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Plongeur.com - Le site de la plongée sous marine

Scubaphil

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Everything posted by Scubaphil

  1. Je ne sais pas où tu en es resté, mais on ne traverse pas vraiment Pointe-à-Pitre. Il y a une rocade 2x2 voies qui contourne la ville. Par contre, c'est que en semaine, entre 7 et 9h, ça va être bien chargé, circulation dense, bouchon au moindre incident (véhicule arrêté sur BAU, accident, travaux ...). Mais @mskjeux partant fin février, ce sera pendant les vacances scolaires, la circulation va être beaucoup plus fluide. En l'absence de circulation, je dirais plutôt 45'.
  2. Bonjour, L'avis du cardiologue est un élément important, mais ensuite, il y a l'avis des médecins qui connaissent l'activité et ses risques afférents. La problématique de reprise après infarctus n'étant pas nouvelle, il y a des recommandations précises qui ont été écrites par la commission médicale de la FFESSM. Tu les trouveras par ici, et plus particulièrement pour ton problème ici et là. Les "médecins autour de toi" peuvent simplement les consulter et voir si ton cas est compatible avec un reprise sécurisée ou s'il nécessite des adaptations, voire une mise au sec.
  3. Bonjour, Entre Port-Louis et St François, c'est Port-Louis, sans aucune hésitation ! Surtout s'il y a une reprise après longue interruption. St François, les récifs sont les plus pauvres de l'île, très abimés et le secteur est très exposé aux Alizés, donc on est facilement brassé. Très bien pour le Kite-surf, mais vraiment pas top pour une plongée à la cool. Après, comme @Doliprane, les plus belles plongées sont sur la côte caraïbe, entre Deshaies et Vieux Fort. Tu as une multitude d'options dans ce secteur avec de très nombreux centres professionnels. Personnellement, n'aimant pas la plongée "industrielle", je privilégierais des structures plutôt sur Deshaies, telles que Nautica à Petite Anse, Calypso et Piton dans le bourg. Mais, bon les goûts et les couleurs, ça ne se discute pas trop ...
  4. Tu voulais dire "OPI + ADD" je suppose ?
  5. Oui, en théorie. @pmk le formule sur une forme humoristique, mais sur le fond, je partage en partie ses doutes. Se reposer exclusivement sur les tuteurs, y compris pour l'expérience pratique du candidat, me paraît risqué. Je sais par expérience que tous les tuteurs ne seront pas vigilants sur ce point (justement parce que ce n'est pas marqué dans le MFT). Je le déplore. Mais il faut regarder les choses en face, c'est la réalité. Et pire : on peut parier qu'un certain nombre de candidats ne prendront pas non plus en compte les conseils avisés des tuteurs sur ce point.
  6. Certes. Mais ça ne justifie rien. Pour une fois qu'on demandait un minima cohérent, c'est dommage de tout brader.
  7. En te lisant, j'allais dire que, en effet, tu vas avoir des soucis en perspectives avec les 12 plongées en autonomie obligatoires pour se présenter à l'examen Initiateur. Mais vérification faite, je découvre avec surprise une autre modification ambiguë dans le MFT Initiateur : la notion d'autonomie a disparu pour ces 12 plongées minimales obligatoires pour ce présenter à l'examen. Elles sont devenues simplement "12 plongées après l’obtention du PA20". Conclusion pratique pour ton jeune candidat, tu n'auras finalement pas tant d'obstacle que ça. Par contre, j'avoue que cette modification pose quand même question sur le fond : on peut donc à présent devenir Initiateur (c'est à dire enseignant en plongée, quand même) sans jamais avoir plongé en autonomie une seule fois ! Je trouve ça dommageable. On a réussi à vider de sa substance une mesure qui avait été ajoutée à dessin antérieurement.
  8. Bonjour, Désolé d'arriver en retard, mais mois aussi je sors d'un stage Initial ce WE ... bon, comme formateur et responsable, mais ça occupe bien aussi. Alors oui, un stage initial MF1, c'est beaucoup d'informations, de nouveautés, de remise en question et un changement radical de perspective. Bref c'est une étape de déconstruction pour sortir du cocon club ou perso dans lequel les plongeurs aguerris se sont enkystés. Je comprends qu'on puisse être un peu désemparé en sortant du stage. Néanmoins je partage assez l'étonnement de @Xabi quant à l'interrogation de savoir "comment aborder cette formation en plus des cours que la ctd va donner", car en théorie, c'est le principe même du stage initial : donner les outils pour aborder la suite dans de bonnes conditions. Il semble donc y avoir une faiblesse sur l'atteinte de l'objectif du stage ... Reprenons simplement le cursus : tu sors du stage initial. Donc, la suite, c'est le "stage pédagogique en situation" (extrait MFT ci-dessous). L'intitulé de cette étape, les mots parlent d'eux-même : mise en situation ! Tu es donc à présent en "stage pédagogique en situation". Comment l'aborder ? Pas le choix, il n'y a qu'une seule option possible : enseigner à des élèves, sous couvert et avec l'aide d'un tuteur 2ème degré. Ta priorité, si ce n'est déjà fait, c'est de trouver un club ou un centre dans lequel tu pourras enseigner avec de vrais élèves et avec un vrai tuteur. Une fois trouvé cette structure et ce (ou ces) tuteur, tu dois passer à l'action, c'est à dire mener des séances pratiques et théoriques, que tu prépareras en amont avec ton tuteur, en utilisant des outils que tu as vu au stage initial. C'est en forgeant qu'on devient forgeron ! Le MFT n'est pas un guide méthodologique. C'est juste une liste d'objectifs à atteindre pour les différents niveaux de plongeurs. Un pense-bête, au mieux. Inutile de vouloir le connaître par coeur. Ce qu'il faut c'est comprendre comment s'en servir utilement. Par où commencer ? Imagine-toi que demain on te confie une première plongée de formation N1, post-baptême. Réfléchi à ce que tu vas mettre dans ta séance et pourquoi, et construis ta séance. Ensuite discute-en avec ton tuteur. Après ajustements, tu pourras mener la séance avec un véritable élève, sous contrôle de ton tuteur. Puis tu passes à un autre sujet avec la même méthodologie, etc. Bon courage.
  9. Scubaphil

    Lenteur

    De nouveau, je note de gros délai pour accéder au site, de l'ordre de la minute, quand ça ne fini pas par ne pas aboutir. Je ne sais pas si c'est pareil pour d'autres. En tous cas, de chez moi ou de mon boulot, pareil.
  10. Simple. Pour répondre strictement à la question posée, pas besoin de conférence d'une heure, quelques secondes seulement : ne plus plonger !
  11. Peut être là : besoin d'un certificat pour annuler ou déplacer le voyage ?
  12. Absolument. Et d'ailleurs le premier domaine concerné en France est l'enseignement supérieur. Les postes (Professeur, Maître de Conférence ...) y sont attribués presque exclusivement sur des critères de réputation en Recherche (nombre et qualité des publications scientifiques). Ces "Enseignants-Chercheurs", puisque c'est ainsi qu'on les désigne, n'ont très souvent aucune notion pédagogique dans leur cursus.
  13. J'ai un peu l'impression de pisser dans un violon ... Encore une fois, confusion entre otite externe et barotraumatisme. Comme je l'ai écrit dans le lien proposé plus haut, mettre des gouttes dans le conduit de l'oreille, pour prévenir un barotraumatisme, est une chose totalement inutile !
  14. Et objectivement, sur le plan pédagogique, l'intérêt de demander un mémoire pour valider le Certificat Complémentaire (CC), alors que le candidat est déjà DE, est-ce bien opportun et raisonnable ? ...
  15. Bonsoir, Attention, quand on parle d'otite, sans rien préciser, on peut parler de 3 choses différentes et sans rapport entre elles. C'est précisément ce qui se passe dans cette discussion. @Maeva97434 nous interroge sur une otite moyenne (barotraumatique ou infectieuse, la question reste en suspend). @christophe 38 répond sur l'otite externe. Je vous propose une petite lecture pour remettre les idées (les oreilles ?) en place. Maeva97134, ne te tracasse pas : si ton oreille interne est indemne (c'est l'essentiel) et ton tympan intact, tout va rentrer dans l'ordre. Mais une semaine, que ce soit pour un barotraumatisme ou pour une infection, c'est un peu court pour récupérer et cicatriser correctement. Compte au moins 2 semaines, voir 3. Tout le monde n'est pas égal face à la maladie.
  16. Absolument. Et c'est resté comme ça quand ce "Plongeur Autonome" est devenu "Niveau 3" en 1989. On a longtemps pu passer directement du N2 au N4 (ce fut mon cas). C'est en 2011 que le Niveau 3 est devenu obligatoire pour passer le N4.
  17. Encore que, selon les GF ou autre "durcissement" qu'il pourrait mettre dans son ordi ... ("envoyer les doigts" comme dirait @christophe 38)
  18. Oui, a ceci près que ce brevet "intermédiaire" entre 1er et 2ème échelon (ex N2 et N4) est apparu bien avant la conversion en N1,2, 3, 4, sous le nom de "Plongeur Autonome", et ce "virage" ne date pas d'une vingtaine d'année, mais d'une bonne quarantaine d'année. C'était en 1982 (voir source ci-dessous). Historique-des-certifications-CTN.pdf
  19. Navrant ! En effet, ce "correctif" n'est pas beaucoup plus clair et reste bien peu explicite par le manque persistant de précisions importantes. Il n'apparaît toujours pas la notion de 5 minutes à demi-profondeur. Certes, ce n'est pas nouveau, mais la phrase, telle qu'elle reste formulée, n'a aucun sens. Pour un correctif d'une article lui même censé vulgariser une procédure officielle (déjà écrite), c'est désolant !
  20. On peut aussi ajouter que le facteur affectif, justement quand le médecin connaît trop bien le patient personnellement, n'est pas forcément gage de qualité de la prise en charge. C'est même parfois un biais qui pousse à faire n'importe quoi. Vécu encore hier, où un patient s'était vu ajouté 2 cures de chimiothérapie par un collègue qui le connait personnellement, alors que la situation ne le justifiait pas du tout. J'ai du annuler les cures en question et expliquer au patient que tout allait bien et qu'il n'avait pas du tout besoin de ça, à son grand soulagement d'ailleurs !
  21. J'utilise ici le terme de médecin au sens large, ce qui inclus les chirurgiens (qui ne sont, en fait que des médecins spécialisés en chirurgie).
  22. Bon résumé. Mais que le médecin compétent ne te connaisse pas bien, c'est sans importance. S'il t'interroge convenablement, il te connaîtra suffisamment pour décider. C'est le propre du métier, appréhender un nouveau patient, cerner l'ensemble pour prendre une décision adaptée. Tous les jours, je vois de nouveaux patients que je ne connais pas antérieurement. Et ça ne m'empêche pas de les prendre en charge, pour des choses sensiblement plus engageantes que remplir un document administratif.
  23. ça me rappelle des trucs, comme une sensation de déjà vécu ...
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Bonjour,

 

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