eilat et ensuite voyager normalement car il n'y a aucune trace sur le passeport. J'ai par contre des tampons de grandes "démocraties" comme Cuba qui n'émeuvent pas grand monde... Allez comprendre.
  2. lolorl

    Plongée à Miami

    sur miami, pas grand chose à faire, le mieux est de prendre la voiture et d'aller plonger à Key Largo (environ 1h30 de voiture). Le centre que j'ai essayé est le "Captain slate" qui est serieux mais certaines plongées quand il n'y a que des snorkeler à bord sont limites (genre plongée sur fond de 3 m maxi, si si c'est possible même après 20 minutes de bateau). Sinon sur Miami, il y a RJdiving qui propose theroriquement un planning tous les jours mais verifiez quand même la réalité de la plongée programmée.
  3. c'est comme pour tout, l'organe s'habitue. Les débutants ont souvent les tympans rouges après quelques yoyos dans la fosse car le tympan n'a pas l'habitude de ces micro mouvements itératifs. Apres quelques plongées et de l'experience, pas de probleme sauf en cas de forçage.
  4. lolorl

    Plongée à Miami

    Je profite du "relancement" du post pour le compléter : durant le mois d'Aout, mon séjour à Miami n'a pas été très "subquatique". J'ai néanmoins décidé de plonger avec un groupe de plongeur autonome appelé A.D.A qui est un regroupement de plongeur indépendant qui, moyennant une modique somme (genre 35$/an) oraganise des sortie à tarif réduit sur différents spots autour de Miami. Après avoir communiqué par mail, je les retrouve sur key largo pour une plonge. Surprise, celui qui gere la structure est un moniteur PADI à la retraite (depuis longtemps...). Très sympa et serviable mais pour eux, la France, c'est loin !!! (Ah oui tu viens de France ? Je connais, il y a quelques années j'ai plongé en Grèce... Authentique). Passons... Club sur key Largo où je loue mon matos (que je n'avais pas pris, excedent de bagage oblige). 2ieme surprise, en plus de louer très cher un matos pourri, mais vraiment pourri, ils facturent le bloc et les plombs en plus de la plongée. Au final, 2 plongées à 10 m sans intêret en me demandant si le matos allait tenir jusqu'au bout. very bad trip au final mais je suis coriace, je vais réessayer en décembre... Quant à parler français, n'esperez rien sauf peut être l'invité qui a gentiment répondu il y a quelques mois mais je n'ai pas essayé. Le Français est souvent perçu outre atlantique comme un extra terrestre qui ne bosse pas (5 SEMAINES DE VACANCES PAR AN !!!!) et est un peu un homme de Cro magnon... Probablement lors de mon prochain séjour (car j'adore les USA, je suis peut etre un peu maso), j'essaierai le club cité quelques post plus haut et vous ferai un retour.
  5. 18 plongées - programme rigide température de l'eau : autour de 27° mais cela est très changeant spot des mantas : Isabella... y parait (je ne les ai pas vu) mais on a vu un requin baleine... belles vacances
  6. ouah... attend, il ne me semble pas qu'on ai fait la même croisière. Pour l'organisation, c'était H2O aussi mais qui avait acheté les prestations à un intermédiaire, donc le bateau n'était pas affrété par H2O et l'ambiance était bonne. Contrairement à toi, les conditions de mer étaient bonnes (on a sans doute eu de la chance) même si la visiblité restait insuffisante (c'est pas les bahamas, c'est sur...). ce qui m'a géné en fait, c'est la rigidité du programme et l'absence complète d'improvisation au gré des rencontres potentielles et les excursions terrestres globalement sans grand interet. Mais pour ma part, le contrat a été rempli et, si cela reste extrêmement cher, je ne regrette pas la dépense. Il y a une part d'impondérable dans ce genre de croisière qui peut faire basculer le voyage du meilleur au pire.
  7. lolorl

    Plongée à Miami

    pas francophone ? je ne suis pas sur mais l'idée est excellente, je file sur les forum us. Merci
  8. Bonjour, Avez vous plongé à Miami même (je ne parle pas des keys) où il semble qu'un recif articificiel ait été installé près des cotes de Miami beach ? Est ce interessant ? Avec quelle structure avez vous plongé ? (En aparté, je me mets à rever d'un recif artificiel au large de Marseille avec le Clemenceau et la Jeanne d'Arc qui aurait couté moins cher qu'un désamiantage et des balades à répétition mais le sujet a été souvent évoquer et je m'égare...) Merci de vos réponses.
  9. Croisiere Sky Dancer Galapagos Dates 01 au 8 mai 2010 Le T.O. : H2O Voyage Aller : Avion à l'heure !!! Paris – Madrid par Iberia genre Low cost (verre d'eau payant) Madrid – Guayaquil par LAN : plutot confortable, écran vidéo individuels, siège assez confortable, nourriture... comme de la nourriture d'avion !! Guayaquil – San Cristobal (Galapagos) : vol calme Pour les bagages : pas de problemes à l'aller : sur LAN, on a le droit à 2x23 kg ensuite les bagages sont pris en charges par l'équipe qui vous réceptionne à Guayaquil et on ne s'occupe plus de rien... le luxe. Arrivée à San Cristobal, 5 minutes de bus et nous voici sur le bateau. Le bateau : tout confort, cabines confortables, serviettes changées souvent, personnel aux petits soins. Très « américain » dans son mode de fonctionnement. Large plage arrière pour le matériel de plongée, grande table pour entreposer le matos photo...[/url] La nourriture : Bonne sans plus et abondante. Quand même au dessous de ce à quoi je m'attendais. Les encadrants plongées : au nombre de 2, un guide naturaliste Fabrizio et une dive master, Jessica. Le premier jour, Fabrizio se rend compte que son ordi de plongée a disparu, sans doute, selon lui, subtilisé par un des passager de la semaine précédente. Cela l'a mis d'assez mauvaise humeur (et on le comprend !). Les plongées : toujours dérivantes car le courant est assez fort, suivis comme notre ombre par les « Pangas », de gros zodiac qui suivent les bulles et nous récupèrent à la sortie. Pilotes très pros, rien à dire sinon que de temps en temps on aimerait ne pas les entendre tout le temps au dessus de notre tête. La sécurité : Ici, pas de caisson à moins de 2 jours de bateau donc tout est fait pour le préventif : plongée sans déco, si possible au nitrox. Chaque plongeur est équipé d'un avertisseur sonore sur le DS et d'une balise radio en cas de perte; En général, plongée de 40 minutes, 30 m maxi. Les participants : au nombre de 10 (pour 16 places) composés d'un couple ukrainien (Lena et Sasha), d'un danois vivant en Pologne (Erik), d'un hollandais (Nils), d'un Japonais (Atsushi « hate sushi »), d'un unique américain (Zach) et... de 4 français (Pierre, Olivier, Stéphane et moi)!! Groupe sympa. Les français étant majoritaires, nous fumes reveillés, le premier jour, par la marseillaise... 02 Mai La première plongée est une plongée de réadaptation : 15 minutes à 6 m à San Cristobal avec quelques otaries qui tourbillonnent. 03 Mai Première « vraie » plongée à North Seymour en dérivante dans un courant viril. Le début de la plongée est marqué par un bal de raie aigles majestueuses suivi par les premiers requins « pointes blanches ». On continue à dériver avec le courant et on aperçoit tour à tour des grandes raies, des tortues, divers requins et même une otarie qui tournoie dans 10 m d'eau et semble jouer au milieu de nous. Après 30 minutes de plongée, alors que l'on pense avoir déjà vu beaucoup de choses, au détour d'un récif, un banc de requin est juste au dessus de nous, 20 ou 30 requins essentiellement pointes blanches et galapagos qui nous ignorent superbement et continuent leurs ballet. Magique... Il n'a manqué que les marteaux que certains ont vus mais pas moi. Mais il reste encore quelques plongées pour se rattraper... L'après midi, après le « refueling », snorkeling avec les pingoins. Enfin, les pingoins, ça se mérite ! Parce qu'il n'y en avait que 4 qu'on a trouvé après 30 minutes de vaines recherches. Ces 4 malheureux pingoins (en fait 2 car les 2 autres étaient inaccessibles) ont ostensiblement pris la pose et se sont laissé photographier sous toutes les coutures sans broncher. Ensuite, excursion terrestre sur l'île volcanique de Bartholoméo où on a pris un cours de géologie. Le soir, grand départ pour Wolf et Darwin. Il est cependant dommage que le temps de plongée ne soit pas optimisé car aujourd'hui, on n'a fait qu'une plongée puis on a beaucoup attendu pour le refueling. A ce tarif là, on est en droit d'attendre une meilleure optimisation du temps de plongée. D'ailleurs, à ce moment là, cela commence à râler sur le bateau (remarquez, avec 4 français à bords, cela ne peut être autrement...). 4 Mai : Après une nuit de navigation, nous atteignons le graal que nous sommes tous venus chercher : Wolf. 12 heures de navigation + 24 heures d'avion, et, enfin, on passe aux choses serieuses. Nous ferons 4 plongées. A chaque plongée, une multitude de requins marteaux, de requins des galapagos, des raies aigles (plus que dans mes 150 plongées précédentes réunies...). Tellement dingues qu'on regarde à peine la multitude de tortues qui nous entoure !! Tortues, passez votre chemin, nous on veut du requin ... et on est servis !! toujours du courant mais quel spectacle ! Après ces 4 plongées, tout le monde est épuisé mais heureux. Un seul bémol, la visibilité pas extra en particulier pour la photo, « because of the full moon », a dit Fabrizio qui entraine la remontée du plancton et de la thermocline. Dont acte. De toute façon, pour nous les photos sont dan notre tête pour toujours. Après diner, une bonne nuit peuplée de hammerhead sharks avant de filer sur notre second graal, Darwin demain à l'aube pour de nouvelles aventures. 5 Mai : Darwin. Qui a dit que la terre était ronde ? J'en doute car ici, c'est le bout du monde. Seuls, face a un caillou et une arche (célébrée dans le film Master and Commander). Wolf était déjà magnifique mais là c'est le nirvana, voire le wahlahla... comme dirait nos amis danois !! L'eau est claire, l'eau est chaude (28°) et avec ça, on se paie le luxe de voir un requin baleine (voire deux, la discussion reste ouverte ) sur 3 des 4 plongées. Avant les plongées, Fabrizio nous affirmait qu'il n'y avait pas plus de 1% de chance de voir un requin Baleine. Bingo... J'aurai dû jouer au Loto. Requin baleine, d'ailleurs, pas du tout effrayé par les rares plongeurs et qui se laisse approcher, filmer et photographier en toute quiétude. Du coup, les innombrables tortues (parfois jusqu'à 5 ou 6 en même temps), les requins marteaux, les requins de récifs et autres dauphins devenaient presque accessoires. Le luxe j'vous dis. Vivement demain !! 6 Mai : Darwin – Wolf Le matin, 2 nouvelles plongées sur Darwin. La routine : requins marteaux, requins des galapagos, raies aigles, tortues... on s'ennuierait presque si on ne s'était pas retrouvé au milieu d'un banc de requins au dessus, au dessous et à coté de nous. Impressionnant pour nous mais probablement plus pour eux car ils se détournaient de nous à notre approche. L'après midi retour sur Wolf où on a réalisé 2 nouvelles plongées au palier de la dernière on a eu la chance de voir enfin sous l'eau les dauphins que nous voyons tout le temps tournoyer autour du bateau. Ensuite, back to civilisation, après 3 jours perdus au bout du monde sans autre présence humaine que notre bateau, nous retournons vers une île plus habitée. Adieu Darwin et Wolf, ou peut être au revoir, qui sait... 07 Mai : Cape Marshall : première déception, Fabrizio nous emmène sur un site où les mantas sont nombreuses. Mais, ce jour là, elles se cachent, elles se terrent et ne se montreront pas... Dommage. Bien sûr on a vu des marteaux, des requins des Galapagos, des raies aigles et des tortues mais on est déçus. Après tant de bonheur, une plongée comme celle là semble en deça de nos attentes. L'après midi, visite terrestre de Santiago, ile volcanique où on a vu des iguanes marins et des otaries dans un paysage volcanique superbe. Mais déjà, on n'était plus seuls, entourés d'une marée d'américains crachés par un bateau du National Geographic... un peu comme si robinson crusoé retouvait le monde civilisé !! 08 Mai : déjà les dernières plongées, déjà les bagages, déjà on songe au retour... cela est passé somme toute rapidement. Gordon rocks ou le meilleur pour la fin, ici, nous faisons 2 plongées avec les otaries qui tournoient autour de nous, venant à tour de rôle de la surface jauger ces étranges créatures qui font autant de bulles. Fabrizio joue avec elles et elles semblent apprécier. Ensuite, déjà, il faut dégreer et là encore le plaisir d'une croisière de luxe se fait sentir : on dégrée et l'équipage s'occupe de nettoyer et de faire sécher notre materiel. L'après midi, visite du Darwin center à Puerto Ayora puis promenade en ville (enfin, promenade dans la rue centrale...) où on reprend contact avec la civilisation. Le soir, on dine dehors dans un troquet recommandé par Fabrizio où je ne serai pas étonné qu'il soit commissionné pour cela. Ensuite, dernière nuit à bord et ce sera le retour. 9 Mai : on quitte le bord après le petit déjeuner pour prendre un vol pour Quito à 12h30. Ensuite ce sera une visite de la partie andine de l'équateur. Petite conclusion : au cours de cette croisière, j'ai vu à peu près tout ce qui se fait de « gros » sous la mer à l'exception des mantas qui ne nous on pas fait la grâce de se montrer. Les plongées se font souvent dans le courant mais ne sont pas particulièrement difficile. Le vrai problème est la visibilité pas toujours au top, surtout pour les photographe. L'accessoire de plongée indispensable est les GANTS qui permettent de se tenir aux rochers quand le courant est trop fort. Un phare est absolument inutile car il n'y a pas de plongée de nuit. Un reproche, l'optimisation du temps de plongée en début de séjour pourrait être meilleure : il est frustrant de ne faire qu'une plongée le premier jour alors qu'on pourrait en faire deux. A part cela, que du bonheur. Vers 9h30, on quitte le bord et on erre quelques heures dans san cristobal, ville dont l'interêt principal réside dans ses otaries qui sont partout le long du port, sur les bancs publics et même à l'entrée de la capitainerie du port. La vie d'une otarie n' a pas l'air d'être trop compliquée aux Galapagos... Premier couac du voyage, on nous annonce que nous sommes prévus pour Guayaquil et non pour Quito comme c'est pourtant le cas. Mais, « dont't panic », cela peut s'arranger ... comment pensez vous que cela s'arrange ? Comme toujours quand on est touriste, en payant un peu plus !! Délesté de 45$ chacun, on part finalement pour Quito (enfin, j'espère car j'écris actuellement de l'avion). Ça y est, on quitte les Galapagos, la tête pleine de souvenir avec peut être l'idée d'en revenir un jour, en famille peut être, qui sait ? Arrivée à Quito en fin d'après midi. Comme prévu, notre guide nous attendait pour nous amener à l'hotel. Avant de venir, on se demandait quel était le niveau de sécurité à Quito. On a été vite fixé.. En arrivant à l'hotel, une voiture de police arrive en trombe et arrête un jeune homme devant l'hotel. Le jeune homme a les mains sur la tête, ne se débat pas et pourtant, il prend des coup de Rangers dans les cotes pour le faire avancer plus vite vers la voiture. Charmante ambiance... Comme nous sommes des aventuriers, nous avons quand même été prendre un verre le soir où nous avons croisé un couple de jeune belges en train de traverser l'amérique du sud comme de vrais routards. Ensuite, pipi, les dents et au lit car la journée a été longue. 10 Mai : Visite de la vieille ville de Quito avec notre guide. Ce qui frappe au premier abord, c'est la pollution. Envahissante, qui vous prend au nez avec les vapeurs de gazoil éjectées des bus malgré la mise en place d'une circulation alternée par numéro. Et c'est un parisien qui parle... Des embouteillages qu'un parisien ne renierait pas et pour finir, une succession d'églises, toutes plus chargées les unes que les autres. Bon, vous avez compris, cela ne m'a pas emballé... Ensuite, notre guide nous abandonne au pied du téléphérique qui surplombe la ville. Dénivelé : 1000m, c'est à dire que vous passez en quelques minutes de 3000m (c'est déjà haut) à 4100 m soit à peine moins haut que le toit de l'europe. Et là, changement de décor : les jambes sont lourdes, la tête tourne, marcher 100 m devient un calvaire car notre organisme n'est pas habitué au manque d'oxygène (on l'a même surdosé pendant une semaine en plongeant aux mélanges suroxygénés...), notre EPO est en berne... et ça se voit !! On reussit péniblement à monter 200 m de plus, à prendre quelques photos souvenirs, à faire une petite sieste avant d'attaquer le retour. Ensuite un taxi nous ramène à l'hotel (2.5 $ la course, soit le montant de la prise en charge à Paris...). 11 Mai : Aujourd'hui, on trace la route. Enfin, on devait tracer la route avec un programme chargé. Mais les indiens en ont décidé autrement : en grève pour une sombre histoire d'étatisation de la gestion des ressources en eau, ils ont organisé des blocages tout le long de la mythique Panaméricaine. Délogés par la police, ils remontaient une barricades quelques centaines de mètres plus loin. A croire qu'ils ont été formés par la CGT !! Moralité on a du prendre d'énorme détours par des champs boueux (heureusement qu'on était en 4x4 !) et on n'a fait que la moitié du programme : Otavalo et son marché à Touriste, désert ce jour, on ce demande pourquoi (cf plus haut) mais son marché local beaucoup plus typique et Cuicocha et son lac volcanique magnifique où on a pu oublier pour quelques minutes l'interminable trajet en voiture à zigzaguer de part et d'autre de la panam. Demain, en principe on file vers le sud, si les indiens nous le permettent. On commence à regarder néanmoins avec un peu d'inquiétude le nouvel épisode du volcan islandais qui semble vouloir jouer à nouveau sa partition... 12 Mai : cette fois on part vers le sud en direction du volcan Cotopaxi. Pas d'indien à l'horizon, on peut avancer. Paysages à couper le souffle, chevaux sauvage et altitude !! On s'arrête à 4500 m et on s'attaque à l'ascension jusq'au premier refuge à 4800m, la hauteur du mont blanc s'il vous plait ! Comme on est un peu mieux acclimaté, on arrive au sommet épuisés mais heureux après une heure d'ascension harassante. Les plus chevronnés pourront s'attaquer au sommet à 5897m mais ils faut des équipements spéciaux et ce n'est pas le but de cette expédition. La mauvaise surprise du jour sera l'hotel, « l'hacienda », comme ils disent qui est en fait une auberge de jeunesse très légèrement améliorée : pas d'eau chaude, un chauffage anémique... la nuit va être longue ! 13 Mai : Après une nuit réfrigérante et un frugal petit déjeuner, départ vers le marché indigène de Saquisili. Effectivement typique, divisé en huit places dont chacune a une spécificité (bétail, legumes, petits animaux, materiels divers) un peu comme à Rungis. Mais là s'arrête la comparaison. Amoureux de la chaine du froid et de la traçabilité, passez votre chemin... Ici, le frigo, connait pas !! Le bétail vivant se négocie de gré à gré. La viande froide s'achète sur un étal jamais refrigéré. Ca donne envie... Bon, c'est très très typique, ça sent assez mauvais, mais là on sent le fondement de la civilisation... Je me demande s'ils paient l'Urssaf ?!! Ensuite départ vers le lac de Quilotoa. Ici, comme dans tous les endroits touristiques du pays, un droit d'entrée sur le territoire est demandé aux touristes par la tribu qui possède l'endroit. Vous avez aimé le Cotopaxi, vous adorerez le Quilotoa, lac volcanique superbe, magnifique d'en haut, somptueux d'en bas. Après, les choses se gâtent car mon compère s'est mis en tête de remonter à dos de mulet... Ne voulant pas l'abandonner, le petit, j'ai moi aussi chevauché cet être à quatre pattes pour lesquels ceux qui me connaissent savent que je nourris un amour sans limites. Ce bestiau jouait avec le ravin comme s'il voulait se venger de m'avoir sur le dos (on le comprend...). Bon, on arrive quand même en haut et je jure, un peu tard, qu'on ne m'y reprendrait plus. Départ ensuite pour Riobamba où nous pensions arriver pour 17h30 maxi. Les indiens en ont décidé autrement et nous ont obligé à prendre un détour que notre guide ne maitrisait pas. Résultat : perdu au milieu des montagne, on ne dut notre salut qu'à un sympathique gringo du cru qui nous a ramener en ville moyennant 2 bonnes heures de retard. Eh, Maurizio, le GPS, ça existe !! Un peu refroidi (dans tous les sens du terme) par la veille, nous étions inquiet du standing de l'hotel mais là, c'était nettement mieux, une hacienda cossue avec une vraie douche et de l'eau chaude... pour moi seulement. Stéphane ayant attendu d'avoir diné pour se doucher, une meute de français arrivés peu après nous avaient suçé toute l'eau chaude. Pauvre Stéphane... Mais il l'avait bien mérité après mon tour de baudet par sa faute !! 14 Mai : Journée plus calme avec visite de Riobamba (superfétatoire), puis visite des ruines incas d'Ingapirga (re-superfétatoire mais Klezz ne sera pas d'accord !!) puis arrivée à Cuenca après une vue, superbe de la Nariz del Diablo (ce qui ne manque pas de piquant pour 2 ORL en Equateur...). Cuenca, très joli ville typique. L'hotel ? Superbe, en plein centre ville, l'Inca Réal, très belles chambres dans une hacienda avec patio à l'espagnole. Problème : on retrouve les même français que la veille (en plus c'est le CE d'une banque !), assez bruyants à vrai dire et surtout pas très dépaysants. 15 Mai : Le dernier jour, enfin, le mal du pays m'a pris depuis 48 heures...dernier jour enfin, parce qu'on a vraiment cru notre... dernière heure arriver avec le passage d'un col en voiture vers 4000 m pour aller vers Guayaquil dans un épais brouillard par instant, ce qui n'empêche nullement les dépassements, pensez vous !! Après le passage du col, changement d'atmosphère, on passe en zone tropicale avec chaleur humide, bananeraie, cacaoteraie et rizière, Arret local pour un dernier fish and chips and rice and beans and corn... pour ne pas trop souffrir de la faim au retour et nous voici à Guayaquil, ville portuaire sans âme. Petite promenade sur le Malecon qui est à Guayaquil ce que la promenade des anglais est à Nice et direction l'aéroport pour un voyage retour qui, comme à l'aller, se déroulera sans encombre en se payant le luxe d'arriver à l'heure !! Voilà un beau périple, un peu long mais très dépaysant !!! Bon, pour les photos, j'en rajouterai au fur et à mesure car cela prend beaucoup de temps.
  10. superbe vidéo, j'y vais dans un peu plus d'un mois. J'espere y voir autant de choses. Je suis encore plus impatient apres cette video
  11. lolorl

    Columbus Isle - plongées

    non, plongée à l'air uniquement car premiere plongée à 40 m et il ne veulent pas prendre de risque en fleurtant avec les limites de PO² acceptable.
  12. lolorl

    Columbus Isle - plongées

    caisson et medecin de plongée. Pour les bagages, pas de soucis pour le sac plongée qui passe sans probleme. Il faut penser à demander le bon pour le sac lorsque vous retirez les billets à l'aeroport.
  13. lolorl

    Columbus Isle - plongées

    oups, tu as raison c'est l'un des derniers club géré encore par le club med et non cencédé à Eurodivers. Autant pour moi ...
  14. lolorl

    Columbus Isle - plongées

    Petit rappel : Structure de plongée indépendante mais dans le club med. C'est assez normal qu'il soit un peu rigide... de plus, l'environnement des plongeurs est pas mal axé débutant, il faut donc des règles compréhensibles par tous. on est assez loin du club de plongée associatif à la française, c'est un autre monde... c'est PADI !!! Pour y avoir passé 3 semaines, j'ai apprécié les superbes bateaux rapides, l'organisation sans faille et la superbe visibilité. Par contre j'y étais en Aout = eau chaude = pas de Marteaux (ou alors très profonds...). Pas de sites à plus de 20 ou 30 minute de navigation => retour pour le déjeuner apres 2 plongées. C'est assez appréciable. En plus, la plage est magnifique.
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Bonjour,

 

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