Personal Information
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Localisation
Var
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Passions
Plongée, escalade, canyonisme, vtt
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Profession
Génie civil
La plongée
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Féderation(s)
FFMC
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Niveau en plongée
N3, Nitrox, SM
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Professionnel de la plongée
No
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D'après les vieux bouquins de plongée souterraine (notamment celui de Prosser & Grey), le petit doigt levé signifie "durée du palier" (comme la petite aiguille d'une montre), et par extension on a le signe pour la DTR avec le pouce et le petit doigt écarté, c'est-à-dire les deux aiguilles d'une montre. Il faudrait que les écoles de plongée technique fasse une plaquette de leurs signes; on ne les retrouve jamais en totalité: une partie est dans un livre, l'autre en vidéo... et on finit avec une multitude de variantes. Par exemple pour demander la durée de palier à un plongeur, ça donne : Question / déco / toi ? (cf. image)
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Vos échanges sont intéressants, je réalise que c'est encore pire que ma situation initiale Chaque méthode exotique proposée me semble relativement compliquée et source d'erreur sous l'eau. Demander à un binôme de se concentrer sur une série de gestes qu'il va mal voir ou mal interpréter puis attendre de lui qu'il fasse du calcul mental me paraît optimiste.... Ayant lu il y a quelques années une série d'articles sur les fondamentaux de la plongée technique à son essor dans les années 70-80, je comprends de mieux en mieux l'intelligence dont ces plongeurs ont fait preuve (au prix parfois de vies perdues) pour la gestion des plongées notamment les gestes. Une série de gestes réalisés avec une seule main qui rend la vie plus facile et plus lisible sous l'eau. Essayer c'est adopter; c'est court, clair et sans calcul à faire. Malheureusement c'est peu ou pas diffusé en plongée loisir, et pire certains poussent à l'utilisation de signes personnels
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Je pensais la même chose. Histoire de tout faire en même temps il m'est arrivé de réviser un détendeur parfaitement fonctionnel et de découvrir de la corrosion qui aurait été irrécupérable avec un an supplémentaire sans démontage et nettoyage. Donc pour moi c'est un bon rinçage après chaque plongée et révision tous les 2 ans.
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Oui la phase délicate est la remontée en mauvaises conditions comme toute config moins légère que celle de base. En temps normal c'est facile de laisser un bout pendre et y attacher ses blocs ou les passer directement à la main. Mais quand le bateau te récupère en naviguant et que tu es ballotté par les vagues, il ne reste souvent qu'à mousquetoner les cols des blocs et grimper sur le bateau avec tout le matos. C'est le même problème qu'en backmount avec un bloc déco. Je suis curieux de connaître les avis des autres pratiquants SM sur ce genre de situation...
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Je suis surpris du tarif annoncé, 5 € la plongée... c'est une partie du prix j'imagine. En comptant le gonflage disons à 10 € et l'entretien du bateau ça donnerait 20-25 € la plongée, c'est ça ?
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Non, bien sûr, mais j'en cherche la raison. Pour revenir à la vidéo citée au départ, il est argumenté que les doubles détendeurs utilisés sur un mono-bloc ne sont pas une solution sérieuse, point de vue que j'avais moi aussi mais de façon intuitive et sans connaître les raisons qui ont amené cette obligation française. Maintenant j'en sais plus
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D'accord, dans ces conditions je comprends la volonté de prévention des accidents. Mais avoir étendu cette mesure à tous les plongeurs semble alors excessive, sauf si la limitation constructeur des 30 m à 2 répond à un risque réel; dans ce cas tous les plongeurs dépassant les 30 m devraient avoir les 2 détendeurs. Me trompe-je ?
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Ah oui en effet, je n'avais jamais relevé cette limitation constructeur, je connaissais seulement celle des 50 m ! Je me demande dans quelle mesure il y a danger d'être à 2 sur un détendeur en-dessous de 30 m. Par exemple, la limite de 50 m est bien dépassée pour les plongeurs techniques au trimix, non ?
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Je trouve vos réponses très intéressantes, l'idée étant justement d'avoir vos avis même s'ils sont parfois contrastés. Sans aucune prétention à critiquer l'existant, je m'interroge. En effet, il s'agit d'une mesure liée à l'encadrement, mais dans le cas d'une assistance entre autonomes, cette mesure n'est pas perçue comme vitale puisque non obligatoire. Pourtant la situation serait identique. Je trouve que les arguments de ISE méritent une réflexion. Qu'en pensent les plongeurs d'eaux froides, là où le givrage est une vraie menace ?
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Le niveau 4 impose l'utilisation de 2 détendeurs complets sur un seul bloc à 2 sorties. Dans les cours que j'ai pu lire, aucun ne le justifie, c'est simplement "une règle de base". Apparemment, c'est une obligation franco-française. On peut se dire, en effet, que si l'un déconne ou givre, on a un plan B. Puis je tombe sur ça: Je résume ce que j'ai compris: si un détendeur déconne, il est sensé fuser et non retenir la pression; s'il givre, pareil. Si un détendeur se met à fuser, c'est qu'il est déréglé ou que l'air du bloc est humide; dans ce dernier cas le second détendeur givrera lui aussi rapidement au moment de l'utiliser. Le second détendeur semble alors inutile; je suis même tenté de penser que cela donne un faux sentiment de sécurité. En discutant de cela, d'anciens plongeurs en carrière m'ont répondu qu'il s'agissait d'une prévention pour limiter le risque de givrage, en particulier lors d'une assistance. Dans ce cas, cela ne concernerait que les plongées en eau froide ? En tout cas, le binôme devra finir sa plongée rapidement et peut-être sans paliers. Mais une fois le problème déclenché, et s'il s'agit d'un problème d'air humide (donc du compresseur), la doublette de détendeurs ne résout rien. Le seul point qui rendrait valable cette obligation, et seulement s'il s'agit d'un détendeur défectueux, serait de l'accompagner d'un entraînement à la fermeture du robinet, comme appris avec les bi-bouteilles en plongée technique. Mais c'est déjà difficile avec un bi, alors qui y pensera et tentera de le faire ? Le binôme sera-t-il capable de fermer le bon robinet ? A ce stade, je ne vois pas l'utilité de cette obligation, et vos avis de plongeurs avec chacun ses expériences m'intéresse. A vos claviers !
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Et au niveau technique, les cours ressemblent parfois à la première année de médecine. J'imagine qu'une partie n'est que pour la culture générale, mais jusqu'où faut-il aller en révision pour l'examen ?
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Merci pour ce partage. Je m'interroge sur ce niveau parce qu'il permet d'encadrer, mais tous les retours ne parlent que de performances physiques et de la sacro-sainte remontée assistée. Or je me dit naïvement que guider ce n'est pas que palmer plus vite et plus fort que sa palanquée. Dialoguer avant et après la plongée ? Et observer les signes indirects de fatigue, de stress, de froid, etc. pour anticiper un problème ? Y-a-t-il un partage de connaissance à ce niveau ? Quel est ton retour sur cette partie qui me semble la plus importante ?
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De mon côté, je me suis amusé à regarder les stats de mes données de plongée et j'ai constaté avec étonnement que l'eau se refroidit depuis 2 ans. Et ici dans le sud de la France, nous avons eu récemment des étés venteux qui refroidissent l'eau. Seule les premiers mètres se réchauffent, à 40 m elle reste à 14 ° comme en hiver... Il y a eu des années où l'eau était plus chaude ! Il me semble que la réalité du terrain est différente des cartes avec du rouge-partout-qui-fait-peur...
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Je répond tardivement, mais ça peut servir à d'autres. Pour l'avoir démonté, ce modèle de détendeur est très simple et très facile à réviser, c'est à la porté de tous et il n'y a rien à régler puisqu'il n'y a essentiellement qu'un ressort taré à l'intérieur. La doc doit se retrouver sur le net mais honnêtement elle ne sert à rien. Il faut juste trouver le bon kit de joints (s'il est prévu de les changer), les deux outils de base (la clé en croissant pour dé-serrer le cylindre et la tige filetée pour tenir la bestiole), et surtout ne mettre que de la graisse spéciale oxygène.
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En principe, chaque bloc supplémentaire est attaché à l'anneau près de l'épaule, sinon les blocs ne sont plus indépendants. Le réglage se fait avec la longueur de l'attache en fonction de la position du bloc.