Pour la Thaïlande, je vise Phuket ou Koh Samui. Il semblerait que pas mal de gens passent l'Open Water sur Kho Tao, mais c'est un peu l'usine et la faune semble claircemée compte tenu de l'activité des touristes. Mon objectif est surtout un camp de boxe thaï.
Pour l'Indonésie, je m'intéresse à Bali et aux Iles Gili. Il semble d'après mes recherches que les eaux seraient mieux préservées pour un tarif assez proche de la Thaïlande hors saison. Donc a priori, sauf contre-ordre de votre part, cela me semble la meilleure solution.
Enfin l'Inde. Goa est précisément un point de chute qui a mes faveurs. Toutefois, les eaux y seraient moins claires et apparemment moins de chance de tomber sur un centre francophone. Je devrais peut-être en profiter pour essayer le yoga.
Dans tous les cas, j'emporte mon matériel de snorkeling. Idéalement, j'aimerais partir fin septembre en procédant dans l'ordre présenté, mais tout dépendra de l'évolution de mon budget sur place.
Pour résumé, si je privilégie l'Indonésie pour le passage de l'Open Water, je vais me renseigner auprès des Clubs francophones sur place pour savoir s'il me sera possible de disposer d'une doc en Français, quitte à règler d'avance pour me la faire expédier en Thaïlande et me coltiner un peu tous les jours le pavé. Dans le cas contraire, je l'achèterai dans ma langue avant mon départ. De plus, je ne m'interdis pas de plonger le plus souvent possible, voire de passer le niveau "advanced".
Pour le couteau, j'ai bien compris que c'était inutile. Il n'empêche que plonger "à poil" me rend toujours aussi parano. C'est plus fort que moi. Aussi, j'envisage d'opter pour un pliable du type Spiderco Salt 1, qui me sera de toute façon utile hors de l'eau pendant mon périple.
Enfin, la montre c'était surtout parce-que la mienne n'est pas adaptée. J'imagine que l'instructeur local doit te dire : "bon, tu remontes dans x temps" par exemple, et, qu'au bout d'un moment on doit arrêter de se tenir la main. Comment vais-je faire sans aucun repère ? De même, la bouteille ne dure pas éternellement. Enfin, si je progresse au delà de l'Open, n'y a t'il pas des palliers de décompression à respecter ? Je sais, je sais, je plie le truc en 4, désolé.
Faut dire que ces dernières années ont été très difficiles pour moi. J'ai besoin d'un grand bol de liberté pour sortir la tête du sac. Je ne compte pas faire le touriste, mais vivre local aussi longtemps que mon budget le permettra, voire planter des jalons pour vivre ailleurs.
Merci à ceux qui me permettent de structurer mon projet. Grâce à vous, les choses se clarifient davantage.